intra final 35% Flashcards

1
Q

psychotropes

A

substances qui ont des effets sur les neurotransmetteurs, altèrent la conscience, peuvent créer une dépendance

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2
Q

différence entre usage récréatif et usage excessif de psychotropes

A

Usage récréatif : pas de problème, occasionnel, recherche de plaisir
Usage excessif : abus, perdre la maîtrise de ses comportements et des quantités, ça entraîne des
conséquences sur la personne et son entourage

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3
Q

c’est quoi une dépendance physique

A

le corps s’est adapté à la présence continue du psychotrope

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4
Q

dépendance psychologique

A

pensées/émotions/comportements gravitent autour du psychotrope

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5
Q

sevrage et effet psychologique et physique

A

cesser de consommer
- psychologique : ensemble de réactions psychologiques, la
personne a besoin de consommer sinon=anxieuse/triste/en colère/hallucinations/pensées suicidaires,
- physique : tremblements/nausées/maux de tête/douleurs/problèmes cardiaques/mort (certains cas)

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6
Q

tolérance

A

augmenter les doses au fil des consommations afin d’obtenir les mêmes effets qu’au début

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7
Q

toxicité

A

effet nocif d’une substance sur le corps

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8
Q

facteurs bio psychosociaux ( dépendance )

A
  • système de récompense impliquant la dopamine plus sensible,
  • détresse psychologique (souffrance, discrimination, solitude),
  • contexte social rend la drogue/activité accessible et dicte les façons de s’y adonner
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9
Q

4 catégorie de psychotropes

A
  1. dépresseur : diminue activité du systèmes nerveux ( alcool)
  2. stimulants : augmente activités du systèmes nerveux ( cocaïne, café)
  3. analgésique ( opiacé) : enlève la douleur ( morphine)
  4. hallucinogène : brouillant fonctions cognitives ( cannabis, LSD )
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10
Q

méditation ( 7 caractéristiques )

A
  • Centrer son attention sur sa respiration, une image ou un vide
  • Réduire les multitâches pour réduire le nombre de neurones actifs dans le lobe frontal
  • Apprendre à vivre au moment présent plutôt que dans le passé ou l’avenir permet de calmer le corps et l’esprit
  • Permet de diminuer le stress, l’anxiété, la douleur, la pression artérielle, améliore
  • l’humeur et la coordination des 2 hémisphères
  • Il peut y avoir des effets non-souhaités comme des émotions désagréables ou une accentuation des humeurs dépressives et anxieuses
  • Le lâcher-prise favorise la santé mentale et la conception de nouveaux points de vue (créativité)
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11
Q

hypnose ( 5 caractéristiques)

A
  • focalisation de l’attention
  • attitude détendue, passive et réceptive
  • plus grande volonté de répondre aux altérations de perceptions
    -diminution sensibilité et de la douleur
  • propension de l’imagination et aux hallucinations
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12
Q

quelles sont les fausse croyance de l’hypnose et quelle sont les personne qui sont le plus propice à se faire hypnotiser ?

A
  • Fausses croyances : on ne peut pas manipuler une personne à son insu et la faire agir contre son
    gré, il faut que la personne collabore et soit consentante
  • Les gens qui se font hypnotiser plus facilement focalisent naturellement leur attention, sont
    ouverts aux nouvelles expériences et sont imaginatifs
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13
Q

apprentissages associatifs (béhaviorisme)

A

famille d’appartenance dans laquelle le sujet acquiert de nouveaux comportements en reliant 2 phénomènes entre eux sans que la réflexion soit nécessaire (ex : ver de terre)

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14
Q

extinction

A

La réponse conditionnelle disparait par suppression du stimulus inconditionnel

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15
Q

recouvrement spontané

A

Après l’extinction de la réponse conditionnelle, celle-ci réapparaît parce
qu’il y a eu une nouvelle association entre le stimulus conditionnel et le stimulus inconditionnel

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16
Q

généralisation

A

Réponse conditionnelle à tous les stimuli neutres semblables au stimulus conditionnel ou associés à la réponse inconditionnelle

