Module 7 Flashcards
Il existe deux voies à la lecture et deux voies à l’écriture. Celles-ci sont les mêmes. Comment les appelle-t-on
- Voie globale (ou lexicale)
- Voie sous-lexicale
Voici les différentes étapes du modèle de lecture de Kemmerer. Associez ces étapes à leur définition/description:
ÉTAPES:
A) Analyse visuelle
B) Identification des lettres
C) Lexique orthographique
D) Lexique phonologique
E) Système sémantique
F) Conversion grapho-phonémique
G) Système des phonèmes
DÉFINITIONS:
1. Permet l’accès au sens des mots
- Étape perceptuelle qui consiste à dégager les traits distinctifs des stimuli (c-à-d percevoir les lignes qui forment les lettres et leur position dans l’espace)
- Processus qui permet l’accès à la représentation du mot écrit dans son ensemble
- Activation des représentations abstraites des lettres (activation indépendante de la taille ou du style d’écriture)
- Permet de lire les mots à voix haute en utilisant les règles existantes entre les graphèmes et les phonèmes (utilisée par lecteurs débutants qui décodent un graphème à la fois)
- Permet d’accéder à la représentation de la forme sonore du mot dans son ensemble.
- Activation des différents phonèmes qui va permettre la prononciation à voie haute des mots écrits
A) 2
B) 4
C) 3
D) 6
E) 1
F) 5
G) 7
Voici les différentes étapes du modèle de lecture de Kemmerer. Lesquelles relèvent de la voie globale et lesquelles relèvent de la voie sous-lexicale. (à noter qu’une même lettre peut revenir pour les deux voies)
ÉTAPES:
A) Analyse visuelle
B) Identification des lettres
C) Lexique orthographique
D) Système sémantique
E) Lexique phonologique
F) Conversion grapho-phonémique
G) Système des phonèmes
VOIE GLOBALE:
A) Analyse visuelle
B) Identification des lettres
C) Lexique orthographique
D) Système sémantique
E) Lexique phonologique
G) Système des phonèmes
VOIE SOUS-LEXICAlE
A) Analyse visuelle
B) Identification des lettres
F) Conversion grapho-phonémique
G) Système des phonèmes
Distingue la voie globale (ou lexicale) de la voie sous-lexicale
La voie globale est utilisée par des lecteurs ayant acquis de l’expérience. Elle permet de lire en reconnaissant les mots dans leur ensemble. Elle permet également de lire les mots avec lesquels nous sommes familiers. La voie globale permet de lire plus rapidement
La voie sous-lexicale est surtout utilisée par les lecteurs débutants qui décodent un phonème à la fois. Elle permet de convertir chaque graphème en son puis de les assembler
Voici les étapes du modèle de lecture de Kemmerer. Quelles étapes relèvent de composantes périphériques (aka de processus élémentaires de bas niveau) et quelles étapes relèvent de composantes centrales (aka processus de plus haut niveau)?
ÉTAPES:
A) Analyse visuelle
B) Identification des lettres
C) Lexique orthographique
D) Système sémantique
E) Lexique phonologique
F) Conversion grapho-phonémique
G) Système des phonèmes
Composantes périphériques= A et B
Composantes centrales= C, D, E, F, G
Il existe 3 type de mots
A) Qu’est-ce qu’un mot irrégulier?
B) Donne un exemple de mot irrégulier
C) quelle voie de lecture doit on utiliser pour faire la lecture d’un mot irrégulier?
A) Mot qui ne respecte pas les correspondances habituelles entre les graphèmes et les sons
B) “chorale”
C) voie globale
Il existe 3 type de mots
A) Qu’est-ce qu’un mot régulier?
B) Donne un exemple de mot régulier
C) quelle(s) voie(s) de lecture doit on utiliser pour faire la lecture d’un mot régulier?
A) Mot qui respecte les correspondances habituelles entre les graphèmes et les sons
B) “cobra”
C) Les deux voies (globale et sous-lexicale) peuvent être utilisées
Il existe 3 type de mots
A) Qu’est-ce qu’un mot pseudomot?
B) quelle voie de lecture doit on utiliser pour faire la lecture d’un pseudomot? Pourquoii?
