La neuropsychologie de l'enfant Flashcards
Quand sont parus les premiers manuels en français consacrés à la neuropsychologie de l’enfant
Début des années 2000
Qu’est-ce qui est important quand on parle de la neuropsychologie de l’enfant ?
de faire la
différence entre les troubles acquis des grandes fonctions cognitives et ceux qui sont neurodéveloppementaux.
Quels sont les principaux troubles neurodéveloppementaux qui occasionnent des atteintes cognitives ?
L’autisme et le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans
hyperactivité.
C’est quoi les 7 troubles neurodéveloppementaux ?
- les troubles du langage oral et dysphasies
- les troubles praxiques et visuospatiaux
- le syndrome des fonctions non verbales
- les troubles du spectre de l’autisme
- le syndrome dysexécutif
- le syndrome Gilles de la Tourette
- le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité
Quels sont les deux troubles spécifiques des apprentissages ?
- Les troubles spécifiques du langage écrit (dyslexie et dysorthographie)
- Les troubles spécifiques du calcul et la dyscalculie
Quels sont les 9 troubles neuropsychiatriques ?
- Les troubles déficitaires de l’attention complexes avec ou sans hyperactivité2. Les problèmes de comportement
- Les troubles disruptifs du contrôle des impulsions et des conduites (DSM-5)
- Les troubles dépressifs
- Les troubles anxieux
- Les troubles obsessionnels compulsifs
- Les troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress
- Les troubles du spectre de la schizophrénie et autres troubles psychotiques9. Les autres troubles du développement (syndrome d’alcoolisation fœtale,
neurofibromatose ou syndrome de Turner)
C’est quoi les objectifs particuliers de la neuropsychologie de l’enfant
élaborer des
modèles spécifiques et de mettre au point des évaluations et des prises en charge adaptées à l’enfant lors de difficultés diverses.
La démarche de la neuropsychologie de l’enfant sont d’élaborer des
modèles spécifiques et de mettre au point des évaluations et des prises en charge adaptées à l’enfant lors de difficultés diverses. Cette démarche implique de décrire quoi ?
décrire les aspects développementaux des relations
cerveau-cognition, c’est-à-dire comment s’édifient l’appareil cognitif et les structures cérébrales ainsi que leurs relations complexes.
Plus précisément, pour comprendre comment l’enfant acquiert une fonction particulière, il faut en identifier..
n identifier les différentes étapes, déterminer leur chronologie d’apparition ainsi que les contraintes cérébrales dans lesquelles elles se
construisent.
Lussier et al. insistent sur les risques inhérents à..
la transposition des données de la neuropsychologie adulte à celle de l’enfant.
Le cerveau de l’enfant est hautement 1.______, et c’est seulement dans le cours de développement que les réseaux neuronaux se 2. ______________ de façon croissante et deviennent ainsi relativement 3. _________.
- Interconnecté
- spécialisent
- modulaires
Les modèles de la neuropsychologie de l’enfant postulent quoi en cas de
développement atypique, même lorsque les performances sont dans la normale ?
elles sont souvent sous-tendues par des processus cognitifs et neuronaux différents.
Les troubles neurodéveloppementaux doivent être compris dans le contexte 1. ____________ plutôt qu’appréhendés comme renvoyant aux
composantes 2. _________________
- dynamique du développement
- endommagées d’un système modulaire inné.
Chez l’enfant, l’étude des lésions acquises et de leurs conséquences sur la cognition soulève un certain nombre de difficultés. Quels sont les lésions les plus fréquentes ainsi que provoqué par quoi ?
les lésions pré- et périnatales
(liées par exemple aux anoxies de la naissance et à la prématurité) et celles dues aux
encéphalites bactériennes sont les plus fréquentes et occasionnent des dommages diffus et/ou étendus.
Pourquoi l’interprétation des données est plus complexe chez l’enfant ?
car la lésion survient dans un contexte de grandes capacités de plasticité cérébrale et de récupération
fonctionnelle.
D’une part, la formulation d’hypothèses sur le niveau d’acquisition fonctionnelle
antérieure de l’enfant est confrontée au problème de la variabilité interindividuelle « des rythmes et des niveaux de développement atteints ».
