Module 9 : Les Bonnes Pratiques Cliniques Flashcards

1
Q

Vrai ou faux ?

Les bonnes pratiques cliniques (BPC) concernent spécifiquement le monde des médicaments et certains matériels médicaux issus des industries pharmaceutiques et biopharmaceutiques.

A

Vrai.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Quels sont les objectifs généraux des études cliniques ?

A

Le but est d’évaluer l’innocuité (absence de danger) et l’efficacité d’un nouveau médicament.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Après les essais précliniques, quelle démarche doit être faite afin de poursuivre avec les essais cliniques ?

A

Le fabricant ou le promoteur d’un médicament doit déposer une demande d’essais cliniques (DEC), auprès de la Direction générale des produits de santé et des aliments (DGPSA de Santé Canada).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Vrai ou faux ?

Les résultats de chaque phase doivent être soumis et approuvés avant de passer à la phase clinique suivante.

A

Vrai.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Compléter.

Il est obligatoire pour les promoteurs de signaler à _______________ toutes les réactions indésirables graves et imprévues.

A

Santé Canada.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

À quel étape du processus le promoteur du médicament doit-il soumettre une Présentation de drogue nouvelle (PDN) à la DGPSA ?

A

Entre les phase III et IV.

La PDN doit inclure l’information et les données sur l’innocuité, l’efficacité et la qualité du médicament, les résultats des essais précliniques et cliniques, les détails liés à la production du médicament, l’emballage et l’étiquetage, les renseignements sur les propriétés thérapeutiques et les effets secondaires du médicament.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Qu’est-ce que le DIN ?

A

Lorsque la DGPSA attribue un Avis de conformité (ADC) pour un médicament, une identification numérique de drogue (DIN) est attribuée, permettant au promoteur du médicament d’en faire la mise en marché au Canada.

Le DIN est un numéro à huit chiffres qui identifie le fabricant, le nom du produit, les ingrédients actifs, la concentration de ceux-ci, la posologie et le mode d’administration.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

À quelle phase d’une étude clinique les objectifs suivants correspondent-ils ?

  • Établir comment le médicament est absorbé, métabolisé, et éliminé (pharmacocinétique) ;
  • Déterminer la dose minimale du médicament ;
  • Évaluer la tolérance du médicament ;
  • Évaluer les effets indésirables.
A

Phase clinique I

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Sur quel type de sujets a lieu la phase I d’un essai clinique ?

A

Sur des sujets volontaires en bonne santé (mais ils peuvent être menés sur des patients lorsqu’il n’est pas approprié sur le plan de l’éthique de les mener sur des sujets volontaires en bonne santé).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

À quelle phase d’une étude clinique les objectifs suivants correspondent-ils ?

  • Optimiser la posologie et déterminer la meilleure dose
  • Évaluer la relation dose-effet ;
  • Étudier les effets secondaires et les risques associés.
A

Phase clinique II

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Sur quel type de sujets a lieu la phase II d’un essai clinique ?

A

Chez des patients ayant un état de santé à traiter, à diagnostiquer ou à prévenir. Les individus sont sélectionnés selon des critères assez stricts de façon à former des groupes relativement homogènes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

À quelle phase d’une étude clinique les objectifs suivants correspondent-ils ?

  • Collecter des données additionnelles sur l’efficacité et l’innocuité cliniques dans le cadre des conditions d’utilisation proposées.
A

Phase clinique III

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quels sont les différents scénarios possible lors d’un essai clinique de phase III ?

A
  1. Comparaison avec un placebo
  2. Comparaison avec un autre médicament existant
  3. En combinaison avec un autre médicament existant
  4. Essai de diverses doses de médicament à l’étude
  5. Essai de diverses posologies du médicament à l’étude
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Vrai ou faux ?

Un médicament jugé équivalent à un médicament déjà existant sur le marché pourrait ne pas être approuvé par les autorités puisqu’il n’apporte aucune valeur ajoutée par rapport à celui déjà offert.

A

Vrai.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

À quelle phase d’une étude clinique les objectifs suivants correspondent-ils ?

  • Études de mortalité/morbidité
  • Études épidémiologiques
  • Effets secondaires rares et effets à long terme
A

Phase clinique IV

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Vrai ou faux ?

