L’impérialisme Flashcards
Quels sont les postulat à et les aspects normatifs de l’impérialisme
Le Canada est membre de l’empire britannique qui forme un tout indivisible
Les canadiens anglais appartiennent à la même civilisation de les britanniques la sécurité du Canada est sssure par son appartenance à l’empire et les aspects normatifs lemçanada doit soutenir, contrivbuer à la sécurité de l’empire et éviter les ange est internationaux qui risque d’affaiblir ses liens avec l’empire.
Qu’est ce qui a en 1931
La proclamation du statut de Westminster qui consacre la pleine souveraineté des dominions
Décrit ce qui arrive en 1867 et en matière de
Il y a la création de L’acte de Amérique du Nord britannique qui vient définir les pouvoir du gouvernement canadien en matière de défense, navigation et pêcheries des provinces.
En matière de politique étrangères, les relations extérieurs sont soumises à Londres ou le Canada doit s’acquitter de ses obligations des traités passé entre l’empire et pays étrangers et le retrait des troupes à Kingston et à Québec mais restant sous le commandement britannique
Nomme trois autres choses que le gouvernement canadien doit faire
Aucun contact direct avec les gouvernement étrangers, la communication doit passer par le foreign office, les communications entre Ottawa et londre passe par le gouverneur général.
Malgré les prerequis du gouvernement britannique le Canada nomme des représentants nomme deux
John Rose à Londres à la suite de la création du poste de haut commissaire du Canada en 1980
Hector Fabre à Paris qui en 1982 sera nommé un agent général à Paris et deviendrait un représentant du gouvernement fédéral.
Comment les relations extérieures du Canada ont-elles été influencées par la volonté de Londres lors de la négociation du traité de Washington en 1871, et quelles en ont été les conséquences pour le Canada ?
Les relations extérieures du Canada sont soumises à la volonté de Londres, parfois à ses dépens. Lors de la négociation du traité de Washington (1871), le premier ministre canadien Macdonald siégeait au sein de la délégation britannique. Bien que Macdonald ait souhaité obtenir un droit de pêche perpétuel pour une somme de millions de dollars, sa demande a été refusée par Londres. Le traité n’a pas favorisé les intérêts du Canada, car l’Angleterre privilégiait ses relations avec les États-Unis, ce qui a provoqué un ressentiment au Canada contre l’Angleterre
Question : Comment le Canada a-t-il participé à la guerre du Soudan (1884-1885), et quelle a été la position du premier ministre Macdonald concernant l’envoi de contingents canadiens ?
Réponse : Face aux troupes du Mahdi, la Grande-Bretagne a fait appel à des voyageurs canadiens pour remonter le Nil. Environ 370 volontaires canadiens, recrutés et payés par les Britanniques, ont été envoyés, avec l’accord du premier ministre Macdonald. Cependant, Macdonald a refusé d’envoyer un contingent officiel canadien, contrairement à la Nouvelle-Galles-du-Sud, marquant ainsi ses réticences à participer plus largement à ce conflit
Quelle position Laurier a-t-il adoptée lors de la Conférence coloniale de 1897 concernant les relations du Canada avec la Grande-Bretagne ?
: Lors de la Conférence coloniale de 1897, Laurier a affirmé aux autorités britanniques que le Canada souhaitait avant tout défendre ses propres intérêts. Il s’est ainsi opposé à l’idée d’une Fédération impériale et d’une politique de défense commune, marquant une volonté d’autonomie pour le Canada
Comment la participation du Canada à la Deuxième Guerre des Boers (1899-1902) a-t-elle provoqué des divisions internes, et quelles en ont été les conséquences pour Laurier ?