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17
Q

discrimination

A

Face à des comportements trop différents du comportement opérant ou entraînant des conséquences trop différentes

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18
Q

conditionnement répondant

A

Pavlov, un stimulus au départ neutre, après avoir été associé à un stimulus entraînant par réflexe une réaction innée, finit par acquérir le même impact

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19
Q

stimuli inconditionnel

A

évènement hors du contrôle de la personne, déclenche une réaction involontaire, stimulation qui provoque la même réponse chez tout le monde

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20
Q

stimuli conditionnel

A

transformation, ce qui était neutre au départ

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21
Q

qu’est ce qui explique le développement d’une phobie de l’eau

A

Au départ, l’eau est un stimulus neutre (aucune réaction sauf de l’intérêt).

Pendant le conditionnement, stimulus neutre (eau) + stimulus inconditionnel (dires des parents, traumatisme comme une quasi-noyade, film de peur, etc.) = réponse inconditionnelle (peur)

Après le conditionnement, stimulus conditionnel (eau) crée un lien avec la réponse conditionnelle (peur)

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22
Q

conditionnement opérant

A

Skinner, action qui entraîne une conséquence qui vient affecter le comportement, la conséquence peut soit augmenter (renforcement, ex : argent, diplôme, médailles, compliment, remerciement, résultats scolaires) les chances qu’il y ait répétition du comportement, soit le diminuer (punition, ex : être retiré, prison, regards désapprobateurs, amendes, dettes, insultes, mauvaise note)

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23
Q

renforcement positif

A

augmentation de la probabilité d’apparition d’une réponse dont la conséquence est l’obtention d’un STIMULUS AGRÉABLE

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24
Q

renforcement négatif

A

augmentation de la probabilité d’apparition d’une réponse dont la conséquence est d’enlever un STIMULUS DÉSAGRÉABLE

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25
Q

punition positive

A

réduction de la probabilité d’apparation d’une réponse dont la conséquence est d’obtenir un STIMULUS DÉSAGRÉABLE

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26
Q

punition négative

A

réduction de la probabilité d’apparition d’une réponse dont la conséquence est de retirer un STIMULUS AGRÉABLE

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27
Q

apprentissages cognitifs

A

Famille d’apprentissages dans laquelle le sujet acquiert de nouveaux comportements et pensées par un traitement intellectuel de l’information

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28
Q

apprentissage par intuition

A

Köhler, perception instantanée de relations existant entre les éléments d’un problème permettant sa résolution, déclic mental

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29
Q

Apprentissage latent

A

Tolman, carte mentale ayant déjà eu lieu, mais qui ne se manifeste que lorsque la situation l’exige, on ne se rend pas compte que l’on apprend quelque chose, (latent=caché), ex : exercices de feu, trouver son chemin dans sa ville

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30
Q

apprentissage par observation

A

Acquisition d’habiletés/attitudes par imitation d’un modèle, exige de prêter attention au modèle, de comprendre et mémoriser le comportement du modèle, le reproduire et être motivé par conditionnements (conditionnements répondant et opérant peuvent être acquis par observation), ex : enfants qui reproduisent des modèles agressifs provenant de la télévision)

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31
Q

apprentissage par concepts

A

Utilisation de représentations mentales (symboles tels que des mots et des chiffres) afin de recenser les éléments d’un problème, d’établir des liens entre eux, d’élaborer des hypothèses et de conclure en choisissant la meilleure d’entre elle, le plus complexe (juste les humains), ex : matières scolaires

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32
Q

mémoire

A

Aptitude à coder, emmagasiner, repêcher des informations, processus cognitif (pas un état fixe)

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33
Q

Structure neurologique : hippocampe

A

structure du système limbique, permet le transfert d’informations de la mémoire à court terme (20 à max 60 secondes) à la mémoire à long terme épisodique sémantique (illimitée), dégradé en premier dans la maladie d’Alzheimer (confusion spatio-temporelle=premier signe de la maladie) l’alcool affecte particulièrement cette structure

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34
Q

SN : cortex

A

fait le repêchage dans la mémoire à long terme, l’oubli est proportionnel à l’étendue du cortex détruit

