Methodes De Recherche Flashcards

1
Q

Recherche intro

A

• Progrès considérables dans nos connaissances sur la
psychologie du sexe/genre grâce à la recherche.
• Mais la recherche scientifique peut comporter des biais.
• Elle est influencée par:
• le contexte social
• la culture
• les expériences de vie (des chercheurs)
• les croyances et valeurs individuelles
- on veut le + possible une objectivité mais c dur car c des hum qui étudient des hums

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2
Q

Des «biais» peuvent surgir à toutes les étapes d’une recherche.

A

• Choix des questions de recherche (Selon le sujet qui est considérer imp par les employés du chercheur, ses collègues et les agences qui le finance (tous des bias possibles))
• Formulation des questions et hypothèses (Dans la façon de formuler il peut y avoir des biais. Ex. Tendance à focuser sur la personnalité et les diffs ind plutôt que sur les conditions sociales diffs entre h et f)
• Conception et choix des mesures
• Résultats obtenus (exagérer les diffs)
• Interprétation des résultats
• Diffusion des résultats

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3
Q

Questions à se poser:

A
  • à quel point on a bien mesurer la réalité?
  • Comment on peut avoir altérer les faits ou les produire en les étudiant?
  • Comment notre propre background et biais influencent ce qu’on remarque et cquon remarque pas et comment on construit la réalité.?
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4
Q

Positivisme logique vs constructionisme social

A

Positivisme logique: réalité est indépendante du knower et peut être discerner objectively sous des conditions appropriées (si on réussit à regrouper des évidences scientifiques rigoureusement ss des conditions appropriées, on peut arriver à la vérité pure
Constructionisme social: il est impossible de découvrir la vérité pure car il n’y a no such thing

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5
Q

Malgré tous ces écueils, la recherche scientifique a
apporté de nombreux bénéfices.

A

• Meilleure compréhension de la psychologie humaine, des
processus de socialisation
• Réduction des inégalités entre sexes/genres ( on l’oublie souvent)
• Mise au point de meilleures interventions

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6
Q

Recherche fondamentale en psychologie du sexe/genre

A

Comparaison systématique des femmes et hommes. (What)
Explication des différences observées. (Why)
Qu’est-ce que le genre ?
Qu’est-ce que l’identité de genre ?
- 2 premières questions qu’on a bcp focuser au début
- 2 dernières= nouvelles questions

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7
Q

Recherche appliquée pour mieux comprendre et intervenir
sur de grands problèmes humains

A

• Le sexisme
• Les agressions sexuelles
• La violence conjugale
• L’homophobie
• La transphobie

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8
Q

GENRE et SEXE

A

sexe renvoie à un ensemble d’attributs biologiques retrouvés chez les humains et les animaux.
Le terme genre renvoie aux rôles, aux comportements, aux expressions et aux identités que la société construit pour les hommes, les femmes, les filles, les garçons et les personnes de divers sexes et genres.
(Instituts de recherche en santé du Canada)
• Le genre est une construction sociale alors que le sexe est d’ordre biologique.
• (Gender est en usage dans le monde anglophone depuis les années 1950; concept de genre plus récent en francais
- le genre signifiait féminin et masculin)

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9
Q

Les catégories sexe et genre sont-elles vraiment
distinctes?

A

Sexe et genre sont souvent indissociables, d’où
l’expression Sexe/Genre ou Genre/Sexe

(Anne Fausto-Sterling, 1992, 2000; Sari van Anders, 2015)

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10
Q

Comparaison des sexes ou des genres:

A

Il existe des centaines de milliers d’études en psychologie qui ont comparé femmes et hommes, filles et garçons.
Mais trop de rech ou on les comprends donc impossible à recenser
- Premières recherches réalisées au début du siècle dernier
• Helen Thompson Woolley (1874-1947)
• Leta Stetter Hollingworth (1886-1939)

