Les théories du développement cognitif Flashcards

1
Q

PIAGET

A

Un des 1er à s’être intéressé aux cpts des enfants

  • théorie de Piaget = la + influente et la + complète
  • pionnier de l’expérimentation empirique avec des enfants
  • ancrage épistémologiques = comment on accroissent les connaissances
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2
Q

DÉV cognitif selon PIAGET

A

le développement cognitif n’est PAS innée et PAS acquis par l’apprentissage. il est une construction de structures de complexité croissante (THÉORIE CONSTRUCTIVISTE) qui est le fruit d’interaction complexes entre la maturation biologique et l’environnement (les interactions sociales - physiques avec le monde qui nous entoure)

Pour Piaget, le dév. cognitif ne constitue PAS en une simple accumulation progressive de connaissances au gré des expériences successives qu’il nous est donné de faire, mais en une suite de réorganisations de ces connaissances dans ce qu’il a appelé des structures cognitives ou structures mentales de PLUS en PLUS élaborées (aussi appelées schèmes)
**schèmes = structures cognitives

Selon Piaget, l’intelligence se développement et se construit par l’action des enfants sur leur environnement grâce à ses contacts répétés avec le monde environnants, l’enfant développe des unités élémentaires de l’activité intellectuelle, appelés schèmes

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3
Q

SCHÈMES

A

sont un ensemble organisé des mouvements (succion, préhension = réflexes) ou d’opérations (sérier, classer, mesurer…) dont l’enfant disposé (dans le 1er CAS) ou il acquiert et développe par son interaction avec le monde environnant
*** ils se conservent-consolident avec l’exerce et peuvent se modifier sous la pression du monde extérieur

Habiletés sensorielles et moteurs vont permettre à l’enfant de découvrir son env.
Adaptation à l’env. qui va amener l’enfant à se dév. au niveau cognitif.

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4
Q

le rôle des SHÈMES

A

-ces schèmes (structures cognitives) déterminent la façon dont les informations, que nous recevons ou recueillons en interagissant avec notre environnement, sont interprétées et assimilées

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5
Q

Difficultés rencontrés

A

Les difficultés que nous rencontrons parfois à ASSIMILER ces connaissances forcent petit à petit ces structures cognitives à s’ACCOMMODE, voir à se transformer en de nouvelles structures (ÉQUILIBRATION) mieux adapter au tx des réalités rencontrées

Au départ, il y a assimilation, si cela ne suffit PAS, c’est là que les deux autres processus s’enclenche

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6
Q

Assimiler

A

appréhender le monde à partir de nos habiletés cognitives que nous possédons déjà

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7
Q

Accommoder

A

s’ajuster en fonction de la pression de l’environnement (ex. un objet lourd, l’enfant devra s’ajuster pour être capable de le prendre)

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8
Q

Équilibration

A

Un moment donnée, PAS besoin de prendre l’objet, on peut avoir une représentation mentale de l’objet.
Processus qui pousse l’enfant à s’adapter/transformer lorsque ses capacités pas adéquat pour ce que l’environnement demande

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9
Q

Les 4 grands stades du développement cognitif de PIAGET

1-période sensori-motrice (0-2 ans)

A

l’enfant explore le monde par contact sensoriel et moteur direct (agir pour apprendre). Dév. de la permanence de l’objet.

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10
Q

Les 4 grands stades du développement cognitif de PIAGET

2- Période pré-opérationnelle (2-7 ans)

A

-Émergence de la pesnée symbolique et de la représentation (préopératoire = se dit de la pensée de l’enfant qui n’a pas encore atteinte le stade des opérations concrètes)

Capable de se représentations des symboles

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11
Q

Les 4 grands stades du développement cognitif de PIAGET

3- Période des opérations concrètes (7-11 ans)

A

Acquisition des opérations (résolution de problème).
Les opérations de ce stade sont dites concrètes car elles portent sur des objets manipulables
(raisonnement abstrait difficile)

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12
Q

Les 4 grands stades du développement cognitif de PIAGET

4- Périodes des opérations formelles (11 ans à âge adulte)

A

Cette période est caractérisée par le passe du concret à l’abstrait, le passage du réel au possible la prévision des conséquences à long terme, la logique déductive et la résolution systématique des problèmes.
** raisonnement abstraite
capable de manipuler des concepts abstrait

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13
Q
Développement de la permanence de l'objet *période sensori-motrice
#1 - exercice des réflexes (0-1 mois)
A