* D’autre part, les lésions cérébrales précoces ont des conséquences comportementales qui peuvent n’apparaître que longtemps après leur survenue.
- Le langage
L’aphasie acquise chez l’enfant
Qu’est-ce que c’est ?
– Il s’agit d’« un trouble du langage consécutif à une atteinte du système nerveux central et survenant chez un sujet ayant déjà acquis un certain niveau de
connaissance verbale » (Van Hout et Seron, 1983)
- Le langage
L’aphasie acquise chez l’enfant
Le tableau clinique est caractérisée par quoi ?
Une compréhension du langage relativement préservée
* Des troubles prédominent sur le versant de l’expression : la fluence est réduite, la perturbation pouvant aller de troubles articulatoires jusqu’au mutisme
* Un discours agrammatique (les troubles syntaxiques sont les plus persistants)
* Les jargons ou les loghorrées sont rares
L’aphasie acquise chez l’enfant
Quel est l’étude de cas de Patterson et al.
N.I. est une jeune patiente chez qui une hémisphérectomie gauche avait été pratiquée à l’âge de 15 ans, deux années après l’installation des crises
d’épilepsie.
* Après l’opération, N.I. est décrite comme aphasique, ses performances en
lecture sont très faibles et ressemblent à celles de patients adultes qui
présentent une dyslexie profonde (acquise).
* Elle reconnaît parfaitement les lettres, mais les dénomme avec difficulté et ne peut réaliser des tâches phonologiques.
* Elle discrimine bien les mots fréquents et les non-mots mais ses performances de décision lexicale chutent pour des mots moins fréquents.
* Dans des épreuves d’appariement mot-image, compréhension des mots
préservée seulement pour les plus familiers et concrets.
- Le langage
L’aphasie acquise chez l’enfant
Quel est l’hémisphérectomie ?
L’hémisphérectomie est une opération chirurgicale où un hémisphère cérébral (une moitié du cerveau) est enlevé ou désactivé.
L’aphasie acquise chez l’enfant
Quel est l’étude de cas de Vargha-Khadem et al.
Anna est une patiente qui a subi une hémisphérectomie gauche à l’âge de 10 ans et montre des capacités langagières remarquablement préservées.
* L’atteinte neurologique (AVC gauche) est prénatale et s’est manifestée à l’âge de six mois.
Ce n’est pas tant l’âge auquel intervient l’hémisphérectomie qui compte, que l’âge de début des lésions cérébrales (dans l’épilepsie, l’âge de début des
crises) et « le temps laissé à la réorganisation du langage dans l’hémisphère droit ». Plus ce temps est long, meilleures seraient la réorganisation
anatomo-fonctionnelle et les performances.
- Le langage
b) Les troubles développementaux du langage
– De nombreux troubles neuropsychologiques surviennent dans le cours du
développement 1. ____________ et peuvent perturber les acquisitions scolaires et les apprentissages fondamentaux.
– La plupart se définissent par un 2. ______________, qu’il concerne le langage (dysphasie, dyslexie, dysorthographie…) ou d’autres domaines cognitifs (dyscalculie, trouble attentionnel…)
- « sans cause apparente »
- écart aux normes de développement cognitif
- Le langage
b) Les troubles développementaux du langage
– Le diagnostic est basé sur la mise en évidence d’un 1.__________ des
performances dans un domaine particulier.
– La perturbation n’est pas liée à un 2.______________ (par exemple de l’acuité visuelle), à 3. __________, à une 4.___________ au cours de l’enfance, ni à des 5. ___________ ou 6. _________ graves.
– Les enfants qui sont identifiés comme « dys » le sont parce que 2. ____________, ou presque, dans tous les domaines sauf dans le domaine de dysfonctionnement considéré
- déficit durable
- un déficit sensoriel primaire
- à une insuffisance intellectuelle,
- une lésion cérébrale acquise
- des carences affectives
- éducatives
- leur profil développemental apparaît normal
définit la dyslexie développementale
la dyslexie développementale se définit comme un trouble sévère et durable de l’apprentissage de la lecture, pour lequel aucune cause particulière ne peut être mise en évidence.
