Gériatrie 4 Flashcards

1
Q

Quelles sont les 6 fonctions mentales supérieures ?

A
  • Attention complexe
  • Fonctions exécutives
  • Mémoire et apprentissage
  • Langage
  • Cognition social
  • Activités perceptuomotrices
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2
Q

Qu’est-ce que l’attention complexe ?

A

attention soutenue (volontaire et prolongée) et attention divisée (conscience de pls choses une après l’autre rapidement)

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3
Q

Qu’est-ce que les fonctions exécutives ?

A

servent à décider et ordonner (jugement, abstraction, flexibilité, inhibition, organisation, planification JOI PAF)

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4
Q

Qu’est-ce que la mémoire et l’apprentissage ?

A

encoder qqch, le stocker et aller le rechercher (orientation spatio-temporelle, capacité apprentissage, souvenirs info récentes et anciennes)

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5
Q

Qu’est-ce que le langage ?

A

expressif (parler), réceptif (comprendre)

Aphasie: anomalie/perte fct langage par atteinte compréhension ou expression mots

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6
Q

Qu’est-ce que les activités perceptuomotrices ?

A

reconnaissance émotions et théorie de l’esprit (capacité à tenir compte état mental autre personne)

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7
Q

Qu’est-ce que la cognition social ?

A

Praxies: mouvements répétitifs qui deviennent plus faciles sans y penser comme se brosser les dents (mémoire procédurale)
Apraxie: incapacité exécuter fct motrice coordonnée excluant trouble sensoriel ou moteur primaire (ne peut pas marcher mais sais comment)

Gnosie: capacité reconnaissance/identification avec les 5 sens
Agnosie: incapacité reconnaître object sans déficit sensoriel élémentaire

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8
Q

Qu’est-ce que les principaux changements cognitifs normaux liés à l’âge ?

A

Dim fct cognitives supérieures (surtout mémoire)
Ralentissement moteur
Aug temps réaction et vitesse percetion
Dim habileté spaciale
Dim aptitute à prise décision
Aug vitesse raisonnement (+ connaissance)

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9
Q

Comment change la mémoire avec le vieillissement ?

A

Pas déficit pr qté info ds mémoire court terme
Peu difficultés si reconnaissance contenu appris (gnosie)
Difficultés si info doit être préservée et manipulée en mémoire court terme
Déficience niveau récupération
Difficulté rappel libre sans indice (dim ressources mentales)
Dim mémoire épisodique mais préservation mémoire sémantique

*** Bref dim mémoire!

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10
Q

Qu’est-ce qu’un trouble neurocognitif léger ?

A
  • Dim modeste capacités cognitives personne comparativement degré antérieur sans répercussions fonctionnelles considérables
  • Utilisation stratégies compensatoires
  • Pas besoin ressources ext pr maintenir autonomie
  • Touche surtout mémoire (apprentissage, rétention, rappel) et raisonnement abstrait
  • 1/5 n’évoluent pas vers TNC majeur
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11
Q

Quels sont les critères de Petersen pour les troubles neurocognitifs légers ?

A
  • Plaintes mnésiques subjectives (idéalement confirmé par tiers)
  • Déficits cognitifs objectifs
  • Fonctionnement cognitif général normal
  • Niveau fonctionnel normal
  • Absence démence
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12
Q

Quelle est la prise en charge pour un trouble neurocognitif léger ?

A
  • Intervention cognitive (participer activités intellectuellement et socialement stimulantes)
  • Exercice physique
  • Traitement FdR vasculaires
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13
Q

Qu’est-ce qu’un délirium ?

A

fluctuation attention et état conscience déclenché subitement par cause organique et durant habituellement ~ 2 semaines (généralement réversible)

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14
Q

Quels sont les signes d’un délirum ?

A
  • Perturbation état conscience
  • Dim capacité attention
  • Modification fonctionnement cognitif (dim mémoire court terme, gnosie, fct exécutive)
  • Perturbation perceptions (hallucinations)
  • Fluctuation des symptômes
  • Altération activité psychomotrice
  • Symptômes physiques (céphalées, nausées, tremblements, signes neuro, incontinence)
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15
Q

Qu’est-ce qu’un trouble neurocognitif majeur ?

A

progression atteinte cognitive qui nuit grandement au fonctionnement (au moins 2 fct mentales supérieures) ce qui nécessite mise en place moyens pr compenser déficit et permettre patient de satisfaire besoins élémentaires

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16
Q

Qu’est-ce qu’un délire ?