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35
Q

Amygdale

A

joue un rôle qu’ont les émotions sur la mémoire (ex : peur/stress), impliquée dans un trouble de santé mentale (ex : état de stress post-traumatique

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36
Q

facteur de risque pour la mémoire : 6

A
  • L’alcool (neurotoxique)
  • La malbouffe (le gras nuit aux synapses)
  • Les traumatismes crâniens (détruisent/fragilisent les neurones)
  • Le stress chronique (use le potentiel de réparation naturel du corps)
  • Le manque de sommeil (empêche la réparation naturelle du cerveau)
  • L’absence de stimulation cognitive, sociale, physique (absence neurologique variée contribue à la dégradation du cerveau)
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37
Q

Expliquer comment prophéties réalisantes marche sur la mémoire

A

si je crois qu’en vieillissant, je perds la mémoire/je ne suis plus intelligente/je ne suis plus capable, je suis à l’intérieur d’une prédiction et ça va modifier mon comportement (je me replie sur moi-même, je n’essaie plus d’apprendre, etc.) et ça confirme ma prédiction

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38
Q

Oubli

A

Fonction paradoxale, nuit à la mémoire, mais permet la concentration parce qu’on doit oublier le reste (détails qui nuisent à la concentration), permet d’organiser les informations de façon plus logique en mettant de côté des détails insignifiants tout en gardant l’essentiel, permet l’abstraction et les regroupements

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39
Q

quelle est le temp limité ( en sec ) pour la mémoire sensorielle

A

Temps limité 200 millisecondes (iconique) à 3 secondes (échoïque)

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40
Q

attention : mémoire sensorielle

A

aussitôt que l’on porte attention à de nouvelles informations transmises par les sens, la mémoire sensorielle perd ce qu’elle avait retenu, pas d’encodage sensoriel

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41
Q

attention primitive

A

on regarde, écoute tout ce qui change dans l’environnement (comme les animaux), on doit la contrôler, liée au déficit de l’attention, ex : mouche qui vole en classe

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42
Q

attention dirigé

A

sélection volontaire de ce que l’on garde en mémoire=concentration, ne fonctionne pas bien si elle est distraite en permanence, permet de lire, comprendre, raisonner, créer des liens (mémoire à court terme), liée au plaisir

43
Q

élément à savoir de la mémoire à court terme face à l’oublie 9
dans tes mots

A
  • Manque de concentration/compréhension
  • Manque de motivation
  • Manque de sommeil
  • Douleur physique/psychologique
  • Dépasser la capacité maximale de 7 items (plus ou moins 2) ou tronçons (ensemble significatifs d’items)
  • Multitâches provoquent des erreurs et des moments d’inattention, notre cerveau est très efficace lorsqu’il travaille sur une tâche à la fois
  • Si pas de traitement de maintien : par cœur, répétition pure pour 60 secondes
  • Effet de position sérielle : on se souvient davantage des premiers éléments (primauté) d’une série
    et des derniers (récence), ceux du centre sont plus oubliés, vrai pour la mémoire à long terme, ex :
    première fois que j’ai conduit une voiture et la dernière fois
  • Dysfonction neurologique : vieillesse, lésions cérébrales, psychotropes, etc., vrai pour la mémoire
    à long terme aussi
44
Q

