Français Flashcards

1
Q

Dès la PS, hétérogénéité des capacités langagières. Deux types de langage rencontrés.

A

Langage contextualisé, langage référentiel, langage de situation.
Langage décontextualisé, mise en récits, langage d’évocation.

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2
Q

L’entrée en maternelle marque des ruptures entres les usages familiaux et quotidiens du langage et les usages scolaires du langage qui impliquent notamment l’emploi d’un vocabulaire spécifique aux apprentissages. 4 ruptures.

A

○ Beaucoup de nouveaux interlocuteurs (la maîtresse, les autres enfants, l’ATSEM).
○ Nouveaux repères spatio-temporels : nouveaux lieux, nouveaux rythmes à nommer pour les maîtriser.
○ Les objets de l’école, leurs usages scolaires : pinceaux, colle, brosses, craies…
○ Les pratiques scolaires : chanter, dire des comptines, répéter des mots, une consigne, attendre son tour de parole, etc…

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3
Q

Les domaines d’activités de l’école maternelle. 6 domaines d’activités.

A
  • S’approprier le langage
  • Découvrir l’écrit.
  • Devenir élève.
  • Agir et s’exprimer avec son corps.
  • Découvrir le monde.
  • Percevoir, sentir, imaginer, créer.
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4
Q

Qui a défini trois types de comportement langagier dans les classes, quel que soit l’âge des élèves : petits, moyens et grands parleurs.

A

Agnès Florin, psychologue du développement de l’enfant.

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5
Q

Déclinaison du premier domaine d’activité de l’école maternelle “S’approprier le langage.” 4 entrées.

A
  • Échanger
  • S’exprimer
  • Comprendre
  • Progresser vers la maîtrise de la langue française.
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6
Q

Domaine d’activités : S’approprier le langage. A la fin de l’école maternelle, l’enfant est capable de… 5 entrées.

A
  • Comprendre un message et agir ou répondre de façon pertinente.
  • Nommer avec exactitude un objet, une personne ou une action ressortissant à la vie quotidienne.
  • Formuler, en se faisant comprendre, une description ou une question.
  • Raconter, en se faisant comprendre, un épisode vécu inconnu de son interlocuteur, ou une histoire inventée.
  • Prendre l’initiative de poser des questions ou d’exprimer son point de vue.
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7
Q

Combien y a t-il de phonèmes dans la langue française. Un phonème est une unité abstraite, un son à valeur linguistique. Unités sonores distinctives minimales.

A

36

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8
Q

En maternelle, la prise de conscience phonologique permet de se préparer à lire et à écrire : connaître l’existence d’un code, se préparer à coder (écriture) et à décoder (lecture). Au sujet du travail phonologique, les élèves de fin de grande section doivent être capables de… 6 entrées.

A
  • Localiser une syllabe d’un mot et un son dans un mot (début, fin)
  • Percevoir une syllabe identique dans plusieurs mots et situer sa position dans le mot (début, milieu, fin)
  • Scander les syllabes.
  • Dénombrer les syllabes d’un mot.
  • Manipuler les syllabes : ajouter, inverser, substituer, enlever une syllabe, recombiner plusieurs syllabes dans un autre ordre.
  • Distinguer les sons constitutifs du langage (notamment les voyelles et quelques consonnes en position initiale (attaque) ou terminale (rime);
  • Discriminer des sons proches (f/v, s/ch, s/z, ch/j)
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9
Q

En maternelle, la prise de conscience phonologique permet de se préparer à lire et à écrire : connaître l’existence d’un code, se préparer à coder (écriture) et à décoder (lecture). Trois activités clés pour favoriser l’apprentissage systématique de la lecture et de l’écriture qui commencera au cours préparatoire.

A
  • Travail sur les sons de la parole.
  • Acquisition du principe alphabétique.
  • Acquisition des gestes de l’écriture.
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10
Q

Qui a travaillé, dans les années 1970, sur l’évolution de l’écrit chez les jeunes enfants. Etapes successives fortement inhérentes au développement et peu influencées par les activités scolaires. (objet de débats avec les travaux plus récent de Besse ; rôle prépondérant de l’école dans ces acquisitions).

