Examen final Flashcards

1
Q

Énumérez le MODÈLE DE RÉSOLUTION DE PROBLÈMES en 11 étapes

A

1-définition initiale de la problématique, l’énoncé (décomposition : perspective statique: dire la réalité comme elle est)

2- Cueillette d’informations pour pouvoir documenter la problématique. Autant au niveau qualitatif (entrevue) que quantitatif (sondages statistiques). Permet d’amener une perspective plus dynamique et pouvoir interrelier les phénomènes ou les acteurs. On peut le traduire par une carte mentale.

3-Analyse (de risques) : ici, on pose les premières bases pour se rendre à un diagnostic : on va porter un jugement sur la situation et se prononcer sur la nature des problèmes et la sévérité des problèmes qui aidera certainement à prioriser des objectifs et des actions par la suite.

4- Diagnostic (bilan) : Ainsi, le diagnostic amène à expliciter la hiérarchisation des priorités en matière de sécurité. Il est le bilan qui mène à l’orientation des choix futurs. DOIT ÊTRE VALIDÉ AVEC LE MANDATAIRE

5- L’éventail des solutions : remue-méninge, avocat du diables, choc des idées : énumérer des solutions (sur plusieurs axes : prévention (primaire (situationnelle), secondaire (sociale), tertiaire), répression, micro, méso, macro, médicale, etc. En faire la typologie, les analyser et choisir

6- choix du protocole de solutions : objectifs, critères pour choisir nos solutions

7- Stratégies, planification du plan d’action : Définir les stratégies plus concrètement : en fonctions de nos objectifs et critères comment on va mener à bien ces grandes orientations choisies plus tôt

8 leadership et coordination : définir un leader pour rallier les gens, déterminer les responsabilités de chacun et coordination.

ET DANS CE COIN-CI, plan de mise en oeuvre : ’est appliquer quelque chose : on a besoin de quoi. SI par exemple, on veut faire des contrôles, on a besoin de quoi. DONC C’EST TOUT CE QU’ON A BESOIN AU NIVEAU LOGISTIQUE ET AU NIVEAU DES RESSOURCES. C’EST MATÉRIALISER

9- Évaluation du processus : définir des indicateurs de suivis et d’évaluation

10- Rendre des comptes : évaluation du résultats, évaluation d’impact

11- Diffusion : C’est donc bien à la diffusion au final qu’il est fait appel pour rapporter ailleurs les bonnes pratiques. L’enjeu est de faire gagner temps et argent à d’autres, ici d’autres villes aux prises avec des problématiques équivalentes.
Il s’agit donc de laisser une trace, de mettre en mémoire ce qui fonctionne ou non,

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Vous n’oublierez pas d’expliquer l’intérêt de la décomposition de la complexité. Quelles principales méthodes ou outils existent pour le faire ?

A

L’objectif de cette étape est de décomposer le cas afin de comprendre le fonctionnement, l’organisation, les implications ainsi que les différents enjeux. (QU’EST-CE QUE JE COMPREND)

Ça va permettre d’élaborer un plan de cueillette d’information en s’appuyant sur certains éléments clés (QU’EST-CE QUE JE PEUX MIEUX COMPRENDRE)

MAIS ENSUITE :

STRUCTURER, ORGANISER LES RESSOURCES, LES OPTIMISER. Surtout justifier, et donner du sens.
__________________

Les outils

: Le 3QCOP permet d’avoir une compréhension globale de la situation. Le 3QCOP doit être relié au problème pour faire du sens.

Carte mentale : La seconde approche est dynamique. Il s’agit d’inter-relier les éléments Pour ce cas, nous utiliserons comme indicateur : le temps, l’espace, les acteurs, les incidents et l’enjeu économique.
====Une carte mentale a ensuite été élaborée pour relier le festival à son contexte. La carte
mentale permet à nos experts d’identifier les liens qui existent entre le festival et tout
le contexte qui l’entoure (acteurs, espaces, temps, différents enjeux, problématiques et
menaces, etc.).
==== Une carte mentale est une catégorisation des différents concepts de la
problématique et déterminer des INDICATEURS
BUT : Ces éléments nous aideront à mettre en oeuvre notre plan de cueillette.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Quel est l’intérêt de faire un plan de collecte et de collecter de L,information ?

