La mémoire Flashcards

1
Q

Dans le modèle de mémoire à plusieurs registres d’Atkinson et Shiffrin, de quelle manière le traitement de l’information passe-t-il d’un registre à l’autre ?

A

C’est par un traitement sérielle ou séquentiel. Donc pour aller en MLT, il faut passer par la MCT

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2
Q

Dans le modèle d’Atkinson et Shiffrin, est-ce qu’un aller retour entre différent registre de mémoire est possible ?

A

Oui, c’est possible, notamment de la mémoire à long terme vers la mémoire à court terme.

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3
Q

Modèle d’Atkinson et Shiffrin

Parle moi brièvememnt de ces concepts du modèle : L’oubli, la sélection, les processus de contrôles, la répétition, l’encodage, le décodage.

A

L’oubli est présent à chaque registre (sensoriel, à court terme et permanant de stokage).

La sélection de l’information se fait par le biais de l’attention en MCT.

Les processus de contrôles sont des opérations conscientes qui nous permettent de maintenir l’information en MCT.

La répétition est nécessaire pour faire acheminer l’information en MLT.

L’encodage est la consolidation de l’information de la MCT vers la MLT.

Le décodage est le rappel ou la récupération d’informations en MLT vers la MCT.

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4
Q

Est-ce qu’il existe seulement le traitement de séquence sérielle du TI pour la mémoire ?

A

Non, selon d’autres études, il y aurait également un traitement parallèle possible.

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5
Q

Définition d’apprentissage

A

L’acquisition de nouvelles informations

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6
Q

Définition de mémoire

A

La rétention de l’information acquise

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7
Q

Définition

La mémoire à court terme

A

La MCT maintient temporairement une quantité limitée d’information.
C’est un centre d’emmagasinage temporaire

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8
Q

Définition

La mémoire à long terme

A

La MLT permet la préservation d’une grande quantité d’information pendant une période de temps moyenne, voir une vie entière.
C’est un centre d’emmagasinage permanant.

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9
Q

Explique la différence entre la MCT et la MLT pour l’amélioration du rappel

A

Selon le modèle d’Atkinson, le transfert de l’information en MLT s’améliore en fonction du nombre de répétitions verbales d’un item.

Pour la MCT, la répétition n’est pas nécessaire puisqu’elle maintient temporairement l’information. Tant que l’information est manipulée en MCT, elle ne se dégrade pas.

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10
Q

Quels sont les deux effets liés à la MCT et à la MLT pour le rappel libre ?

A

L’effet de récence est lié à la MCT. C’est le principe selon lequel une information est retenu par ce que c’est la dernière chose que l’on a entendu/vue. L’information n’a pas besoin d’être répétée parce qu’elle est encore (temporairement) dans le registre à court terme.

L’effet de primauté est lié à la MLT. C’est le principe selon lequel une information est retenue quand elle est au début. L’information doit être suffisamment répété si on souhaite l’acheminer en MLT.

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11
Q

Vrai ou faux : si une information est répétée dans la mémoire à court terme, elle a plus de chances d’être transférée vers la mémoire à long terme.

A

Vrai

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12
Q

Définition

La mémoire de travail

A

Capacité à maintenir de l’information temporairement et de pouvoir faire des opérations cognitives.

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13
Q

Quelle est la différence entre la MCT et la MDT. Explique la différence à l’aide d’un exemple.

A

La différence est entre une tâche d’empan classique ou une tâche d’empan qui nécessite le traitement de l’information/ une manipulation mentale.

Par exemple :
Je dois répéter un numéro de téléphone : MCT
Si je dois répéter le numéro à l’envers : MDT

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14
Q

Le modèle de la MDT de Baddeley comporte quelles composantes ?

A

1- L’éxécuteur central : Coordone l’information des 3 sous-systèmes qui ont une capacité limité et qui maintiennent temporairement l’information

2- La boucle phonologique : Capacité liée au langage (lire, compter)

3- Le tampon épisodique (buffer) : Capacité de transferer l’information vers la mémoire épisodique et l’information qui provient de la mémoire épisodique

4- Le calepin visuo-spatial : L’imagerie, la sémantique visuelle

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15
Q

Dans le modèle de la MDT de Baddeley, quelle est la particularité des différents systèmes ?