A

Emilia Ferreiro.

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11
Q

Qui utilise l’expression “franchissement du mur du son” pour parler du 2e seuil, de la 2e période des trois périodes de Jean Marie Besse dans l’évolution de l’acquisition de l’écrit. Élaboration de relations avec la chaîne orale.

A

Fijaljkow

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12
Q

Subdivision en deux rubriques du domaine “Découvrir l’écrit”.

A
  • Se familiariser avec l’écrit.

- Se préparer à apprendre à lire et à écrire.

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13
Q

Quelles activités pour le domaine “Découvrir l’écrit”. Deux activités.

A
  • L’écriture tâtonnée,

- La dictée à l’adulte.

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14
Q

Les trois périodes successives mais non exclusives délimitées par Jean-Marie Besse au sujet de l’écriture tâtonnée.

A
  • 1ère période (3-4 ans)
    premiers symboles associés à du sens.
  • 2e période (4-6 ans)
    Seuil 1 : premières lettres qui dépendent de la forme de l’objet.
    Seuil 2 : franchissement du “mur du son” (Fijalkow). Elaboration de relations avec la chaîne orale. L’élève écrit “PA” pour “PAPA”. Utilisation du nom des lettres pour écrire (SKRGO pour escargot).
    -3e période (à partir de 6 ans)
    Prise en compte de la dimension orthographique de l’écriture.
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15
Q

Compétences cognitives, linguistiques et culturelles indispensables pour lire. 10 compétences.

A
  • Capacité à comprendre le fonctionnement du principe alphabétique : l’écrit encode de l’oral à l’aide de signes alphabétiques. Le trigramme “eau” code le son [o]
  • Accepter la permanence du signe et son abstraction : Le code est arbitraire, sans rapport physique avec la chose désignée.
  • La conscience phonologique : capacité à identifier les phonèmes, les plus petites unités phonologiques de la langue orale.
  • La conscience alphabétique : capacité à identifier les graphème, lettres ou groupes de lettres correspondant à l’encodage écrit des phonèmes : “ou” code [u]
  • Mettre en correspondance graphèmes et phonèmes :
  • Automatiser le mode de reconnaissance et de déchiffrage des mots.
  • Les compétences linguistiques : lexique, morphologie, grammaire de phrase, grammaire de texte… indispensables à la compréhension d’énoncés comme : les poules du couvent couvent.
  • Les compétences culturelles nécessaires à la construction du sens.
  • Mettre en œuvre des stratégies efficientes et les réguler.
  • Adopter une posture et un projet de lecteur.
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16
Q

Les trois stades de l’apprentissage de la lecture.

A
  • le stade logogrammique (maternelle, début CP) : reconnaissance globale du mot.
  • le stade alphabétique (CP) : mise en relation des graphèmes et des phonèmes.
  • le stade orthographique (courant CP: CE1) : mise en place d’automatismes, reconnaissance de syllabes, des morphèmes, des mots outils, des mots connus orthographiquement.

A la fin du cycle 2, l’élève doit avoir atteint le stade orthographique.

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17
Q

Les deux voies (ou stratégies) de lecture de mot.

A
  • La voie indirecte ou assemblage :identification des correspondances entre phonèmes et graphèmes. Combinatoire. Stratégie du débutant ou du lecteur expert face à un mot inconnu. Long et coûteux en énergie.
  • La voie directe ou adressage : reconnaissance des mots mémorisés dans un stock lexical. Association du mot avec son sens.
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18
Q

Les deux composantes fondamentales de l’enseignement de la lecture au cycle 2 à mener de front et à équilibrer. Enseignement explicite.

A

Le décodage et la compréhension.

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19
Q

Trois méthodes pour l’apprentissage de la lecture.