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11
Q

Woolley et Hollingworth

A

Woolley; Première étude comparative de f et g (universitaires): comps, processus cognitifs, habiletés motrices et sensorielles pour refléter les habiletés mentales
Échantillon de 25 f et 25 g
* plusieurs différences mais énormément de similitudes

Hollingworth: Accusés les H psychologues d’adopter un double standard de preuve scientifique, refusant to subject leurs assumptions par rapport aux diffs h-f a la mm critique qu’il ont dévoué à d’autres assumptions

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12
Q

Hérédité vs env

A

Autant l’hérédité que lenv jouent un rôle dans le dev des h et f. Les 2 interagissent ensemble pour créer un ind avec des comps spécifiques (anastasi)
* transformationisme: décrit comment bio et env interagissent ensemble (Hubbard)
* Pour comprendre: étudier d’autres cultures, étudier les animaux (plus facile de modifier leur génétique que sur des humains)
- Les stéréotypes sociaux peuvent influencer les attributs physiques en influençant le comp

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13
Q

Ces comparaisons ont permis de contrer deux pratiques
courantes, mais opposées, contradictoires : 1/2

A

Attribution sans vérification de caractéristiques distinctes aux hommes et aux femmes:
• Capacités cognitives supérieures chez les hommes
• Variations de l’humeur plus marquées chez les femmes
• Hiérarchie chez les groupes de mâles uniquement
• Importance de la mère pour le développement de l’enfant (père à aussi bcp d’importance)
Tt a été infirmé par la recherche

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14
Q

Ces comparaisons ont permis de contrer deux pratiques
courantes, mais opposées, contradictoires : 2/2

A

Généralisation aux femmes de résultats obtenus auprès d’hommes seulement, pratique aussi courante en médecine (études de Kohlberg, Levinson, etc.).
- med: Trouvait que cycle menstruel compliquait la recherche donc on fait des études sur les H car trouvait ça + simple
* fait que certains meds donner ensuite aux femmes était distribués en trop grosse dose (car en général + petite que h)
- Kohlberg sur l’étude du raisonnement morale a étudié juste des g et h donc qd autres essayent d’étudier cela les f ont des rés différents= on associe ces rés à un stade de dev inférieur des femmes
- Levinson: dev adulte (au début on s’intéressait juste au enfs-ados), ce qui décrivait s’appliquait bien aux h mais pas aux femmes (car les a pas étudier)
- On a du réviser bcp de choses en psycho et autres domaines avec les recherches!

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15
Q

Il existe une très grande variété de méthodes pour comparer les sexes, les genres. 1/2

A

Méthodes qualitatives
- (Descriptives: décrire un comp le + accurately possible tout en affectant celui-ci le - possible)
• Histoires de cas (le plus souvent par entrevues), en clinique bcp, Permet d’obtenir bcp de détails mais peu généralisable
• Approches narratives: Diff avec hist de cas: le participant peut réagir aux interprétations du chercheur sur son histoire (participant guide et shape la recherche)
• Approches phénoménologiques: interpréter leur propre parcours, Comprendre le comp de la perspective de la pers qu’on étudie
• analyse thématique: passe au peigne les interview et identifie les thèmes qui émergent qd les participants répondent du sujet particulier
- Analyse de discours: analyse du langage ds les textes (réponses d’entrevues, discussion, essais). Déconstruire ou interpréter façons de parler et décrire
- les derniers nécessitent de pas avoir de préconceptions en début de rech
• Limites: Informations provenant d’un très petit nombre de personnes et difficiles à généraliser, très coûteuse mais permet pistes de solutions
- pas pcq c vrai pour pers que c vrai pour tous

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16
Q

Il existe une très grande variété de méthodes pour comparer les sexes, les genres 2/2

A

Méthodes quantitatives
• Questionnaires: Bcp d’infos et grd nb de participants, Limites: desirability sociale et les rés sont corrélationnels (on peut prouver les les concepts sont reliés mais pas que un est la cause de l’autre)
• Tests
• Mesures physiologiques/neurophysiologiques (tests Qi)
• Observation systématique en milieu naturel (vie courante)
• Observation systématique en milieu contrôlé (labo)
• Études expérimentales (On manipule les comps pour voir comment le comp change
* façon la + contrôler de tester une théorie
* Permet établir pt un lien de cause à effet
Ex. On fait des test trop durs)

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17
Q

Quelle est la meilleure méthode?

