III. Ressources publiques VS. privées Flashcards
gain de productivité
- la France est top 1 mondial
- on peut les répartir
- augmenter les profits
- diminuer le prix de vente
- augmenter les salaires (= hausse de la conso et donc de l’emploi)
- Ford est une légende pour avoir eu des gains de productivité permettant la démocratisation de l’auto dans les 1920’s
Baumol et Bowen
deux économistes libéraux missionnés par Ford dans les 1960’s pour étudier le succès du théâtre de Broadway
• ils construisent un modèle qui oppose deux secteurs :
1. progressif : gains de prod et intensité capitalistique forte, salaires élevés
2. non progressif : c’est l’inverse. Là si on baisse le nb de travailleur on perd en qualité (coût de prod peut être égal au coût du travail)
• économie concurrentielle DONC interdépendance des marchés DONC prix unique du travail (les salaires s’alignent)
• maladie des coûts croissants DONC augmentation du coût du travail et stabilité des prix
• si la demande est élastique on perd des conso et spectateurs DONC déclin du secteur progressif
• dans les secteurs non progressifs le coût moyen accroit moins vite
implication de la loi de Baumol et Bowen
- déficit culturel : les compagnies prennent en compte dans leur budget les subventions pour être à l’équilibre
- la loi fait l’hypothèse d’une prod stagnante OR la créativité n’exclue pas un gain de prod (ex: nouvelle tech peut diminuer les coûts)
- les coûts admin augmente + que les salaires
- le secteur culturel est très concurrentiel (entre les groupes et entre les artistes)
le mécénat
- soutien matériel sans contrepartie directe de la part du bénéficiaire à une œuvre ou à une personne pour l’exercice d’activité présentant un intérêt général (un don)
- forme de financement privé ≠ sponsoring, parrainage, pub
- souvent c’est une niche fiscale (suppose la substituabilité avec le financement public ! )
- complémentaire du financement public
- en Fr c’est 2 Mrd €
- les mécènes donnent principalement à la musique, la préservation du patrimoine et l’art vivant
l’élasticité prix du don
• le % de variation des dons suite à une variation du prix du don/ prix du don fonction des incitations fiscales
l’individu cherche à maximiser son utilité
MaxU (C, Z, g, G) C: consommation Z: revenu g: dons individuels (plaisir de donner) G: montant agrégé de la contribution au bien public (motif d'altruisme)
sous la contrainte : C + g (1-t) < z (1-r) + Tr t = texte de réduction appliqué aux dons r = taux d'imposition des revenus Tr = revenus de transfert (aide au logement, bourse, etc.)
cluster culturel
- développer une vision commune du territoire et atteindre une concentration au-dessus de la moyenne de sociétés, d’orga de recherche et de lieux culturels
- rendre attractif le territoire grâce aux grds équipements artistiques et culturels
loi du 1er août 2003
- encouragement fiscale aux donations
- réduction d’impôt de 60% du montant du don, et 66% pour la lutte contre la pauvreté (ex: restos au coeur)
- plafond du don : 5/1000 du CA
- encouragement du mécénat pour les festivales
crowdfunding
- financement participatif
- souvent il pallie aux manques de ressources pour les 1ere étapes d’un projet qui se monte
- créé pour contourner les intermédiaires financiers en s’adressant directement au public