mémoire à long terme
* dans tes mots beaucoup de choses* face à l’oubli 8

A
  • Mauvaise codification de telle information parce qu’une autre la déplace dans la mémoire (vrai aussi pour la mémoire à court terme), ex : mots appris en espagnol interfèrent avec l’apprentissage de l’italien
  • Manque de familiarité : moins je connais un matériel, plus je risque de l’oublier, traitement de maintien pour les tâches simples comme les noms et traitement d’intégration pour les tâches complexes (liens avec le vécu), ex : je n’oublierai pas mon prénom mais les autres gens dans ma classe, oui
  • Mémoire liée au contexte : plus les lieux, les circonstances, les odeurs se rapprochent de ceux prévalant lors de l’encodage des évènements, plus j’ai de chances de m’en souvenir, ex : revenir à notre maison d’enfance
  • Mémoire liée à l’état : plus mon état physique (humeur ou santé) se rapproche de l’état dans lequel j’étais au moment où tel évènement est arrivé, plus j’ai de chances de m’en souvenir (rôle de l’amygdale), ex : peines d’amour (chaque peine d’amour réactivent les anciennes), personnes éternellement optimistes ou pessimistes (réactivent des souvenirs heureux ou mauvais), PTSD
  • Souvenir-éclair : on se souvient plus d’évènements qui ont eu lieu dans des circonstances rares, insolites et émouvantes (rôle de l’amygdale), souvent générationnels (pandémie), ex : bal des finissants, traumatismes, naissance d’un enfant, mariage, deuil
  • Motivation: on mémorise toujours mieux ce qu’on a envie d’apprendre que ce qui ne présente pas d’intérêt pour nous, attention dirigée augmentée, concentration augmentée, attention primitive diminuée, prophéties autoréalisantes, ex : matières scolaires dans lesquelles nous avons plus de facilité et qui nous passionnent (psycho)
  • Organisation du matériel : plus les informations sont classées, ordonnées, hiérarchisées, plus elles seront faciles à encoder, à entreposer et à repêcher, liens hiérarchiques (mémoire sémantique) et parallèles (mémoire épisodique), structure, ex : schémas, dossiers classés dans un ordi
  • Traitement d’intégration : approfondissement=le temps que l’on prend à travailler la matière en établissant des relations entre les aspects, en élaborant le contenu, surapprentissage, ex : niveau du cours de psychologie du cégep=plus exigeant qu’un cours de doctorat
    è L’étude de dernière minute est inutile
45
Q

élément à savoir sur la fiabilité de la mémoire (4)

A
  • Les humains possèdent plusieurs faux souvenirs : la mémoire est une perception subjective, biaisée par la réalité
  • On sait que les souvenirs peuvent se modifier aussi après leur incorporation dans la mémoire à long terme
  • On sait que les souvenirs sont déformés par les préjugés, les besoins, les émotions, etc. La reconstruction des évènements se fait grâce aux schèmes et ceux-ci s’organisent selon les mots utilisés
  • Les individus ont tendance à oublier l’information relative à eux-mêmes dans la mesure où elle n’est pas conforme à la perception qu’ils ont d’eux-mêmes, biais de complaisance
46
Q

fonctionnement de la mémoire : 3 tâches liées au transfert

A
  • Encodage
    Transformer les stimuli de 3 façons
  • Code visuel : images
  • Code acoustique : intonation, mélodie, langue, chansons pour apprendre
  • Code sémantique : signification des informations, ça veut dire quoi ?
  • Entreposage
  • Placer dans la bonne catégorie (bonne étagère de la bibliothèque)
  • Plus on a compris l’information, plus c’est facile de la placer au bon endroit
  • Récupération
  • Localiser l’information
  • Rappel à la conscience de l’information localisée
47
Q

traitement de maintien

A

traitement superficiel de l’info afin de la maintenir active dans la mémoire à court terme

48
Q

traitement d’intégration

A

traitement de profondeur de l’info qui consiste à interpréter + lier à de l’info déjà dans la mémoire

49
Q

lien hiérarchique

A

relation logique entre 2 catégories de concepts dans un système d’organisation de l’info

50
Q

liens parallèles

A

intégration de l’info par des associations d’idées multiples, simultané des fois émotionnelle

51
Q

mémoire sensorielle

A

brève conservation de l’info par les capteurs sensorielles

52
Q

mémoire court terme

A

mémoire consciente responsable du travail cognitif d’encodage, d’entreposage et de récupération de 5 à 9 éléments d’info pendant 20 a 30 sec

53
Q

mémoire long terme

A

réservoir illimité des souvenirs

54
Q

facteur influent l’intelligence : génétique : Génétique et sa croyance

A

code ADN qui comporte tous les gènes, facteur inné

La croyance selon laquelle les gènes déterminent totalement l’intelligence est maintenant rejetée par la communauté scientifique. Les gènes offrent un potentiel dont l’enfant hérite de ses parents à sa naissance (base, réservoir de talents dans lequel l’organisme va puiser au cours de la croissance afin d’agir efficacement dans le milieu)

55
Q

facteur influent intelligence : Hérédité

A

héritage des parents de facteurs biologiques et psychologiques (valeurs, pensées, cultures
etc.)