A) Un mot inventé
B) La voie sous-lexicale (car ce n’est pas un mot familier)
LECTURE, CHEMIN PARCOURU PAR L’INFORMATION
I. Au niveau perceptuel, nous avons des [1] (cônes et bâtonnets) qui vont encoder l’image
II. Ensuite, les cellules ganglionnaires de la rétine projettent vers le [2] et le [3] du thalamus
III. Le thalamus active le [4] et le [5]
IV. Les signaux visuels dans les régions cérébrales postérieures sont alors transmis aux [6]
- Photorécepteurs
- CGL
- Pulvinar
- Cortex visuel primaire
- Cortex extrastrié
- Systèmes auditif et langagier
RÉSEAU CÉRÉBRAL-LECTURE
Dites lesquelles de ces structures sont activées au cours de la lecture
A) Gyrus postcentral postérieur (GPP)
B) Faisceau longitudinal inférieur (ILF)
C) Sulscus temporal supérieur (STS)
D) Gyrus frontal inférieur (GFI)
E) Sulcus intrapariétal (IPS)
F) Gyrus temporal supérieur (STG)
G) Gyrus périsylvien antérieur (GPA)
H) Faisceau longitudinal supérieur (SLF)
I) Faisceau occipital vertical ( VOF)
J) Aire de la forme visuelle des mots (VWFA)
B, E, F, H, I, J
RÉSEAU CÉRÉBRAL-LECTURE
Associez les bons faisceaux aux régions qu’ils connectent (attention, deux faisceaux connectent les mêmes régions)
Faisceaux
A) Faisceau longitudinal supérieur
B) Faisceau occipital vertical
C) Faisceau longitudinal inférieur
D) Faisceau arqué
Connexions
1. Relie les régions occipitales et temporales
2. Relie les régions frontales aux régions pariétaux-temporales
3. Relie les régions dorsales et ventrales dans les régions cérébrales postérieures
A) 2
B) 3
C) 1
D) 2
Dans une métaanalyse de Cattinelli et al, les chercheurs ont regardé quelles régions s’activaient préférentiellement pour la lecture de mots et quelles régions s’activaient préférentiellement pour la lecture de pseudomots
- Selon les résultats, quelles régions (2 lettres à sélectionner) s’activaient plus lors de la lecture de MOTS
A) Régions occipito-temporales
B) Lobe temporal gauche
C) Gyrus fusiforme antérieur
D) Cortex pariétal inférieur gauche - Selon les résultats, quelles régions (2 lettres à sélectionner) s’activaient plus lors de la lecture de PSEUDOMOTS
A) Régions occipito-temporales
B) Lobe temporal gauche
C) Gyrus fusiforme antérieur
D) Cortex pariétal inférieur gauche
- B et C
- A et D
Dans quel hémisphère sont majoritairement distribués les réseaux de lecture
HG
Vrai ou faux, selon la métanalyse de Taylor et al., le gyrus frontal inférieur (GFI), le gyrus précentral et le pôle temporal supérieur seraient davantage activés pour la lecture de mots (comparativement à la lecture de pseudomots)
Faux, ces régions seraient plus activées pour la lecture de pseudomots. Le gyrus angulaire et le gyrus temporal médian seraient quant à eux les régions plus activées par la lecture de mots.
Vrai ou faux,
Selon la métaanalyse de Taylor et al., le gyrus frontal inférieur (GFI) est plus activé lors de la lecture de mots irréguliers que la lecture de mots réguliers
Vrai
Voici les étapes du modèle de lecture de Kemmerer
ÉTAPES:
A) Analyse visuelle
B) Identification des lettres
C) Lexique orthographique
D) Système sémantique
E) Lexique phonologique
F) Conversion grapho-phonémique
G) Système des phonèmes
Associez chacune des étapes précédentes à leur corrélat neuroanatomique (aka la région qui s’active de pair avec chaque étape)
*** l’analyse visuelle n’avait pas de corrélat anatomique dans la diapo alors ne l’associez à rien
CORRÉLATS NEUROANATOMIQUES:
1. Cx occipito-temporal
2. Cx pariétal inférieur
3. Gyrus fusiforme antérieur
4. Gyrus temporal moyen
5. Gyrus angulaire
6. Gyrus frontal inférieur (GFI)
B) 1
C) 3
D) 4
E) 5
F) 2
G) 6
POUR ME CORRIGER/RÉVISER PLUS FACILEMENT
B) Identification des lettres = 1. Cortex occipito-temporal
C) Lexique orthographie= 3. gyrus fusiforme antérieur
D) Système sémantique= 4. gyrus temporal moyen
E) Lexique phonologique= 5. gyrus angulaire
F) Conversion grapho-phonémique= 2. Cx pariétal inférieur
G) Système des phonèmes= 6. Gyrus frontal inférieur
LECTURE-RÉSEAU CÉRÉBRAL
Associez les régions au bon rôle
RÉGIONS:
A) région occipito-temporale ventrale
B) Régions temporales
C) Régions pariétales postérieures
Rôle
- Contrôle attentionnel dans la lecture
- détection des lettres
- Accès au sens des mots
A) 2
B) 3
C) 1
Globalement, les études chez les individus en santé suggèrent l’existence de circuits neuronaux distincts pour les deux voies de lecture (globale et sous lexicales). Ces circuits seraient latéralisés à gauche
A) quel est le circuit (aka les régions impliquées) de la voie de lecture sous-lexicale? (3 éléments de réponse)
B) quel est le circuit (aka les régions impliquées) de la voie de lecture globale? (3 éléments de réponse)
A)
- régions frontales inférieures
- Cx occipito-temporal
- Cx pariétal inférieur
B)
- Gyrus temporal médian
- Gyrus angulaire
- Gyrus fusiforme antérieur
DYSELXIES DÉVELOPPEMENTALES
A) qu’est-ce qu’une dyslexie développementale
B) Elle résulte généralement de quoi?