A

Certains systèmes sont fluides et d’autres sont cristallisés.

Fluides : Altérés par l’apprentissage
Cristallisés : Non altérés par l’apprentissage

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16
Q

Donne-moi un exemple dans lequel les systèmes du modèle de Baddely sont utilisés.

A

Je me fais attribuer un nouveau mandat de travail. J’utilise mes capacités d’organisaton de haut niveau. (contrôle exécutif)

Je lis les informations qui sont inscrites sur le plan d’intervention. (boucle phonologique)

Ensuite, j’essaie de me souvenir des étapes à suivre quand on m’attribut un mandat. (Tampon épisodique)

Je regarde ensuite le plan sur google qui m’indique mon trajet. (Calepin visuo-spatial)

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17
Q

De la MDT à court terme vers la MLT

Les processus de contrôles sont des opérations conscientes qui nous permettent de maintenir l’information en MCT. Ils ont précisément 2 rôles, quels sont-ils ?

A

Ils sont chargés des transferts et de la répartition de l’énergie mentale

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18
Q

Mémoire de travail à court terme

Quels sont les 4 processus de contrôle en MDT ?

A

1- L’autorépétition : Répétition à haute voix ou dans sa tête

2- L’encodage : Avec le contexe, la manière dont l’information est consolidée

3- Décision : Les choix dans la manière de manipuler l’information

4- Les stratégies de récupération : Ce à quoi on lie l’information afin d’avoir un meilleur rappel

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19
Q

L’imagerie mentale

La théorie de codage dual (Paivio)

A

La théorie stipule que nous aurions 2 systèmes de réprésentation d’événements :
Représentation d’événements verbaux et représentation d’événement non-verbaux. Ces deux systèmes peuvent s’influencer et seraient interreliés.

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20
Q

La théorie de codage dual de Paivio

Quelle caractéristique ont certains mots et concepts qui sont souvent rattachés à des images mentales ?

On dit que le concept à une grand degré de …

A

Il on un grand degré de concrétude, ce qui est lié à une possibilité de représentation d’une expérience multisensorielle (et émotionnelle)

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21
Q

La théorie de codage dual de Paivio

En considérant le degré de concrétude d’un item, lequel aurait un meilleur rappel et pourquoi :
Item concret Vs Item abstrait

A

L’item concret peut être lié à une image mentale (degré de concrétude), donc il aura un meilleur rappel que l’item abstrait

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22
Q

Outre l’imagerie mentale, quelles sont trois autres techniques mnémoniques ?

A

La méthode de loci : Associer des endroits à des éléments/items. (De l’endroit vers l’objet et non l’inverse)

La disctincitivité : bizarreté

L’humour : associations inattendus (augmente la disctinction)

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23
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques d’une image mentale ?

A

Distinctive, concrétude (intensité sensorielle et émotionnelle), dynamique et vivide

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24
Q

Vrai ou faux : Si dans une liste à mémoriser, tous les items sont distinctifs, j’aurais beacoup de facilité à les mémoriser ?

A

Faux !

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25
Q

Quel est le temps typique de rétention dans la mémoire à court terme si aucune répétition n’est effectuée ?
a) 30 secondes
b) 18 secondes
c) 1 minute
d) 5 secondes

A

b) 18 secondes

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26
Q

Selon Miller, combien d’éléments la mémoire à court terme peut-elle retenir en moyenne ?
a) 5 ± 1
b) 7 ± 2
c) 4 ± 1
d) 10 ± 3

A

b) 7 ± 2

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27
Q

Quels sont les deux éléments qui peuvent faire varier la capacité de l’empan de mémoire à court terme ?

a) La durée de rétention et la fréquence des répétitions
b) Les caractéristiques sensorielles et les façons d’organiser l’information
c) La nature des stimuli et la motivation personnelle
d) Le stress et la fatigue cognitive

A

b) Les caractéristiques sensorielles et les façons d’organiser l’information

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28
Q

Le regroupement (organisation de l’information) peut optimiser la capacité de la MCT, donc augmenter l’empan de mémoire. Quel est le nombre moyen de regroupements que la mémoire à court terme de travail peut retenir selon Cowan ?
a) 7 ± 2 regroupements
b) 4 ± 1 regroupements
c) 5 ± 3 regroupements
d) 3 ± 1 regroupements

A

b) 4 ± 1

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29
Q

Dans le cadre de la mémoire à court terme, quel est l’impact du regroupement d’éléments sur l’empan de mémoire ?

a) Il permet d’augmenter l’empan de mémoire
b) Il n’a aucun impact sur la capacité de mémoire.
c) Il augmente la durée de la mémoire à court terme.
d) Il diminue la capacité de stockage en mémoire.