56
Q

Facteur influant l’intelligence: épigénétique

A

les gènes reçoivent en permanence toutes sortes de signaux de l’environnement leur permettant d’ajuster leurs activités aux situations. Ces signaux proviennent entre autres de nos comportements (ex : stress) et peuvent conduire à des modifications dans l’expression de nos gènes, sans affecter leur séquence. Le phénomène peut être transitoire, mais il existe des modifications épigénétiques qui persistent lorsque le signal qui les a induites disparaît

57
Q

Facteur influant l’intelligence:
stimulation biologiques (3)

A

facteurs environnementaux biologiques acquis
* Insuffisance alimentaire : diminue le nombre de neurones et peut causer l’arriération mentale (fruits, légumes, protéines de bonne qualité)
* Toxines : malbouffe, polluants (mercure, plomb), alcool et autres psychotropes
* Commotions cérébrales : surtout chez les plus jeunes

58
Q

Facteur influant l’intelligence:
stimulations psychoaffectives

A

tendresse, sécurité, stabilité, confiance

59
Q

Facteur influant l’intelligence:
prophéties auto-réalisantes

A

humains se comportent de façon à faire se réaliser leurs idées préconçues (provenant souvent de leur entourage et endossés par eux), estime personnelle est l’une des prophéties les plus puissantes

60
Q

Facteur influant l’intelligence:
stimulations intellectuelles

A

variées, appropriées, nouvelles et impliquant des humains

EX:
* Repas préparés en famille : meilleurs nutriments, des personnes de différents âges échangent, affection
* Attention aux technologies : comportent des dangers, dépendance, obésité, troubles visuels, déficit de l’attention, pertes de capacités sociales
* Attention à la surstimulation : inappropriée, perte de confiance en soi, rébellion

61
Q

approche cognitive : le modèle de Piaget combien de stade ?

A

r: 4 : stade sensorimoteur, stade préopératoire, stade des opérations concrètes, stade des opérations formelles

62
Q

stade sensori-moteur ( 0 à 2 ans )
- coordinations des sens
- coordination sensorimotrice
- permanence de l’objet

A

Développer les sens et la motricité

Coordination des sens : faire des liens entre les sensations (ex : audition/vision, mobile),

Coordination sensorimotrice : coordonner les sens avec les mouvements (ex : hochet, mouvement- son), liens de causalité

Permanence de l’objet : capacité de comprendre que la réalité existe même lorsqu’elle n’est plus perceptible

63
Q

stade préopératoire ( 2 à 7 ans )
- égocentrisme
- animisme
- pensée symbolique

A

Égocentrisme : incapacité à concevoir le point de vue des autres et d’en tenir compte/incapacité de se décentrer de soi

Animisme : tendance à attribuer des caractéristiques vivantes aux objets/situations/phénomènes naturels

Pensée symbolique : capacité à utiliser des symboles pour représenter la réalité (ex : mots et chiffres, signes non verbaux, dessins, jeu de fiction-faire semblant comme l’Halloween)

64
Q

stade des opérations concrètes ( 7 à 12 ans )
- pensée formelle
- raisonnement hypothéticodéductif

A
  • Pensée formelle : détachement définitif de tout support concret (détachement du stade précédent, on n’a plus besoin de se limiter au concret, ex : abstraction, on n’a plus besoin d’exemples), la complète réversibilité de la pensée (absence totale d’égocentrisme/décentration, ex : choisir une faculté universitaire en se basant sur plusieurs facettes de l’emploi) et surtout l’intervention de l’abstraction réfléchissante au niveau notamment d’une méta pensée permettant à la pensée de se penser elle-même (réfléchir à sa façon de réfléchir, ex : auto-évaluation, politesse/savoir-vivre, se remettre en question, intervention sociale)
  • Raisonnement hypothéticodéductif : capacité à anticiper les conséquences éventuelles d’une situation (ex : je vais à un party et je ne bois pas parce que je sais que mes sens ne sont pas au maximum ; j’anticipe les conséquences de ma consommation, démarche scientifique)
65
Q

psychométrie

A

spécialité de recherche en psychologie qui conçoit les tests d’intelligence et de personnalité