Le langage
b) Les troubles développementaux du langage – Dans le DSM-5, les troubles développementaux du langage sont classée dans la catégorie des « troubles spécifiques des apprentissages »
Cette catégorie regroupe les troubles spécifiques et durables de développement, quels sont t-elles ?
- du langage oral ou « dysphasies »
- du geste et/ou des fonctions visuospatiales ou « dyspraxies ou troubles de l’acquisition de la coordination »
- du langage écrit ou « dyslexies et dysorthographies »
- des activités numériques ou « dyscalculies »
- des processus attentionnels et des fonctions exécutives ou « TDAH »
- La mémoire
a) Le syndrome amnésique de l’enfant
Pourquoi l’appellation de syndrome amnésique de l’enfant est préférable à celle d’amnésie développementale ?
L’appellation de syndrome amnésique de l’enfant est préférable à celle d’amnésie développementale car la présence de lésions cérébrales est clairement
documentée dans la plupart des observations publiées.
Décrit les études de cas de Vargha-Khadem et al. (1997):
- 3 enfants dont les lésions étaient survenues à la naissance chez deux d’entre eux ont en commun d’avoir développé un syndrome amnésique en relation avec des lésions précoces de la formation hippocampique.
- Découverte vers l’âge de 5 ans par les parents et les enseignants, du
syndrome amnésique alors que les lésions étaient néonatales dans 2 des cas.
Les études de cas de Vargha-Khadem et al. (1997): - Les parents se sont alors étonnés de l’incapacité de leur enfant à retrouver son chemin dans un environnement familier ainsi que d’une désorientation
temporelle et de la nécessité d’un rappel fréquent des rendez-vous. - De plus, ces enfants étaient incapables de faire des récits détaillés des activités de la journée et des vacances.
Qu’est-ce qui constituent le coeur du syndrome amnésique de l’enfant ?
Les déficits de la mémoire épisodique constatés dans la vie courante, comme dans les examens neuropsychologiques,
Quels sont les autres élèments notables du syndrome amnésiques ?
sont les capacités
préservées chez ces enfants qui concernent l’efficience intellectuelle, les
compétences langagières (langage oral et écrit) et les connaissances
générales sur le monde.
- La mémoire
a) Le syndrome amnésique de l’enfant
Qu’est-ce qui est le points le plus remarquables chez les enfants présentant un syndrome amnésique ?
d’acquérir de nouvelles connaissances sémantiques alors que leur mémoire épisodique était très déficitaire.
La 1.______ et 2. l’ __________ dans l’espace visuel jouent un rôle fondamental dans le développement cognitif.
- perception visuelle
- orientation de l’attention
A quoi sert la batterie du TEA-Ch ?
- L’attention et les fonctions exécutives
a) Les troubles visuo-attentionnels
procure une évaluation standardisée de l’attention (sélective focalisée, soutenue et divisée) et des fonctions exécutives (mémoire de travail, inhibition, flexibilité) et comporte une version parallèle pour le re-test.
À quoi sert le Test de barrage de nounours ?
- L’attention et les fonctions exécutives
a) Les troubles visuo-attentionnels
présent dans toute évaluation de l’attention
visuospatiale chez l’adulte, il permet la mise en évidence et la mesure de
troubles d’héminégligence chez l’enfant dès 2 ans.
- L’attention et les fonctions exécutives
b) Les troubles des fonctions exécutives
– Même si la maturation du cortex frontal est particulièrement tardive, une atteinte précoce peut occasionner un dysfonctionnement exécutif.
– Ces troubles sont étudiés dans le contexte de 1.________, en lien avec l’2.___________ ou encore dans le 3.___________
- lésions consécutives à un traumatisme crânien
- épilepsie
- e trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité
- L’attention et les fonctions exécutives
b) Les troubles des fonctions exécutives
3 catégories de difficultés cognitives sont distinguées, selon les modèles de
référence pour le fonctionnement exécutif les difficultés:
- de planification
- de flexibilité mentale
- d’inhibition
à quoi sert le BADS-children
Les troubles des fonctions exécutives
solliciter ces
différentes composantes des fonctions exécutives dans des situations qui
miment celles de la vie quotidienne de l’enfant et en privilégiant l’aspect
ludique.
quoi doit faire l’enfant dans le test du ZOO issus de la BADS-C ?