A

a) Il permet d’augmenter l’empan de mémoire

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30
Q

Qu’est-ce que la mémoire déclarative et quel type d’information y est stockée ?

A

La mémoire déclarative, ou mémoire explicite, est le système de mémoire qui contient des informations factuelles et nos connaissances. Elle inclut les souvenirs d’expérience personnelles (mémoire épisodique) et les connaissances générales (mémoire sémantique).

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31
Q

Quels sont les deux aspects principaux de la mémoire déclarative qui la distinguent de la mémoire non-déclarative ?

Pourquoi est-elle explicite ? Combien de temps l’info reste ?

A

Les deux aspects principaux sont (1) sa nature explicite, car elle nécessite des efforts conscients pour être rappelée, et (2) sa tendance à se dégrader plus facilement et rapidement que la mémoire non-déclarative, qui est souvent plus durable.

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32
Q

Le rappel de la mémoire déclarative est-il conscient (volontaire) ou inconscient (involontaire)

A

La mémoire déclarative est disponible pour un rappel conscient

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33
Q

Mémoire déclarative (explicite)

La mémoire épisodique

A

La mémoire épisodique contient les expériences personnelles (autobiographique) avec un cadre spatio-temporel

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34
Q

De quelle manière la mémoire déclarative épisodique se développe-t-elle ?

A

De manière graduelle et tardive

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35
Q

À quel âge la mémoire épisodique commence-t-elle à se développer ?

a) 2–3 ans
b) 4–6 ans
c) 8–10 ans
d) 12–14 ans

A

b) 4-6 ans

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36
Q

Qu’est-ce que l’amnésie infantile ?

a) L’incapacité de former des souvenirs à l’adolescence
b) L’oubli des souvenirs survenant avant l’âge de 3 ans
c) L’incapacité d’accéder aux souvenirs biographiques d’enfance
d) La perte progressive des souvenirs après l’âge de 6 ans

A

c) L’incapacité d’accéder aux souvenirs biographiques d’enfance

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37
Q

Mémoire déclarative

La mémoire sémantique

A

La mémoire sémantique contient les connaissances générales sans cadre spatio-temporel qui sont des connaissances linguistiques et conceptuelles. Donc elles se rapportent aux mots, aux concepts et leur relations.

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38
Q

Je parle avec mon ami Julia et je n’arrive plus à nommer le concept que j’ai appris en classe, pourtant le concept décrit exactemement la situation dans laquelle je suis… Julia me dit que j’ai simplement oublier l’information et qu’elle n’est plus dans ma mémoire.

Quel phénomène est illustré ? Est-ce que j’ai réellement oublié l’information ? Dans quelle mémoire se trouve l’information ?

A

Phénomène du mot sur le bout de la langue.
Ce n’est pas de l’oubli, c’est un problème d’accès.
L’information est dans ma mémoire sémantique, mais elle active partiellement les informations, ce qui ne me permet pas d’avoir accès au terme exact.

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39
Q

Mémoire déclarative (explicite) sémantique

Le modèle du langage de Quillian

A

Modèle de la mémoire sémantique représenté comme un réseau hiérarchique avec 3 éléments : Les unités, les flèches et les propriétés.

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40
Q

Quel élément se rapporte ces énoncés selon le modèle du langage de Quillian, indique la hiérarchie des concepts (unité), fait un réseau pour l’illustrer:

a) Oiseau

b) Voler, Avoir des plumes

c) Animal

d) Vivant, Se nourrit, Respire

e) Autruche

f) Ne vole pas, A des plumes

A

Unités : Animal (haut niveau), Oiseau (moyen niveau), Autruche (bas niveau spécifique)

Propriétés : Vivant, Se nourrit, Respire (animal) Voler, Avoir des plumes (oiseau), Ne vole pas, a des plumes (Autruche)

Flèches : Indiquent les relations hiérarchiques et les liens entre concepts et leurs propriétés.

