Introduction Partie 2 Flashcards

1
Q

Qu’est ce que la perspective LIFE-SPAN

A

Utilise le développement phylogénétique

  • Rejet de la croyance que on évolue petit, se stagne adulte et se diminue à la vieillesse
  • l’âge adulte n’est pas une étape uniforme, chaque crise est développementale
  • le nouveau né n’est pas tabula rasa, il a des compétences précises
  • les événements vécus fœtus et bébé ont des effets sur le développement ultérieur

Certaines choses on évolué :
Démographique : on vit + longtemps grâce aux soins apportées
Technologique : étude de l’évolution du fœtus grâce aux échos
Socio-éducatives : effet Tanguy = année études sup

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2
Q

Rejet de la croyance ( Life-span )

A

Le développement se caractérise par un accroissement pendant l’enfance, un état stationnaire à l’âge adulte et une décroissance durant la vieillesse.

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3
Q

L’âge adulte n’est pas… ( Life-span )

A

Une étape uniforme, tout changement dans les exigences sociales
provoque une crise développementale.

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4
Q

Le nouveau né ( life-span)

A

n’est pas tabula rasa, dépourvu de compétences. Il a des compétences précoces

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5
Q

Les événements vécus pendant la vie prénatale (fœtus) et à la naissance ont… ( life-span)

A

des effets sur le développement ultérieur.

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6
Q

Évolution démographique

A

vieillissement de la population ; + longue espérance de vie grâce à l’évolution de la médecine et des mesures de protection sociale. Meilleure qualité de vie.

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7
Q

Évolution technologique

A

évolution de l’étude du fœtus est rendue aisée grâce aux échographie et évolution des technique de reproductions assistées.

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8
Q

Évolution socio-éducatives

A

l’effet Tanguy = prolongation de la durée de la scolarité.

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9
Q

Empirisme

A

Considère que le bébé n’a pas de connaissance à la naissance, elle se construit à partir des expériences sensorielles. Son esprit est « tabula nasa » selon John Locke.

Sont acquis : les caractères postnatals dépendant de l’environnement.

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10
Q

Nativisme

A

Considère que l’enfant dispose dès sa naissance de formes de connaissances qui
lui permettent d’appréhender son environnement.

Sont inné : les caractères biologiques ou psychologique, que l’être vivant possède à la naissance ; et qui sont censé ressortir à sa nature.

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11
Q

Approche maturationniste

A

La force qui nous pousse à nous développer est endogène et non exogène ; elle est à l’intérieur de l’individu et non à l’extérieur. L’environnement ne génère pas la progression
du développement, il précise mais n’engendre
pas l’ontogénèse

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12
Q

Béhaviorisme

A

Peu importe l’enfant que l’on a, peu importe leur
profil génétique, leur vocation, tendance et
habilité, nous pouvons en faire ce que nous
voulons qu’ils soient.

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13
Q

Concept horloge biologiques

A

Il désigne un mécanisme qui régule ma séquence normale des événements et des rôles sociaux au cours de la vie de l’individu (âge de la scolarité, du mariage, de la maternité).

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14
Q

Le contexte familial

A

Le contexte familial est également responsable du développement. Il évolue constamment, les structures familiales sont aujourd’hui plus diverses : famille recomposée, homoparentale,…

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15
Q

Contexte socio-économique

A

Le contexte socio-économique a aussi un rôle ; on le détermine en fonction de variables telles que les
revenus, l’éducation, le lieu de résidence.

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16
Q

Contexte historique

A

Les événements marquants modèlent la vie des individus. La façon dont on voit les choses dépend fortement de la génération à laquelle on appartient. C’est l’effet de Cohorte.(Traumatismes communes à tous )
E.g. Julie et Mélissa ou mai 68

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17
Q

La méthode expérimentale

A
  1. QST de recherches
  2. Formulation d’hypothèses
  3. L’expérimentation
  4. Mise en place du recueil
  5. Analyser et interpréter les résultats
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18
Q

Approche longitudinale

A

lle permet de suivre les mêmes personnes durant une période de temps donnée. Comparaisons intra individuelles (= comparer l’enfant à lui-même, observer ses changements dans le temps)

• Avantage : finesse des observations.
• Inconvénients : la perte des sujets (mortalité) et effet test-retest (risque de mémorisation des épreuves à force de les faire).