L’EXERCICE DES RÉFLEXES
ce qui n’est PAS dans son champ de vision n’existe PAS.
La disparition des objets ne suscite pas de recherche

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14
Q
Développement de la permanence de l'objet *période sensori-motrice 
#2- réactions circulaires primaires (1-4 mois)
A

Même chose que l’exercice des réflexes ;

ce qui n’est pas dans son champ de vision n’existe pas, la disparition des objets ne suscite pas de recherche

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15
Q
Développement de la permanence de l'objet *période sensori-motrice
#3- réactions circulaires secondaires (4-8 mois)
A

La capacité de prévoir apparaît ; l’enfant anticipe la position d’un objet à partir de sa direction. Si un objet disparaît alors qu’il a amorcé un mouvement pour l’atteindre, il essaie de le toucher.
MAIS si l’objet est mobile, il y a pas cpt de recherche.
Coordination des schèmes secondaires

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16
Q
Développement de la permanence de l'objet *période sensori-motrice
#4- coordination des schèmes secondaire (8-12 mois)
A

L’enfant, arrive à recherche l’objet intéressant qu’il a vu disparaître derrière quelque chose, mais si on le déplace (ERREUR A PAS B), l’enfant le cherchera au même endroit qu’il a été retrouvé avec succès auparavant.

** permanence de l’objet pas totalement compléter, car il ne fait que chercher au 1er emplacement

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17
Q
Développement de la permanence de l'objet *période sensori-motrice
#5- réactions circulaires tertiaires (12-18 mois)
A

L’enfant cherchera l’objet à l’endroit où il vient de disparaître même si on le déplace, mais il ne maîtrise PAS les déplacements invisibles, il ne cherchera pas ailleurs s’il ne trouve pas au dernier endroit où il l’a vu la dernière fois.
Capable de réussir Erreur A pas B

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18
Q
Développement de la permanence de l'objet *période sensori-motrice
#6 résolution de problèmes par représentation mentale (18 mois et plus)
A

L’enfant a maintenant la conviction que l’objet a son identité propre et que même s’il ne trouve PAS à un endroit, il existe quelque part ailleurs
** Capable d’utiliser des symboles (représentation mentale)

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19
Q
PÉRIODE SENSORIMOTRICE (0-2ans)
#1- exercice des réflexes
A

pratique des comportements réflexes ;
-assimilation fonctionnelle = consolider un schème
-assimilation généralisatrice = découvrir le monde par le biais de ses réflexes
EX. réflexe de succion (enfant qui se met à sucer TOUT ce qui l’entoure)
-assimilation récognitive = PAS sucer de la même façon tous les objets qu’il semble différencier. Intégration de l nouveauté dans le schème réflexe grâce au mécanisme de l’accomodation

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20
Q
PÉRIODE SENSORIMOTRICE (0-2ans)
#2 Réactions circulaires primaires (1-4mois)
A

Le bébé fait des gestes volontaire pour le plaisir et apprend à contrôler son corps et coordonner ses actions (D’abord produits par hasard les comportements sont maintenant répété volontairement

**commence à porter son pouce à sa bouche

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21
Q
PÉRIODE SENSORIMOTRICE (0-2ans)
#3 Réactions circulaires secondaires (4-8 mois)
A

Répétition de comportements pour agir sur les objets et personnes présents dans l’Environnement (pour provoquer des résultats intéressants)

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22
Q
PÉRIODE SENSORIMOTRICE (0-2ans)
#4 Coordination des schèmes secondaires (8-12 mois)
A

Le bébé utilise des comportements qu’il possède déjà mais dans de nouvelles situations et combine plusieurs comportements pour résoudre de nouveaux problèmes

Utiliser les cpts qui ont provoquer des réactions intéressantes mais dans différent contexte.

Combiner plusieurs comportements pour créer pour créer différentes réactions

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23
Q
PÉRIODE SENSORI-MOTRICE (0-2 ans)
#5 réaction circulaires tertiaires (12-18 mois)
A

Le bébé recherche maintenant activement la nouveauté par l’expérimentation (l’essai et l’erreur), il fait varier ses actions au lieu de les répéter telles quelles

Variation de ses comportements,
Ex ; prendre un objet pour frapper un objet pour produire un bruit intéressant et par la suite se mettre a frapper d’autres objet pour voir le son.