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41
Q

Mémoire sémantique

Le modèle du langage de Quillian a permis d’étudier quel concept et qu’est-ce que ça nous permet de conclure sur la recherche dans le réseau ?

A

Le modèle du langage de Quillian a permis d’étudier la chronométrie mentale, ce qui nous permet de conclure que la recherche dans le réseau prend du temps.

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42
Q

Modèle du langage de Quillian

Explique le fonctionnement de l’activation dans le réseau hiérarchique du modèle de Quillian

A

Il y aurait une activation dans le réseau sémantique à partir d’un point de départ, puis il y aurait diffusion de l’activation à travers tous le réseau, ce qui activerait différentes unités reliées entre elles.

43
Q

Comment nomme-t-on le système représenté par le réseau sémantique dans le modèle de Quillian ?

a) Système de branches
b) Système d’arborescence
c) Système de connexions diffuses

A

b) Système d’arborescence

44
Q

L’illusion de Moïse

A

Ce biais se produit en partie parce que la mémoire sémantique nous amène à focaliser sur le sens global de la question plutôt que sur l’exactitude de chaque mot. Quand nous entendons “arche” et “animaux”, notre réseau sémantique active des concepts liés à l’histoire de Noé, mais, faute d’une vérification minutieuse, le cerveau ne corrige pas l’incohérence avec Moïse. La familiarité de l’histoire et le contexte proche entre Moïse et Noé dans la Bible renforcent cette confusion.

45
Q

La mémoire non-déclarative (implicite)

A

C’est un système qui contient les informations acquises sans effort qui s’intègrent aux comportements. Il ne requiert pas de pensées conscientes. Il persiste dans le temps.

C’est une mémoire impicite, car elles résultes des expériences.

46
Q

Mémoire implicite (non-déclarative)

La mémoire procédurale

A

Mémoire qui contient les automatismes, les habitudes et les habiletés motrices acquises.

Elle contient les apprentissages de réponses motrices (procédures) suite à une stimulation sensorielle associative ou non associative.

Elle se forme après plusieurs expériences (par répétition) et elle est moins susceptible de disparaître

47
Q

Qu’elle est la différence entre une stimulation associative vs non-associative ?

A

La stimulation sensorielle associatives provient d’un conditionnement classique ou opérant.

La stimulation sensorielle non-associative provient du phénomène d’habituation ou de sensibiliation

48
Q

Mémoire implicite (non-déclarative)

SRP : Le système de représentation perceptuelle

A

Permet la représentation spécifique d’événement : Par une identification non-sémantique. (mémoire perceptuelle)

Le SRP sous-tend le phénomène d’amorçage

49
Q

Est-ce que le système de représentation perceptuelle des amnésiques est affecté ?

A

Non ! C’est plutôt leur mémoire épisodique.

50
Q

SRP

L’amorçage

A

Lorsqu’un stimulus “amorçe” précède, sans prise de conscience, le stimulus “cible” et qui influence conséquemment le traitement du stimulus cible.

51
Q

Y-a-t-il un lien positif entre le stimulus cible et l’amorce ?

A

Oui ! Il y a une reconnaissance plus rapide du stimulus cible lorsque l’amorçe est présent.

52
Q

L’amorçage sémantique positif

A

Lorsqu’il y a un lien sémantique entre l’amorçe et le stimulus cible.

Par exemple, voir une image d’infirmière nous permettrait de trouver plus rapidement le mot médecin dans la tâche de décision lexicale.

53
Q

Quels sont les trois phénomènes liés à l’amorçage ?

A

Le stimulus subliminal : Lorsqu’un stimulus influence inconsciemment le comportement.
Le déjà vue : impression d’avoir déjà vécu une expérience en raison d’un aveuglement inattentionnelle
Le mind popping : Lorsqu’une mémoire sémantique apparaît involontairement. Ce serait à l’origine d’une amorçage inconscient.