C) elle est caractérisée par quoi (sx)
D) vrai ou faux. Les difficultés sont attendues en regard des autres habiletés cognitives
E) Vrai ou faux, les difficultés surviennent en dépit d’un enseignement adéquat en classe
F) Quelles sont les conséquences secondaires du trouble
A) un trouble d’apprentissage spécifique d’origine neurobiologique
B) d’un déficit phonologique
C) des difficultés avec la justesse et/ou la vitesse de reconnaissance des mots et par des difficultés de décodage et d’épellation (lecture plus lente, saccadée et plus d’erreurs de lecture)
D) faux, elles sont inattendues
E) vrai
F) difficulté en compréhension de lecture et expérience de lecture réduite pouvant nuire au développement du vocabulaire et des connaissances
DYSLEXIES DÉVELOPPEMENTALES
A) vrai ou faux, la dyslexie touche plus les filles que les gars
B) Vrai ou faux, la dyslexie développementale survient souvent en comorbidité avec le TDA(H)
C) Vrai ou faux. L’influence de facteurs de risque génétiques est moindre
D) Les habiletés de décodage chez les dyslexiques peuvent être améliorées. Comment?
A) faux, c’est l’inverse
B) vrai
C) faux (pas rare que famille présente plusieurs cas de dyslexie)
D) par un Tx ciblant l’amélioration de la conscience phonologique c-à-d l’amélioration de la capacité à manipuler les sons de façon consciente
Des études ont trouvé des différences anatomiques et des différences dans l’activation chez ceux qui présentent une dyslexie développementale p/r aux lecteurs normaux. Donne 1 exemple de différence anatomique et une différence dans l’activation
Différence anatomique:
Chez les dyslexiques, réduction du volume de matière grise dans les régions temporales supérieures droite et gauche
Différence d’activation:
Chez les dyslexiques, réduction de l’activation dans les régions temporales supérieures et occipitotemporales gauches et le GFI gauche
dites pour les ensembles de structures suivantes si elles sont activées lors de la détection de lettres, lors de la lecture de pseudomots ou lors de la lecture de mots
A) Gyrus fusiforme gauche/VWFA
B) Aire de la forme visuelle des mots (VWFA) et gyrus occipital moyen bilatéral
C) GFI gauche, gyrus temporal supérieur et médian gauches, gyrus fusiforme/VWFA, aire motrice supplémentaire gauche
A) Lors de la lecture de mots
B) Lors de la détection de lettres
C) lors de la lecture de pseudomots
L’étude de Brambati et al sur les différences d’activation dans le cerveau entre des sujets normaux et des sujets dyslexiques a généré des résultats qui supportent le rôle de la [1] dans le processus d’identification des lettres (commun aux deux voies de lecture). Les résultats cohérent aussi avec les études sur les sujets sains qui soulignent l’implication de la région [2] lors de la lecture de pseudos mots
- Aire de la forme visuelle des mots (VWFA)
- frontale inférieure gauche
Il existe un lien entre les habiletés en lecture et l’intégrité des faisceaux de matière blanche
A) les aspects phonologiques de la lecture seraient lié à quel faisceau. Ce faisceau servirait quelle voie de lecture?
B) la reconnaissance globale des mots serait associée à quel faisceau? Ce faisceau servirait quelle voie de lecture?
A) Le faisceau arqué. La voie de lecture sous-lexicale
B) Le faisceau fronto-occipital inférieur. La voie de lecture globale
Les dyslexies acquises se développent à la suite d’une lésion.
Il existe deux classes de dyslexies acquises: les dyslexies périphériques et les dyslexies centrales.
Vrai ou faux, la première classe est liée à une atteinte des voies de lecture (fonctions de plus haut niveau) et la deuxième, au Tx des aspects visuels du stimulus ou au contrôle visuoattentionnel.
Faux, c’est l’inverse
Les dyslexies acquises se développent à la suite d’une lésion.
Il existe deux classes de dyslexies acquises: les dyslexies périphériques et les dyslexies centrales.
A) nomme des sortes de dyslexie périphérique
B) nomme des sortes de dyslexie centrale
A)
- Dyslexie par négligence
- Dyslexie lettre par lettre
B)
- Dyslexie de surface
- Dyslexie phonologique
- Dyslexie profonde
DYSLEXIE ACQUISE- DYSLEXIE PÉRIPHÉRIQUE
A) Bonus: La dyslexie PAR NÉGLIGENCE est liée à quoi (corrélat neuroanatomique)
B) Elle est caractérisée par quoi (manifestation)
C) la dyslexie par négligence est souvent associée à d’autres signes de négligence spatiale unilatérale. Qu’est-ce que cela veut dire
A) à une lésion du lobe pariétal inférieur ou du lobe temporal ou à une diminution de la connectivité entre ces régions.