66
Q

quotient intellectuel

A

unité de mesure de l’intelligence basée sur la comparaison de la performance d’une personne à un test avec la moyenne des performances obtenues dans un groupe d’âge donné, QI=âge mental/âge réel x100, QI de 100=normal

67
Q

Tests Weshler

A

catégories d’habiletés mentales sollicitées

  • Habiletés verbales : mathématiques et langage
  • Habiletés non verbales : habiletés spatiales
68
Q

valeurs scientifique de tous les tests (3)

A

standardisation (s’assurer que le test est toujours utilisé de la même manière), fidélité (stabilité temporelle), validité (capacité d’un test à prédire des comportements)

69
Q

les limites des tests d’intelligences ( 5 )

A
  • L’influence des facteurs psychologiques (ex : stéréotypes) et de l’environnement sur les résultats
  • Tests de QI attribuent de meilleurs résultats aux personnes qui ont plus d’éducation
  • Spécificité culturelle (défavorise les gens issus de milieux culturels minoritaires)
  • Manque de familiarité avec les épreuves scolaires
  • Les tests ne reflètent pas toujours la réalité
70
Q

fonctions exécutives

A

Ensemble d’habiletés cognitives avancées qui permettent de contrôler le traitement de l’information, d’ajuster le comportement en fonction des buts et de résoudre des problèmes (gèrent le traitement descendant, sélection et interprétation d’une certaine information)

comment l’humain pour utiliser ses capacités intellectuels pour résoudres des problèmes

Surtout dans le cortex associatif (intègre les données provenant des sens, réfléchit, planifie la motricité)

71
Q

flexibilité cognitive

A

capacité à se concentrer sur une partie des stimuli disponibles et de changer la cible d’attention, le cerveau organise le flot d’informations qui lui parvient pour faire des prédictions utiles (boucle sensorielle et motrice=mise à jour constante des prédictions qui permettent de coordonner l’information sensorielle et les mouvements)

72
Q

mémoire de travail –> fonction

A

combinaison d’information nouvelle et d’information en mémoire rappelée pour l’utiliser dans une situation nouvelle, coordonner l’information qu’on choisit de traiter et l’information utile qu’on rappelle à sa mémoire, on peut en abuser (traitement multitâche=illusion de pouvoir mener simultanément plusieurs tâches différentes, mais c’est impossible, car l’attention sera superficielle et l’information oubliée)

73
Q

contrôle inhibiteur –> flexibilité cognitive

A

supprimer les cognitions et les actions inappropriées, résister aux distractions et impulsions, difficile parce que le cerveau est conçu pour réagir aux stimuli nouveaux qui surviennent dans l’environnement, contrer les automatismes (habitudes de traitement de l’information apprises qui agissent un contrôle inconscient), l’inhibition permet également de gérer ses émotions (rejoint l’intelligence émotionnelle)

74
Q

motivation

A

Facteur qui active les comportements, les maintient ou les oriente vers un but

75
Q

composantes associé motivation : les besoins

A

état de manque physiologique (ex : manger) ou psychologique (ex : amour), combler les besoins de base pour être motivé à combler les besoins supérieurs dans la pyramide

76
Q

Composante motivation: la tendance

A

état d’activation physique ou psychologique de l’organisme visant à satisfaire ses besoins (ex : manger)

77
Q

composante motivation: incitateurs

A

objet, personne ou situation perçus (ex : je perçois les sushis comme de la nourriture qui va combler ma faim) comme pouvant satisfaire un besoin

78
Q

aspect cyclique de la motivation

A

besoin ( état de manque ) –> tendance (activation comportementale/cognitive manque) –> incitateur ( personne, objet est..) –> équilibre rétabli ? ( satisfaction ou maintien pour tenter de combler le manque, manque homéostasie) –>

79
Q

homéostasie

A

permet d’évaluer si notre besoin est satisfait si nous sommes dans un état d’équilibre

80
Q

l’instinct

A

les êtres humains n’ont pas d’instinct, ensemble de comportements déterminés génétiquement déclenché par des stimuli environnementaux, efficace si l’environnement reste stable, culpabilisant parce qu’on sent qu’on est obligés de tout savoir d’un coup mais on doit apprendre, avantages de ne pas avoir d’instinct : diversité des options, pouvoir s’adapter (trouver des solutions quand l’environnement change)

81
Q

instinct maternel existe t’il ?