54
Q

Mémoire : Oublie et récupération

L’oublie de MDT à court terme

A

Si l’information n’est pas répétée, elle se perd, donc il y a un déclin rapide de l’information

55
Q

Mémoire : Oublie et récupération

La courbe de l’oublie

A

Plus l’intervalle entre l’encodage et le rappel est grand, plus il y a dégradation de l’information.

56
Q

Permastore

A

– Permanence relative de certaines sortes de mémoire qui peuvent être préservées au L-T.

57
Q

Mémoire : L’oublie et la récupération

Théories d’interférence et de dégradation

A

L’oubli est plus grand pour des interférences que par la dégradation.

58
Q

Théories d’interférence et de dégradation

Quelles sont les deux types d’interférences ?

A

L’inhibition proactive (avant l’encodage)
&
L’inhibition rétroactive (suite à l’encodage)

59
Q

Mémoire : Oublie et récupération

Principe de la spécificité de l’encodage de Tulving et Thomson

A

Principe selon lequel la manière dont l’information est récupérée en mémoire dépend de la manière dont l’information à été encodée.

60
Q

Principe de la spécificité de l’encodage

De quoi dépend l’efficacité d’un rappel ? Et qu’est-ce qui prédit l’efficacité de la récupération ?

A

L’efficacité du rappel dépend du degré de ressemblance entre l’indice de rappel et l’encodage initial, donc le contexte comme opération d’encodage à une grande influence. Donc le degré de ressemblance prédit l’efficacité de la récupération.

61
Q

Environnementp physique et humeur

Explique moi le principe de dépendance et de congruence lié à l’encodage d’informations ?

A

La dépendance se réfère à l’état physiologique, mental ou contextuel dans lequel j’encode l’information. Plus le contexte de récupération est similaire au contexte de mon état durant l’encodage, meilleur sera mon rappel.

La congruence elle se réfère à l’accord entre mon humeur avec la nature des informations que j’encode. Plus il y a une congruence entre les concepts et mon humeur, plus l’encodage sera meilleur.

62
Q

Mémoire : L’oublie et la récupération

L’amnésie rétrograde et antérograde

A

Amnésie rétrograde : Perte des souvenirs acquis avant le traumatisme
* Souvent les souvenirs les plus vieux sont préservés

Amnésie antérograde : Incapacité de retenir de nouveaux souvenirs suite au traumatise
* Apprentissage nul ou plus lent selon le degré de sévérité

63
Q

La théorie des niveaux de traitement

A

Craik et Lockhart ont étudié les processus cognitifs qui influencent la mémoire, ils cherchaient à savoir ce qui facilite l’apprentissage.

Selon cette théorie, il y aurait 3 niveau de codages du traitement de l’information. Il y aurait une variation dans les types de codes et dans leur vitesse de dégradation.

64
Q

Théorie des niveaux de traitement

Quels sont les 3 niveaux de codages du TI ?

A

Niveau 1 : Caractéristiques sensorielles
Niveau 2 : Reconnaissance d’objet et phonétique
Niveau 3 : Association sémantique

ex.
Niv.1 : le mot contient-il des lettres en majuscules ?
Niv.2 : Est-ce que le mot rime avec un autre ?
Niv. 3 : Est-ce que le mot pourrait être intégré à une phrase.

65
Q

3 codages du TI

Qu’est-ce que les recherches ont démontrées en lien avec la profondeur des niveaux de traitement ?

A

Plus le niveaux d’encodage sont profonds, moins il y a de dégradation.

66
Q

Quelle conclusion avons-nous émis quand à la profondeur du TI ?

A

Il nous est possible de mesurer la profondeur du TI liés aux codages en mémoire !

67
Q

Théorie des niveaux de traitements

Complète la phrase : Les codes (physiques, phonétiques, sémantiques) ____ seraient (plus/moins) ____ efficaces que les codes (physiques, phonétiques, sémantiques) ________ et ____, car ils permettent plus ________ complexe et plus de potentiel de ________.

Donc la profondeur du TI dépend de _________________________ et de la _________.

A

Les codes sémantiques sont plus efficaces que les codes physiques et phonétiques, car ils permettent plus d’élaboration complexe et plus de potentiel de singularité.

Donc, la profondeur du TI dépend de l’élaboration et de la singularité.