B) elle est caractérisée par l’omission ou la substitution des lettres initiales ou finales des mots (ex: Radeau devient Cadeau)
C) que la personne va souvent présenter une incapacité à détecter les stimuli dans l’hémiespace controlatéral à la lésion. Cette incapacité n’est donc pas exclusive à la lecture
VRAI OU FAUX SUR LA DYSLEXIE PAR NÉGLIGENCE
A) Les erreurs seront plus fréquentes pour les mots que les pseudomots
B) Cette forme de dyslexie est due à une incapacité à orienter l’attention vers une portion des stimuli
C) elle appuie le rôle de la région frontale inférieure dans la régulation de l’attention lors de la lecture
A) faux c’est l’inverse
B) vrai
C) faux, elle appuie le rôle de la région temporale postérieure dans cette fonction
DYSLEXIE ACQUISE- DYSLEXIE PÉRIPHÉRIQUE
A) BONUS: la DYSLEXIE LETTRE PAR LETTRE, aussi appelée Alexie, est liée à une lésion dans quelle région?
B) elle est caractérisée par quoi (manifestation)
A) cortex occipitotemporal inférieur gauche (VWFA)
B) Une incapacité à reconnaitre un mot sans avoir identifié chacune de ses lettres au préalable
A) Dans la dyslexie lettre par lettre, on retrouve un effet de longueur de mots. Qu’est-ce que cela veut dire?
B) la dyslexie lettre par lettre peut venir de pair avec quel autre trouble?
C) cette dyslexie ce présente comme un appui à l’implication du Cortex occipitotemporal inférieur gauche (VWFA) dans quelles fonctions?
A) que plus les mots sont longs, plus la lecture est ralentie (car il y a plus de lettres à considérer individuellement)
B) dysothographie
C) l’intégration des combinaisons complexes de formes dans l’espace (et non juste l’identification de lettres de manière isolée)
DYSLEXIE ACQUISE CENTRALE
A) La DYSLEXIE DE SURFACE est liée à une [1] ou à un [2] du lobe temporal antérieur gauche, du gyrus temporal médian postérieur ou du gyrus angulaire.
B) elle est caractérisée par quoi (manifestation)?
C) vrai ou faux, elle s’accompagne souvent d’une dysorthographie de surface
A) 1. atrophie
2. Hypométabolisme
B)
un déficit sélectif de l’aptitude à lire les mots irréguliers (atteinte de la voie de lecture globale)
* ex: prononcer CHorale au lieu de Korale
C) vrai
Qui suis-je
Forme de dyslexie où la personne peut présenter des difficultés à comprendre des mots. On l’observe souvent dans la variante sémantique de l’APP.
Dyslexie de surface
DYSLEXIE DE SURFACE
Il y a souvent corrélations entre les scores/erreurs en lecture de mots irréguliers et le volume de matière grise dans quelle région?
Lobe temporal gauche
La dyslexie de surface est un appui au rôle des régions temporales et temporo-pariétales dans l’accès au [1] des mots lus et la [2] des mots irréguliers
Cette forme de dyslexie suggère un rôle de ces régions dans la [3]
- sens
- prononciation
- voie de lecture globale
La DYSLEXIE PHONOLOGIQUE (dyslexie acquise centrale) est liée à des lésions des régions frontales, du gyrus temporal supérieur et du gyrus supramarginal de l’hémisphère gauche
A) elle est caractérisée par quoi? (manifestations)
B) donne des exemples d’erreurs faites par qqun présentant une dyslexie phonologique
C) de quel type de dysorthographie est elle souvent accompagnée?
A) un déficit sélectif de l’aptitude à lire les psuedomots et les mots nouveaux (atteinte de la voie de lecture sous-lexicale)
B)
Substitution (ex: macipe devient makipe)
Omission (ex: potral devient potal)
Lexicalisation (ex: boulan devient boulon)
C) dysorthographie phonologique
Qui suis-je
forme de dyslexie souvent observée dans le contexte d’un trouble acquis du langage plus global comme les aphasies non-fluentes
Dyslexie phonologique
A) la dyslexie phonologique est un appui à quel rôle des régions frontales, régions temporales supérieures et gyrus supramarginal de l’hémisphère gauche?
B) Cette forme de dyslexie suggère un rôle de ces régions dans quelle voie de lecture?
A) celui d’effectuer les correspondances entre les graphèmes et les sons
B) la voie de lecture sous-lexicale
DYSLEXIE PROFONDE (acquise centrale)
La dyslexie profonde est liée à de larges atteintes des régions fronto-temporales-pariétales gauches.