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24
Q
PÉRIODE SENSORI-MOTRICE (0-2ans)
#6 Résoluation de problèmes par représentation mentale (18 mois et +)
A

L’enfant s’éloigne de l’action pour entrer dans la représentation mentale, On progresse de l’externe vers l’interne

x.
Enfant pourrait reproduire un action, mais plus tard (voit un enfant faire une crise, et la journée après décide de faire une crise)

Il garde une représentation mentale d’un action et il le reproduit plus tard.

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25
Q

PERMANENCE DE L’OBJET

A

s’acquiert vers l’âge de 8 mois (selon Piaget)

-capacité complète de représentation d’objet atteinte qu’à la fin du 6e stade (vers 2 ans)

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26
Q

LA CAUSALITÉ

A

Dissocier la cause de son effet

Expliquer les phénomènes

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27
Q
Le développement de la notion de causalité
#1 exercice de réflexes (0-1 mois)
A

PAS DE RELATIONS CAUSALES

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28
Q
Le développement de la notion de causalité
#2 réactions circulaires primaires (1-4 mois)
A

PAS DE RELATIONS CAUSALES

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29
Q
Le développement de la notion de causalité
#3 réactions circulaires secondaires (4-8 mois)
A

CAUSALITÉ MAGICO-PHÉNOMÉNISTE
la cause tend à s’intérioriser et l’Effet à s’extérioriser
**l’unique cause de TOUT ce qui se passeest causer par le BB. Quand l’enfant prend un hochet et fait du bruit, le hochet PAS capable de faire du bruit sans action. donc c’Est pas l’hochet qui fait du bruit mais c’est MOI.

30
Q
Le développement de la notion de causalité
#4 coordination des schèmes secondaire (8-12 mois)
A

L’extériorisation et l’objectivation élémentaire de la causalité :
déclencher une réaction, activé l’action d’un autre objet

31
Q
Le développement de la notion de causalité
#5 réaction circulaires tertiaires (12- 18 mois)
A

L’objectivation et la spécialisation réelles de la causalité

L’enfant conçoit les objets et le mouvements de ceux-ci comme des sources causales autonomes et indépendantes de ses actions (ce ne sont plus ses actions qui sont à l’origine de ce qui se passe autour).
** l’enfant comprend que parfois l’action de son parent est nécessaire. Il cherche l’interaction avec l’autre. Si il voit une balle rouler PAS concevoir qu’il doit une personne qui l’a fait bouger. Il ne conçoit PAS encore que les objets inanimée ne peuvent PAS bouger tout seul

32
Q
Le développement de la notion de causalité
#6 Résolution de problème par représentation mentale (18 mois et plus)
A

La causalité représentative =
se représenter la cause invisible d’un phénomène à partir d’un effet qu’il observe, l’enfant est capable de déduction causale

**Il conçoit que si la balle roule, il doit y avoir quelqu’un qui la lancer. Capable de faire des relations de CAUSE à EFFET

33
Q

Études contemporaines

A

Selon la technique de l’habituation =
Les 1er signes de la permanence de l’objet seraient observables vers 3 mois et demi, tnadis que la causalité apparaît vers l’âge de 6 mois (temps de fixation)

34
Q

PÉRIODE PRÉOPÉRATOIRE (2-7 ans)

stade de la pensée symbolique (2-4 ans)

A

Les enfants sort progressivement des frontières jusqu’à la tracées par son action motrice pour y ajouter le monde symbolique/imaginaire = imitation différée, jeu symbolique, le langage et le dessin

35
Q

Imitation différée

A

capacité d’initier quelque chose alors que le modèle est PAS et plus tard

36
Q

Jeu symbolique

A

faire semblant

37
Q

Langage

A

Capable d’utiliser des mots pour désigner des objets

38
Q

Développement du jeu SYMBOLIQUE

1ère étape (20-30 mois)

A
  • projection des SCHÈMES SYMBOLIQUE sur des objets nouveaux (prêter un action autrui, ex. faire téléphoner sa poupée)
  • projection des SCHÈMES D’IMITATION sur des objets nouveau = emprunter l’action d’une personne (téléphoner soi-mm, même si l’enfant l’a jamais fait) DONC FAIRE SEMBLANT
39
Q

Développement du jeu SYMBOLIQUE

2ème étape (30-36 mois)

A
  • Assimilation simple d’un objet à un autre = utiliser un symbole comme représentant d’un autre objet (une banane au lieu d’un téléphone)
  • Assimilation du corps propre à autrui ou à des objets quelconques- (se mettre dans la peau de quelqu’un d’autre ; jouer à la maman)
40
Q