Dans le test du ZOO issu de la BADS-C (Allain et al. 2018), l’enfant doit tracer un trajet sur un plan de zoo dans le but de visiter six lieux sur les douze
possibles en respectant des règles (restrictions sur le nombre de fois que
certains chemins peuvent être empruntés et points de départ et d’arrivée
déterminés). L’enfant doit prévoir l’ordre dans lequel il va se rendre dans les différents lieux pour limiter les erreurs
évaluer les fonctions exécutives
C’est quoi la dyscalculie développementale ?
La dyscalculie développementale (ou « trouble spécifique des apprentissages avec déficit de calcul », selon le DSM-5) se définit comme un trouble de l’apprentissage de l’arithmétique (calcul et traitement des nombres) qui apparaît chez un enfant ayant une intelligence normale et qui a bénéficié d’une scolarité appropriée ainsi que d’un contexte social équilibré, sans trouble sensoriel pouvant expliquer le
trouble d’acquisition.
On rencontre une dyscalculie développementale, associée ou non à d’autres
troubles cognitifs (du langage, du traitement de l’espace, de l’attention…), dans différentes pathologies d’origine génétique comme le syndrome de Williams, le
syndrome de l’X fragile ou le syndrome de Turner
à quoi sert la batterie e pour l’évaluation du traitement des nombres et du calcul chez l’enfant de von Aster
La dyscaculie développementale
L’objectif est d’établir un « profil mathématique » chez l’enfant de 6 à 11 ans et demi.
* Un ensemble d’épreuves permet de couvrir tout le champ de la capacité à
utiliser les nombres et à effectuer des calculs élémentaires : dénombrement, comptage oral, dictée et lecture de nombres, calcul mental, positionnement de nombres sur une échelle, mémorisation et répétition orale de chiffres,
comparaison de deux nombres à l’oral et à l’écrit, estimation de quantités,
problèmes arithmétiques présentés oralement.
Qu’est-ce qui est la dyspraxie développemntale ?
La dyspraxie est un trouble de la conceptualisation, de la planification et de la
coordination volontaire des séquences de gestes orientées vers un but.
c doit exclure l’existence de troubles moteurs ou sensoriels élémentaires, de déficience
intellectuelle, de troubles de la relation ou communication, d’une lésion cérébrale, ou de carence éducative
sur quoi repose l’évaluation de la dyspraxie développementale ?
L’évaluation repose sur des tests des praxies gestuelles motrices (imitation de
séquences de mouvements), idéomotrices (imitation de postures digitales ou
manuelles), idéatoires (manipulation d’objets) et constructives (reproduction de
modèles avec cubes, reproduction graphique de figures).
C’est quoi l’epilepsie ?
L’épilepsie recouvre plusieurs formes mais qui ont toutes un même mécanisme sous-jacent, qu’elles soient associées ou non à des lésions structurales : une
anomalie du fonctionnement d’une population de neurones (décharge épileptique) provoque une crise épileptique.
C’est quoi les 3 principales formes d’épilepsie chez l’enfant ?
- L’épilepsie symptomatique
- La forme cryptogénique
- L’épilepsie idiopathique
C’est quoi l’epilepsie symptomatique ?
qui se définit par la présence de lésions mises en évidence par la neuro-imagerie (accident vasculaire cérébral, tumeur, dysplasie corticale…)
C’est quoi la forme cryptogénique de l’épilepsie ?
où une lésion peut être suspectée sur la base de la présence de troubles cognitifs et autres manifestations cliniques mais n’est pas objectivée
C’est quoi l’épilepsie idiopathique ?
qui concerne plus d’un tiers des épilepsies de
l’enfant puis disparaît à l’adolescence, serait d’origine génétique
Dans l’épilsepsie. Quels sont les troubles cognitifs les plus fréquent
– Les troubles cognitifs les plus fréquents intéressent la mémoire
Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH et TDA, ou bien « TDA/H »)
Quand apparait-til ?
Les premiers signes cliniques apparaissent aux environs de la 4e année, mais c’est au début de la scolarité que les comportements « perturbateurs » deviennent
patents.