A
  • Méthode syllabique ou synthétique : apprentissage exclusif du code alphabétique.
  • Méthode idéographique ou analytique : compréhension directe des textes.
  • Méthode interactive : apprentissage simultanée.
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20
Q

Les différentes méthodes synthétiques. 4 entrées.

A
  • Méthode syllabique pure : départ de la lettre.
  • Méthode phonique : départ du phonème puis découverte de tous ses graphèmes.
  • Méthode syllabique à départ phonique : départ du phonème, mise en relation avec ses graphies les plus fréquentes.
  • Méthode mixte à départ global : entrée par le code, apprentissage parallèle d’un stock de mots;
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21
Q

Les différentes méthodes analytiques. 3 entrées/

A
  • Méthode globale d’Ovide Decroly : part des phrases ou textes en relation avec la vie de la classe.
  • Méthode naturelle de Freinet.
  • Méthode idéo-visuelle : rejet de la combinatoire. Priorité à la compréhension.
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22
Q

Quelles sont les compétences nécessaires au lecteur expert en matière de compréhension de texte. 2 entrées.

A
  • compétences procédurales.

- compétences culturelles.

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23
Q

Quelles sont les 4 compétences culturelles indispensables au lecteur pour traiter l’information dans les textes selon Umberto Eco ?

A
  • Compétences encyclopédiques.
  • Compétences rhétoriques.
  • Compétences idéologiques.
  • Compétences linguistiques.
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24
Q

Evolution de la place du volet “Compréhension” de la Lecture. Que se passe-t-il en 1975 ?

A

Affirmation que l’apprentissage de la compréhension ne peut être séparé de celui du décodage. Décodage sans compréhension = inutile et pénible pour l’élève.

25
Q

Evolution de la place du volet “Compréhension” de la Lecture. Que se passe-t-il en 1985?

A

“Lire c’est comprendre”. La compréhension est vue comme une composante fondamentale de l’acte de lire.

26
Q

Evolution de la place du volet “Compréhension” de la Lecture. Que se passe-t-il en 2002?

A

Arrivée de la littérature de jeunesse dans les programmes. Concepts de compréhension et d’interprétation.

27
Q

Deux types de texte pour construire la compréhension au cycle 2.

A

Les textes littéraires,

Les textes documentaires.

28
Q

Lecture : A la fin du CE1, l’élève est capable (palier 1 du socle commun pour la maîtrise de la langue française). Deux entrées.

A
  • lire seul et écouter lire des textes du patrimoine et des œuvres intégrales de la littérature de jeunesse, adaptés à son âge;
  • de lire seul et comprendre un énoncé, une consigne simples et de dégager le thème d’un paragraphe ou d’un texte court.
29
Q

Grande complexité de l’activité scripturale. Les 6 contraintes majeures.

A
  • contraintes linguistiques (règles de syntaxe, règles sémantiques et morphologiques….)
  • contraintes psycholinguistiques ou cognitives (maintien de l’attention, mémorisation, anticipation, conceptualisation)
  • contraintes imposées par la situation d’écriture (consignes, longueur imposée…)
  • contraintes liées aux outils et aux supports utilisés.
  • contraintes imposées par le déjà écrit (cohérence…)
  • contraintes affectives (gout ou dégoût pour tel type d’écrit, enjeux)
30
Q

Trois opérations du scripteur expérimenté pour gérer les contraintes de l’activité scripturale (selon Hayes et Flower).

A
  • les opérations de planification ;
  • les opérations de mise en texte ;
  • les opérations de révision ou de relecture.
31
Q

6 orientations pour l’apprentissage de l’écriture.

A
  • Ne pas faire de l’écriture un lieu d’application de la norme linguistique.
  • Ne pas toujours travailler l’écriture dans le sillage de la lecture. Il faut parfois d’abord faire écrire les élèves.
  • Ne pas prendre en compte/valoriser seulement le produit fini. Valoriser le processus, valoriser le brouillon, la phase de recherche.
  • Considérer l’élève comme un sujet écrivant : prendre en compte la relation que l’élève a déjà construit avec l’écrit. Favoriser un rapport positif à l’écriture, plaisir d’écrire, espace de tolérance où tous peuvent s’essayer à l’écriture.
  • Ne pas entrer brutalement au CP dans l’apprentissage de l’écriture : l’échelonner.
  • Nécessité de pratiquer régulièrement l’écriture.
32
Q

Quels principes pour un enseignement efficace de l’orthographe à l’école élémentaire ? 4 principes.