68
Q

Définition

La singularité
&
L’élaboration

A

La singularité : La distinctivité de l’encodage de l’item

L’élaboration : L’ajout d’information qui relie l’item à d’autre informations (détails, liens avec expériences, idées connexes)

69
Q

Avec qu’elle théorie peut-on lier l’élaboration ?

A

Avec la théorie d’Hebb avec la force des connexions dans les réseaux de neurones. Les réseaux de significations qui entourent le mot à apprendre sont déjà renforcé par l’expérience et le mot peut être lié et encoder plus facilement.

70
Q

Codes de mémoire (Schmitdt)

Quels sont les 4 codes de singularité ?

A
  1. Singularité primaire (contextuelle) : Relative au contexte disctinctif immédiat.
  2. Singularité secondaire (expérience) : Relative au informations déjà contenue en MLT par son contraire ou sa distinction).
  3. Singularité émotionnelle : Production d’une forte réponse émotionnelle
  4. Singularisation : Le code de mémoire est distinctif par sa bizzareté (la manière de se représenter l’info)
71
Q

L’élaboration

Les codes de mémoires diffèreraient selon le ____ et le ____ d’élaboration en mémoire.

A

Les codes de mémoire diffèreraient selon le nombre et le type d’élaboration en mémoire.

72
Q

L’étude de Craik et Tulving considère qu’un apprentissage sera meilleur selon deux aspects des mots qui enrichissent l’élaboration, donc permettent un meilleur rappel. Quels sont-ils ?

A

Selon l’étude, les mots qui sont riches en association sémantiques et qui sont cohérent avec le contexte offriraient un meilleur rappel.

Les associations sémantiques augmentent les chemins possibles pour récupérer l’information.

Le contexte cohérent offre une strucure logique qui rend l’encodage plus facile.

73
Q

La théorie des traces

A
  • Selon cette théorie, la mémoire serait basée sur le rappel des traces mnésiques, donc des copies distinctes et permanentes d’expériences passées. Il n’y aurait pas d’interférences, ni de dégradation.
  • Elle soutient que le même souvenir peut revenir inchangé.
  • Théorie Now Print
74
Q

Théorie des traces

Théorie Now Print

A

Selon cette théorie, les expériences significatives seraient immédiatement photocopiées dans la MLT.

*Des recherches ultérieures démontrent la présence d’interférence et de dégradation

75
Q

Théorie de la consolidation

Comment sont les traces, rappel et de la consolidation ?

A

Selon cette théorie les traces ne sont pas pleinnement formées après un évènement. Les traces prennent du temps à se consolider et il peut y avoir un déclin dans le rappel

76
Q

Théorie de la consolidation

Quels sont les trois idées inclus dans cette théorie ?

A
  1. Il y a des interférences après un évènement, donc pendant la consolidation, ce qui peut influencer l’encodage.
  2. L’hippocampe joue un rôle dans la consolidation des traces et il y a une possibilité de reconsolidation. Cela démontre un aspect positif de la plascitié des souvenirs en mémoire.
  3. Prendre une pause après un apprentissage faciliterait la consolidation mnésique.
77
Q

Quelle est la conclusion sur la mémoire suite aux théories de traces et de consolidation ?

A

La mémoire est une construction dynamique avec des interférences lors de la consolidations en MLT et le rappel mènerait à une reconstruction via la MDT et une reconsolidation. Donc la trace après la reconsolidation ne serait pas identique à l’expérience d’origine.

78
Q

Petit rappel sur les schémas

A

Les schémas prédisent ce que l’on rencontre daasn notre exploration du monde, durant l’exploration on invalide ou on valide nos schémas.

Les schémas nous permettent de traité, d’organiser et de catégoriser l’information, donc ils ont une fonction adaptative. L’inadaptation est possible au moment présent (présence de distortions cognitives)

79
Q

La théorie des schémas

A

Selon la théorie des schémas, les intérférences sont intégrées comme étant de l’information originelle d’une expérience. Donc dans notre mémoire nous avons des interprétations plutôt que des copies d’expériences.

80
Q

Les schémas et leur rôles central dans la mémoire

Qu’a-t-il été conclus par les méthodes de récupérations répétées et récupérations sérielles ?

A

Durant ces tâches, il y aurait eu de l’omission via la rationnalisation pour rendre l’information cohérente selon nos schémas.