A

problème psychiatrique aigü ou chronique consistant à perte contact avec réalité

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17
Q

Quelles sont les caractéristiques d’un délirium ?

A

Début : Soudain (quelques jours)
Antécédents :Surtout méd
Fluctuation diurne : Variable (périodes de lucidité, aggravation nocturne, sommeil perturbé)
Vigilance, état de conscience : Symptôme cardinal, toujours perturbé
Hallucination : Fréquentes (surtout visuelles, changeantes, expériences oniriques complexes)
Orientation temporo-spatiale :Presque toujours atteinte
Activité psychomotrice :Souvent aug (agressivité désordonnée) ou dim (apathie, somnolence)
Discours : Désorganisé, Incohérent
Humeur :Apeurée ou hostile
Délires : Mal systématisés, Passagers
Signes atteintes neuro diffuse : Souvent présents
Possibilité identification cause :Méd, infection, chirurgie

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18
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une démence ?

A

Début : Insidieux (> 6 mois)
Antécédents : Variables, syndrome vasculaire fréquent
Fluctuation diurne : Stable durant journée, Sommeil généralement N
Vigilance, état de conscience :Intact, sauf phases avancées
Hallucination : Plus rares
Orientation temporo-spatiale : Atteinte probable
Activité psychomotrice : Souvent normale
Discours : Normal au début, Paraphasies, dysnomies
Humeur : Normale
Délires : Parfois fréquents, Thème stable
Signes atteintes neuro diffuse : Souvent absents (sauf phases avancées)
Possibilité identification cause : Non

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19
Q

Quelles sont les caractéristiques d’un délire ?

A

Début : Subaigu (sem/ mois)
Antécédents : Troubles affectifs, Psychoses
Fluctuation diurne : Toute journée (souvent pire matin), Insomnie
Vigilance, état de conscience : intact
Hallucination : Modérément fréquentes, surtout auditives
Orientation temporo-spatiale :Parfois atteinte
Activité psychomotrice : aug ou dim
Discours : variable
Humeur : Euphorique, triste, irritable, angoisse
Délires : Organisés, Stables
Signes atteintes neuro diffuse : Peu probables, sauf si méd psychotrope
Possibilité identification cause :Patho psychiatrique connue

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20
Q

Quels sont les critères diagnostiques du DSM-5 pour le délirium ?

A

A : perturbation attention et conscience
B : perturbation se dév rapidement (h/jours), constitue changement p/r fonctionnement usuel et fluctue en intensité durant journée
C : au moins 1 domaine cognitif touché
D : A et C ne s’expliquent pas par autre TNC et ne sont pas le fait d’un dim importante état d’éveil (coma)
E : Hx, E/P ou labos soutiennent existence lien physiologique direct entre tableau et phénomène causal

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21
Q

Quels sont les critères diagnostiques du DSM-5 pour le TNC majeur ?

A

A : Déclin cognitif, comparativement niveau performance antérieur ds au moins 1 domaine cognitif
1. Suspicion déclin cognitif par patient, tiers ou clinicien ET
2. Atteinte substantielle performance cognitive démontrée par évaluation neuropsychologique standardisée (préférablement) ou un autre évaluation clinique quantitative
B : Déficits cognitifs empêchent de réaliser seuls les activités quotidiennes
C : Déficits cognitifs ne surviennent pas exclusivement au cours d’un délirium
D : Déficits cognitifs ne sont pas mieux expliqués par un autre trouble mental.

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22
Q

Pourquoi est-ce important de reconnaître précocément le délirium ?

A
  • Doit être reconnu pr être traité rapidement
  • Aug morbidité/mortalité chez patient
  • Éviter traitement anticholinergique (cortisone, pilule contre grippe)
  • Risque complication (plaies de lit, infections)
  • Risque perte autonomie
  • Aug placement en établissement de soins
  • Aug coûts hospitaliers et + grand prédicteur durée séjour hospitalier
  • Aug risques démence même si pas déficit cognitif préalable
  • Accélère déclin cognitif si Alzheimer
  • FdR #1 pr Alzheimer (preuve que cerveau est fragile)
  • Symptômes pouvant persister après 6 mois (inattention, désorientation, troubles mnésiques)
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23
Q

Quelles sont les causes principales du délirium ?

A
  • Conséquences physiologiques directes d’affections médicales
  • Intoxication par substance ou médicament
  • Sevrage substance ou médicament
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24
Q

Quels sont les facteurs prédisposants au délirium ?

A

fragilisation cerveau (âge, maladie chronique/neuro)

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25
Q

Quels sont les facteurs précipitants du délirium ?