A
  • la cohérence et les régularités : ne pas insister sur les exceptions. Présenter l’orthographe comme un ensemble cohérent et structuré.
  • une progression raisonnable : hiérarchiser les apprentissages. Correspondances graphies-phonies (des graphèmes les plus courants au plus rares) à partir du CE1, gestion des accords au cycle 3 (chaines d’accords de plus en plus complexe)
  • l’essentiel : notions déterminantes (ex : accord en genre et en nombre) à travailler régulièrement de manière spiralaire.
  • le décloisonnement : utiliser les formes conformes à la norme dans les situations où l’orthographe n’est pas la priorité. Transfert des connaissances, réinvestissement.
33
Q

Les démarches et dispositifs pour la didactique de l’orthographe. 7 entrées.

A
  • Établir une programmation : revenir régulièrement sur les points essentiels.
  • Tenir compte des représentations des élèves sur la langue : il y a souvent des conceptions erronées qui est à l’origine de la faute et qui resurgit à la moindre occasion.
  • Créer des dispositifs permettant aux élèves de verbaliser et d’expliciter oralement leurs conceptions en groupes et de co-construire leurs savoirs.
  • Privilégier les observations et les manipulations (remplacement des termes, commutations, changement de temps, de personnes…)
  • Travailler sur les procédure productives : morphologie dérivationnelle (faire sonner les lettres muettes : froid > froideur)
  • Automatiser les connaissances : multiplicité des expositions aux mots et règles, exercices, procédures de mémorisation… Création d’outils qui doivent être consultés de manière ritualisée (cahiers, répertoires, affiches…)
  • L’évaluation : exemple “dictée” fabriquée autour des notions travaillées. Tenir compte de l’hétérogénéité.
34
Q

En maternelle, quel est l’enjeu principal de l’enseignement de l’oral ?

A

L’acquisition progressive du langage décontextualisé, langage d’évocation, qui est en relation avec l’écrit en ce qu’il demande l’apprentissage d’une mise en forme pour se faire comprendre.

35
Q

Quelles sont les étapes reliées entre elles qui permettent de construire une séquence didactique?

A
  1. Étape de présentation de l’objectif général d’apprentissage, mise en contexte de la tâche.
  2. Étape de réalisation par les élèves de la tâche assignée.
  3. Étape de structuration des savoirs et d’institutionnalisation.
  4. Étape d’entraînement, de consolidation, de mise en mémoire.
  5. Étape d’évaluation.
  6. Étapes de transfert des connaissances.
36
Q

Quelles sont les six fonctions de l’étayage selon Bruner?

A

L’enrôlement.
La réduction des degrés de liberté.
Le maintien de l’orientation
La signalisation des caractéristiques dominantes
Le contrôle de la frustration
La démonstration (ou présentation de solutions)

37
Q

Que dit-on du langage? Référence qu’il sert d’outil pour acquérir des connaissances, des compétences…

A

Il est le pivot des apprentissages.

38
Q

Quelles sont les trois activités clés de l’école maternelle qui favorisent grandement l’apprentissage systématique de la lecture et de l’écriture qui commencera au cours préparatoire.

A
  • le travail sur les sons de la parole,
  • l’acquisition du principe alphabétique,
  • les gestes de l’écriture.
39
Q

Quelles sont les trois aspects de l’activité graphique ?

A
  • aspect moteur
  • aspect perceptif
  • aspect sémantique
40
Q

Quelles sont les trois étapes de la démarche pour acquérir un signe graphique (ex : la ligne verticale, horizontale, oblique, brisée, les spirales, les boucles, les ponts…)?