QUESTION: elle est caractérisée par quoi? (manifestations)
une incapacité à lire les pseudomots et la présence d’erreurs sémantiques lors de la lecture de mots (atteinte des voies de lecture globale ET sous-lexicale)
- exemple d’erreur sémantique: lire “bleu” au lieu de “rouge”
Une personne présentant une dyslexie profonde a t’elle une meilleure performance pour la lecture des items abstraits (ex: “amour”) ou la lecture d’items concrets (ex: “table”)
la lecture d’items abstraits
Qui suis-je
forme de dyslexie entre autres observée dans le syndrome de Williams
Dyslexie profonde
Les mécanismes sous-jacents à la dyslexie profonde ne sont pas encore très bien compris, mais il subsiste deux hypothèses. Quelles sont-elles?
- dommages multiples dans le système de lecture de l’hémisphère gauche
- Recrutement de l’hémisphère droit pour la lecture (alors que celui-ci n’est pas spécialisé pour la lecture)
Voici les différentes étapes du modèle d’architecture fonctionnelle de l’écriture (Kemmerer)
( Parole (dictée ou message interne))
A) Analyse auditive
B) Système phonémique/MdT phonologique
C) Système sémantique
D)Lexique phonologique
E) Lexique orthographique
F) Conversion phono-graphémique
G) Mémoire orthographique
H) Système allographique
I) Planification graphomotrice
(écriture)
Associer les énoncés suivants à la bonne étape:
- Permet de reconnaitre les mots entendus (associer les phonèmes à une représentation) pour avoir accès à la représentation orthographique (en passant pas la voie lexicale ou non lexicale)
- analyse des sons
- mémoire du sens des mots
- transformation d’un mot qu’on entend en graphèmes (lettre par lettre). Comporte trois sous-étapes: la segmentation phonémique (couper les blocs de sons en phonèmes qu’on va pouvoir transformer individuellement en graphèmes; maintenir en mémoire ces infos; conversion phonèmes-graphèmes).
- Forme sonore du mot
- forme de MCT qui permet de maintenir l’identité et l’ordre des graphèmes (quelles lettres et quelle ordre)
- Spécification du programme moteur pour produire le graphème (écrire la lettre)
- Lexique dans lequel on a la représentation écrite des mots (on accède à la chaîne entière de lettres qui compose le mot)
- choix de la façon dont on va produire le graphème (ex: lettre minuscule ou majuscule? Lette attachée ou détachée?)
A) 2
B) 1
C) 3
D) 5
E) 8
F) 4
G) 6
H) 9
I) 7
voici les étapes du modèle d’écriture de Kemmerer:
A) Analyse auditive
B) Système phonémique/MdT phonologique
C) Système sémantique
D)Lexique phonologique
E) Lexique orthographique
F) Conversion phono-graphémique
G) Mémoire orthographique
H) Système allographique
I) Planification graphomotrice
QUESTIONS
1. Quelles étapes relèvent de la voie lexicale
2. Quelles étapes relèvent de la voie non lexicale
3. Quelle voie suis-je: “voie où les mots sont déjà enregistrés en MLT (lexique et système sémantique). On s’en sert pour les mots qui existent et qu’on sait comme écrire.”
4. Quelle voie suis-je: voie dont on se sert pour les mots qui n’existent pas ou dont on ne connait pas l’orthographe
- A, B, C, D, E, G, H, I
- leur implication dans la voie lexicale est reconnue dans l’hypothèse de la médiation phonologique, mais pas dans celle de l’autonomie de l’orthographe
- A, B, F, G, H, I
- Voie lexicale
- Voie non lexicale
voici les étapes du modèle d’écriture de Kemmerer:
A) Analyse auditive
B) Système phonémique/MdT phonologique
C) Système sémantique
D)Lexique phonologique
E) Lexique orthographique
F) Conversion phono-graphémique
G) Mémoire orthographique
H) Système allographique
I) Planification graphomotrice
QUESTION:
Il existe une controverse quant à comment se fait l’accès au lexique orthographique. Explique et décris les deux hypothèses que fait naître cette controverse
La controverse veut que soit on passe par le système sémantique (c-à-d la mémoire du sens des mots), pour accéder au lexique orthographique ou on passe par le lexique phonologique (c-à-d les représentations sonores des mots)
Cela donne lieu à deux hypothèses:
1. l’hypothèse de la médiation phonologique obligatoire. Selon cette hypothèse, pour écrire un mot, il est nécessaire d’avoir accès à sa forme phonologique
- l’hypothèse de l’autonomie de l’orthographe. Selon cette hypothèse, la représentation orthographique du mot peut être récupérée directement à partir de son sens (système sémantique). Dans un tel cas, l’analyse auditive et le système phonémique/MdT phonologique ne seraient pas impliquées dans la voie globale
A) Si j’entends un mot et que je me sers de la voie globale pour procéder à son écriture que se passera t’il (fonctionnement de l’écriture avec la voie globale)
B) Si j’entends un mot et que je me sers de la voie sous-lexicale pour procéder à son écriture que se passera t’il (fonctionnement de l’écriture avec la sous-lexicale)
A) je prendrai directement la forme sonore du mot et j’accèderai à sa forme orthographique (je sais automatiquement quelle forme orthographique ce mot là prend, je n’ai donc pas besoin de faire les transformations phonèmes-graphèmes)
B) À partir de la représentation phonologique, je prendrai chaque phonème qui compose le mot afin de chercher la représentation orthographique
Par quelle voie accède t’on à la représentation orthographique d’un mot irrégulier comme “femme”. Pq l’autre voie ne fonctionnerait pas?