Des exemples de ce qu’on peut faire ?

A

LE PLAN DE CUEILLETTE : Le plan de cueillette est l’outil qui permet aux experts d’Évolution Sécurité d’être
structuré et logique dans leur recherche d’information. Il est donc primordial que
ceux-ci élaborent un plan cohérent et pertinent. Ce plan leur fournit une indication
quant aux lieux et aux autres dimensions à étudier lors de la cueillette.

Le plan de cueillette est établi, la liste des endroits, des choses et des personnes que
nos experts doivent visiter est aussi établi, ils ont à partir de ce moment, le feu vert
pour débuter la cueillette d’information

(Intégrer les 4 dimensions : Espace/Temps/Acteurs/Contextes (légal,
médiatique, politique)
_________________
La cueillette d’information a ainsi pour rôle de ressortir les éléments clés sur lesquels reposent l’activité délinquante et de les organiser en étape et en coûts.

rechercher le détail, un complément aux informations connues initialement en début de projet.

_______________

cueillette d’information fondamentale : observation des lieux, entrevues avec le personnel en poste, lecture des rapports interne, voir externe avec les plaintes auprès de la police, construction d’une cartographie

  • Qualitative, d’abord, fondée avant tout sur la base d’entrevues (grille), d’observations, et de documents écrits internes : plan, cahier des relevés des incidents, cahier des procédures à suivre en cas d’incidents.
  • Quantitative : questionnaires pour évaluer le sentiment d’insécurité, cartographie des incidents avec visualisation temporelle et spatiale, suivi des indicateurs policiers (moyens, taux de criminalité, taux élucidation, victimes), suivi des données judiciaires

La première amène une compréhension micro, détaillée, mettant en avant la parole des acteurs. Elle explique le Comment des choses.

La seconde, donne une vision macro. Elle explique le pourquoi, etc.

ENSUITE : pour INTERPRÉTER CETTE INFORMATION : Avant même de
procéder à l’analyse de risque, nos experts ont procédé à l’interprétation de ces
résultats. Pour analyser et interpréter des données, Évolution Sécurité encourage ses
spécialistes à employer diverses méthodes, notamment la méthode SWOT (Strenghs,
Weaknesses, Opportunities, Threats).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

quel est l’intérêt de poser un diagnostic ?

A

Après une analyse complète des enjeux, des problématiques, des objectifs et des principaux acteurs et lieux, il s’agit d’en faire la synthèse.

Ce diagnostic est un jugement subjectif posé en tenant compte
du contexte de l’organisation, de ses objectifs ainsi que des contraintes qui y sont
reliées.

Ainsi, le diagnostic amène à expliciter la hiérarchisation des priorités en matière de sécurité. Il est le bilan qui mène à l’orientation des choix futurs.

Il développe des axes à prioriser

(axe prioritaire et secondaire par exemple).

TOUJOURS EN ACCORD AVEC LE MANDATAIRE

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

À quoi sert de poser des objectifs ? Quelles caractéristiques doivent-ils avoir ?

A

Ils permettent de passer d’un éventail de solutions à des solutions ciblées car négociées, à partir de la sélection des motivations du demandeur.

Ils doivent être précis, cohérent, stimulant, réaliste, mesurable, contrôlable, inscrit dans un temps, etc. (Probablement que la méthode SMART serait suffisant)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

2.2 - Quelles sont les méthodes qui peuvent être utilisées pour développer des idées et à quoi servent-elles ?

A

Trois méthodes existent : Remue méninge, avocat du diable et choc des idées

Servent à révéler le maximum d’idées, servent à repérer les différentes typologies de réponses (Stratégique, Tactique, Opérationnel ; ou Prévention primaire, secondaire, tertiaire vs Répression) ;

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

À quoi pourrait servir l’utilisation des théories criminologiques ? Comment s’insèrent-elles dans le processus de réponse ?

