L'Histoire du design Flashcards
Générateur primaire, Darke, donald schon
Le design comme art appliqué (Chiapello Laureline)
Avant 1950
Jusqu’en 1950 le designer est considéré comme un artiste, un génie dû au fait que son processus est basé sur l’intuition. Chris Jones a qualifié ce modèle de boite noir, les savoirs sont difficile à définir. L’art est flou, mais peut être vu comme de L’art appliqué.
Le design comme science appliqué (Chiapello Laureline)
après 1950
Après 1950 la vision en tant que science appliqué prend de l’ampleur. Reste dominant jusqu’en 1967. Dans cette première génération des méthodes du design, les chercheurs rejettent totalement l’idée du designer artiste et la remplacent par celle du designer rationnel. Ils se tournent vers une conception logique, systématique et objective de l’acte de design. Résolution de problème
Le design des années 1960 (Darke)
La conception dominante était le modèle d’analyse-synthèse. Sachant qu’il y a plusieurs facteur à prendre en compte, l’espoir était de quantifier et expliciter les facteur subjetcifs et de transmettre une partie du traitement par ordinateur. Cela devait réduire les idées préconçu. On espérait que la synthèse des facteurs et la génération du formulaire par le concepteur pourraient se faire de manière relativement automatisée, avec un besoin minimal d’expression d’une évaluation subjective, ce qui était considéré comme un risque potentiel
Le générateur primaire (Darke)
S’appuyant sur [le modèle conjecture-analyse] proposé par Hillier et ses collègues, Darke propose ensuite le concept de générateur primaire comme moyen utile de conceptualiser une étape spécifique du processus de conception : l’étape qui précède la conjecture. Le générateur primaire est donc une composante de la structuration cognitive du concepteur. Darke fait référence aux générateurs primaires comme étant des idées, des concepts, des contraintes (auto-imposées), des buts principaux ou des objectifs. le générateur primaire n’est pas l’image conceptualisée d’une solution (c’est-à-dire la conjecture), mais fait plutôt référence aux « idées » antérieures qui ont contribué à générer cette conjecture.
générateur-conjecture-analyse
La révision du générateur primaire (Darke):
le processus générateur-conjecture-analyse s’appuie fortement sur l’expérience des concepteur nécessite très peu de données authentiques sur les utilisateurs de batiments. Utile tout de même car la valeur de la production peut être évalué purement face aux exigence opérationnelles. L’implication est que la recherche originale et l’observation systématique sont à la fois peu pratiques et chronophages(Qui demande beaucoup de temps). Elle modifie explicitement cet objectif descriptif dans l’article publié en 1984. il est nécessaire que les architectes reconnaissent l’importance d’avoir une vision ou une image suffisamment complexe de leurs utilisateurs avant toute tentative d’élaboration d’une solution.
La perspective de Jane Darke:
Elle affirme la valeur de l’attention portée aux jugements et aux choix subjectifs des architectes, en particulier dans les premières phases d’un processus de conception. cette idée laisse présager l’importance accordée à la réflexion et au cadrage. une grande partie de la conception implique un va-et-vient itératif entre la fixation de contraintes (auto-imposées) et les conjectures préfigure les travaux ultérieurs exposant la coévolution du problème et de la solution.
Socle de connaissance-générateur primaire-hypothèse-analyse-ptoto-test
Les travaux de Donald Schön sur le design:
Le véritable tournant va alors se produire avec l’arrivée de l’ouvrage de Donald Schön, The Reflective Practitionner: How Professionals Think in Action (1983). Remettant en cause les modèles rationalistes, il va proposer une nouvelle épistémologie (Discipline qui prend la connaissance scientifique pour objet) de la pratique, où le savoir professionnel n’est plus un savoir appliqué (art appliqué, esthétique appliquée ou science
appliquée), mais un savoir à part entière, qui émane de la pratique […] Schön décrit cette capacité à créer de nouvelles connaissances pour faire face à une situation en tant que processus de « réflexion en action » […] [Il s’agit de] réfléchir à un double niveau : dans la pratique, et sur [soi]-même en train de pratiquer. C’est ce que Schön nommera une « **conversation réflexive avec la situation **[…] et qui deviendra son modèle du processus de
design