A

non, mythe, culpabilité parce qu’elles se sentent obligées de tout savoir d’un coup, réduit les femmes, les met dans une case
- On a des pulsions, des réflexes, mais pas d’instincts, alors ne permet pas d’expliquer la motivation

82
Q

La réduction de tensions et l’homéostasie

A

motivé à diminuer les tensions pour être relax (vrai pour les besoins physiologiques, mais pas les besoins psychologiques), motivé à être en équilibre

83
Q

La recherche de stimulations et la théorie l’activation optimale :

A

l’être humain est fondamentalement curieux et veut être stimulé, pour atteindre le niveau d’activation optimal certaines tâches peuvent le faire varier (plus la tâche est facile, plus l’activation va être grande et vice-versa)

84
Q

motivation intrinsèque

A

motivation qui pousse une personne à s’engager spontanément dans une activité pour la satisfaction qu’elle lui procure, liées à la curiosité et à l’actualisation de soi, moi face à moi, enfants sont très intrinsèques, moment présent (ex : boxe, canot-camping)

85
Q

motivation extrinsèque

A

motivation à s’engager dans une activité pour obtenir des gratifications extérieures ou éviter des conséquences désagréables, regard des autres, la motivation extrinsèque peut tuer la motivation intrinsèque,

86
Q

la hiérarchie des besoins établie par Maslow

A

les besoins diffèrent d’une personne à l’autre par rapport aux quantités, certaines personnes ont des pyramides inversées donc l’ordre de la pyramide n’est pas toujours vrai d’une personne à l’autre, tout le monde a ses priorités

87
Q

émotions désagréable et la flexibilité psychologique (4)

A
  • Chaque émotion devrait être considérée comme un signal faisant partie d’un système d’alarme utile si on sait comment l’interpréter et y répondre
  • L’évitement systématique de certaines émotions et ressentis désagréables qui contribue au développement de comportements inadaptés, psychopathologiques et de problèmes relationnels
  • L’incertitude est fortement associée à plusieurs émotions et situations difficiles à tolérer ; l’intolérance à l’incertitude entraîne des comportements néfastes et est un facteur de vulnérabilité et de maintien au TAG
  • Flexibilité psychologique : accepter que certaines émotions, pensées, et sensations désagréables accompagnent des actions essentielles pour notre satisfaction à moyen et long terme
88
Q

la compétence émotionnelle et ses composantes (4)

A
  • L’intelligence émotionnelle est essentielle à la réussite en société
  • On peut améliorer nos compétences émotionnelles ; intégration de connaissances pratiques pour mieux identifier, comprendre, réguler, utiliser, canaliser, exprimer et écouter nos émotions et celles des autres
  • Éviter d’attribuer trop d’importance à l’évènement déclencheur d’une émotion (joue un rôle révélateur de besoins en souffrance)
  • Langage non verbal des autres peut nous affecter même si on ne l’a pas remarqué consciemment
89
Q

la communication non violente (4)

A
  • Favoriser les relations harmonieuses et à privilégier la qualité du lien avec les autres et avec soi-même
  • Augmentation de l’empathie et de l’authenticité, améliore la collaboration
  • Méconnaissance des sentiments et des besoins : des nôtres et des autres, une cause des échecs de communication, transparaissent dans nos comportements non verbaux et notre attitude
  • Attention : observer attentivement la situation de communication (avec les rapports non verbaux) et l’évolution de nos émotions, sensations, pensées
90
Q

les 4
étapes de la communication non violente

A
  • Observation : observer sans jugement ni interprétation (comme une caméra)
  • Émotions : prêter attention à ses émotions vues comme une expérience
    psychopathologique signalant des besoins, les stimuli environnementaux sont souvent des déclencheurs et les besoins (comblés ou non) jouent un rôle déterminant dans les
    émotions
  • Besoin : s’intéresser aux besoins et les identifier clairement, favorise les
    rapprochements et réduit l’importance des opinions divergentes
  • Demande : considérer nos besoins en formulant une demande correspondant à une
    action concrète, réaliste et négociable
91
Q