A

agression aigüe (méd, infection, maladie, chirurgie, état nut)

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26
Q

Quels sont les principes de base de la prévention d’un délirium ?

A

*** Peut aussi être utilisé comme traitement

  1. Dépistage et correction FdR traitables
  2. Mesures simples prévention si FdR
    - Orientation ds temps (calendrier, horloges) et personnes (photographies, présence)
    - Exposition activités cognitives stimulantes
    - Optimisation sommeil
    - Correction déficits visuels et auditifs
    - Détection complications (post-op, carences, dénut, déshydratation)
    - Éviter médicaments risqués
    - Régulation fct vésicales et intestinales
    - Explications courtes et simples
    - Niveaux bruits/stimulus optimaux
    - Mobilisation précoce
    - Soulagement adéquat douleur
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27
Q

Quelles sont les différentes sphères du traitement d’un délirium ?

A
  • Pharmacologique
  • Non pharmacologique (+++)
  • Hospitalisation(protéger malade confus et désorganisée et traiter causes si possible)
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28
Q

En quoi consiste le traitement pharmacologique d’un délirium ?

A
  • Arrêter méd non essentiels
  • Antipsychotique (halopéridol, rispéridone, olanzapine, quétiapine) peut être prescrit si delirium hyperactif, symptômes psychotiques ou détresse psychologique importante
  • Haldol (neuroleptique) ø Rx conçu pr traiter délirum mais qd mm efficace
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29
Q

En quoi consiste le traitement non pharmacologique d’un délirium ?

A
  • Corriger perception sensorielle (lunettes/prothèses auditives)
  • Présence constante proches aide à calmer
  • Prévention complications physiques (blessures, plaies de lit)
  • Hydradation pr éviter incontinence ou incapacité marche (équilibre électrolytique)
  • Réorientation (calendrier, horloge, photo)
  • Lumière douce pdt nuit (dim intensité hallucination)
  • Éviter retour maison précoce (réadapt fonctionnelle)
  • Soutien famille
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30
Q

Quels sont les facteurs de risque de la maladie d’Alzheimer ?

A
  • Âge avancé
  • Sexe féminin
  • Histoire familiale démence (+ jeune, + il y a risque)
  • Génotype ApoE 4/3 ou 4/4
  • HTA systolique
  • Scolarité < 7ans
  • DB et hypercholestérolémie
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31
Q

Quels sont les facteurs de protection de la maladie d’Alzheimer ?

A
  • Scolarité > 8 ans
  • Histoire d’arthrite
  • Usage prolongé d’anti-inflammatoires
  • Antihypertenseurs
  • Vin rouge en qté modérée
  • Génotype ApoE 2/3
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32
Q

Quelle est la physiopathologie de la maladie d’Alzheimer ?

A
  • 10-15 avant apparition symptômes –> apparition lésions (plaque sénile et dégénérescence neurofibrillaire)
  • Présence des 2 sortes de lésions nécessaires pour apparition maladie

Plaque sénile : constituée de protéine B-amyloide (pas bien régulée = aggrégation fibrines insolubles)
B-amyloide : provient APP (protéine à surface neurones) qui est clivée pour libérer B-amyloide

Dégénérescence neurofibrillaire
- Protéines tau hyperphosphorylée se détache microtubules ce qui permet squelette neurone de se dissocier = perte connexion entre neurones
- Aggrégation protéine Tau ds neurone qui forme filaments (dégénérescence neurofibrillaire) qui va éventuellement provoquer mort neurone par genre étouffement (cause rétrécissement cerveaux)
Protéine Tau : sert à stabiliser microtubules du cytosquelette neurone

Propagation
Plaque sénile
- Se propagent d’abord ds cortex puis hippocampe puis tout cerveau par mouvement centripète (ext vers centre)
- Progression pas liée symptômes maladie

Dégénérescence neurofibrillaire

  • Se développe d’abord ds hippocampe (mémoire et apprentissage)
  • Propagation par mouvement centrifuge (centre vers ext) à tout le cerveau (atrophie cerveau provoquant dysfonctionnement global)
  • Progression donne symptômes connus (trouble mémoire, trouble langage, trouble reconnaissance, incapacité à exécuter des gestes)
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33
Q

Quels sont les signes pathologiques de la maladie d’Alzheimer ?

