Le travail des cognitions. Flashcards
En quoi consiste la restructuration cognitive
La restructuration permet d’identifier ses pensées associés a la détresse.
La démarche vise a induire une saine remise en question des pensées.
Elle utilise le questionnement socratique afin de tester la validité des pensées.
Demande à la victime de se familiariser avec des concepts propres à la théorie cognitive.
Quels sont les précautions a prendre lorsque l’on fait de la restructuration en contexte de TSPT.
Aborder les enjeux cognitifs de manière empathique et éviter la pensée positive ou les conseils insipides.
On doit mettre en évidence comment les interprétations peuvent influencer le comportement et maintenir les symptômes.
S’assurer que la réinterprétation est plus réaliste et non pas plus positive. Le but est de mieux s’adapter.
Faire attention que la pensée abordée n’empire pas la perception de la personne ou aggrave les symptômes.
Avant de faire de la restructuration cognitives qu’est-ce que l’on doit s’assurer de mettre en place pour la victime.
Le sentiment d’avoir été entendu et compris par le thérapeute.
Le sentiment d’avoir été accueillis et accepté dans ses émotions.
L’assurant qu’elle peut faire pleinement confiance a son thérapeute.
La confiance que son thérapeute a compris le développement de ses réactions post-traumatique.
Qu’elles sont les 5 étapes de la restructuration cognitive.
- Prendre conscience du malaise et identifier la pensée sous jacente.
- Considérer que la pensée identifié est une hypothèse de travail et utiliser le questionnement socratique.
Identifier les distorsions cognitives à la base des pensées anxiogènes.
Formuler des pensées alternatives réalistes
Identifier les croyances fondamentales et assouplir celles qui sont associé à la pensée et à la détresse.
Comment : Prendre conscience du malaise et identifier la pensée sous jacente.
a. Expliquer les notions théoriques cognitives (lien pensée, émotion, comportements).
b. Identifier avec la victime une situation qui a été associé a une émotion forte et désagréable
c. Aider la personne a identifier les pensées ou émotions désagréables a l’origine de l’émotion a ce moment.
d. Commencer a utiliser la grille de restructuration cognitive
e. Habiletés spécifiques a l’identification du malaise et des émotions
Certains peuvent avoir peur que penser amplifie leur peur et léviterons.
Quel type de questions pour : Aider la personne a identifier les pensées ou émotions désagréables a l’origine de l’émotion a ce moment.
Qu’est-ce qui vous est venu a l’esprit
Qu’elle image vous est venue.
Qu’avez-vous pensée a ce moment.
Comment : Commencer a utiliser la grille de restructuration cognitive
- Donner la grille et inviter a remplir les trois premières colonnes
- Identifier une situation.
- Identifier et coter l’intensité des émotions.
- Préciser la pensée a l’origine de l’émotion.
Quelles sont les : Habiletés spécifiques a l’identification du malaise et des émotions :
- La victime doit avoir une conscience de soi adéquate.
- Capacité a identifier la pensée a l’origine de l’émotion.
- Plus difficile pour ceux qui ont des mécanismes cognitifs de détournement (pensée positive, exhortation ou autosuggestion).
- Utiliser la technique de la flèche descendante pour expliquer l’utilisation des mécanisme de détournement, identifier l’émotion puis la source de la peur.
- Lorsque la personne tend a intélectualiser au point d’étouffer la pensée d’origine ont peur avoir besoin de faire de la psychoéducation et permettre de prendre conscience de ces pensées qu’elle préfèreraient ne pas avoir.
- Certains peuvent avoir peur que penser amplifie leur peur et léviterons.
Comment : Considérer que la pensée identifié est une hypothèse de travail et utiliser le questionnement socratique.
Permettre a la personne de questionner la pensée et de vérifier leur justesse.
Trois catégories de questionnement socratiques peuvent être utilisés.
utiliser la fiche d’identification des pensées :
Utiliser : La tarte des attribution
Quels sont les trois types de questionnement socratique
- 1)Quelles sont les preuves qui appuient ou réfutent cette idée (permet de tester la validité ou la justesse d’une idée).
- 2) Est-ce qu’il y aurait une autre manière d’interpréter les même faits (Permet de prendre en compte des idées qui n’ont pas été prise en compte).
- 3) Et si c’était vrais quelles seraient les conséquences (Permet d’envisager les implications de ses pensées).
Donnez des exemples de questionnement socratique permettant de tester la validité d’une idée.
«Sur qu’elle preuve je me base ?»
«Est-ce qu’il se pourrait que je simplifie trop la cause de l’événement. »
«Est-ce que mes sources d’informations sont fiables et valides.
Qu’est-ce qui me fait dire que c’est ça qui va arriver. »
«Est-ce que j’ai considéré tous les fondements potentiels de cette conclusion. »
«Est-ce que j’accorde vraiment la même importance aux choses qui contredisent cette idée vs les choses qui la confirme? »
Quels type de question socratique peuvent être utilisés pour prendre en compte d’autre manières de comprendre une situation
«Pourrait-il y avoir d’autres explications? »
«Même si mon hypothèse est bonne pourrait-il y en avoir d’autres. »
«Qu’est-ce que je dirais à une autre personne ou un ami qui vivrait la même situation. »
«Est-ce qu’il serait possible de voir les choses autrement. »
«Comment aurais-je considéré cette situation avant l’événement traumatique. »
«Qu’ai-je a perdre »
«Qu’ai-je a gagner de cette situation»
Quelles sont les quatre sphères spécifiques de la crainte abordées par des questions socratiques sur l’implication des pensées.
Visent quatre sphères spécifiques de la crainte :
1) probabilité de l’événement,
2) le véritable danger,
3) la capacité de la victime d’empêcher l’événement
4) la capacité d’accepter les conséquences potentielles.
Donnez des exemples de question socratiques pour examiner l’implication des pensées.
« En mettant les choses au pire qu’est-ce qui arriverait »
« C’est quoi les probabilités que ça arrive. »
« Quel serait le véritable potentiel dangereux »
« Serait-il possible de m’adapter a cette situation »
« Que pourrais-je faire si j’avais raison »
Ou se situe le questionnement socratique sur la grille d’identification des pensées et comment on s’en sert?
Le questionnement socratique permet de remplis la quatrième colonne indiquant les questions a se poser en lien avec la pensée.
La colone 5 permet de répondre a cette question.