Un médicament, même une fois approuvé, n’est pas à l’abri d’un retrait, surtout pendant les premières années de mise en marché.

A

Vrai.

17
Q

Par qui les lignes directrices des BPC ont-elles été élaborées ?

A

Les lignes directrices des BPC ont été élaborées par un groupe d’experts du Conseil international d’harmonisation sur les exigences techniques relatives à l’homologation des produits pharmaceutiques à usage humain (CIH) et sont publiées dans le document intitulé « Les bonnes pratiques cliniques : directives consolidées ».

18
Q

Vrai ou faux ?

Les lignes directives des BPC ont force de loi dans les laboratoires d’essais cliniques ?

A

Faux.

Mais, bien que les lignes directrices n’aient pas force de loi, ce document guide les intervenants sur la façon de mener les essais cliniques pour satisfaire aux organismes réglementaires qui autoriseront la commercialisation du produit.

19
Q

Quels sont les buts principaux des BPC ?

A

Protéger les individus participant aux essais cliniques et assurer que les médicaments ont été testés et approuvés avant d’être commercialisés.

20
Q

Lire principes abordés par les BPC module 9 p.15

A

.

21
Q

Qui suis-je ?

La personne, l’entreprise, l’établissement ou l’organisme chargé de la mise en œuvre, de la gestion ou du financement d’un essai clinique

A

Le promoteur de l’étude.

22
Q

Qui suis-je ?

La personne, l’entreprise, l’établissement ou l’organisme chargé de la mise en œuvre, de la gestion ou du financement d’un essai clinique

A

Le promoteur

23
Q

Lire rôles du promoteur module 9 p.16-17

A

.

24
Q

Lire principales responsabilités du promoteur module 9 p.16-17

A

.

25
Q

Quel devrait être le nombre minimal de membre dans un comité d’éthique ?

A

Il est recommandé que le comité soit formé d’AU MOINS 5 membres. Il doit y avoir au moins un membre dont le domaine d’intérêt n’est pas de nature scientifique et au moins un membre n’ayant aucun lien avec l’endroit où l’essai sera réalisé.

26
Q

Lire principales responsabilités du comité d’éthique module 9 p.18

A

.

27
Q

Qui suis-je ?

Personne responsable de la réalisation de l’essai clinique sur les lieux de l’essai

A

L’investigateur

28
Q

Quels documents l’investigateur doit-il inclure dans sa demande lorsqu’il présente une demande au comité d’éthique afin d’obtenir l’approbation écrite avant le début de l’essai ?

A

La brochure de l’investigateur et le protocole d’essai

29
Q

Quelles informations contiennent la brochure de l’investigateur et le protocole d’essai ?

A

La brochure de l’investigateur. Ce document est une compilation des données cliniques et non cliniques sur le produit de recherche. Ce document est l’outil de référence pour les autres intervenants. Il doit être rédigé de façon claire et concise et inclure tous les renseignements et les conclusions concernant le
produit.

Le protocole d’essai décrit en détail les objectifs, la conception, la méthodologie, les remarques d’ordre statistique et les diverses étapes de l’essai.

30
Q

Lire principales responsabilités de l’investigateur module 9 p.19-20

A

.

31
Q

Par qui la déclaration d’Helsinki a-t-elle été élaborée ?

A

Par l’Association médicale mondiale (AMM) et elle a été adoptée en 1964.

32
Q

Vrai ou faux ?

Partant des principes de la déclaration d’Helsinki, certains pays ont adopté des lois nationales visant spécifiquement à protéger les droits de la personne qui se prête à des recherches biomédicales.

A

Vrai.

La loi de Huriet (1988) en France en est un exemple.

33
Q

Au Canada, quels sont les 3 conseils qui ont élaboré conjointement un énoncé de politique sur l’éthique de la recherche sur l’être humain ?

A

L’Institut de recherche en santé du Canada (IRSC), le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH).

34
Q

Quels sont les 2 buts et les 3 principes sur lesquels est basé la politique sur l’éthique de la recherche sur l’être humain du Canada ?

A

Les 2 buts sont la nécessité de la recherche et le respect de dignité humaine.

Les trois principes directeurs de ce document sont le respect des personnes, la préoccupation pour le bien-être et la justice.