A
  • perception dans l’espace salle de jeu avec le corps entier,
  • représentation sur le plan vertical et grand format,
  • reproduction sur plan horizontal.
41
Q

Quels sont les 7 différents types de réseaux qu’il est possible d’établir entre différents textes pour favoriser la construction d’une pratique littéraire chez l’enfant ?

A
  • réseau intertextuel : un texte cité fait allusion à une autre histoire.
  • intratextuel : autour d’un auteur…
  • architextuel ou générique : autour d’un même genre : policier, aventures, contes.
  • transgénérique
  • hypetextuel : autour d’un texte source, on étudie les variantes, les adaptations…
  • centré sur le personnage : l’ours, le lapin, les sorcières…
  • symbolique : l’amour, la mort, l’amitié…
42
Q

Quelles sont les 4 règles sur lesquelles repose la cohérence d’un texte?

A
  • la règle de référence : répétition d’éléments récurrents.
  • la règle de progression de l’information
  • la règle de relation : les informations doivent s’enchaîner et s’ordonner dans une relation de cohérence avec celles qui précèdent.
  • la règle de non-contradiction
43
Q

Quatre modalités ou types de discours selon Bronckart en fonction de la combinaison de deux variables…

A
  • L’implication de l’émetteur dans son énoncé.
  • l’ancrage temporel de l’énoncé.
  • discours interactif
  • récit intéractif
  • discours théorique
  • narration
44
Q

Quelles sont les 7 catégories de textes de littérature au cycle 3.

A
  • album,
  • bande dessinée,
  • conte
  • fable et nouvelle,
  • roman,
  • poésie,
  • théâtre.
45
Q

Selon la typologie la plus courante en usage dans l’enseignement primaire, on compte sept types de textes ou de “séquences textuelles” (un texte peut être tour à tour narratif ou descriptif…)

A
  • narratif
  • descriptif
  • explicatif
  • injonctif
  • argumentatif
  • conversationnel
  • poétique
46
Q

Les premiers mots. Premières vocalises (arrheu).

A

Dès l’âge de deux mois.

47
Q

Les premiers mots. Le bébé commence à contrôler les sons émis. Production de syllabes simples et répétées.

A

5-7 mois

48
Q

Les premiers mots. Les formes produites correspondent aux formes intonatives et phonétiques propres à la langue maternelle adressée au bébé.

A

7-8 mois

49
Q

Les premiers mots. Productions sonores proches des mots et contextualisées.

A

9-10 mois

50
Q

Les premiers mots. Premiers mots qui désignent des personnes familières, des objets de la vie quotidienne, des mots de la vie sociale.

A

Vers 12 mois.

51
Q

Les premiers mots. Maîtrise d’une cinquantaine de mots.

A

18 mois

52
Q

Les premiers mots. Acquisition du prénom et phrases de deux mots (“a pu”, “pati papa”)

A

Vers 2 ans

53
Q

Les premiers mots. Phrases de trois mots, maîtrise de 500 mots environ.

A

Vers 3 ans.

54
Q

Acquisition du langage. L’enfant parvient à énumérer des faits qu’il juxtapose sans pouvoir faire apparaître les relations de cause à effet.

A

Entre 3 et 5 ans.

55
Q

Acquisition du langage. Élaboration d’un récit oral de manière autonome sans l’étayage langagier de l’adulte qui l’aide à construire la cohésion et la cohérence du récit. L’enfant commence à se justifier, à produire des conduites argumentatives.

A

Vers 6 ans.

56
Q

Développement chez l’enfant d’une “théorie de l’esprit” qui lui permet de se représenter ce que les autres croient, pensent, ressentent, prévoient, planifient… Représentation des états mentaux des autres personnes. Anticiper et prévoir les réactions d’autrui.

A

Entre 5 et 7-8 ans.

57
Q

L’enfant acquiert environ 1 300 mots/an

A

Entre 7 et 11 ans.

58
Q

L’enfant commence à suffisamment maîtriser le schéma narratif pour produire seul des récits écrits.

A

Vers 10-11 ans.