II. Conso culturelle et pvrs publics face à tarification Flashcards
contrainte budgétaire
- l’ensemble des ressources déterminées à l’acquisition de biens
- le consommateur est cohérent dans ses choix
- comment passer de l’utilité à la demande ?
coût marginal
comment varie le coût total qd il y a une petite variation de la qté produite ?
• la recette marginale doit être égale au coût marginal
• en théorie le rendement est décroissant donc le coût marginal augmente
• l’offre c’est la partie croissante du coût marginal : le prix monte donc les entreprises à coûts élevés peuvent entrer sur le marché donc l’offre est une fonction croissante du prix
profit
noté PI = [recette totale] - [le coût total]
= CA - charges
• l’entreprise maximise son profit lorsque recette marginale = coût marginal
loi d’Engel
XIXe : + une famille est pauvre et + la part du budget alimentaire est important
• ajd : revenu élevé = + dépenses pour des besoins secondaires
Becker et Stigler
rejoignent Marshall sur l’utilité marginale croissante des consommations de culture
• la culture est un exemple d’addiction positive (à l’inverse de la drogue)
• + le spectateur consomme et + il devient spécialiste, donc coût d’entrée faible
• les dépenses culturelles sont des biens symboliques
sensibilité de la demande aux variations des prix
- élasticité mesurée entre 0 et 1 témoigne que la demande réagi peu à une baisse de prix
- si = 1 alors la demande varie proportionnellement
- si > 1 c’est que la demande varie + que proportionnellement
- il existe une élasticité infinie : qd le prix augmente trop les acheteurs se retirent alors qu’ils achetaient énormément en dessous de ce prix
la courbe de demande de produits culturels
la fonction de demande se déplace au gré des modifications des préférences telles que : • rush sur un produit (ex: haute saison) • modification du revenu • modification du nb de demandeurs • anticipation des prix
la subvention à l’offre
- peut être vu comme une rémunération des entreprises culturelles
- “à l’offre” c’est la + développée
- les institutions négocient les montants
- le surplus du consommateur crée un budget discrétionnaire pour ces institution. Résultat : gaspillage, fraude, + de production, sur-qualité et inflation des coûts, dépenses pour frais fixes (équipements, etc.)
- les aides à la diffusion ne suivent pas les aides à la production (un spectacle est joué en moyenne 2,1 fois)
la subvention à la demande
- le pass culture = restaurer les lois du marché (le pvrs publics paient une partie du billet)
- surplus du consommateur restauré, ne doit revenir aux institutions culturelles le surplus du producteur
- de surqualité, meilleur ciblage des jeunes
- un système explosif car la dépense publique est imprévisible
- risque mainstream et oubli des petites productions/nouvelle scène
- les économiste préconisent de garder la subvention à l’offre et à la demande
Trautmann
[1999] ministre de la culture décide de la gratuité des musées et monuments nationaux le 1er dimanche de chaque mois
• effet d’opportunité
• effet d’aubaine (ceux qui avaient déjà projet de visite)
• effet d’occasion (ceux qui n’avaient pas projet mais profite de la gratuité)
• effet de report (souvent les visiteurs intensifs évient le 1er dimanche à cause de l’affluence)
• effet d’éviction (l’affluence est telle que la visite n’est même pas reporté à un autre jour)
• effet de fidélisation (le visiteur revient sur un jour payant, c’est 30% des dimanches gratuits et payants)
discrimination par les prix
1er degré : idéalement l’entreprise ferait payer un prix ≠ à chaque consommateurs
2e degré : le prix baisse qd la qté augmente
3e degré : différenciation sur la base de services complémentaires (un place au premier rang) ou selon des grps de consommateurs (étudiants, familles) ou intertemporel (acheteur impatient…)
le choix de consommer tel ou tel produit culturel
- le choix est subjectif
- le produit culturel est un produit risqué à tous les niveaux pour le prod comme pour le spectateur
- la gratuité est un succès populaire
- l’élasticité est faible dans le spectacle vivant
- le secteur culturel demande + de ressources propres et élargir les publics