A
  • Atrophie lobes temporaux (IRM)
  • Perte synapse
  • Perte neuronale +++ (surtout hippocampe et téléencéphale)
  • Perte poids
  • Dim B-amyloide soluble ds LCR (pas éliminée du cerveau car forme plaque)
  • Aug protéines tau ds LCR (marqueur formation enchevêtrements neurofibrillaires et dégénérescence axonale et neuronale)
34
Q

Quelle est l’hypothèse cholinergique et le potentiel thérapeutique pour la maladie d’Alzheimer ?

A
  • Alzheimer associé à dim ACh à cause oligomère B-amyloide qui s’accumule ds fente synaptique et dégénérescence neurofibrillaire qui cause mort neurones
  • IAchE permettent dim catabolisme ACh et donc ++++ ACh ds fente synaptique = favorise communication
35
Q

Quels sont les signes et les symptômes cliniques de la maladie d’Alzheimer ?

A
  • Début insidieux
  • Évolution graduelle
  • Dim durée attention
  • Évolution progressive toutes atteintes corticales avec apraxie et agnosie
  • Agitation et irritabilité (+ tardive)
  • Hallucinations (+ tardives)
  • Troubles moteurs (+ tardifs)
    • Mémoire –> langage –> habiletés visuospatiales –> comportement

Mémoire

  • Dim mémoire faits récents ou épisodique (éventuelle perte mémoire à rebours)
  • Désorientation spatio-temporelle
  • Dim mémoire sémantique + tardive
  • Mémoire procédurale préservée jusqu’à stade avancé

Troubles langage : manque mot, dim compréhension, aphasie tardive (incapacité parler)
Troubles humeur : anxiété, dépression, apathie (tardive), idées délirantes (psychose)

36
Q

Quelle est la prise en charge de la maladie d’Alzheimer ?

A

Asymptomatique : Conseils généraux ciblant FdR vasculaire
TNC léger : Entraînement cognitif

MA légère à modérée

  • Info sur maladie
  • Mandat en cas inaptitude + testament
  • Vérifier sécurité au volant et domicile
  • Ressources communautaires
  • Médication symptômes (anti-dépresseurs, IAChE)

MA modérée à sévère

  • Surveiller émergence troubles comportement
  • Répit
  • Transition vers hébergement long terme
  • Ajour mémantine si nécessaire + neuroleptiques atypiques

MA sévère

  • Soins palliatifs avec arrêt progressif méd
  • Respecter décisions fin de vie

*** Pas trop se fier dur comme fer aux chiffres trouvés ds le Folstein, mais si dim significative ds points –> signe progression troubles cognitifs

37
Q

Quels sont les interventions pharmacologiques de la maladie d’Alzheimer ?

A

Inhibiteur de l’acétylcholinestérase (donepezil, rivastigmine, galentamine)

  • Amélioration modeste certains symptômes cognitifs, fonctionnels et comportementaux
  • Ne reverse pas pertes fonctionnelles complètes
  • Dim prb comportement
  • Retarde détérioration cognitive 6-12 mois
  • Risques indésirables digestifs surtout
  • Indiqué pr Alzheimer et évidences pr autres TNC majeurs

Récepteur NMDA (mémentine)
- Antagoniste non compétitif ayant faible affinité pr récepteur NMDA glutamate
- Mémentine bloque récepteur NMDA pour limiter excitation par glutamate
- Dim troubles comportements si modéré ou sévère (surtout agitation/agressivité)
- Utilisés avec IAChE
Glutamate : permet mémoire et apprentissage (niveau N) ou toxicité à haut niveau (¢ peuvent mourir d’une overdose de stimulation)

Antidépresseurs et psychotropes : troubles du comportement

38
Q

Qu’est-ce qu’une démence mixte ?

A

Alzheimer préexistant qui est aggravé par AVC = symptômes Alzheimer + démence vasculaire

39
Q

Qu’est-ce qu’un démence vasculaire ?

A

démence non-dégénérative causée par destruction cerveau par troubles vasculaires démontrant atteinte fct exécutives avec impact fonctionnel sur AVQ (+ fréquent après Alzheimer)
Présentation: histoire AVC, apparition soudaine, détérioration progressive par pallier et évolution fluctuante

40
Q

Quels sont les facteurs de risques de la démence vasculaire ?

A

Modifiables: HTA, diabète, hyperlipémie, tabagisme, survenue AVC, hypotension
Non modifiable: âge, sexe (H), origine ethnique, hérédité
Lésions vasculaires: athérosclérose, artériosclérose, nécrose fibrinoïde, angiopathie congophile

41
Q

Quels sont les types de démence vasculaire ?

