Intra: THÈME 1 (histoire) Flashcards
Pouvoirs du Conseil de l’instruction publique (4)
-Concevoir et choisir manuels scolaire
-Rédiger les programmes
-Décider des règlements de la scolarisation
-Identifier les qualifications requises pour enseigner
De quelle date à qu’elle date l’instruction publique est la seule institution chargée de gérer l’éducation?
1859 à 1960
De quelle date à quelle date les programmes-catalogues sont approuvés par le comité catholique?
de 1888 à 1905
Quelles sont les disciplines dans les programmes-catalogues
- Français
- Mathématiques
- Histoire
- Religion
Vrai ou Faux: les méthodes pédagogiques et d’évaluation sont prescrite
VRAI
Vrai ou Faux: Les collèges classiques établissent leurs propres programme
VRAI
En quelle année le comité catholique instaure des examens officiels?
1932
À quoi mène la réussite des examens officiels instaurés par le Comité catholique?
- La réussite mène à l’obtention du diplôme d’études primaires
-Uniformisation des conditions de diplomation.
Pourquoi y a t’il de la pressions des industries sur le système d’éducation?
Pour assurer l’uniformité dans la qualification de la main d’oeuvre.
En quelle année la création d’un ministère de l’Éducation est-il créé?
1964
En 1962, quelle pourcentage des adolescents de 16 ans étaient scolarisés?
51%
En 1977, quelle pourcentage des adolescents de 16 ans étaient scolarisés?
82%
En quelle année nous avons pu voir la publication du Rapport de l’enseignement primaire et secondaire au Québec?
1977
qu’elles étaient les critiques dans le rapport de l’enseignement primaire et secondaire? (5)
- critiques nombreuses et persistantes de programmes cadres
- Nbr d’É élève dans les polyvalentes, moins de Commissions scolaire
-Programme peu précis, sans objectifs terminaux - Pas de moyens précis pour évaluer la progression des É
- Manque d’encadrement dans le travail des enseignants
Date de publication du rapport de L’école québécoise (Livre orange)
1979
Qu’avait pour but le rapport de l’école québécoise. Énoncé de politique et plan d’action, mieux connu sous le nom de Livre orange.?
-Définir les valeurs de l’éducation.
-Définir les objectifs généraux, ainsi que les objectifs spécifiques pour chaque discipline.
date d’Arrivée des «programmes par objectifs» pour remplacer les «programmes cadres».
1981
Ce que l’Arrivée des «programmes par objectifs» pour remplacer les «programmes cadres» à amenée (5)
-Une plus grande précision dans les nouveaux programmes
-Le contenu et le matériel sont fournis par le ministère de l’Éducation, alors que méthodes sont laissées aux enseignant.e.s.
-Des guides d’enseignement et d’évaluation sont également fournis par les CS.
-Contrôle plus strict des manuels didactiques
-Moins d’autonomie pour l’Enseignant
Quelle est la date de la formulation d’une politique générale d’évaluation pédagogique.
1981
la Formulation d’une politique générale d’évaluation pédagogique permet de… (2)
-Fournir les moyens techniques et précise les interventions à favoriser pour chacun des programmes.
-Les enseignant.e.s doivent suivre le progrès des élèves, en faire ressortir les forces et les faiblesses, et redéfinir leurs actions afin de répondre aux besoins de la classe.
VRAI ou Faux: la Formulation d’une politique générale d’évaluation pédagogique mène à un encadrement plus rigide des pratiques évaluations
VRAI : triple responsabilité (enseignante, commission scolaire et ministère de l’éducation.
VRAI OU FAUX: les enseignant(e)s dispensent de la même souplesse quant à l’éval des élèves autant au primaire qu’au secondaire.
FAUX : au primaire, les enseignant(e)s ont plus de souplesse en raison de la complexité du développement de l’enfant.
Pourquoi les enseignants ont plus de souplesse dans leurs évaluation au primaire qu’au secondaire?
-Les épreuves ministérielles n’auront pas d’incidence directe sur la passation de l’élève.
-A contrario, l’obtention du diplôme secondaire sera conditionnelle à la passation de l’épreuve ministérielle
Le régime de certification de l’élève change, afin de renforcer la qualité du diplôme.
Nommes 4 changements
-Tous les cours compteront désormais à la diplomation des élèves.
-Des cours deviennent obligatoires, d’autres optionnels, selon l’année et l’ordre.
-Vérifier le plan d’évaluation pour la dernière année du secondaire, pour laquelle aucun examen ministériel n’est prévu.
-Évaluer la qualité de l’enseignement, des programmes, du rendement des établissements et du personnel.
Pourquoi On constate que les pratiques évaluatives dans les écoles n’ont pas l’effet de réguler les apprentissages. (2)
-L’évaluation formative se résume trop souvent à un exercice d’évaluation dont les notes «ne comptent pas».
-L’absence d’une politique claire et bien définie se fait ressentir sur la qualité des pratiques évaluatives scolaires.
Quels sont les deux points soulevés par le conseil supérieure de l’éducation lorsqu’il à fait le point sur la situation de l’éval des apprentissages (2)
-Plusieurs dénoncent le rôle «sélectif» qui est accordé aux pratiques évaluatives, ce qui accentue la discrimination sociale, un frein à l’égalité des chances.
-D’autres remettent en question le caractère essentiellement quantitatif des résultats scolaires, favorisant le déterminisme en pédagogie.
En 2003, Le ministère de l’Éducation élabore une politique destinée à l’évaluation des apprentissages, qu’est qu’on peut y retrouver (8)
-Une définition de l’évaluation.
-Les principes et les valeurs de l’évaluation.
Les fonctions de l’évaluation.
-La place du bilan des apprentissages.
-Les formes que prennent les épreuves.
-Le bulletin scolaire.
Le rôle de l’élève dans l’évaluation.
-Le fonctionnement du processus d’évaluation.
Quelle caratéristiques fait de l’évaluation des apprentissages un acte professionnel?
Le jugement de l’enseignant(e)
pourquoi l’enseignante doit-elle faire preuve de jugement?
Deux principales fonctions de l’évaluation des apprentissages
-L’aide à l’apprentissage «favorise sa régulation ainsi que la mise en place de moyens différenciés pour répondre aux divers besoins des élèves».
-La reconnaissance des compétences permet de «vérifier si le niveau attendu de développement des compétences est atteint» (p.58).
Pourquoi n’est-il plus question d’évaluation formative ou d’évaluation sommative ?