Les fondements biologiques de la personnalité chapitre 9 Flashcards
l’histoire du tempérament
Les humeurs La phrénologie La théorie de l’évolution Les croisement de gènes La morphologie (lien type physique et le tempérament)
Le tempérament
Ensemble des caractéristiques individuelles de l’humeur en général ou de la qualité de la réaction émotionnelle
Base biologique innée
Manière de réagir face à un stimulus
Style comportement stable
Manifeste très tôt donc sûrement biologique
Études longitudinales (savoir si une caractéristique perdure et donc est bio.)
Thomas et Chess (1977)
Déterminer les 3 types de tempérament : facile, difficile, réservé et lent à démarrer
Observation des enfants jusqu’à l’adolescence par un compte-rendus des parents
Début de l’idée d’un bon accordage entre le tempérament et l’environnement (parent adapté à l’enfant)
Limites : basé sur les évaluations des parents (donc biaisé puisque les parents ont tendance à exagérer les ressemblance entre jumeaux), aucune info sur les mécanismes sous jacents
études longitudinales selon Buss et Plomin (1984)
dégager les dimensions du comportement : émotivité (niveau d’excitabilité/de détresse), activité (vigoureux, dynamique, nerveux) et sociabilité (ouverture vers les autres)
recherche comtemporaine de jerome kagan (1929)
Les observations directes du comportement des enfants en laboratoire
Inhibés (réagis avec plus de pleurs, perturbés par la nouveauté) ou non inhibés (réagis spontanément et facilement à la nouveauté)
Extraverti/introverti
études longitudinales de kagan
différences se maintiennent dans le temps, mais changements possibles (si l’environnement le permet)
Low reactive : sociable, preneurs de risques à l’âge adulte
High reactive : plus introverti à l’âge adulte, évitement de situations à risques
catégories de personnes
région du cerveau responsable des tendances à l’inhibition/non-inhibition
amygdale (réponse à la peur, fonctionne diff. si la personne est inhibé ou non, réactivité plus élevée) cortex frontal (régulation de la réponse émotionnelle)
rôle des facteurs environnementaux
Facteurs environnementaux jouent sur la force du lien entre caractéristiques biologiques et comportement
contrôle volontaire
caractéristique du tempérament qui donne à l’individu la capacité d’interrompre une action (réponse dominante) pour entreprendre une autre action
Lien entre la conscience morale et le contrôle volontaire
Régulation émotionnelle et comportementale nécessite le contrôle volontaire
hypothèse d’une relation entre le contrôle volontaire, le développement de la conscience et le degré d’affirmation de l’autorité des parents
Test de la guimauve
La psychologie évolutionniste et personnalité (organismes plus adaptés transmettent leurs gènes à leurs descendants
Conception programmée biologiquement de la nature humaine :
Mécanismes psychologiques évolués (évolution sélective)
Capacités à résoudre les problèmes
Modes de vie (chasseur-cueilleur)
Précision (spécifique)
Architecture du cerveau (modules, domaines d’un prob. distinctif)
Capacité à détecter la tricherie dans les échanges
Différences entre les sexes
Théorie de l’investissement parental
La parentalité
Cause de la jalousie
La génétique comportementale
Méthode pour déterminer la part génétique
études de croisements sélectifs
études de jumeaux
études d’adoption
coefficient d’héritabilité
estimation de la part de variance qu’on peut attribuer aux déterminants génétiques pour une caractéristique donnée, mesurée d’une façon particulière, dans une population déterminée
*explique pas le degré qu’un facteur génétique influence une caractéristique de comportement
La génétique moléculaire
Examiner les éléments biologiques sous-jacents
Étude sur la résilience : face à un événement traumatique, personnes peuvent s’en sortir dû à des fondements biologiques
Étude sur la dépression : interaction gène-environnement (sécrètent moins de sérotonine et vivent des événements stressants = dépression)
Facteurs environnementaux et interactions gènes-environnement
Plusieurs études sur des rats : interactions gènes-environnements (rats doués et peu doués) 40 à 50 % de la variance des caractéristiques de la personnalité sont déterminés par les facteurs génétiques Effets des environnements partagés < non partagés Big 5 (facteurs génétiques, biologiques, environnementaux Différences de la fratrie dépendraient de particularités génétiques qui amèneraient les parents à traiter les enfants de façon différente (expériences uniques de chacun qui expliquèrent des différences dans la façon dont ils évoluent)
interactions nature-culture
Une même expérience peut avoir des effets différents sur des personnes avec des bagages génétiques différents (forme d’Interactions plus passives ou non)
Les caractéristiques génétiques différentes suscitent des réactions différentes (enfants plus beaux, plus renforcés)
Des individus avec des patrimoines génériques différents se créent des environnement différents (chercher des lieux et des personnes qui nous ressemblent)
La dominance hémisphérique
Hémisphère gauche (positif) et droit (négatif)
Lien bidirectionnel avec la dépression (activation de la dépression à gauche quand lésion à gauche et manie à droite)
Distinction entre l’anxiété (ce qui est ressenti dans un moment particulier) et inquiétude (anticipation)
Gauche (affrontement, motivation) et droit (évitement)
Les neurotransmetteurs et le tempérament
Dopamine (plaisir, système de récompense, suivi d’une chute) et sérotonine (dépression)
Solution : isrs
Modèle de tempérament à trois facteurs
affectivité négative (si bcp présent, sentiment de danger, d’anxiété, baisse de sérotonine, vision du monde plus négative), affectivité positive (si bcp présent, extraversion et énergie, hausse de la dopamine) et désinhibition/inhibition (prise de risques, baisse de sérotonine qui peut entraîner de l’agressivité) ou inhibition (sécurité)
Plasticité
capacité que possède le système neurobiologique de changer au fil des expériences, temporairement et pour de longues périodes, tout en restant à l’intérieur des paramètres génétiques, et cela, afin de répondre aux exigences adaptatives
Influence de l’environnement sur le taux de sérotonine
Le cas du statut socioéconomique (baisse de la réactivité de la sérotonine)
Lien avec risque de développer un trouble de santé mentale, mais l’absence de difficultés à l’école a un effet médiateur sur ce lien
Cerveau et concept de soi
Est-ce que penser à nous équivaut à penser à autre chose ?
activation du cortex préfrontal médian
Cerveau et jugement moral
Est ce que prendre une décision morale équivaut à toute autre décision
activation de régions du cerveau associées à l’expérience émotionnelle