A

Post AVC multiples : évolution par paliers, atteinte corticale, rare sans atteinte hémisphère dominant, incluant hémorragies intracérébrales
Post AVC stratégique (ischémique ou hémorragique) : à endroit très particulier (hippocampe et thalamus) même si portion touchée petite –> un seul AVC suffit !

Vasculaire sous-corticale

  • Lésions substances blanche ou infarctus lacunaire (occlusion petite artère perforante)
  • Souvent si pls FdR vasculaire (HTA, diabète, MCAS, fibrillation auriculaire)
  • Début insidieux et évolution progressive
  • Ralentissement psychomoteur ++
  • Prédominance syndrome dysexécutif (dim organisation/planification et dim capacité résolution problème, jugement et raisonnement)
  • Dim mémoire pas au premier plan (dim rappel libre mais ok si indices)
42
Q

Quels sont les différents processus physiopathologiques de la démence vasculaire ?

A

Hypoperfusion

  • IC
  • Hypotension –> dim pression –> vasodilatation compensatrice mais si dim pression excède mécanismes compensatoires = dim oxygénation (perte sélective ¢)
  • Présence thrombus ou embolies

Hypertension

  • Favorise artériosclérose et athérosclérose
  • Favorise foyers lipohyalinose
  • Formation microanévrisme
  • Nécrose fibrinoide

Hémorragie

  • Rupture vaisseaux due à hypertension
  • Angiopathie cérébrale amyloide (déposition substance amyloide ds petits vaisseaux corticaux et leptoméningé prédisposant hémorragies)
  • Hématome sous-dural (aug pression intra-cranienne)
  • Hématome sous-arachnoidienne
43
Q

Comment les processus physiopathologiques de la démence vasculaire peut amener des atteintes micro et macrovasculaires au cerveau ?

A

Atteinte microvasculaire

  • Artériosclérose
  • Nécrofibrinoide
  • Angiopathie congophile
  • Atteinte micro cause obstruction (nécrose ¢ et infarctus ischémique) ou microruptures
  • Infarctus ischémiques complets ou incomplets (leucoaraiose)
  • Atteinte surtout sous-corticale –> circuits complexes frontaux +++ touchés (ralentissement psychique, changement personnalité, apathie)

Atteinte macrovasculaire : athérosclérose qui entraîne atteinte importante substance grise et blanche sous jacente et apparition syndrome hémisphérique

44
Q

Quelle est la contribution vasculaire au phénomène dégénératif ?

A
  • Interaction facteurs vasculaires et processus dégénératifs –> aug bcp taux progression déficits cognitifs
  • Maladie vasculaire = processus indépendant qui s’additionne au processus dégénératif
45
Q

Qu’est-ce qu’un corps de Lewy ?

A

inclusions intraneuronales classiquement associée au Parkinson

46
Q

Qu’est-ce qu’une démence à corps de Lewy ?

A

patients présentant syndrome démentiel progressive avec présence corps Lewy diffus

47
Q

Quels sont les signes cliniques d’une démence à corps de Lewy?

A
  • Âge avancé
  • Début insidieux
  • Détérioration progressive mais + rapide que Alzheimer
  • Fluctuations cognitives
  • Hallucinations visuelles récentes
  • Confusion
  • Chutes et syncopes répétées et inexpliquées
  • Dysfonction autonome sévère (SNA)
  • Idéations délirantes
  • Dépression
  • Dysfonction exécutives (JOI PAF)
  • Altération capacité attention
  • Troubles visuo-spatiaux
  • Troubles mnésiques pas premier plan

Très similaire à Parkinson mais déficit cognitif survient au moins un an avant symptômes parkinsoniens (contraite si Parkinson)

48
Q

Quels sont les critères majeurs de diagnostique d’une démence à corps de Lewy ?

A
  1. Démence
  2. Critères majeurs (1 : possible, 2-3 : probable)
    • Fluctuations cognitives avec périodicité variable (min à mois)
    • Hallucinations visuelles récurrentes complexes et bien formées
    • Parkinsonisme spontané
  3. Caractéristiques supportant Dx
    • Chutes répétées
    • Syncope
    • Perte conscience transitoire
    • Sensibilité neuroleptique
    • Délires systématisés
    • Hallucinations
    • Trouble du sommeil
49
Q

Quels sont les interventions pharmacologiques possibles pour la démence à corps de Lewy ?

A

IAChE (rivastigmine): efficacité sur plan comportement/cognition
Dopamine: réponse variable (- efficace que Parkinson)
Neuroleptiques: éviter surtout classiques, parfois atypiques à faibles doses

50
Q

Quels sont les différents types de démence fronto-temporale ?