Développement du jeu SYMBOLIQUE

3ème étape (à partir de 3 ans)

A
  • combinaison simple = transposition des scènes réelles (faire la cuisine, prendre le thé)
  • combinaison compensatoire = exécuter des comportement défendus (faire semblant de frapper)
  • combinaison liquidatrice = revivre en pensée des situations pénibles (situations maltraitance = production scènes violences)
  • Combinaison symbolique anticipatrice =anticiper les conséquences de la désobéissance ou de l’imprudence (ex. un enfant qui joue le rôle d’un parent qui chicane un autre enfant)

** Combinaison compensatoire et combinaison liquidatrice = libérer angoisse et situation + difficile

41
Q

PÉRIODE PRÉOPÉRATOIRE (2-7ans)

stade de la pensée intuitive (4 à 6-7 ans)

A

stade de transition = l’enfant devient de PLUS en PlUS capable d’envisager les choses comme extérieur à lui-même, de leur accorder une existence indépendante de sa propre volonté.
La pensée repose sur les intuition et PAS de raisonnement logique. L’enfant appréhende le monde sur un monde perceptif plutôt que la logique. Ses perceptions visuelles l’aident maintenant à comprendre la réalité sur un mode intuitif, ce qui l’amène parfois à des conclusions erronés car il ne peut réunir les différents aspects de la réalité perçue (Centration)

42
Q

Les limites de la pensée préopératoire

ÉGOCENTRISME

A

difficulté à adopter le point de vue d’une autre personne
ex. tâche des trois montagnes ; l’enfant est incapable de décrire les montagnes selon le point du vue d’une autre personne

43
Q

Les limites de la pensée préopératoire

CENTRATION

A

Perception qu’un seul aspect de la situation au détriment des autres.
Ex. conservation d’un liquide, incapacité de concevoir qu’il y a autant de liquide dans les 2 contenant, parce que la centration l’empêche de considérer à la fois leur hauteur et leur largueur (centré sur un seul aspect)

44
Q

Les limites de la pensée préopératoire

Irréversibilité

A

comprendre qu’une opération sur un objet p-t faite en sens inverse pour revenir à l’état initiale de l’objet (tout les test de concentration, sont liés à l’irréversibilité)

45
Q

Les limites de la pensée préopératoire

NON-Conservation

A

comprendre que 2 quantités restent égales pourvus que l’on naît rien ajouté/enlevé
XXXX XXXX
XXXX X X X X
cest deux ensemble possède le même nombre de X, mais la deuxième suite va leur paraître plus longue; il est centré sur un seul aspect = la longeur et non le nombre

46
Q

Les limites de la pensée préopératoire

Raisonnement transductif

A

Établir une relation causale entre 2 événements rapprochés mais PAS liés
un enfant qui ne veut pas souper, car il n’a pas fait sa sièste. Pour lui il n’est pas l’heure de souper

47
Q

Les limites de la pensée préopératoire

Anismisme

A

Tendance à attribuer la vie et la volonté à des objets et des phénomènes
Pensée magique = si les nuages bougent, c’est qu’ils sont en vie

48
Q

PÉRIODES DES OPÉRATIONS CONCRÈTES

A

Les limites de la périodes préopératoires sont dépassées=
l’enfant est capable de faire des opérations mentales en sens inverses (irréversibilité), il peut considérer différents aspects d’une même situation (décentrer, il maîtrise le concept de conservation (par contre, le décalage horizontal constitue une limite ; conservation du volume et du poids, s’acquiert + + tard.)

L’Enfant peut réaliser des opérations mentales pour vus que ces dernières portent sur des réalités tangibles = difficultés à faire des opérations avec ces concepts abstraits

49
Q

PÉRIODES DES OPÉRATIONS CONCRÈTES

Émergence du raisonnement inductif

A

tirer une théorie généralisable à partir d’événement particuliers
*lien entre 2 événements séparé pour tiré une ‘‘théorie’’

50
Q

PÉRIODES DES OPÉRATIONS CONCRÈTES

Émergence des opérations logico-mathématiques

A

Classication et sériation et infra-logiquies ; comprendre notre univers physique
-Classer = capacité de se représenter les choses en les regroupant en catégorie ( ex. marguerite et rose =fleur)
-Sérier = ordonner les choses selon leur grandeur ou grosseur
-Infra-logique = capacité de mesurer, capable de concevoir qu’il y a un passé-présent-futur
capable de concevoir qu’il y a 60 sec. dans une minute