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19
Q

Approche transversale

A

Elle permet de comparer à un moment donné, des groupes et personnes d’âge différents On prend de grands groupes de sujets qu’on appelle « cohortes » et on leur donne une tâche à réaliser.
Comparaisons interindividuelles (entre les groupes)

• Avantage : on teste le sujet une seule fois, on ne doit pas attendre leur dvp.
• Inconvénients : les groupes n’ont pas eu le même environnement/éducation. Difficile de voir si les changements sont liés au dvp ou à leur vie différente.

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20
Q

L’approche transversale séquentielle

A

Une hybride des études transversale et longitudinale pour compenser les limites des autres. Suivi de plusieurs cohortes à la fois, durant une période donnée. Il s’agir d’une combinaison de l‘étude transversale et longitudinale.

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21
Q

Jean Piaget

A

Né en Suisse ( 1896 -1980) , au départ biologiste adaptation des organismes travaille à Paris à l’élaboration d’un test de raisonnement (avec Binet); pq erreurs ?
Epistémologie génétique : comment se construisent les connaissances?
Psychologue, professeur à Genève +…. , considéré comme un des fondateurs de la psychologie du XXème siècle,
Invente la “méthode clinique “
Théorie des stades du dvpt de l’intelligence et de la pensée
constructivistes

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22
Q

Sigmund Freud

A

Etudes de médecine à Vienne, ensuite travaille en qualité d’interne et de chercheur
Observe les manifestations de l’hystérie, (avec Charcot, Paris)
Séjour à Nancy: s’intéresse aux expériences de suggestion post- hypnotique ( prof Bernheim )
Crée la psychanalyse ; révèle les processus inconscients,l’Interprétation des rêves, propose une typologie des névroses et des stades du dvlopt psycho-affectif

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23
Q

Perspective cognitive / approche constructivistes de piaget

A
  • S’oppose à Chosmky qui considère que le langage se développe à partir de connaissances innées.
  • S’oppose à Descartes (1596- 1650), pour lui, l’intelligence est le don de Dieu, c’est lui qui a déposé nos connaissances dans notre esprit à la naissance.

Pour Piaget, l’enfant construit ses connaissances à l’aide de ses conduites d’exploration, observées à l’aide de tâches spécifiques.
Adaptation = Intelligence

24
Q

Épistémologie de Piaget

A

Intérêt pour l’épistémologie comment se construisent les connaissances (= histoire des sciences) mais c’est long à faire, l’enfance devient le terrain de l’épistémologie.
Approche ontogenèse

25
Q

4 stades du dvlpmt selon Piaget

A

1) Naissance – 2 ans
2) 2 ans – 7 ans
3) 7 ans – 11 ans
4) 11 ans – à l’âge adulte

26
Q

4 facteurs du dvlpmt selon Piaget

A

Maturation du système nerveux.
Expérience : les enfants progressent par essais-erreurs.
Facteurs sociaux : stimulations et apprentissages favorisés par les adultes.
Processus d’équilibration

27
Q

La croissance organique

A

est responsable de l’ordre invariant de succession des stades.

28
Q

L’action sur les objets

A

est la connaissance physique et logico-mathématique des objets de la réalité, elle fait évoluer les connaissances.

29
Q

Les facteurs sociaux

A

sont nécessaires à l’achèvement des structures de l’intelligence, l’entourage stimule l’enfant.

30
Q

L’équilibration comprend trois phases

A

équilibre dans une structure,
déséquilibre,
nouvel équilibre avec construction d’une nouvelle structure

31
Q

Pour s’adapter, les individus organisent leur pensée en structures de connaissance (schème).

A

Un équilibre cognitif permet de faire en sorte que la structure de pensée (schème) et la structure de raisonnement qu’ils ont est compatible avec la réalité.

