MLT - organisation de la MS Flashcards
rendre cpte de l’organisation - bases
- métaphore spatiale -> réseau sémantique
- métaphore sémantique -> règles formelles
rendre cpte de l’organisation - modèle de Collins et Quillian
organisation hiérarchique ac héritage de propriétés
- > prédiction en terme de tps de réponse
- > limite: l’ê humain ne fonctionne pas ainsi; aucun moyen de rendre cpte du modèle; tendance à répondre + viteà des catégo sur ordonnées que ss ordonnées
rendre cpts de l’organisation - modèle à diffusion d’activa°
- ts les sont au même niveau
- > prédit: n’importe quel type de résultat
- > limite: en partie non falsifiable, n’explique pas agnosie catégorie spécifique
rendre cpte de l’organisation - pb et solution
pb: trouver une interface entre le monde (jamais pareil) et la MS
solution:
- perception : identification de choses invariantes
- catégorisateurs : unité de reconnaissance des images (logogènes/pictogènes)
Les modèles de la perception
et principe de base des modèles à unité de reconnaissance
- vision structurale de Marr -> on extrait au fur et à mesure ( 2D …)
perception= représentation fixes et abstraites comparées aux représentations fixes en mémoire - Biederman -> décomposition de l’objet en forme élem
perception = combinaison de formes et comparaison ac ce qu’on a en mémoire - perception donne naissance à une représentation invariante
- appariement de cette représentation perceptive ac représentation mnésique de même type contenue dans une unité de reconnaissance -> activa° de celle-ci
modèle classique consensuel de la perception
1/ étape perceptive
2/ comparer selon des unités
3/ accéder à la mémoire sémantique
-> modèle productif car il y a des cas qui correspondent à des déficits à chacun des niveaux
modèle de Bruce et Young
et limites
exemple ac reco de visage
1/ construc° d’un code invariant
2/ activa° des catégorisateurs -> URV
3/ à partir des URV, accès aux NIS (info° sémantqiues
4/ à partir des NIS, produc° du nom
Limites:
- structures invariantes et percpetion des émotions -> pas compatible
- > sol: principe d’appariement selon ressemblance
- ms: ttes choses ont un certain nvx de ressemblance (dc tt est activé?)
- > nécessité de trouver un système pr que l’UR activée ne le soit que si elle correspond au stim externe.
cmt faire pr que l’UR activée ne le soit que si elle correspond au stim externe présenté (et pas que tt s’active)-> quel système?
Amorçage par répétition comme baisse de seuil d’une UR
seuil -> propaga° que si activa° dépasse un certain niveau
si seuil + bas -> il faut - d’activa° -> rend cpte de l’effet de fréquence (réponse + rapide à mot connu)
limite: si stim très fréquent, seuil bas dc identifié à tort tt le tps
intérêt: permet de tester de manière indirecte le nbre d’apprentissage
résumé:
1/ présenta° stim -> activa° UR
2/ si item amorcé -> réponse de familiarité -> passage + rapide au nvx sémantique
3/mesure de la baisse de seuil pr différencier connu/inconnu
1/exp de warren et morton et limites
2/ô tests pr tester les ≠ de modalités
1/- amorçage par rept sur image
- VI: amorcé par image/par nom/non amorcé
- VD: seuil d’identifica° tachitoscopique
- image < nom = non amorcé
- On a dc 1 UR pr visage et 1 pr nom -> UR st intermodales
limite: contaminable par mémoire explicite
2/ellis et young
- amorcé par visage/non écrit/non amorcé
- tâche de familiarité sur visage ac corps/visage/non amorcé -> le visage est 1 modalité spécifique -> il existe une UR de visage
ccl -> s’il existe effet d’amoçage par répet, alors il s’agit bien d’une modalité spécifique
est ce que le principe d’UR marche réellement?
- Bruce et valentine:
amorçage ac m image/similaire/nom/non amorcé
effet d’amorçage est - fort qd image est un peu ≠
quelle solution au pb des UR?
Les modèles hybrides:
amorçage par répet -> 2 sources:
- amorçage généralisateur ac UR et baisse de seuil -> permet de généraliser
- amorçage spécifique à la photographie -> + bas nvx -> mémoire picturale -> ne peut généraliser (ermet de rendre cpte de l’effet que si image identique, perf meilleure que si image ≠-
limite du modèle hybride?
Exp de Ellis et Young
- amorçage ac image identique/similaire/≠/non amorcé
- identique < similaire < ≠ < NA
si modèle hybride OK -> effet de surface de l’amorçage par repet -> sim = ≠
MAIS ce n’est pas le cas
amorçage par repet ne se comporte pas comme s’il était du à représentation abstraite invariantes en mémoire -> dc n’a rien à voir ac baisse de seuil
quelle solution face aux limites du modèle hybride?
PRS par Tulving et Schacter
UR existent via processus perceptif qui agissent avant -> mémoire picturale de bas niveau, qui pt généraliser
si effet d’amorçage est du aux représentat° abstraite alors il ne devrait exister que si on pt construire une représentation abstraite
- > tâche de décision d’objet possible/impossible
- effet d’amorçage sur objets possible
- pas d’effets sur objets impossibles
- > preuve expérimentale des PRS
(nb: on garde la no° d’UR, qu’on ne montre pas directement mais qu’on montre car PRS travaillent pr UR)
Pb des PRS?
solution?
tâche de décision de possibilité -> dc le S doit avoir traité l’objet en 3D (pas seulement vu)
par ailleurs, la familiarité peut modifier la réponse en test (qd on demande possible/impossible)
-> faire analyse de tâche
analyse de tâche sur objet possibles/impossibles
items possibles/impossibles
familiarité/souvenir (selon tps de réponse accordé) (se souvenir aide à répondre impossible sur items amorçés et impossibles alors que la familiarité pousse à dire possible)
-> biais de possibilité peut annuler l’amélioration du ttt (voire introduire un effet négatif)
-> + de réponse possible pr possible amorcés que pr impossible amorcés dc effet d’amorçage
-> pas d’effet d’amorçage sur impossibles dc prouve existence des PRS dans amorçage