Module 5: Les identités sexuelles Flashcards

1
Q

Quelles sont les 6 niveaux du processus biologique prénatal menant à la différenciation sexuelle?

A
Le sexe chromosomique (ou génétique), 
Le sexe gonadique, 
Le sexe hormonal, 
Les structures génitales internes (organes génitaux internes), 
Les organes génitaux externes 
La différenciation sexuelle du cerveau.
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2
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:

1. Fait référence à la dimension biologique concernant les différences physiques entre les hommes et les femmes.

A

Le sexe

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3
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:

2. Personnes qui possèdent les caractères biologiques des deux sexes.

A

Intersexués

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4
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:

3. Personnes dont la personnalité et les comportements présentent des caractéristiques de l’homme et de la femme.

A

Androgynes

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5
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:

4. Fait référence au sentiment d’être un homme ou une femme.

A

Identité de genre

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6
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:
5. Fait référence à une facette de l’identité définit par le sexe des personnes envers qui nous éprouvons une attirance sexuelle.

A

Orientation sexuelle

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7
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:

6. Fait référence aux comportements estimés normaux pour une personne en raison de son appartenance à un sexe.

A

Stéréotypes sexuels

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8
Q

Trouvez le bon terme pour ces définitions:

7. Personnes dont le sentiment d’appartenance ne correspond pas à leur sexe biologique.

A

Transsexuels

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9
Q

Selon la théorie de l’apprentissage social, le développement des rôles sexuels dépend des influences sociales et culturelles auxquelles nous sommes exposés. Nommez 5 agents de socialisation qui influencent le développement des rôles sexuels.

A
Les parents, 
Les pairs, 
L'école et les manuels scolaires, 
La télévision,
La religion.
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10
Q

VRAI OU FAUX
Les attentes en matière de rôles sexuels (scénarios de genre) influencent la façon dont les parents réagissent avec leurs enfants.

A

Vrai
Même si un nombre grandissant de parents tentent de ne pas inculquer à leurs enfants des stéréotypes sexuels, nombreux sont ceux qui ont de manière inconsciente des comportements éducatifs différenciés selon le sexe de l’enfant.

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11
Q

Vers quel âge est-ce que la plupart des enfants ont acquis le sentiment d’appartenance à un sexe?
A. 3 ans
B. 6 ans
C. 9 ans

A

Vers l’âge de 3 ans, la plupart des enfants ont déjà acquis un solide sentiment d’appartenance à un sexe, en fonction des interactions qu’ils auront eues avec leur entourage. À partir de là, l’identité se renforce d’elle-même, car les enfants cherchent à adopter les comportements qu’on leur a appris à considérer comme les plus appropriés pour leur sexe.

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12
Q

VRAI OU FAUX
Les études longitudinales auprès des enfants intersexués ont démontré que l’identité de genre (ou sentiment d’appartenance à un sexe) est neutre au moment de la naissance et que ce sont les expériences liées à l’apprentissage social qui la définissent.

A

FAUX
Plusieurs enfants intersexués de sexe chromosomique masculin ayant été élevés en filles ont développé une identité de genre masculine malgré leur éducation. Ceci confirme que l’identité de genre est le produit à la fois de facteurs biologiques et de l’apprentissage social.

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13
Q

VRAI OU FAUX
La plupart des transsexuels présentent une anomalie survenue lors du processus de différenciation sexuelle prénatale, soit au niveau du sexe chromosomique, du sexe hormonal ou des organes génitaux.

A

FAUX

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14
Q

VRAI OU FAUX
Plusieurs théories ont tenté de déterminer l’étiologie du transsexualisme, mais aucune preuve n’a permis de trancher la question.

A

VRAI

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15
Q

VRAI OU FAUX ?
Un corps calleux plus épais rend la communication entre les deux hémisphères du cerveau plus difficile, ce qui pourrait expliquer la différence entre les hommes et les femmes dans la latéralisation des fonctions.

A

Faux
Le corps calleux de la femme est plus épais que celui de l’homme, assurant une meilleure communication entre les deux hémisphères, ce qui pourrait expliquer une moins grande latéralisation des fonctions chez la femme que chez l’homme.

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16
Q

VRAI OU FAUX ?
Les différences structurelles des hémisphères du cerveau et du corps calleux n’expliquent pas à elles-seules les différences d’habiletés cognitives entre les sexes.

A

Vrai
Il ne faut pas négliger les facteurs psychosociaux, notamment en ce qui a trait à la valorisation sociale de certaines habiletés en fonction du sexe.

