intra Flashcards
Dans son livre Une police professionnelle de type communautaire tome II, Normandeau propose des raisons pourquoi changer de modèle policier. QUelles sont ces raisons ?
- période où la population s’est éloignée des services policiers des années 1980 à 1990: des groupes de pression, des politiciens et associations.
- Les attentes changent et le modèle traditionnel ne correspond plus
- Quelques incidents critiques viennent remettre en question les relations avec la venue d’immigrants (affaire Gossette).
- Les styles de gestions et profils des gestionnaires sont centrés sur une gestion par objectifs (GPO). À PRÉCISER
- L’écart entre les pauvres et les mieux nantis devient de plus en plus grand et la gauche se soulève…
- Les secteurs se délabrement et sont de plus en plus omniprésents et de nouveaux investisseurs transforment les quartiers et la gentrification apparait
BREF, Résoudre les problèmes reliés aux nouvelles réalités: apprendre dans un monde non-traditionnel sans négliger les crises économiques nécessitant des réformes de l’état
quel est l’état de la situation, L’état du modèle communautaire à MOntréal dans les années 1980 ?
-Déjà dans un modèle de TYPE COMMUNAUTAIRE
==Relation de rue avec les commercants et la visibilité dans les zones fortements fréquentées comme les red lights
- Souvent sans encadrement ou projet précis (les écoles et le mindset ne sont pas encore assez présent)
- Tend encore trop vers modèle de RÉPRESSION pour lutter contre le crime organisé
Henry-Paul vignola est certes le premier ayant eu l’idée d’appliquer un modèle communautaire. Quel fût l’impact des directeurs après lui sur l’adopotion et l’utilisaiton de ce modèle communautaire.
- André De Lucas qui est de la gendarmerie et il a fait ses faits d’arme à la sécurité routière, les patrouilleurs motards et les scandales de ces pots de vins
-Vient ensuite Alain St-Germain: un intellectuel avec des idées
communautaires : il est le père des ilotiers pour forcer un rapprochements avec la population et les associations sont très actifs
===MAIS : La culture ne se change pas facilement, Beaucoup de bavures dont celle de la polytechnique de montréal, l’amèneront à quitter son poste.
Décrivez l’expérience menée par Jacques duschenau et CLaude rochon.
- Accès dans le Parc extension un site laboratoire
- Le citoyen partenaire: la vision, la mission, la valeurs , la volonté
- Le modèle est vraiment une police de l’an 2000: philosophie, stratégie, opération, intégration verticale
Plusieurs modèles internationaux font références à un modèle de police que l’on identifie ici comme étant communautaire. Nommez ces modèles et identifiez les subtilités de chacun.
-Résolutions des problèmes en collégialité
=====Permet aux citoyens de dénoncer des insatisfactions, des désordres.
===== modèle non stantardisé, improvisé selon les réalités locales
=====Gestionnaires de districts rencontres des élus politiques, organismes influents.
-Le COP : Communauty Oriented Policing
=====Provient des sérieux problèmes de ghettos dans les villes de détroit, chicago, etc.
-Police profesionnelle communautaire
====suite à la publicaiton du broken window
=====on parle plus de police de proximité, avec un ilotage des quartiers (pour redonner vie à une communauté en déclin, moins surveillé, etc.
DE PLUS,
-Mettre en place des principes et objectifs avec des actions concrètes.
-Développer des pratiques adaptées.
-Évaluer l’évolution de la situation pour ajuster la stratégie on vise des actions a court moyen et long terme
POUR ÇA : analyse, étude systématique de la situation. Plan d’action intégré ET réponses multidisciplinaires
Quels étaient les buts défini par Herman Goldstein ?
- Diminuer l’incidence de la délinquance
- Améliorer le sentiment de sécurité
- Améliorer le QV social (Cusson)
- Améliorer la prévention situationnelle
- Développer un projet pour gérer et suivre l’évaluation
Historiquement, les modèles de «police du peuple» existaient déjà. Qui avait déjà conceptualisé cette approche de la police et quels étaient ses principes fondamentaux ?
