Investissement Flashcards
Investissement net
Investissement brut - investissement de renouvellement
FBCF
Formation brute de capital fixe
- bien durables
- logiciels
PAS : R&D, formation
“Actifs corporels ou incorporels issus de processus de production et utilisés de façon répétée ou continue dans d’autres processus de production pendant au moins un an.”
Déterminants de l’I (chefs d’entreprise/macro)
Chef d’entreprise : Profits > Facteurs techniques > Demande > Financement
Macro : Demande
Autofinancement
Epargne = Ivt
cf loi de SAY
Crise des années 1970
Maintien des salaires, donc réduction des capacités d’autofinancement des entreprises, baisse des taux de marge.
Puis tournant de la rigueur en 1982-83 : blocage de la progression des salaires
Théorème de Schmidt (1974)
Politique de l’offre
“Les profits d’aujourd’hui font les investissements de demain et les emplois d’après-demain”
VAB
= valeur de la production - valeur des consommations intermédiaires + subventions
EBE
= VAB - salaires
Taux de marge
= EBE / VAB
Lien avec l’I : ivt augmente quand tx augmente, mais quand tx de marge diminue, ivt dimininue encore plus
Taux d’investissement
= FBCF / VAB
Taux d’autofinancement
= Epargne brute / FCBF
Capacité à financer ses propres investissements (potentielle et non réalisée)
VAB se divise en
- EBE –> IVT + Rémunérations actionnaires
- Salaires
Le modèle de Fisher
Anticipations parfaites + tx d’î unique de LT
Investissement si taux de rendement interne du K (a) > taux d’intérêt (r)
–> Coût d’opportunité du K
I = f(r) avec f’(r) < 0
(Reflète les contraintes de financement, dépend du niveau du taux mais aussi taille de l’entreprise)
Corrélations en taux d’intérêt et investissement en FR (5 étapes, 1970 - aujourd’hui)
- Trente glorieuses
Taux d’î très bas, contrôlés par la BDF, avec bonification quand tx réel négatif , fort ivt –> Seule période où le tx d’î est explicatif - Crise des années 1970
Hausse de l’inflation, et hausse tx nominaux : tx réels très bas. Mais baisse ivt –> Non corrélé - Fin des années 1970
Rigueur et monétarisme. Hausse des taux d’intérêt nominaux, inflation basse : taux réels forts, baisse ivt –> Corrélation - 1980-2000
Taux d’î stable mais ivt fluctuant –> Accélérateur - depuis la crise des subprimes
tx bas –> Pas de corrélation car rationnement du crédit
Profitabilité, Edmond MALINVAUD
= taux de rentabilité anticipée de l’ivt - taux d’intérêt
néo-keynésien
James TOBIN
Idée : utiliser les évaluations du marché, convention
q marginal = (∆ valeur boursière) / (coût invt)
–> bonnes corrélations entre 1975 et 1990
q moyen = (valeur boursière) / (valeur stock de K)
Théorie de l’accélérateur, AFTALION et CLARK
dont 3 hypothèses
HYP :
- Contrainte de débouchés
- Pas de stock
- Plein de emploi des facteurs de production
Anticipation demande –> Ivt –> Production
K = v Y I = v dY Dans les économies développées, v > 1 car forte accumulation du K --> La variation de l'ivt est plus que proportionnelle à la variation de Y --> Effet multiplicateur car feedback --> Volatilité
Prolongement de la théorie de l’accélérateur, KOYCK
Modèle d’accélérateur flexible
Deux facteurs expliquent les variations :
- fluctuations de la croissance
- stock de K
–> Meilleur indicateur en France depuis 1974@
Théorème de MODIGLIANI-MILLER
S’il existe un marché financier parfait, alors il n’existe aps de structure financière optimale pour le financement des entreprises
–> Taux d’î unique
–> Neutralité de la finance
–> Dichotomie sphère réelle / sphère financière
Vrai pour les grandes entreprises, moins pour les PME
Asymétries d’information entre prêteurs et emprunteurs
- Prime de risque
- Rationnement du crédit
- Renforcer qualité de l’information : rôle des agences de notation
Différents types de capitalisme, Bruno AMABLE
- Anglo-saxon : fort recours au marché financier, très tôt
- Rhénan : fort lien entre capitalisme et banques depuis la RI, ouverture récente sur les marchés financiers
- France + pays latins : fort rôle de l’Etat, “grand banquier” des Trente glorieuses