A

Cela dépend du sujet de recherche/des hypothèses que l’on veut vérifier
L’idéal est d’utiliser plusieurs méthodes ds la mm recherche (mais rare qu’on peut le faire)

18
Q

Biais qui peuvent affecter la validité des résultats:

A

• Désirabilité sociale: Faire en sorte de bien paraître, faire en sorte de se conformer aux attentes sociales (parfois de façon consciente ou inconsciente)
• Effet de l’expérimentateur/expérimentatrice (ex., résultats des enfants à des tests): Ex. Qd femme fesaient passer le questionnaire les enfs se sentaient mieux qu’avec un homme)
• Effet des attentes de l’observateur/observatrice (ex., les
mouvements du planaire): Ver plat qui vit dans l’eau et on demande au grp d’examiner ses mvts
Grp 1: oublier rien et noter tt car bouge bcp
Grp 2: il ne se passe rien mais prenez note si c passé qqch
Rés: Grp 1 avait noter bcp plus de choses que ceux qui se sont fait dire qu’il bougait pas
- genre et stéréotypes de genre va souvent ensemble

19
Q

Ethnocentrisme

A

tendance à appliquer nos rés de notre culture à d’autres cultures

20
Q

Paradigme du sexe ou genre assigné

A

• Conçu dans le but d’évaluer l’effet de la variable sexe ou genre sur les jugements, les perceptions, les comportements des personnes étudiées.
Études de Condry et ses collègues:
• Observation d’enfants jouant dans la neige: 3 gros qui observent les enfants qui joue avec habit de neige neutre ou on voit juste les yeux.
Grp 1: on dit c 2 filles grp2: on dit 1 g et 1 f et grp 3: on dit c 2 g
Demander d’observer les comps agressifs physiques
Rés= qd c’était le grp avec 2 enfs qd on pensait avoir à faire avec 2 filles, on disait que c’était le + d’agressivité
* juste les attentes liés au genre font ça
* Car agressivité juste légère était jugé comme + agressive si fait par des filles
• Bébé affichant une expression faciale ambigüe: Bb dans vidéo avec expression ambiguïté et on demande le sexe du bb
* qd on pensait que c’était bb fille= tristesse
* Qd on pensait que c’était bb gars= colère
• Adultes qui interagissent avec un bébé sans en connaître le sexe réel: On nomme le bb f ou garçon pour comparer comment adultes réagissent selon sexe: on va voir des diffs: on utilise le marteau jouet plus qd on pense que c un garçon et la poupée qd on pensait que c’était une fille
Étude de Moss-Racusin et al. (2012)
• Évaluation d’un CV pour un poste en recherche; Un grp d’évaluation (d’hommes et femmes) reçoit cv avec nom masculin et l’autre avec nom féminin
Rés= + susceptible de proposer le poste au garçon qu’à la fille ainsi qu’un meilleur salaire

21
Q

Exemple de stimulis utilisés

A

C le mm visage mais travaillé différemment pour que 1 aille l’air + masculin et l’autre + féminin
Puis on demande quelle expression les 2 démontrent (quel des 2 a l’air + colérique?)
On dit que c sur lui qui est + féminin (car colère,passe - bien chez f que chez les garçons)

22
Q

Généralisation abusive des résultats

A

Représentativité des populations étudiées (cisgender et hetero)
• Blanche
• Jeune
• Classe moyenne
• Pays industrialisés (surtout États-Unis).
- Transgenre et pers qui ne se conforme pas dans un des 2 genres sont souvent ignorés dans les recherches sur le genre
Effet du contexte
• Les différences observées dans un contexte peuvent être totalement absentes dans un autre contexte.