A

Les théories criminologiques peuvent servir de critères pour choisir et argumenter en faveur d’une solution plutôt que d’une autre.
Les critères interviennent en lien avec nos objectifs pour permettre de passer de l’ensemble des solutions possibles aux solutions choisies qui doivent toujours être utilisées dans un continuum d’actions et en synergie.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Donnez 3 exemples de théories criminologiques.

A

Théorie de la dissuasion : sévérité, certitude de la peine (Ces deux éléments doivent être présents. Fait partie des composantes de la répression

La théorie du choix rationnel par exemple. On l’utilisera ainsi selon les trois aspects que la théorie met en avant. REPRENDRE LES CAS DISCUTÉS AVEC TOUT EN ROCK – ÉLÉMENTS ADAPTABLES PARTOUT.
héories du choix rationnel : choix se fait selon 3 variables centrales : effort, risque,bénéfices DONC AUGMENTER L’EFFORT, AUGMENTER LE RISQUE ET DIMINUER LES BÉNÉFICES.
Acteur motivé
cible intéressante (CRAVED)
absence de gardien

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Est-ce qu’une méthode particulière pourrez-vous aider dans la détermination des objectifs? Présentez en quelques mots laquelle et comment elle pourrait vous aider ?

A

LE CHOC DES IDÉES POUR CHERCHER LA MEILLEURE SYNERGIE DE SOLUTIONS EN ANALYSANT LES FORCES ET FAIBLESSES DES DEUX GRANDES ORIENTATIONS QUI APPARAISSENT DANS LE DIAGNOSTIC

Par la suite, nous
hiérarchisons chacune d’entre elle en fonction de leur efficacité, de leur faisabilité et de leur coût afin
d’établir nos priorités.

coût monétaire.
soncoût et à sa pertinence vis-à-vis l’objectif visé.
les lois et règlements en vigueur.
faisabilité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

À quoi sert un contrat rendu au processus de détermination des objectifs et la planification ?

A

Un contrat futur pour marquer un engagement de partenaires sur les orientations prioritaires choisies et mettre en oeuvre un plan d’action autour de fiches pratiques assorties d’indicateurs à évaluer pour assurer le suivi des actions mises en place CONCLUERA L’ENGAGEMENT.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

À quoi sert un plan d’action ?

A

planifier c’est organiser des actions clés dans un certain ordre, dans un temps et de l’argent

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Citez deux aspects de la mise en oeuvre à tenir compte pour que vos solutions
puissent avoir un effet dans la résolution de ce problème

A

Le LEADERSHIP pour constituer les comités légitimer et centraliser cette mobilisation collective. Cela prend une gouvernance forte pour faire travailler ensemble des personnes qui n’ont pas l’habitude.

La DÉLÉGATION DE POUVOIRS, ensuite, chaque groupe devra être autonome, réfléchir à son niveau tout en sachant que d’autres comités travaillent à d’autres. Ces groupes devront avoir l’intelligence d’accepter leurs rôles et responsabilités et de laisser à d’autres les parties qui les concernent. L’imputabilité et l’autonomie sont ainsi des atouts essentiels de cette mise en oeuvre des solutions pour arriver aux fins recherchées.

MAIS C’EST AUSSI : TOUT CE QU’ON A BESOIN AU NIVEAU LOGISTIQUE ET AU NIVEAU DES RESSOURCES. C’EST MATÉRIALISER

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

que pourrait-on évaluer à partir des solutions choisies ?À quoi sert l’évaluation?

A

ÉVALUATION RÉSULTATS
Ils seront essentiels pour valider la résolubilité et donc la capacité grâce à une mobilisation générale sur les trois niveaux (Opé. Tac. Strat.) de ramener le sentiment de sécurité, et diminuer les violences sur le territoire. Il s’agit ainsi de démontrer chiffres à l’appui que cela fonctionne, que grâce à cette implication, le contrôle se reprend. Des bases statistiques serviront de preuves sur les suivis, comme les sondages auprès de la population sur le sentiment de sécurité.