A
  • Démence fronto-temporale (variante comportementale)
  • Aphasie progressive non fluente (variante verbale)
  • Aphasie progressive fluente (démence sémantique)
51
Q

Quels sont les caractéristiques pour le diagnostic d’une démence fronto-temporale à variante comportementale ?

A

Essentiel au diagnostic

  • Changement personnalité et perturbation conduites sociales (prédominant)
  • Apathie hâtive
  • Perte hâtive autocritique (désinhibition)

Appui le diagnostic

  • Trouble du comportement : altération progressive hygiène et soins personnels, rigidité mentale et inflexibilité, distractibilité et impersistance, hyperoralité et changements habitudes alimentaires, persévération et comportement stéréotypés, hyperémotivité
  • Parole langage : changement débit verbal, stéréotypies verbales, écholalie, persévération, mutisme
  • Dim mémoire pas premier plan

Imagerie : Anomalies frontales dominantes ou temporales antérieures

52
Q

Quels sont les caractéristiques pour le diagnostic d’une démence fronto-temporale à variante verbale ?

A

Essentiel au diagnostic
- Langage spontané non fluent avec atteinte langage expressif (au moins un des éléments suivants): agrammatisme, paraphasies, phonémiques, anomie

Appui le diagnostic

  • Langage : bégaiement ou apraxie orale, difficulté à la répétition, alexie, agraphie, préservation signification mots, mutisme tardif
  • Comportement : préservation aptitudes sociales, changement tardif comportement

Imagerie : Anomalies asymétriques affectant principalement hémisphère dominant (gauche)

53
Q

Quels sont les caractéristiques pour le diagnostic d’une démence fronto-temporale à variante sémantique ?

A

Essentiel au diagnostic
- Trouble progressif langage caractérisé par langage spontané vide de sens (altération compréhension mots ou identification objets, perte mots)

Appui le diagnostic
- Aug débit verbal, usage inapproprié certains mots, dyslexie de surface et dysgraphie

Imagerie : Anomalies asymétriques touchant surtout lobe temporal antérieur dominant (gauche)

54
Q

Qu’est-ce que l’évaluation cognitive ?

A

confirme/infirme présence troubles cognitifs et permet préciser étiologie si présence troubles

55
Q

À quoi sert l’entrevue initiale avec le patient et le donneur de soin dans l’évaluation cognitive ?

A
  • Indices changements par patient et famille
  • Observation patient (dyspraxies, langage, comportements inadéquats, symptômes extra-pyramidaux)
  • Mettre patient à l’aise en parlant choses importante à ses yeux (permet vérifier mémoire épisodique, cohérence contenu, difficulté langage ou trouver mots)
56
Q

À quoi servent les différents antécédents dans l’évaluation cognitive ?

A

Antécédents personnels: chercher conditions pouvant contribuer à prb cognitif ou en être la cause (AVC, épilepsie, TCC, FdR vasculaire)

Interrogatoire neuro et vasculaire

Interrogatoire psychiatrique: antécédents (dépression) et symptômes possibles actuels

Habitudes de vie: alcool, drogues, tabagisme

Antécédents familiaux: pertinent pr certains maladies neuro à composante génétique (Parkinson, Alzheimer, démences vasculaires)

Médicaments: début récent traitement méd, interactions, sevrage, prise inadéquate

Niveau fonctionnement et scolarité: diagnostic démence basé sur dim capacités fonctionnelles

Contexte psycho-familial

57
Q

À quoi sert l’histoire neurocognitive et comportementale dans l’évaluation cognitive ?

A
  • Permet préciser étiologie
  • Commencer Q orientation pr exploration problème
  • Vérifier mémoire épisodique (repas de la veille, actualités, visites proches)
  • Orientation temporelle (besoin repère ?)
  • Orientation spatiale (orientation lieux familiers et non-familiers)
  • Jugement et planification (réaction si imprévu, planification $$$)
  • Fonctionnement (changements notés par patient ds vie personnelle ou professionnelle)
  • AVD/AVQ
  • Psychologie
  • Langage
58
Q

À quoi sert l’examen médical dans l’évaluation cognitive ?

A

recherche signes maladies systémiques (carences, maladies vasculaires, manifestations cutanées)

59
Q

À quoi sert l’examen neurologique dans l’évaluation cognitive ?

A

vise à rechercher signes orientant vers étiologie spécifique ou détecter signes neuro associés maladie dégénérative (confusion, trouble marche)

60
Q

À quoi sert l’examen de dépistage neurocognitif dans l’évaluation cognitive ? Donnez des exemples.