51
Q

Critique de la théorie de PIAGET(6)

A
  • sous-estime la compétence des enfants = les recherches ont mis en évidence un compréhension de certains concepts + précoces
  • caractérise le développement de façon négative = décrire un stade par l’absence de compétence
  • Décalage dans l’acquisition de certains concepts qui devraient se développer en synchronie (ex. conservation de la matière et volume, écart allant jusqu’à 4 ans)
  • la théorie est PLUS descriptive qu’explicative = les mécanismes par lesquels le développement cognitive d’effectuent ne sont PAS au cœur de la théorie
  • Néglige les aspects sociaux (interactions avec le monde physique et les objets + importantes que les interactions sociales
  • Ne tient PAS compte de plusieurs fonctions cognitives et perceptuelles (attention - mémoire)
52
Q

Indicateurs d’âge et les stades

A

Piaget donne des indicateurs d’âge, mais il précise les enfants n’acquiert PAS tous les mêmes concepts à la même âge. Il précise que l’âge à laquelle que je la traverse n’est pas important. Donc pour atteindre tel stade je dois absolument atteindre les autres stades d’abord.

53
Q

THÉORIE HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky

A

pour le psychologue russe Lev Vygosky, le développement d’un être humain est trop complexe pour être défini par des stades

  • Vygosky accorde une importance aux influences sociales et Environnement sur le développement cognitif
  • Pour Vygosky, le langage est PLUS important que pour Piaget - il permet à la pensée de se réaliser et donc à un enfant de structurer sa pensée et il est l’un des moyens privilégié pour communiquer et échanger des infos
54
Q

Comparasion en PIAGET - VYGOTSKY

A
Piaget = enfant est un petit scientifique qui explore et expérimente
Vigosky = enfant est un petit apprenti qui obtient de l'aide de son entourage pour développement certaine habileté
55
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky

définiton

A
  • théorie de Vygotsky concerne le développement es fonctions psychiques supérieures
  • le dév, cognitif est le fuit de facteurs extérieurs qui jouent un rôle constructif dans les changements internes du jet.
  • Elle met de l’avant l’importance des instruments Psychologique transmis par la culture, en particulier le langage naturels ainsi que le rôle des échanges entre pairs dans la construction des compétences cognitives
  • Progrès au niveau du dév, cogntif se font d’abord de façon sociale. LE rôle des parents, éducateurs ou autre paires ‘‘experts’’ donc crucial dans le développement cognitif.
56
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky

L’ÉTAYAGE

A

-le pair expert ou l’adulte va guider les apprentissages de l’enfant (L’ÉTAYAGE) en tenant compte de ses capacités actuelles et potentielles (ZONES PROXIMALES de dév.)

Dév. cognitif actuel de l’Enfant - ZONE proximale dév. = dév. cognitif potentiel de l’enfant

  • Dév. cognitif actuel de l’enfant = ce que l’enfant sait faire
  • Zone proximale dév. = ce que l’Enfant arrive à faire avec aide
  • Dév, cognitif potentiel = enfant PAS arriver à faire
57
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky
Émergence des fonctions cognitives
1- phase d’Acquisition/de modelage

A

expert introduit une nouvelle compétence dans le répertoire dyadique en l’exécutant devant l’enfant et fournit parle fait même un modèle observable

58
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky
Émergence des fonctions cognitives
2- Consolidation / coaching

A

partage des responsabilité = l’enfant est maintenant capable de participer à l’exécution de l’opération mais l’expert continue de le guider et le soutenir
** enfant a un rôle + actif mais PAS encore autonome

59
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky

3- phases d’inhibtion

A
  • l’expert diminue sons soutiens en fonction de la performance de l’Enfant
  • Laisser PLUS d’autonomie
60
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky

ÉTAPES DE L’ÉTAYAGE

A
  • Éveiller intérêt pour une tâche
  • simplifier la tâche = la découper, en étape, donner des conseils, offrir des stratégies
  • Anticiper / signaler les erreurs et les corriger = dédramatiser les erreurs, encourager et cultiver le désir d’effectuer la tâche même si elle est difficile