23
Q

Anthropomorphisme et explications biologiques

A
  • Anthropomorphisme: tendance à mal interpréter le comp animal car on l’interprète comme un comp d’humain
  • Donner des explications biologiques qui ne sont pas nécessairement prouvées pour expliquer des diffs entre les genres qui n’ont pas d’autres explications
24
Q

2 interpretations

A

Interprétations essentialistes
• Caractères immuables des différences observées (la diff est la, elle est immuable)
Interprétations fondées sur des a priori, des stéréotypes
sexistes
• Résultats scolaires et confiance en ses compétences
- Les filles avaient des évaluations d’eux-mm/ des attentes moindres que les gars
- Filles avaient souvent ss estimé leur rés et gars les avaient surestimer

  • Impossible de faire de la recherche de façon 100% objective et séparer du contexte sociale dans laquelle est à lieu
  • Selon note approche, on aura des conclusions différentes sur le genre
25
Q

Ricketts vs Enns vs Marecek

A

Ricketts: les psy Nord américaines mettent plus l’emphase sur les déterminants sociaux/externes que sur les biologiques et plus demphase sur l’expérience subjective de la pers que sur son comp
Enns: les pts de vue philo et psycho sur le féminisme vont influencer les rechs et les pratiques thérapeutiques (donc doivent être aware de leurs positions)
Marecek: étudier le genre en focusant sur le contexte qui structure les rels entre h et f et produit le genre

26
Q

Biais de publication

A

• On publie davantage les études qui montrent des différences entre les sexes, les genres que celles qui révèlent une absence de différence (biais alpha)
• On publie davantage les études qui confirment les stéréotypes sexistes que celles qui les infirment.
- Cons: fait que gens se concentre plus sur ces diffs et non sur les similarités
- C’était + vrai il y a qqls décennies que mtn
Car mtn on a créer tt un réseau de revues qui va a l’encontre des stéréotypes de genre (ex. Sexe rôle)

27
Q

Malgré tendance à publier des études mettant en évidence les différences de genre et confirmant les stéréotypes, les rés sont souvent divergents d’une étude à l’autre,… pk

A

• Type de mesure utilisée
• Contexte
• Caractéristiques des populations étudiées
Les différences de genre, les tailles d’effet, sont généralement petites (1 % à 5 % de la variance expliquée, Généralement il n’y en a pas mais qd il y en a elle est petite).
• La variabilité à l’intérieur des groupes sexuels ou de genre est considérables (+ d’écart entre les gens du mm genre/grp que entre les 2 grp_

28
Q

Représentation graphique d’unepetite différence de genre

A
  • Rés sur un questionnaire de l’estime de soi
  • Les 2 courbes sont très près
    Diff significatives entre les 2 courbes: h ont en moy une estime de soi + élevé que femmes
    Mais plus de diffs entre les h et entre les f que entre les 2
    + de variabilité dans le grp de genre que entre le grp de genre
29
Q

Overlap de courbes vs moy pareil

A

Plus les courbes overlap, plus la moy des gars et les moy des filles préforment à un niveau similaire
- Mm si la moy est la mm entre les f et les g, les dispersions sont diffs
- Rapporter des diffs de moyennes entre les2 groupes sans porter attention à la distribution des scores mêne sur une mauvaise piste et encouragé les stéréotypes
- La variabilité s’applique aussi entre les cultures!