Ce qui n’est pas familier est donc omis ou transformé en information familière.

81
Q

L’omission via la rationnalisation est un phénomène qui diminue ou s’amplifie à travers le temps selon la théorie des schémas ?

A

C’est amplifié à travers le temps du faux souvenir afin de soutenir nos schémas

82
Q

Quels sont les 4 processus dans la mémoire lié à la théorie des schémas

A
  1. Sélection : Je porte attention en fonction de la cohérence avec mon schéma
  2. Abstraction : On omet les détails et on se souviens de l’essentiel
  3. Interpréation : C’est l’expérience influencée par mes shémas
  4. Intégration : On prend le sens abstrait d’une expérience et on le relie à ce qu’on sait déjà pour créer un ensemble cohérent

(5. Reconstruction) : Lors du rappel, on mélange et combine nos conaissances générales avec nos expériences individuelles pour reconstruire imaginativement le passé.

83
Q

Théorie des schémas

La recupération de l’information mène à une __________ continuelle.

A

Reconstruction continuelle : on réorganise, on remplace, on combine

84
Q

Explique moi l’exemple du témoin oculaire

A

Vitesse de la voiture estimée dépend du vocabulaire utilisé (Loftus & Palmer,1974). Une vidéo d’un accident de voiture et on demandait à quelle vitesse la voiture roulait. Il y avait une augmentation dans le mot utilisé. Le participant avait tendance à dire que la vitesse était plus grande lors de l’accident.
Ils ont revu les participants et ont posé la même question par rapport aux vitres brisées même s’il elles n’avaient pas été brisée. Les participants ayant perçu l’accident comme très grave ont dit que des vitres s’étaient brisées. Les schémas de gravités ont influencé le fait d’avoir « vue » les fenêtres brisées.

85
Q

Quelle fut la conclusion liée au témoin oculaire ? Comment nomme-t-on l’effet qui y est lié ?

A

Les informaitons après l’évènement semblent intégrées dans la mémoire.

C’est donc l’effet de mésinformation

86
Q

L’effet de ___________ amènerait la possibilité d’implanter un ______ ____________________________

A

L’effet de mésinformation amènerait la possibilité d’implanter un faux souvenir

87
Q

Explique moi les éléments qui sont impliqués dans la formation d’un faux souvenir (3)

A

1) Le fait que les interférences soit intégrées en mémoire forme 2) l’effet de mésinformation. Cet effet qui forme les faux souvenirs dépend du degré de porosité entre la perception de la réalité et l’imagination. 3) On parle donc du monitorage des sources d’un individu qui fait défaut à déterminer la source de la mémoire

88
Q

Quels sont deux applications en thérapie pour éviter d’amplifier le phénomène de mésinformation et pour utiliser la difficulté de monitorage des sources ?

A

Pour la mésinformation, on tente d’utiliser les mêmes mots que le client utilise.

Pour le monitorage des sources qui fait défaut, on utilise la confusion de l’imagination pour permettre la reconsolidation du souvenir

89
Q

Modèles connexionnistes de la mémoire

A

Selon ces modèles, la mémoire ne serait pas des items individuellement encodé, ce serai des patrons d’ativation neuronale.

90
Q

Quel est le fonctionnement de la création des patrons d’activité neuronale selon les modèles connextivistes ?

A

Quand un neurone est activé, il active les unités auquel il est connecté. Puis, le système inhibes certaines connections et excite d’autres connections entres les unités.

91
Q

La mémoire distribuée

Le modèle de la mémoire distribuée est basée sur plusieurs principes et théories. Quelles sont les 3 concepts qui soutiennent la mémoire distribuée ?

A

La théorie des assemblées cellulaires de Hebb : Apprentissage par contiguité temporelle

La théorie du traitement paralèlle distribué (TPD)

La potentialisation à long terme (PLT) : Processus biologique qui sous-tend le renforcement du TPD

92
Q

Explique

Théorie des assemblées cellulaire de Hebb : Forme d’apprentissage basée sur la contiguité temporelle

A

Sachant que part le fait que des connexions entre neurones qui s’activent ensemble se renforcent, la contiguité temporelle précise que c’est une activation presque simultané entre le neurone présynaptique et le postsynaptique qui renforcit la connexion. Quand la contiguité temporelle est présente, elle consolide la probabilité d’activation future du neurone postsynaptique après l’activation du présynaptique.