A

permet préciser diagnostic troubles cognitifs ou démence et avoir idée étiologie

Exemples

  • Folstein (MMSE) ou MoCA
  • Test de l’horloge
  • Épreuves d’abstraction
  • Interprétation de proverbes
  • Associations sémantiques
  • Fluidité verbale morphologique et sémantique
  • Praxies sur ordre verbal
  • Gnosies visuelles
  • Langage
61
Q

À quoi servent les indices dans les tests de dépistage neurocognitif ?

A

Si difficulté à se rappeler mots facilitée par indices (catégories, choix de réponse), soupçonne + prb récupération mnésique caractéristique d’une atteinte cognitive sous-corticale

62
Q

Quels sont, en résumé, les principaux signes permettant de départir la maladie d’Alzheimer, la démence vasculaire, la démence à corps de Lewy et la démence fronto-temporale ?

A

Maladie d’Alzheimer : Troubles cognitifs insidieux et progressifs touchant mémoire, langage, gnosie ou praxie

Démence sous-corticale, causes multiples, dont vasculaire : Troubles cognitifs d’installation variable, syndrome dysexécutif ; signes focaux, pyramidaux ou extrapyramidaux (signes neuro)

Démence à corps de Lewy : Troubles cognitifs insidieux et progressifs mais fluctuants ; signes extrapyramidaux, hallucinations, comportement paranoïde

Dégénérescence fronto-temporale : Troubles cognitifs insidieux et progressifs avec présentation comportementale ou linguistique précoce

63
Q

Quels sont les tests à faire en cas de délirium ?

A
De base
Bilan biochimique
Hémogramme
Analyse d’urine
Saturométrie, radiographie pulmonaire
ECG
Hémocultures
Facultatifs
Fonction thyroïdienne
Enzymes hépatiques
Gaz artériels
Calcium
EEG
Dosage sérique de médicaments
Vitamine B12, acide folique
CT-Scan
Ponction lombaire
64
Q

Quand le CT-scan est-il utilisé pour diagnostiquer une démence ?

A
  • Tous patients (sauf rares exceptions)
  • Delirium = ondes deviennent ralenties
  • Démences = ondes à peu près normales
65
Q

Quand l’IRM est-il utilisé pour diagnostiquer une démence ?

A

Patients sélectionnés (deuxième étape) :

  • Patients d’allure vasculaire ou de présentation sous-corticale
  • Suspicion clinique maladie substance blanche
  • Présentation atypique
  • Démence focalisée
  • Suspicion angiopathie amyloïde
  • Études volumétriques en recherche
  • Précision d’anomalie de nature incertaine lors CT-scan
66
Q

Quand l’imagerie fonctionnelle est-il utilisé pour diagnostiquer une démence ?

A

Patients sélectionnés

Ds cadre de recherche dans services spécialisés

67
Q

Quels sont les principaux problèmes psycho-comportementaux ?

A

Apathie: retiré, manque intérêt, manque motivation
Dépression: triste, pleurs faciles, désespéré, faible estime de soi, irritable, sentiment culpabilité
Agression: résistance agressive, agressivité physique, agressivité verbale
Agitation: marcher sans but, tourner en rond, impatience, actions répétitives, trouble sommeil
Psychose: hallucinations, idées délirantes, mésidentifications

Perte progressive du contrôle volontaire des comportements

68
Q

Quelles sont les interventions de base pour les troubles psycho-comportementaux ?

A
  • Satisfaire besoins base
  • Soulager DLR
  • Corriger déficits sensoriels
  • Traiter affections sous-jacentes
  • Réviser méds
69
Q

Quelles sont les interventions non pharmacologiques de base pour les troubles psycho-comportementaux ?

A
  • Contrôler stimulation sensorielle
  • Simplifier environnement
  • Établir routine sécurisante
  • Éviter tâches trop complexes
  • Éloigner patient situations trop stressantes
  • Éviter confrontation
  • Respecter rythme patient
  • Prévoir temps privilégiés pr soins base
  • Utiliser stratégies diversion
  • Favoriser communication efficace
  • Organiser activités adaptés
  • Prévoir temps repos
  • Valoriser capacités restantes
  • Tenir compte personnalité
  • Utiliser repères spatio-temporels
  • Aménager environnement sécuritaire
  • Éviter contraintes physiques
70
Q

Quelles sont les interventions non pharmacologiques d’enseignement et de soutien pour les troubles psycho-comportementaux ?