- Ne jamais perdre de vue le fait que si la police veut être en mesure de s’acquitter de ses fonctions et des ses obligations, il faut que le public approuve son existence, ses actes, et son comportement.
- s’assurer de la coopération d’un public prêt à aider la police a faire respecter les lois.
- Toujours maintenir avec le public des relations qui soient de nature à concrétiser la tradition historique selon laquelle la police est le public.
À L’exception de la culture policière, quel est un autre obstacle majeur à l’implantation d’un modèle de police communautaire ?
comportement à risque: ce rapprochement risque de compromettre la neutralité
Illustrer la complexité du processus à l’aide de l’exemple d’implantation à la SQ.
.-Un levier important janvier 1992: crise $; rationalisation et le pacte fiscal prévoit une facture aux citoyens desservis par la SQ, la population veut avoir un mot à dire sur les services policiers.
.Selon Guttman, il y a généralement 4 phases :
1) se rapprocher
2) Intégrer les résultats des consultations dans le dialogue
3) Coresponsabilités
4) Avoir des experts intervention stratégique
À la SQ : 6 phases.
1) Amélioration continues des connaissances sur les attentes et besoins de la communauté
2) intégration des résultats de la consultation et intégration au mode de gestion
3) instauration d’une coresponsabilisation interne-externe
4) mise en place du modèle : police d’expertise
5) vision globale des besoins en sécurité publique
6) utilisation stratégique des ressources à la sûreté du Québec.
Dans l’implantation d’un PPC, il y a clairement 4 incontournables. Quels sont-ils ?
1-S’assurer d’une compréhension maximale des participants, du dialogue et des enjeux
2-Reconnaitre la charge de travail a faire pour l’implantation
3-Clarifier les paramètres du mode de gestion
4-Clarifier les paramètres de consultation
Et ensuite :
-Définir le problème.
Principes de base: ce sont des incidents répétés liés entre eux sous un ou plusieurs aspects inter-reliés, nécessitant une solution hors de l’ordinaire.
-Identifier un énoncé du problème,
-évaluer le problème
-justifier un processus de règlement.
-Mettre en place des mesures transitoires pour diminuer le risque.
BUT ULTIME : FAIRE DU SENS AUX INDICATEURS
Lors de la formation d’un comité consultatif, il y a plusieurs réflexions à avoir. Donnez des exemples.
- Clarifier le fonctionnement du comité et jusqu’à quel niveau on ira.
- Rôle du comité consultatif multifonctionnel (qui sera invité et pourquoi ?)
- La composition du comité et le leadership partagé…(non clair dans le modèle)
- Clarifier le processus de consultation…qui ou quoi comment et les $$$
Par la suite, il s’agit de déterminer les approches stratégiques à avoir. Donnez des exemples de réflexions à ce stade.
- Déterminer des indicateurs d’efficacité: volume d’appels, temps de réponses, taux de solution de crimes et la présence en patrouille
- Malgré une avancée est-ce vraiment ce que le modèle requiert ?
- Où en est l’intervention proactive, la vigie dynamique, la capacité d’anticipation ?
Étant donné que le but ultime est de bien comprendre des indicateurs, il faut effectuer une bonne analyse du problème. Décrivez comment il est optimal d’y arriver ?
- Identifier les acteurs requis pour y travailler
- Avoir des indicateurs de performance et un échéancier de travail
- Mandater un porteur du dossier pour contrôle régulier
ET ENSUITE :
- Définir l’objectif visé: supprimer, réduire, améliorer le QVC
- avoir un consensus
- Décider d’un plan d’intervention avec les activités, les indicateurs, les rapports de suivi et contrôle
- Contrôle des projets
Pour ce qui est d’un modèle de résolution de problème, on peut donc clairement définir
1) définition du problème ===pourquoi devrait-on le régler ? 2)mesures provisoires ===interventions provisoires 3) analyse du problème : 5W 4) Plan d'intervention ===Échéancier 5)évaluation ===MIRE =====Méthode =====indicateurs =====responsabilité =====échéancier