ÉVALUATION DES IMPACTS
Il s’agira aussi de procéder à l’évaluation de l’implantation par ceux qui en ont eu la responsabilité. A des évaluations chiffrées, on recherchera des évaluations qualitatives, à partir de la parole de ceux qui auront mené à bien ces diverses activités. Des ateliers de groupe de type « MAG » seront initiés pour des échanges rétroactifs afin de faire remonter les bons coups lors de la dernière étape de la résolution de problèmes. Grâce à cette forme d’évaluation, il est possible d’ajuster la formation, la communication, la gouvernance par exemples.

A cette étape, il s’agit d’arriver à surveiller, constater, vérifier, valider les faits, la réduction d’écart entre des objectifs fixés et des moyens mis en oeuvre. L’enjeu est de s’assurer de l’efficience de nos actions, de faire un bon équilibre entre le trop et le trop peu.
l’observation directe.
courtes entrevues
les rapports d’incidents

Cette mesure permet à notre entreprise de corriger le tir suite à l’implantation des stratégies
recommandées. À la suite du prochain festival, nos spécialistes chercheront à détecter les lacunes ou les
ajustements qui seront nécessaires pour que les recommandations soient pleinement efficaces.

Suite à leur analyse, et après le festival, ceux-ci vous fourniront un rapport d’ajustement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quelle est et à quoi sert la dernière étape de la méthode de résolution de problèmes ?

A

Il s’agit donc de laisser une trace, de mettre en mémoire ce qui fonctionne ou non, et ce qui a permis d’arriver à ce résultat.

L’enjeu est de faire gagner temps et argent à d’autres, ici d’autres villes aux prises avec des problématiques équivalentes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

quels sont les outils en résolution de problèmes ?

A

Dans ces outils : l’échéancier, le 3QCOP, les

grilles, la carte mentale, l’analyse SWOT, l’analyse de risque.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

La compréhension du mandat passe par quoi ?

A

La compréhension du mandat passe par la capacité à ressortir les motivations cachées, le rôle que vous allez jouer. Il se présente de manière simple et organisé en respectant des contraintes (LES REPÉRER*).

17
Q

qU’est-ce qu’une démarche de résolution de problèmes idéal devrait représenter ?

A

La démarche doit démontrer sa capacité à COMPRENDRE, DÉCORTIQUER. Elle lie micro et macro, théorique et application, fait appel à la créativité, demande un engagement.
Elle est systémique car elle permet de penser la complexité, faire face au changement, structurer une démarche et inter-relier des éléments dans le but d’atteindre des résultats.

18
Q

Les 3 types de prévention et leur définition

____________

et la répression

A
  • prévention primaire avec une réflexion sur l’ensemble des moyens qui sont orientés vers la modification des conditions criminogènes, de l’environnement physique et social global ;
  • prévention secondaire dirigée vers l’identification et l’intervention à l’égard des groupes ou des populations présentes qui posent un « risque particulier » de délinquance.
  • prévention tertiaire dirigée vers la prévention de la récidive à travers des actions individualisées de réadaptation sociale ou de neutralisation des anciens délinquants.

___________

L’axe secondaire priorisera une approche répressive visant à enlever le sentiment de permissivité.

19
Q

Donnez un aperçu de ce qu’on devrait retrouver dans un plan d’action :

A

-Engager la démarche (constituer un comité: acteurs principaux)

-Identifier les acteurs à consulter
====Détermination en comtié 
====Préparer grilles d'Observations, d'entrevue 
====Réalisation d'un questionnaire 
====Répartition des responsabilités 

-Rencontrer les acteurs pour repérer les enjeux et enjeux « cachés », ainsi que les projets existants
====Constitution d’une base de données qualitative et quantitative

-Analyser les données

-Produire un rapport
====rédaction avec le comité
===Vers la constitution d’un Contrat
======Contrat liant les divers partenaires ;
o Constitution d’un tableau de bord avec indicateurs de suivi et d’évaluation