** souvent utiliser en garderie. Transformer tâche en jeu et rendre cela agréable

61
Q

Théorie HISTORICO-CULTURELLE Vygotsky

LA MÉDIATION

A

Vygosky considère que les fonctions mentales supérieures sont médiatisées - la relation entre le sujet et l’objet est transformée par l’utilisation d’un outil issu de l’environnement social (LANGAGE)

3 sources de médiation = les outils matériels (stylo), le systèmes symboliques (ex. langage) et le cpt d’autrui

Le syst. symbolique sont ce que Vygosky appelle les outils Psychologique. Une fois acquis ces outils/compétences facilitent le dév. en permettant l’accès des ressources sociales (augmente accès aux ressources)

62
Q

Théories du traitement de l’info

A

Bien que PIAGET et VYGOTKSY proposent des visions pertinentes du développement cognitif, celles-ci n’expliquent PAS tous les processus qui y sont en jeu

Différents modèles et théories suggèrent d’étudier le développement cognitif en examinant le façon dont l’information est traitée et manipulée par notre cerveau

Théories du tx l’information réfèrent aux changements cognitifs qui surviennent avec l’âge et aux différences individuelles dans les processus intellectuels fondamentaux, comme la mémoire et l’Attention

63
Q

Théories du traitement de l’info

postulats de base(5)

A
  • la pensée est un système de tx de l’info (ordinateur)
  • accordent une important, PAS aux stades de dév, mais aux informations que les enfants se représentent, aux processus qu’ils utilisent pour traiter ces information et aux limites de la mémoire qui contraignent la quantité d’information qu’ils peuvent traiter
  • Elles se focalise sur les stratégies que les enfants conçoivent pour surmonter les défis posés par l’env. et par leur propre capacité limitée de TX et de connaissances
  • Le développement cognitif est perçu comme le changement dans ces capacités à traiter l’info en fonction de l’âge
  • *comment notre capacité à traiter l’info avec l’âge
  • Caractéristiques importantes de ces théories = l’analyse précise des mécanismes de changement
64
Q

Théorie du traitement de l’info

2 caractéristiques de base de la cognition Humaine

A

1- notre pensée est limitée dans la quantité d’information à laquelle nous pouvons prêter attention simultanément et dans la vitesse à laquelle nous pouvons traiter les informations
2- notre pensée est flexible, capable de s’adapter aux buts qui changent constamment, aux circonstances et aux demandes de la tâche
*** cette double nature est prise en compte en se focalisant à la fois sur les caractéristiques structurales, qui déterminent les limites à l’intérieur desquelles la pensée se produit et sur les processus qui fournissent les moyens d’une adaptation flexible à un monde constamment changenat

65
Q

Quelle est la double nature de la pensée

A

le fait que la pensée est à la fois limitée et flexible

66
Q

Théorie du traitement de l’info

Caractéristiques structurales ; définition

A
aspects qui sont fixées dans notre système (attention, mémoire...)
Structures universelles, mais l'efficacité de ses structures varient d'une personne à l'autre 
ORGANISATION UNIVERSELLE ( de base)
67
Q

Théorie du traitement de l’info

Caractéristiques structurales ; mémoire de travail

A

capacité de combiner les informations en provenance de la mémoire sensorielle avec les infos stockés en mémoire à long terme et des transformer ces infos (ex. la lecture)
environ 20-30 sec.

68
Q

Théorie du traitement de l’info

Caractéristiques structurales ; mémoire à long terme

A

Capacité de retenir des information, expériences, faits.. ETC
La seule qui n’Est pas limitée

69
Q

Théorie du traitement de l’info

Les processus ; l’automatisaion

A
  • l’automatisation - certains processus au départ étaient contrôlés (exige de l’attention) deviennent automatiques (mobilisent pas ou peu d’attention)
  • grande vitesse d’exécution
  • lorsqu’ils sont automatique = dure à inhiber
  • permet de libérer notre charge cognitive
70
Q

Théorie du traitement de l’info

Les processus ; encodage

A

Sélection-traitement des information pertinentes et transformation de celles-ci en une représentation mnésique (vise à donner un sens à la choses à se remémorer/ se la représenter mentalement en vue de l’emmagasiner)
-La fréquence =très tôt dans notre développement on est capable de déterminer si quelque chose se produit fréquemment ou NON
Ex. maman porte fréquemment des jupes et papa NON, alors les F doivent porter + fréquemment des jupes (normes sociales)

71
Q

Théorie traitement information
Caractéristique structurales
Mémoire sensorielle

A

Capacité de retenir brièvement une part relativement importante des informations perçues