30
Q

Diff significative

A

Diff significative pas égale à une grande différence
La diff significative= diff pas due au hasard
Si la prob que le rés se produise par chance slmnt est à - de 5%=significatif statistiquement
- + taille de l’échantillon est grande, mm une petite diff peut être significative (car prob qu’elle soit du à un hasard est très faible)
- Pas toutes les diffs statistiquement significatives sont socialement significatives ou menningfull

31
Q

La recherche

A

• La variable «sexe» ou « genre » est un mauvais
«prédicteur» des comportements humains. (Si tt cquon connaît de la pers c son genre ou son sexe, on ne connaît pas grand chose sur cette personne)
• Ne jamais tirer de conclusions définitives en se fondant
sur les résultats d’une seule recherche (Car les rés sont très variables)
- En trouvant et reportant des diffs de genre, les chercheurs peuvent contribuer à la magnitude et à percevoir une importance dans cette différence

32
Q

Metaanalyse pour…

A

Pour mieux comprendre ce qui se dégage de l’ensemble des
recherches réalisées

33
Q

Études longitudinales

A

Études longitudinales: suivre les mm participants sur une période longue (plusieurs années) et aller obtenir des infos durant ces années sur eux
* ex. Étude de Terman «gifted children»: 1000 enfs au primaire et 300 au sec et on les suit pdt plusieurs années pour voir leurs réussites
Rés: un qi élevé est un bon prédicteur de réussite pour les h (pas pour les f)
* permettent d’examiner le contexte historique des diffs entre les genres

34
Q

méta-analyses servent à:

A

• combiner en une seule analyse les résultats de nombreuses études
• évaluer l’importance ou l’ampleur des similitudes ou des différences entre les sexes, les genres
• identifier les facteurs qui peuvent influencer les résultats
(caractéristiques des populations étudiées, contexte, type de mesure, etc.).
• Une bonne méta-analyse doit inclure toutes les (bonnes) études (publiées ou non) réalisées sur un même thème.
- Eaton et Enns: 127 études des diffs entre h-f dans le niveau d’activité motrice

35
Q

Indice d (metaanalyse)

A
  • moyenne des hommes moins celle des femmes divisée par
    l’écart-type moyen
  • Valeur du d est positive lorsque la moyenne des hommes est supérieure à celle des femmes et négative lorsqu’elle est
    inférieure.
  • ET= C la distribution des donnés du groupe (+ il est grand, + les donnés sont autour moy)
36
Q

Valeurs positives ou négatives et différences

A

0 < d < ± 0,10 = absence de différence
± 0,11 < d < ± 0,35 faible différence
± 0,36 < d < ± 0,65 différence moyenne
± 0,66 < d < ± 1,00 grande différence
d > ± 1,00 très grande différence

37
Q

Janet S. Hyde (2005). The gender similarities hypothesis. American Psychologist.

A

Résultats de 46 méta-analyses qui ont comparé femmes et
hommes, filles et garçons
- Aptitudes cognitives
- Communication
- Comportements sociaux et personnalité
- b-e psychologique
- comps moteurs

38
Q

46 méta-analyses recensées par Hyde en 2005 comportent
124 indices d

A

• 78% des indices d se situent dans la catégorie absence de différence ou faible différence
• 15% dans la catégorie différence moyenne
• 7% dans la catégorie grande ou très grande différence (La plus grande diff qu’elle a trouver c dans le lancer (les gars lancent + loin que filles en général)
• Les indices d des méta-analyses publiées depuis Hyde (2005) se situent, pour la plupart, dans la 1re catégorie (Les autres meta analyse se ressemblent à elle)

39
Q

Ce que confirment les résultats des méta-analyses:

A

• Grandes similitudes entre les sexes/genres, sauf pour certains comportements, caractéristiques, attitudes (Il y a bcp de diffs entre les femmes entre elles et entre les h entre eux)
• Grandes variations individuelles à l’intérieur des groupes
sexuels, de genre (Il y a bcp de diffs entre les femmes entre elles et entre les h entre eux)
• Grandes variations aussi selon:
le contexte social et historique (les circonstances)
le type de mesures (Questionnaires, étude de cas etc)
les caractéristiques des populations (âge, scolarité, culture, etc.).

40
Q

Conclusion

A

Plusieurs des différences de genre postulées par les théories
n’ont pas été confirmées, mais des différences ont aussi été
relevées.
• Comment les expliquer?
• Sont-elles innées ou acquises?
• Quelle est la part des facteurs biologiques et de
l’environnement?