A
  • Information
  • Enseignement
  • Formation continue
  • Soutien
71
Q

Quelles sont les interventions non pharmacologiques spécifiques et les thérapies pour les troubles psycho-comportementaux ?

A
  • Musicothérapie
  • Aromathérapie
  • Zoothérapie
  • Stimulation multisensorielle
  • Massage
  • Orientation réalité
  • Réminiscence
  • Validation
  • Diversion
  • Relaxation
  • Marche/exercice physique
  • Thérapie occupationnelle
  • Bruit blanc
  • Luminothérapie
  • Psychothérapie
72
Q

Quelles sont les règles de prescription des médicaments pour les troubles psycho-comportementaux ?

A
  • Déterminer si comportement susceptible répondre traitement
  • Préciser buts/limites
  • Administer 1 seul psychotrope à la fois
  • Débuter petites doses
  • S’assurer prise méd
  • Surveiller effets secondaires
  • Éviter spirale toxicité
  • Vérifier interactions méd
  • Ajuster heures prises méd
  • Réévaluer besoins
  • Cesser méd avant débuter un autre
  • S’interroger avec nouvelle prescription
73
Q

De quoi doit-on tenir compte lorsqu’on choisit des psychotrophes (antipsychotiques ou antidépresseurs) pour les troubles psycho-comportementaux ?

A
  • Modifications pharmacocinétiques
  • Type problème
  • Symptômes ciblés
  • Réponse antérieure
  • Condition physique patient
74
Q

Quelles sont les causes les plus fréquentes d’accidents chez les personnes âgées ?

A

déficits attention et problèmes visuo-perceptuels et cognitifs

75
Q

Quels sont les 3 catéhories de facteurs qui influence la capacité de conduire ?

A
  • Intégrité des fonctions sensorielles (facteur #1)
  • Intégrité des fonctions motrices (incluant coordination gestes)
  • Intégrité des fonctions cognitives
76
Q

En quoi l’intégrité des fonctions sensorielles est-elle essentielle pour conduire ?

A

Acuité visuelle: statique et dynamique (détecter présence, vitesse, direction d’un mouvement impliquant excellente perception visuo-spatiale)
Acuité auditive: rôle pas encore démontré
Sensibilité: intégrité sensibilité superficielle et profonde membres inf préservée pr utilisation adéquate pédales

77
Q

En quoi l’intégrité des fonctions motrice est-elle essentielle pour conduire ?

A

Force muscu: force aggripement volant, posture adéquate tronc, force distale suffisante membres inf
Flexibilité: amplitude fonctionnelle suffisante pr membres sup, hanches et genoux
Endurance physique: nécessaire pr compléter trajet
Contrôle mouvements (précision et rapidité): pr assurer utilisation fonctionnelle et sécuritaire toutes composantes de contrôle du véhicule

78
Q

En quoi l’intégrité des fonctions cognitives est-elle essentielle pour conduire ?

A

Attention: sélective (choisir stimulus parmi pls), divisée (pls tâches à la fois), soutenue ou vigilance (maintenir état alerte pdt certaine période de temps) peut être perturbé par maladie (démence) ou facteurs extrinsèques (méd psychotropes)
Capacité analyse, jugement et prise de décision: PA prend + temps pr faire ces tâches (ralentissement temps réaction)
Capacité autocritique et jugement: permet évaluer qualités conducteur et réajuster selon expériences

79
Q

Quels sont les deux façons de dépister les conducteurs à risque ?

A
  • Personne elle-même(lors demande renouvellement permis à chaque 2 ans, conducteur doit faire déclaration maladie ou déficit fonctionnel)
  • Évaluation médicale
80
Q

Comment l’évaluation médicale peut permettre de dépister les conducteurs à risque ?

A
  • Évaluation médicale demandée pr conduire auto à 75, 80 et aux 2 ans ensuite
  • Examen visuel ophtalmologiste exigé à 75 ans
  • Médecins ont droit de déclarer inaptitude potentielle chez patient (rapport SAAQ pr patient qu’il juge inapte à conduire)
  • Pas obligation légale de faire déclaration

Inaptitude jugée temporaire : médecin doit aviser patient de ne pas conduire et indiquer moment où il pourra conduire à nouveau
Inaptitude permanente : médecin doit recommander cessation définitive conduite automobile (avec avertissements préalables idéalement)

81
Q

Quelle est l’importance de l’évaluation fonctionnelle pour le dépistage et le diagnostic de la démence ?

A
  • Définition démence inclut perte fonctionnelle
  • Évaluation fonctionnalité patient pr Dx
  • Pas perte fonctionnelle = ø démence