Le déséquilibre c’est lorsqu’il y a un manque de compatibilité entre la manière dont je réfléchis et ce que je vis dans la réalité donc ils vont éviter le ceci.

L’assimilation et l’accommodation sont les processus par lesquels les individus s’adaptent à leur environnement et organisent leurs savoirs à travers les processus. Permet l’équilibre.

32
Q

Assimilation

A

L’assimilation envoie à la capacité que nous avons d’intégrer le changement dans la mesure où il « s’assimile » à ce que l’on connaît déjà…

33
Q

Accommodation

A

L’accommodation envoie à la nécessité de revoir notre perception de la réalité pour y intégrer les éléments nouveaux que cette même réalité nous renvoie

34
Q

Le schème

A

Un schéme est une structure cognitive interne qui fournit à l’individu une procédure à suivre, un « programme de traitement » dans une circonstance donnée. Il peut être sensoriel, moteur ou mental.

35
Q

Néo-cognition

A

courant qui considère que dès la naissance, le bébé humain possède un ensemble de compétences intellectuelles. S’oppose à la Tabula Nasa.

36
Q

Philippe PINEL (1745-1826)

A

Médecin aliéniste et philosophe français : ans “Nosographie Philosophique ou Méthode de l’analyse appliquée à la médecine” publiée en 1798, il décrit les maladies moins par leurs symptômes que par les organes lésés

Conditions d’enfermement exécrables décrites par Esquirol : « Je les ai vus dans des réduits étroits, sales, infects, sans air, sans lumière, enfermés dans des antres où l’on craindrait de renfermer des bêtes féroces,.. »

37
Q

Charcot

A

est celui qui va inventer la maladie dont souffre Stéphane Hackings : la sclérose latérale amyotrophique (SLA), également appelée, dans le monde francophone, maladie de Charcot.
Il utilise un traitement pour l’hystérie qui est l’hypnose, c’est un état de sommeil nerveux dans lequel il est facile de plonger une personne en utilisant l’induction par la fixation sur un objet brillant.

38
Q

Nous pouvons observer 4 phases dans une crise d’hystérie

A

La première ressemble à une crise d’épilepsie. Elle est précédée de signes discrets et s’accompagne d’une perte de connaissance.

La seconde est marquée par des contorsions acrobatiques.

La troisième est celle où le patient manifeste des émotions : peur, tristesse, excitation sexuelle, extase, etc.

Enfin, la phase finale : patient délire, il a des hallucinations et tient des dialogues imaginaires

39
Q

Fonction des symptômes

A

Chaque fois qu’il y a symptôme, il faut conclure à certains processus inconscients qui contiennent le sens de ce symptôme mais il faut que ce sens soit inconscient pour que le symptôme se produise.

40
Q

La pulsion est définie par Freud comme une poussée constante et motrice qui vise à une satisfaction

A

• Pulsions de vie / de mort ; s’actualise dans l’autoconservation de soi / la destruction de soi
• Pulsions sexuelles (attention = sens commun, =assouvir ses désirs) : il ne s’agit pas de sexualité génitale mais « d’une série d’excitations et d’activités qui procurent un plaisir irréductible à l’assouvissement d’un besoin physiologique fondamental »
• Stades de développement : Fixation de la libido sur des zones → oral, anal, phallique, génital.

41
Q

Perspective biologiques - Arnold Gessel

A

Ce psychologue et pédiatre américain a illustré cette théorie. C’est un pionnier dans le domaine du développement de l’enfant. Il a un intérêt précoce pour la déficience mentale. Il étudie les individus typique pour mieux comprendre les enfants atypiques.
Premier psychologue à avoir étudié au moyen d’une caméra de cinéma le développement de l’enfant de la naissance à 16 ans.

Obs. clinique : méthode qualitative qui de base sur l’observation

Ressources technologiques : camera ou miroir sans tain

42
Q

La perspective comportementale - Burrhus Frederic Skinner

A

Psychologue et penseur américain (1904-1990) fondateur du behaviorisme avec Watson, il a été fortement influencé par les travaux d’Ivan Pavlov.