La voie lexicale. On ne peut utiliser la voie non lexicale, car la conversion phonographémique ne fonctionnerait pas (on arriverait avec “fame”)
Par quelle voie accède t’on à la représentation orthographique d’un mot régulier comme “café”
Les deux voies (lexicale et non lexicale) fonctionneraient
- voie globale si je sais comment le mot s’écrit et non lexicale en cherchant les lettres correspondant au son
Par quelle voie accède t’on à la représentation orthographique d’un pseudomot comme “corlier”. Pq l’autre voie ne fonctionnerait pas?
la voie non lexicale. La voie lexicale ne fonctionne pas car on n’a pas la représentation orthographique du mot en mémoire
RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
Voici 12 régions activées par l’écriture manuscrite:
1. Gyrus frontal supérieur* (SFG/SFS)
2. Aires motrice* et sensorimotriceΔ primaires
3. Lobe pariétal supérieur (SPL/IPS) Δ
4. Aire motrice supplémentaire (SMA)*
5. Cervelet antérieur droit +
6. Thalamus +
7. Gyrus frontal inférieur (GFI)*
8. Cervelet postérieur droit +
9. Aires frontales droites
10. Aires pariétales droites Δ
11. Gyrus temporal inférieur √
12. Putamen +
A) En considérant les régions énumérées précédemment, quels sont les grandes régions/cortex activés par l’écriture manuscrite?
B) Parmi la liste, quelles sont les régions activées spécifiquement par l’écriture?
C) Parmi la liste, quelles sont les régions activées qui sont liées à la motricité?
D) Parmi la liste, quelle est la région activée qui est liée à la linguistique?
A) les régions du lobe frontal (*)
les régions pariétales (Δ)
les régions temporales (√)
Les régions sous-corticales et du cervelet (+)
B) 1, 3, 5 et 8
C) 2, 4, 6, 12
D) 11
RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
Une métaanalyse de Parcell et al avait pour but de différencier les processus centraux et périphériques dans le cerveau
A) selon leurs résultats, le gyrus supramarginal, le gyrus angulaire (lobe pariétal) et le gyrus temporal inférieur (gyrus fusiforme) seraient liés à quel processus central?
B) selon leurs résultats, le gyrus frontal inférieur et le gyrus temporal supérieur seraient liés à quel processus central?
A) le lexique orthographique
B) la conversion graphophonémique
RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
Une métaanalyse de Parcell et al avait pour but de différencier les processus centraux et périphériques dans le cerveau
quelles sont les trois composantes périphériques du modèle d’écriture de Kemmerer
la mémoire orthographique, le système allographique et la planification grapho-motrice
RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
Une métaanalyse de Parcell et al avait pour but de différencier les processus centraux et périphériques dans le cerveau.
l
a mémoire orthographique, le système allographique et la planification grapho-motrice sont les trois composantes périphériques du modèle de Kemmerer
Voici quelques régions qui ont été identifiées pour leur rôle dans les composantes périphérique. Pour chacune d’elle, expliquez brièvement leur rôle
A) Gyrus frontal supérieur
B) Aire motrice supplémentaire
C) thalamus
D) Cervelet
E) Putamen
A) impliquée dans la mémoire orthographique
B) impliquée dans la planification et l’exécution motrice
C) voie central dans le contrôle moteur
D) contrôle moteur des mouvements complexes (latéralisé à droite)
E) Régulation des mouvements
RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
Vrai ou faux,
les régions identifiées dans les composantes périphériques sont principalement situées dans la région fronto-pariétale et les régions sous-corticales (importantes pour la motricité)
Vrai
RÉSUMÉ RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
L’implication des régions [1] et [2] se fait surtout dans les composantes périphériques (composantes + motrices).
Les composantes plus [3] de l’écriture seraient liées à la région temporale inférieure.
En ce qui a trait aux processus spécifiques à l’écriture, il y a dissociation entre les deux voies (lexicales et sous-lexicales). La voie non lexicale impliquerait l’activation de la région [4] gauche et de la région [5] gauche. La voie lexicale impliquerait plutôt l’activation de la région [6] gauche et du [7] gauche.