C’est quoi l’intelligence

A

Selon Wechsler, c’est la capacité de comprendre le monde (maîtrise du langage, intelligence académique, connaissances), de penser rationnellement (logique, objectif, scientifique, basé sur la réalité), d’utiliser efficacement les ressources pour relever des défis (capacité d’adaptation)

92
Q

trouble psychologique

A

ensemble des pensées, émotions, comportement qui sont jugé anormaux qui entraine souffrance psychologique

93
Q

4 critère de l’anormalité et expliquer les

A
  1. déviance : pensée, une émotion ou un comportement qui diffère de ce que la majorité des personnes d’une culture éprouvent
  2. dysfonctionnement: personne qui n’est plus en mesure d’avoir une vie quotidienne adéquate
  3. détresse: personne qui souffre psychologiquement –> traite, angoisser, suicidaire donc elle fait des geste qui reflète de cette détresse
  4. danger : si elle mets sa propre sécurité ou celle des autres en danger
94
Q

les troubles neurodéveloppementaux (2)

A
  1. trouble du spectre de l’autisme : entraine difficulté de communication, interaction social, comportement
  2. le déficit d’attention/hyperactivité : distraction, difficulté organisation, mouvements excessif ou impulsif
95
Q

nomme moi les 5 caractéristique qui décrivent le trouble du spectre de la schizophrénie

A
  1. délire
  2. hallucinations
  3. pensée désorganisée
  4. activité motrice anormale
  5. symptômes négatifs
96
Q

les 2 phases du trouble bipolaire

A
  1. phase maniaque
  2. phase dépressive
97
Q

les troubles dépressifs ( 2)

A
  1. le trouble dépressif persistant : perte intérêt, plaisir généralisé, culpabilité, désespoir
  2. le trouble dysphorique prémenstruel : variations hormonales extreme féminine qui entraine la tristesse, anxiété, irritabilité
98
Q

troubles anxieux ( 3 )

A
  1. anxiété généralisée : soucis chronique qui entraine une suractivation permanente du système nerveux
  2. attaque de panique: monter soudaine de peur qui enteiane suractivation momentané + inquiétante du système nerveux
  3. les phobies : peur irrationnelle et exagéré déclencher par qqn de spécifique
99
Q

état de stress post-traumatique

A
  • peur perpétuelle et souvenirs récurrents du traumatismes
  • hypervigilance et suractivation physiologique
100
Q

trouble obsessionnels-compulsifs ( 3)

A
  1. trouble obsessionnel-compulsif : pensée envahissantes et incontrôlable entrainant des actions qui vise a calmer l’anxiété
  2. obsession dysmorphie corporelles : préoccupation obsédante d’un défaut corporel perçu
  3. thésaurisation pathologique : refus de se départir d’objets dont la quantité nuit au quotidien
101
Q

trouble conduites alimentaire ( 3)

A
  1. anorexie mentale : refuse de s’alimenter par la peur intense d’être obèse -> perte de poids
  2. boulimie : épisodes de suralimentation suivis de mesure compensatoire pour éviter de prendre du poids
  3. accès hyperphragiques :
102
Q

trouble dissociation

A

état altérée de la conscience, et trouble dissociatif de la personnalité : perte de mémoire provoqué par la présense de plusieurs personnalité chez un même individu

103
Q

les troubles de la personnalité

A
  1. personnalité antisociale : égocentrique, irresponsable et but est de manipuler les autres sans culpabilité
  2. trouble personnalité borderline : instabilité des émotions, image de soi, impulsivité et comportement autodestructeur
  3. personnalité narcissique : besoin d’admiration, manque d’empathie, profond sentiment d’insécurité