Gastrologie Flashcards
Physiopathologie (rôle estomac, intestins)
Estomac : dégradation chimique des protéines et sécrétions du facteur intrinsèque (vit. B12)
Intestin grèle : absorption des glucides, lipides, protéines, vitamines, eau et électrolytes
Colon : absorption de l’eau résiduelle et vitamine K = certaines vit. B : par les bactéties. Pousse les selles vers l’anus
- Causes ulcères gastroduodénaux (8)
- Infection à l’Hélicobacter pylori : pertube mucus + produit enzyme qui amène réponse immunitaire = inflammation)
- ATCD familiaux (lien avec culture) : hygiène, aliments, eau ; contaminés
- Médicaments :
ASA, AINS : inhibent synthèse prostaglandines, ↑ sécrétion acide, altération barrières muqueuse
Corticostéroïdes : ↓ renouvellement cellules muqueuse, ↓ effets protecteur muqueuse, ↓ synthèse prostaglandines - Tabagisme : ralentit cicatrisation, ↓ sécrétion HCO3 pancréatique (irritation muqueuse)
- Stress : relentit cicatrisation
- Abus chronique alcool : lésion directe sur muqueuse, stimule sécrétion acide (HCL)
- Caféine : stimule sécrétion acide
- Aliments chauds, épicées : stimule sécrétion acide (HCL)
- complications liées aux ulcères gastroduodénaux (3)
- Hémorragie (complication + fréquente) : érosion du tissu de granulation (base ulcère) ou érosion vaisseau sanguin important (hémorragie) Sx : hématémèse (vomir sang), ↓ TA ad choc hypovolémique, sang selles
- Perforation (complication la plus mortelle) : ulcère duodénal pénètre la surface séreuse = écoulement contenu gastrique/duodénal dans cavité péritonéale (péritonite 6-12 jours après perforation) Sx : dlr soudaine, intense a/n épigastrique irradiée dans toute abdo pas soulagée par aliments/antiacides, ventre de bois : muscle abdo contracte pour limiter dommage, aucun bruit intestinaux, nausées, vomissements
- Obstruction défilé gastrique de la région atteinte
- interventions lien avec complications
- TNG (tube nasaux gastrique)
- Soluté
- Antibiotique
- S.V
- Cesser médicament PO/alimentation entérale
- Possibilité chirurgie
- Comparaison colite ulcéreuse vs maladie crohn :
1. Malabsorption et déficiences nutritionnelles
2. Endroit
3. Répartition
4. Profondeur
5. Intestin grêle touché
6. Récurrence après chirurgie
- Colite : peu fréquente Crohn : courantes
- Colite : souvent début rectum avec progression dans côlon. Crohn : n’importe quelle partie du tractus gastro-intestinal : bouche à anus mais rare iléon.
- Colite : région continue inflammée. Crohn : tissu sain parsemé régions inflammées (lésions discontinues)
- Colite : muqueuse et sous-muqueuse. Crohn : toute épaisseur paroi intestinale (transmurale)
- Colite : peu fréquent (touche parfois iléon). Crohn : courant
- Colite : guérie avec colectomie. Crohn : courante au site de anastamose.
- Examen paracliniques MICI (8)
- FSC : détecte anémie pernicieuse (absance vit. B12) ferriprive (manque de fer) due malabsorption + perte sang
- FSC : leucocytémie élevée (mégacolon toxique ou perforation) = ↑ gbl blanc due inflammation, ↓ hémoglobine, gbl rouge et hématocrite due perte sang.
- E+ : ↓ sodium, potassium, chlorure, bicarbonate, magnésium : due à diarrhée.
- Hypoalbuminémie : ↓ due mauvaise alimentation (manque protéine) ou perte protéines par intestin due diarrhée
- Vitesse de sédimentation : ↑ indique inflammation chronique
- Gaïac : dépisatge sang occulte dans selles
- Coproscopie (analyse selles) : detecte présence mucus, sang, parasites, pus, graisses.
- CRP (protéine C-réactive) : ↑ indique inflammation
- Médiacaments maîtrisant inflammation intestins (2)
- Corticostéroïdes
- Systémique (i/v ou PO) comme prednisone et Topique : suppositoire, lavement, etc.
- Réduisent inflammation + réponse immnunitaire. Permet rémission mais pas efficace pour la maintenir.
- IMPORTANT : ↓ dose progressivement pour ↓ sx insuffisance surrénalienne.