- Fronto-pariétales
- Sous corticales
- Linguistiques
- Frontale inférieur
- Temporale supérieure
- Pariétale inférieure
- Gyrus temporal inférieur
RÉSEAUX CÉRÉBRAUX DE L’ÉCRITURE
Dites si les réseaux identifiés relèvent de la voie globale ou de la voie sous-lexicale
A) Régions frontales inférieures et régions temporales supérieures
B) Région pariétale inférieure (gyrus angulaire et gyrus supramarginal) et gyrus temporal inférieur*
- ces mêmes régions permettent d’accéder au sens des mots
A) voie d’écriture sous-lexicale
B) voie d’écriture globale
Vrai ou faux,
la dysorthographie développementale doit arriver en l’absence d’une affection neurologique ou d’un trouble sensorimoteur
vrai
Donne une définition de la dysorthographie développementale. Par quoi est-elle caractérisée? Quels sont les critères d’exclusion?
Difficulté d’apprentissage de l’écriture qui se manifeste lors des tâches d’écriture à la main, d’écriture sur clavier ou lors de l’épellation
La dysorthographie est caractérisée par des difficultés en lien avec une composante spécifique du modèle de Kemmerer (ex.: lexique orthographique, conversion
phono-graphémique) ou avec des difficultés phonologiques,
visuelles ou motrices.
Les difficultés sont présentes malgré des opportunités
d’apprentissage adéquates et en l’absence d’une neuropathie ou d’un trouble sensori-moteur
VRAI OU FAUX SUR LA DYSORTHOGRAPHIE DÉVELOPPEMENTALE
A) entre 7 et 15% des enfants d’âge scolaire présenteraient une forme de dysorthographie développementale
B) elle toucherait davantage les filles que les gars
C) Elle est souvent présente en comorbidité avec de la dyslexie ou de la discalculie
D) Il y a plusieurs études sur ce qui différencie les cerveaux dysorthographiques des autres
E) La recherche sur la dysorthographie est beaucoup plus avancée que celle sur la dyslexie
A) vrai
B) faux, c’est l’inverse
C) vrai
D) faux, il n’y en a aucune
E) faux, c’est l’inverse
Les dysorthographie acquise survient des suites d’une lésion (ex:AVC). Il existe deux types de dysorthographie acquise: les dysorthographies centrales et les dysorthographies périphériques.
Pour chacun de ces types (centrales et périphériques), nomme les dysorthographies qu’elles incluent
Les dysorthographies centrales incluent:
- Dysorthographie de surface
- Dysorthographie phonologique
- Dysorthographie profonde
Les dysorthographies périphériques incluent:
- Dysorthographie par atteinte de la mémoire orthographique
- Dysorthographie par atteinte allographique
- Dysorthographie par atteintes des programmes moteurs de l’écriture
- Atteinte de l’exécution des mouvements de l’écriture
DYSORTHOGRAPHIE ACQUISE CENTRALE
A) la dysorthographie de surface est liée à une atrophie ou un hypométabolisme de quoi?
B) Qu’est-ce qui caractérise ce trouble (manifestations)
C) un exemple d’erreur associée à la dysorthographie de surface est la RÉGULARISATION DE L’ÉCRITURE. la personne pourrait donc écrire “korale” au lieu de “chorale” ou “mèson” au lieu de “maison”. On dit de ces erreurs qu’elles sont PHONOLOGIQUEMENT PLAUSIBLES. Qu’est-ce que cela veut dire
A) Du VWFA (gyrus temporal inférieur/gyrus fusiforme)
B) déficit sélectif de l’aptitude à écrire des mots irréguliers (atteinte de la voie lexicale). La personne n’arrive pas
à avoir accès aux représentations orthographiques qui existent déjà en mémoire (compensation par la voie sous lexicale)
C) qu’au son, ça donne le mot qu’on veut entendre, mais c’est pas la bonne orthographe
La dysorthographie de surface appui le rôle des régions temporo-occipitales ([1]) pour accéder
● Au sens des mots écrits
● À l’écriture des mots [2]
- Cette forme de dysorthographie Suggère un rôle de ces régions dans la voie d’écriture [3]
- VWFA
- irréguliers
- globale
Vrai ou faux,
le gyrus temporal inférieur et le gyrus fusiforme (VWFA) ont un rôle important dans le lexique orthographique
vrai et ce rôle est commun dans l’écriture et la lecture
La dysorthographie de surface est souvent associée à une dyslexie [1]. Elle n’est pas toujours associée à des difficultés [2].
Elle soutient l’hypothèse du rôle du VFWA dans un [3] commun à l’écriture et à la lecture
- de surface
- sémantiques
- lexique orthographique
DYSORTHOGRAPHIE ACQUISE CENTRALE:
A) la dysorthographie phonologique est liée à une atrophie ou à un hypométabolisme de quelles structures?
B) elle est caractérisée par quoi (manifestations)
C) un exemple d’erreurs qui survient dans la dysorthographie phonologique est la lexicalisation. Explique ce type d’erreurs
D) la dysorthographie phonologique est souvent associée à quelle forme de dyslexie?