Son concept : le conditionnement opérant - c’est par ce mécanisme que l’on peut expliquer des apprentissages ; lien entre stimulus et réponse. ( renforcement et punition +/-

43
Q

La perspective psychodynamique - Erik Erikson

A

Psychanalyste qui s’oppose à Freud. La théorie du développement psychosocial relègue la maturation au 2e rang et tient compte de l’interaction entre processus psychologiques et socioculturels

Objet : la manière dont l’individu parvient plus ou moins facilement à construire une représentation cohérente de lui-même, à partir de son histoire et en envisageant ce qu’il souhaite devenir
Les “crises“ pour devenir soi même sont soit + soit -

44
Q

Développement psychosocial

A

Si la qualité de la relation entre l’enfant et sa mère est bonne, l’enfant va concevoir son milieu comme aimant, bienveillant, fiable.
Dans le cas contraire, il percevra celui-ci comme hostile, inconsistant. La confiance est la base d’une vie épanouie, de bonnes relations interpersonnelles.

45
Q

Chaque stade du développement psychosocial présente les caractéristiques suivantes :

A

• Comportent deux pôles chacun, un négatif et un positif (par exemple confiance – méfiance) ;
• Résolution de la crise par intégration de manière constructive des pôles opposés (équilibre) ;
• La résolution positive fait émerger une force adaptative (espoir) ;
• L’intégration de chaque stade dans le suivant.

46
Q

La perspective humaniste - Carl Rogers

A

Fondateur de l’approche centrée sur la personne. Il a une vision fondamentale positive de la personne et estime qu’il faut accorder une confiance importante à la capacité qu’ont les patients de se développer.
Les concepts :
• Tendance actualisante
• La congruence du thérapeute
• La considération positive inconditionnelle du client
• La compréhension empathique, sans jugement ni évaluation

47
Q

Tendance actualisante

A

Tout organisme est animé d’une tendance inhérente à développer toutes ses potentialités et à les développer de manière à favoriser sa conservation et son enrichissement. Elle nous permet de surmonter les difficultés.

48
Q

3 attitudes fondamentales pour que le patient règle lui même ses problèmes

A
  • être transparent avec son patient
  • Accepter le patient comme une personne de valeur, pas de jugements
  • Beaucoup de compréhension = être empathique

Si ses 3 attitudes sont remplis alors :

Le patient est + confiant a s’auto diriger, il est + positif envers lui-même en ne vas plus refouler ses émotions, il va être plus mure et sociable.

49
Q

La perspective cognitive - Lev Vygotsky

A

La principale thèse de son approche : les relations sociales sont la source et l’origine du développement des fonctions psychique de l’enfant. Il réalise l’étude expérimentale des fonctions psychiques supérieures : la pensée, la mémoire, l’attention, la pensée, etc.
Deux lignes dans le développement : le développement naturel et le culturel des fonctions psychologiques.

50
Q

Bronfenbrenner: la théorie écologique

A

Théorie interactionniste : l’individu se développent en interaction avec son environnement

Théorie modélisée par des emboîtements de milieu qui interagissent entre eux et concours au développement de l’enfant (poupée russe).

51
Q

Le microsystème :

A

l’ensemble des milieux sociaux qui ont une influence directe et immédiate sur la personne (famille, groupe de pairs, école, quartier).

52
Q

Le mésosystème :

A

les liens entre les différentes composantes du microsystème (rel. parents/école, employeur/salarié).

53
Q

L’exosystème :

A

a une influence indirecte sur les composantes du microsystème car ils définissent des normes/lois (pratiques culturelles, éducatives, sociales, politiques).

54
Q

Le macrosystème :

A

ce qui regroupe tous les contextes de développement, composé des traditions, valeurs culturelles, tendances économiques, conditions sociales (a une influence subtile et à long terme).

55
Q

Approche épigénétique

A

Conception interactionniste des relations entre l’inné et l’acquis. Différences individuelles de sensibilité à l’environnement.
Épigénétique = au-delà de la génétique. L’inné n’est pas fixe, l’environnement peut le modifier.