- Effets sec. : peut cacher infection, hyperglycémie, syndrome de cushing (accumulation gras -> face lunaire) - Traitements biologiques ciblés (modulateur de la réponse bilogique)
- Inhibent facteur de la nécrose tumorale (TNF) + préviennent la migration des leucocytes vers les tissus enflammés. (intervient dans processus inflammatoire)
- Provoque et maintient de la rémission.
- Effets sec. : ↑ risque infection
- Objectif thérapie nutritionnelle
APT (alimentation parentérale totale) HAIV (hyper-alimentation intraveineuse)
BUT :
1. Combattre la malnutrition : personne ne peut pas abosorber nutriments par son sytème digestif
2. Maintenir une balance liquidienne et électrolytique normale
3. Améilorer la cicatrisation par le repos de l’intestin
4. Amener à un poids corporel idéal.
- Complications HAIV
Infection systémique ou locale : cause, pour éviter (3) + détecter (2)
Due à des champignons ou des bactéries
Éviter :
1. Nettoyer le site et changer le pansement selon protocole établissement.
2. Changer la tubulure des lipides tout les jours et celle de acides-aminés q 3 jours.
3. Favoriser l’hygiène buccale (↓ prolifération bactéries)
Détecter :
1. Systémique : fièvre, frisson, nausées, vomissements, malaise
2. Locale :
Érythème, douleur, exsudat, oedème, chaleur, rougeur
Observer site insertion q 8h
S.V régulier début q2h : 4h puis q 4-8h
- Complication HAIV
Troubles métaboliques : exemple, pour éviter + détecter : 3 chaque
Exemple : hyper/hypoglycémie, insuffisance rénale, carence en acides gras essentiels, excès ou carence en E+ et Vit., Carence en oligoéléments, hyperlipidémies
Éviter :
1. Vérifier concordance nutriments de la solution
2. Vérifier le débit prescrit pour acides aminés et lipides car différent ; 2 pompes.
3. Utiliser une pompe volumétrique, jamais par gravité.
Détecter :
1. Vérifier la glyécmie capillaire q 4 à6h (maintient entre 3.8 - 6.1 mmmol/L)
2. Poids DIE pour vérifier hydratation + changement poids (veut ↑)
3. Vérification résultats laboratoires faits ( FSC, E+, vit.)
- Complication HAIV
Troubles mécaniques : exemple (4) , pour éviter (3) + détecter (5)
Exemple :
1. insertion cathéter i/v périphérique ou central :
- Embolie gazeuse
- Pneumothorax, hémothorax, …
- Hémorragie
2. déplacement cathéter (infiltration)
3. Thrombose de la veine
4. Phlébite
Éviter :
1. Vérifier si Piccline a bougé
2. Inspecter q quart site insertion cathéter i/v périphérique
3. Avoir calibre adéquat du acthéter i/v périphérique
Détecter :
1. Embolie gazeuse : ↑ pls, toux, dlr thoracique, expecto sang
2. …thorax : dyspnée, toux, dlr thoracique, fièvre
3. Hémorragie : paleur, sueurs froides, soif intense, tachycardie, ↓ TA, étourdissement
4. Inflitration : vérifier si arrêt perfusion, oedeme, induration, dlr site, absence retour veineux
5. Thrombose/phlébite : dlr, rougeur, chaleur, oedeme local, trajet veineux visible rouge et palpable.
Barrière muqueuse gastrique : (3)
paroi = renouvellé q 3 jours
Mucus : forme une couche qui ralentit la diffusion ions H+ à travers la barière de la muqueuse.
HCO3 : libérés par les cellules de la paroi gastrique et duodénale ; neutralise HCL
Prostaglandines : hormones synthétisé par la muqueuse gastrique forisant sécrétion mucus + HCO3 = baisse HCL
Définition ulcère
intérruption de l’intégrité de la muqueuse estomac et/ou dudoénum causée par HCL et pepsine
physiopatho ulcère
HCL se transforme en pepsinogène = devient pepsine = cause destruction cellulaire + inflammation
2 types d’ulcères
- Ulcère aigu : érosion superficielle + inflammation muqueuse jusqu’à sous muqueuse. Courte durée + gurérrit vite.
Ulcère chronique : traverse couche musculaire. Longue durée + tendance à récidiver façon sporadique - Ulcère gastrique (20%) : plus suspectible complication + mort car perforation, hémorragie, occlusion. Arrive 1-2h après repas + dlr alimentation
Ulcère duodénal (80%) : 2-5 après repas + soulagement alimentation.