Le neurone présynaptique doit envoyé un potentiel assez fort pour qu’il active le neurone postsynaptique, sans quoi la connexion.

93
Q

Théorie des assemblées cellulaires de Hebb

Explique les 2 points important de la théorie reliés à l’engramme

A

1) L’enramme est largement distribué entre les connexions qui relient une assemblée de neurones entre eux
2) L’engramme pourrait impliquer les mêmes neurones que celles associées à la sensation et la perception.
Donc par principe de multimodalité, l’engramme implique les neurones des sens

94
Q

En se fiant à aux théories d’assemblée cellulaires d’Hebb, comment expliquerait tu l’équipotentialité de Lashley ?

A

Quand il y a un endommagement à une partie du cerveau, puisque l’engramme fait partie d’un réseau de connexions, il restera une partie des connexions pour prendre la relève

95
Q

Selon la théorie du traitement parallèle distribué quelle est la règle d’apprentissage et comment sont représenté la MCT et la MLT ?

A

Les règles d’apprentissages fonctionnent selon le principe que part l’ajout de lien supplémentaire au patron d’activité neuronale, il y a renforcement du lien par la contiguité temporelle, donc ça favorise la consolidation de l’information en MLT

La MCT (noeuds) : Elle est représentée par l’état d’activation à un temps donné (lorsqu’on porte attention)

La MLT (Lien synaptique) : Elle est représentée par le patron des connexions et le poids des connexions entre les noeuds.

96
Q

La potentialisation à long terme (PLT)

A

Représente le processus biologique du renforcement des connexions des synapes persistant et leur coopérativité qui sous-tend l’apprentissage et la mémoire.

Vient comblé le postulat de Hebb que les synapses voient leur effet et leur liens renforcés lorsqu’elles participent à la décharge du neurone postsynaptique

97
Q

L’exemple de la rose et de l’oignon

Pourquoi j’ai une meilleure consolidation de ce qu’est une rose si je la sens et que je la regarde que si je ne fait que sentir un oignon ?

A

Dans le cas de la rose (stimulus multisensoriel), l’expérience est plus riche et mémorable en raison de l’intégration multisensorielle, favorisant un apprentissage plus efficace et durable grâce à la PLT.

Dans le cas de l’oignon (stimulus unisensoriel), l’expérience reste limitée et moins susceptible de produire une forte potentialisation synaptique.

98
Q

Mémoire distribuée

Pourquoi je suis en mesure de voir le visage de Kenny même si j’ai eu une ablation au neurone lié au visage de Kenny selon le modèle de la mémoire distribuée. Est-ce que ce serait pareil selon le modèle de la mémoire non distribuée ?

A

Parce que quand le patron de connexions neuronales s’activent, même si mon neurone c) c’est plus là, mes autres neurones ont tout de même une activation dans le réseau, ce qui me permet de reconnaître le visage de Kenny.

Selon le modèle non distribué, si j’ai une ablation à mon neurone c), je n’aurai plus aucun neurone pouvant être activé puisqu’il était seul.

99
Q

Définit la synesthésie et ce qui la cause

A

Lorsqu’un stimulus d’une modalité sensorielle stimule un stimulus d’une autre modalité appropriée.

Lorsqu’on est jeune, nos modalités ne sont pas distinguées, en grandissant nous aurions un élagage synaptique de ce lien, mais certaines personnes gardent cette indifférenciation entres les modalités sensorielles

100
Q

Quelle est le type de synesthésie le plus fréquent ?

A

La chromestésie : Voir des couleurs pour des sons

101
Q

Comment appel-t-on quelqu’un qui a la particularité de synesthésie

A

Un synesthète

102
Q

Vrai ou faux : La synesthésie permet de mieux encoder l’information ?

A

Vrai !

103
Q

Il peut également y avoir une indifférenciation cognitives dans les processus perceptuels, quel est le nom du phénomène ?

A

L’image eidétique : Visualiser des images mentales de manière très vive et détaillé. L’image est généré de l’intérieure et projetée vers l’extérieur ! (mémoire et vision)