A) le gyrus temporal supérieur ou le gyrus frontal inférieur
B) un déficit sélectif de l’aptitude à écrire des pseudomots et les nouveaux mots (atteintre de la voie sous-lexicale/la voie de conversion phonographémique)
C) la personne va associer un pseudomot comme “orab” au mot existant le plus ressemblant dans son lexique. Elle se servirait alors de sa voie globale pour écrire le mot “érable”
D) la dyslexie phonologique
A)La dysorthographie phonologique appuie le rôle des régions frontales et temporales supérieures de l’HG dans quoi
B) cela suggère un rôle de ces régions dans quelle voie?
A) la conversion phonographémique
B) la voie d’écriture sous-lexicale
DYSORTHOGRAPHIE ACQUISE CENTRALE
A) Par quoi est caractérisée la dysorthographie profonde? (manifestation)? Quelle(s) voie(s) serai(en)t donc atteinte(s)?
B) parmi les erreurs commises par qqun présentant ce type de dysorthographie, on compte les paragraphies verbales de type SÉMANTIQUE, MORPHOLOGIQUE ET VISUELLE. Donne un exemple d’erreur pour chacune de ces formes de paragraphie
C) dans cette forme de dysorthographie, la performance en écriture est-elle meilleure pour les mots abstraits ou les mots concrets?
A)
Caractérisée par une incapacité à écrire des pseudo-mots et la présence de nombreuses erreurs sémantiques lors de l’écriture de mots réguliers et irréguliers (atteinte de la voie d’assemblage ET
d’adressage)
B)
1. Sémantique = écrire couteau au lieu de fourchette
2. Morphologique (erreur d’accord, de flexion ou de dérivation)= écrire aimait au lieu d’aimer
3. Visuelle (écrire des mots qui ressemblent à celui ciblé)= écrire carton au lieu de crayon
C) les mots concrets
DYSORTHOGRAPHIE ACQUISE PÉRIPHÉRIQUE
A) la dysorthographie par atteinte isolée de la mémoire orthographique résulte d’une atteinte à quelles structures?
B) elle est caractérisée par quoi? (manifestation)
C) Des exemples d’erreurs concernent la perte d’information relative à l’identité et l’ordre des graphèmes. Donne des exemples
D) Des exemples d’erreurs concernent la perte d’information relative à l’identité et l’ordre des graphèmes. On dit de ces erreurs qu’elles sont non phonologiquement plausibles. Qu’est-ce que cela veut dire?
E) cette forme de dysorthographie est affectée par un effet de longueur des mots. Comment l’expliquer?
A) Le gyrus frontal supérieur (SFS) ou le gyrus angulaire
B) caractérisée par une atteinte de la production écrite dans toutes les tâches
C)
Substitution : menton → mendon
Omission : tortue→ totue
Déplacement : mouton → muoton
Addition : collation → collatrion
Permutation : matelas → metalas
D) que lorsqu’on lit le mot qu’on a écrit, on aura pas de correspondance (phonologique) directe entre ce qui est lu et le vrai mot
E) Plus il y a d’infos en MdT, + il est difficiles de les conserver (et de les conserver dans le bon ordre)
La dysorthographie par atteinte isolée de la mémoire orthographique appuie le rôle des régions fronto-pariétales de l’hémisphère gauche dans quoi?
la mémoire orthographique à court terme
DYSORTHOGRAPHIES ACQUISES PÉRIPHÉRIQUES
Pour chacune de ces descriptions, nommez la forme de dysorthographie qui y correspond
A) Caractérisée par une difficulté à produire la forme de la lettre dans le style (cursif, imprimerie) ou la casse (majuscule, minuscule) requis (ex. : tiroir → TIroiR)
B) Caractérisée par un déficit d’accès aux patrons moteurs (ex. : substitution entre des lettres visuellement similaires, table → fable) ou par une détérioration des patrons moteurs (écriture lente et laborieuse, lettres mal formées, mais copie adéquate)
C) Déficit neuromusculaire, atteinte de la force, la vitesse, la durée et l’initiation des gestes de l’écriture (ex. : micrographie chez les gens atteints de la maladie de Parkinson)
A) Dysorthographie par atteinte allographique
B) Dysorthographie par atteinte des programmes moteurs de l’écriture (ressemble à l’apraxie de la parole)
C) Atteinte de l’exécution des mouvements de l’écriture/atteinte du code graphie (ressemble à la dysarthrie)
Vrai ou faux
dans le cas d’une dysorthographie par atteinte des programmes moteurs de l’écriture, si on présente une lettre à la personne, elle est incapable de la recopier
faux
Distingue la micrographie consistante de la micrographie progressive
dans la micrographie consistante, l’amplitude est diminuée de façon globale/générale pour les mouvements de l’écriture alors que dans la micrographie progressive, la personne écrit de plus en plus petit.
La micrographie chez les personnes atteintes de la maladie de parkinson appui le rôle des circuits des [1] dans l’écriture, plus précisément dans le contrôle de l’amplitudes des mouvements.
ganglions de la base