C’est quoi les principaux sous-types de TDA/H étaient distingués dans le DSM-4 et le DSM-5 ajoute quoi ?
- Un tableau clinique où prédominent l’impulsivité et l’hyperactivité2. Un tableau où le trouble de l’attention est prédominant
- Un tableau mixte avec hyperactivité et inattention
auxquels le DSM-5 (APA, 2013) ajoute une « présentation inattentive
restrictive ».
L’approche neuropsychologique se révèle indispensable pour rechercher d’une part, un déficit de l’attention et son éventuel retentissement sur d’autres fonctions
cognitives, en particulier sur 1. _____ et, d’autre part, l’association 2. _______________.
* En effet, 30 % des enfants chez qui le diagnostic de TDA/H est établi ont des troubles spécifiques de l’apprentissage associés, parmi lesquels près d’un sur quatre souffre d’une 3._______
- la mémoire
- des troubles des apprentissages, en particulier du langage écrit.
- dyslexie-dysorthographie.
e, l’autisme se définit par la présence chez l’enfant de
signes, plus ou moins nombreux, se rattachant selon le DSM-5 (2013) à : 3 enjeux
- « restriction des comportements sociaux »
- « restriction de la communication »
- « comportements répétitifs et intérêts restreints ».
– Laurent Mottron (2009) souligne 1. ________________que recouvre ce diagnostic, et qui se manifeste sur plusieurs dimensions, en particulier 2.____________ et 3. _____________
- la grande hétérogénéité des profils cliniques
- niveau intellectuel
- le degré d’autonomie atteints par ces personnes
préciser les
profils de perturbation cognitive dans l’autisme (4)
Les fonctions exécutives
* La mémoire de travail
* La mémoire autobiographique
* La théorie de l’esprit
- Les particularités des _______________, notamment dans 2. ______________ sont maintenant au centre de la neuropsychologie des TSA
- traitements perceptifs
- la modalité visuelle
Les pathologies génétiques
– Plusieurs syndromes génétiques entraînent des troubles cognitifs:
* _____________ concerne les filles uniquement et s’accompagne de troubles cognitifs modérés.
Syndrome de Turner
C’est quoi le syndrome de Turner ?
Une maladie endocrinienne rare de la croissance, d’origine
chromosomique, caractérisée par une monosomie partielle ou totale au niveau de la paire de chromosomes sexuels (caryotype X).
Qui est-ce : chez les garçons, est caractérisé par un retard mental et des troubles d’hyperactivité et d’attention.
Le syndrome de l’X fragile
C’est quoi le syndrome de l’X fragile ?
Une maladie rare, génétique et héréditaire, la première cause de retard mental héréditaire et la deuxième cause de déficience intellectuelle après la trisomie 21.
Qui-est-ce : est une maladie génétique rare. Le retard
mental est associé généralement à des troubles langagiers importants
Le syndrome de Williams
L’impact du syndrome de Williams ?
Les enfants atteints du syndrome de Williams présentent une
dissociation marquée entre langage et niveau cognitif : ils atteignent
généralement une maîtrise du langage bien meilleure que celle
attendue compte tenu de leur niveau de développement cognitif (la
plupart présentent un net retard mental, avec des QI entre 40 et 50).
L’examen neuropsychologique de l’enfant
– Pour Lussier et al. (2017), ….
La connaissance du développement normal et
pathologique est indispensable au neuropsychologue pédiatrique pour établir la distinction entre “retard” et “trouble neurodéveloppemental”
quel outils permet un bilan complet du développement neuropsychologique de l’enfant de 3 à 12 ans
NEPSY
le NEPSY couvre quoi ? (4)
- les difficultés d’apprentissage,
- les déficits attentionnels,
- le retard mental
- les conséquences neuropsychologiques acquises après un traumatisme
crânien, une lésion ou une maladie du cerveau, ou présentes dans les
syndromes génétiques
La prise en charge des troubles neuropsychologiques de l’enfant
Une prise en charge vise un changement, et lorsqu’elle s’adresse à un enfant, c’est dans un contexte où l’architecture fonctionnelle et les réseaux neuronaux qui la sous-tendent sont en cours d’édification et où ces composantes « bougent »,
probablement en interaction.