17
Q

Expliquez quelles sont, selon la sexoanalyse, les différences entre le processus de développement de l’identité de genre du garçon et celui de la fille.

A

Le processus de développement de l’identité de genre se fait en 2 étapes chez le garçon. Celui-ci doit d’abord se désidentifier de sa mère, se couper d’elle et chasser tout féminin en lui, pour ensuite s’identifier à son père.

Du côté de la fille, il s’agit plutôt d’un processus continu sans rupture identificatoire.

18
Q

Certains hommes qui ont une vulnérabilité dans leur identité masculine vont développer des comportements défensifs servant à consolider leur masculinité. Nommez 4 de ces comportements.

A
Compulsion sexuelle, 
Séduction compulsive, 
Homophobie, 
Rapport de domination avec les femmes, 
Fuite de l’intimité, 
Toxicomanie, 
Autonomie excessive.
19
Q

VRAI OU FAUX?
Au cours des dernières années, l’écart qui sépare le nombre d’hommes et le nombre de femmes qui présentent un trouble d’abus de substances a rétréci de façon importante.

A

VRAI

20
Q

VRAI OU FAUX?
Malgré le fait que les femmes consomment de plus en plus d’alcool, les hommes en consomment et en abusent de façon beaucoup plus prononcée que les femmes.

A

VRAI

21
Q

Expliquez en quoi de manière générale, la motivation initiale à consommer des substances psychoactives est différente chez les hommes et les femmes.

A

Les garçons et les hommes sont plus susceptibles de commencer à consommer pour rechercher un renforcement positif soit susciter l’euphorie, décupler l’énergie ou stimuler la concentration

alors que les femmes ont plus tendance à répondre à un renforcement négatif soit le désir de s’auto- médicamenter pour une autre condition la dépression, l’anxiété, la douleur chronique ou un syndrome de stress post-traumatique

22
Q

VRAI OU FAUX?
L’intervalle de temps entre l’initiation à l’usage d’alcool et le début de problèmes sérieux incluant l’admission à un programme de traitement, est plus court chez les hommes que chez les femmes.

A

FAUX

23
Q

VRAI OU FAUX?
Les femmes souffrant de dépendance démontrent une plus grande incidence d’autres troubles psychiatriques comme la dépression et le syndrome de stress post-traumatique.

A

VRAI

24
Q

VRAI OU FAUX?

Les hommes consomment davantage de stimulants que les femmes.

A

FAUX
Lorsque l’on considère l’usage de stimulants spécifiquement, le nombre de consommateurs est équivalent chez les hommes et chez les femmes.

25
Q

VRAI OU FAUX ?
Comparativement aux hommes, les femmes UDI sont beaucoup plus susceptibles d’être initiées à l’injection d’héroïne par leur partenaire sexuel.

A

VRAI

26
Q

VRAI OU FAUX ?

Les hommes développent une dépendance plus rapidement que les femmes après l’usage initial de tabac.

A

FAUX

27
Q

VRAI OU FAUX?
Les femmes qui consomment de la marijuana de manière quotidienne, ont commencé à consommer à un plus jeune âge que les hommes qui consomment aussi quotidiennement.

A

FAUX

28
Q

VRAI OU FAUX?

Les femmes ont moins tendance à entrer en traitement de désintoxication que les hommes.

A

VRAI

29
Q

Féminité , masculinité et toxicomanie?

A

Féminité , masculinité et toxicomanie
Consommation pour affirmer son identité de genre.
La fragilité de l’identité de genre peut affecter l’estime
de soi, l’affirmation de soi, les rapports aux autres, la
qualité de la relation conjugale, la santé mentale,
l’expression de la sexualité, etc.
Le rôles sexuels rigides peuvent interférer avec le
processus thérapeutiques.

30
Q

Quelles pistes d’interventions ont peut suggérer?

A

Évaluer la construction de l’identité masculine et
féminine ( l’attachement, l’individuation, modèles
père/mère, perception des frères/sœurs, les messages
reçus face à la masculinité/la féminité, le reflet des pairs, les personnes significatives, la puberté, les premières expériences sexuelles, l’estime de soi en tant qu’homme ou femme, la perception de l’autre sexe, etc.)
Aider la personne à voir qu’il y a plusieurs façons d’être homme ou femme.
Aider à assouplir les stéréotypes qui nuisent à
l’épanouissement.
Recadrer le rôle de la substance en lien avec l’identité
masculine et féminine s’il y a lieu.
Identifier des moyens sains qui permettre de se sentir
homme ou femme.