Réponse : La décision de Laurier en 1899 d’envoyer un premier contingent de 1 000 volontaires canadiens en Afrique du Sud a provoqué des divisions internes. Au sein du cabinet, des tensions sont apparues, et Henri Bourassa a démissionné du Parti libéral pour fonder la Ligue nationaliste canadienne. Des critiques sont également venues de groupes pro-impériaux, comme l’Imperial Federation League, qui souhaitaient une plus grande intervention du Canada. Ces tensions ont mis Laurier dans une position inconfortable face à la guerre des Boers
Comment le Canada a-t-il participé à l’effort de guerre lors de la Deuxième Guerre des Boers, et comment sa contribution se compare-t-elle à celle de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande ?
Durant la guerre des Boers, le Canada a envoyé 6 000 combattants, 16 infirmières et 50 000 chevaux, avec l’envoi de troupes se poursuivant jusqu’en mai 1902. Le gouvernement canadien a contribué 3 millions de dollars à cet effort. Cependant, comparé à sa population de 5,4 millions, la contribution du Canada était moindre par rapport à l’Australie (16 415 combattants pour 2,4 millions d’habitants) et à la Nouvelle-Zélande (6 513 hommes pour moins d’un million d’habitants
Pourquoi la Guerre des Boers a-t-elle été impopulaire au Québec et quelles ont été les réactions des nationalistes canadiens-français ?
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Réponse : La Guerre des Boers a été impopulaire au Québec en raison des critiques des groupes pro-impérialistes de l’Ouest canadien et de l’Ontario, provoquant des émeutes à Montréal le 1er mars 1900. Les nationalistes canadiens-français, dirigés par Henri Bourassa, s’y sont opposés, affirmant que le Canada n’avait aucune obligation de défendre la Grande-Bretagne selon l’Acte de 1867. Ils refusaient ainsi toute participation aux guerres coloniales de l’Empire
Quel était le rôle initial du ministère des Affaires extérieures créé en 1909 sous l’action de Joseph Pope ?
: Le ministère des Affaires extérieures, créé en 1909, avait pour rôle initial de servir de “bureau de poste” pour contrôler la circulation des documents, sans pouvoir définir la politique étrangère, une prérogative qui restait sous le contrôle de la Grande-Bretagne.
Quelles ont été les conséquences de la dispute de l’Alaska pour le Canada et la relation avec la Grande-Bretagne et les États-Unis ?
La dispute de l’Alaska a provoqué une montée du nationalisme canadien et un ressentiment envers la Grande-Bretagne, ainsi qu’un sentiment d’hostilité envers les États-Unis. Le Canada a dû s’incliner après que le juge britannique Alverstone a soutenu les prétentions américaines sous la pression du président Roosevelt, ce qui a provoqué la colère de Wilfrid Laurier.
Quelles mesures ont été prises pour institutionnaliser les relations entre le Canada et les États-Unis après la crise de l’Alaska ?
Réponse : Après la crise de l’Alaska, plusieurs mesures ont été prises pour institutionnaliser les relations canado-américaines, notamment la négociation de huit traités et accords en 1911 pour régler des questions comme la pêche et les frontières. Des commissions bilatérales ont également été instaurées, telles que la Commission de la frontière internationale (1908) et la Commission mixte internationale pour la gestion des cours d’eau et des bassins hydrauliques communs.
Quels deux thèmes liés aux affaires extérieures ont contribué à la défaite de Laurier lors des élections de 1911 ?
La défaite de Laurier en 1911 a été influencée par deux thèmes clés liés aux affaires extérieures. Premièrement, la création d’une marine canadienne en 1910 a provoqué des divisions : les jingoistes pro-Britanniques trouvaient l’effort insuffisant, tandis que les nationalistes québécois craignaient que la marine ne soit réquisitionnée par l’Angleterre en temps de guerre. Deuxièmement, Laurier a tenté de négocier un accord commercial avec les États-Unis en 1911, suscitant des critiques parmi les milieux d’affaires canadiens qui y voyaient un risque pour l’indépendance du pays. Ces controverses ont pesé sur sa campagne électorale, entraînant sa défaite face aux conservateurs de Robert Borden.
