Fonctionnement cognitif 1BCGA Flashcards
L’activation correspond à …
la partie de la MLT dispo à un moment donné
- se fait automatiquement
- dépend de la typicalité, de la fréqu des items et de la dist entre les concepts ds le réseau
La charge mentale correspond à …
la partie des ressources cognitives mobilisées dans la réalisation d’une tâche
-liée à la complexité de la tâche, la notion de canal unique,et la limitation des capacités de traitement
L’encodage sert à …
transformer une info venant de la mémoire sensorielle afin de la transmettre à la MT (puis évent à la MLT)
la rapidité de l’encodage dépend de la familiarité des items
interférence proactive
ce qui est déjà acquis perturbe l’apprentissage en cours
interférence rétroactive
ce que l’on est en train d’apprendre perturbe la rétention de l’info antérieurement acquise
Où se crée l’interprétation?
conception qu’un sujet se fait d’une situation particulière à un moment donné
dans la MT
différente d’une connaissance stabilisée en MLT car:
-n’a pas besoin d’être activée
-est immédiatemt dispo
Un PROCESSUS (activité de traitemnt de l’info) peut être (2)…
- modulaire
- contrôlable par des objectifs (si obj.immédiat:”exécution, résolution de pbs”, si obj. de haut niveau=”opération”,
processus modulaires QUI? QUOI?
FODOR 1983
- module= syst de traitement autonome
- traitement rapide et irrépressible
- info encapsulée
Profondeur de traitement : 3 niveaux
- infrasémantique (exécution de mvts, perception)
- sémantique de l’identification des objets
- sémantique des significations et des décisions d’actions
Modèle de BADDELEY 1974
- calepin visuo-spatial et boucle phonologique
- administrateur central
- MLT
ROSCH
Quoi?
un PROTOTYPE est défini par:
- la différence avec les exemplaires des autres catégories
- sa ressemblance avec les autres exemplaires de sa catégorie
Organisation de la MLT
modèle de TULVING 1972-85
SPI
- encodage Sériel dans les mémoires épisodique et sémantique
- stockage Parallèle
- récupération Indépendante
- distinction mémoire épisodique: “se souvenir” VS sémantique:”connaître”
Organisation de la MLT
modèle de SQUIRE 1993-04
-MLT= mém. Explicite + mém. Implicite
-Mém. Explicite/Déclarative= épisodique+sémantique
(les infos peuvent être récupérées consciemment)
-Mém. Implicite= procédurale, apprentissage perceptif, conditionnement, non associatif (habituation, arc réflexe)
Représentation=
contenu de la ou les mémoires se rapportant à un objet, une situation ou un événement
les représentations peuvent être stockées en…
- MT: elles sont transitoires = “interprétation”
- MLT: elles sont permanentes =”connaissances et croyances”
les représentations peuvent être…(3)
- imagées
- propositionnelles
- liées à l’action
Modèle de Cowan 1988
rejoint l’approche ASSOCIATIONNISTE / MONISTE (1 seule mémoire, avec des sous-systèmes)
La MCT est une partie de la MLT
Les registres sensoriels et des processus de contrôle s’adressent directement à cette grosse boîte
La MLT produit ensuite des actions contrôlées (depuis la MCT) et des actions automatiques (depuis la MLT)
L’encodage d’une représentation imagée peut être à la fois… ou …
imagé ou verbal
Les représentations propositionnelles peuvent être encodées en croisant 2 types de structures:
- structures d’interprétation (trame, compréhension)
- structures conceptuelles (connaissances)/notion de prototype
Les représentations liées à l’action peuvent comporter 2 composantes:
- procédurales (savoir comment exécuter une action)
- déclaratives (verbaliser une action, expliquer à qq’un comment faire, comprendre un mode d’emploi)
Mémoire déclarative = … et …
mémoires sémantique ET épisodique
savoirs
effet de position sérielle
QUI?
Postman et Phillips
capacité de la MCT
7 (+ ou -2) unités ou schunks (items regroupés)
durée: qqs secondes (15sec?)
hypothèse actuelle: la capacité n’est pas limitée en nb d’items mais dépend de la vitesse d’encodage
Conrad et Hull 1964
“l’apprentissage d’une suite de lettres phonologiquemt proches est plus…
difficile qu’une suite de lettres phonologiquemt dissemblables”
Que sont l’intension et l’extension
qui définissent un CONCEPT
dans le point de vue LOGIQUE?
intension: pptés nécessaires et suffisantes pour dire qu’un objet appartient à une catégorie
extension: tous les objets que je peux ranger ds cette catégorie
Sperling 1960 et 1963 a mesuré… (2)
…l’empan perceptif
empan de 9 items , on retient plus d’items qu’on est capable d’en rappeler explicitement
…la vitesse d’exploration visuelle (optimale 100ms)
Expériences de Sperling
-fixation “+”, stimulus “3x4 lettres”, masque, puis demande de rappel complet (ttes les lettres): les suj en donnent 5
-idem mais avec masque+signal demandant un report partiel (une seule ligne de lettres à rappeler): les suj en donnent 3de la bonne ligne
On peut faire varier la durée de présentation du stimulus
2 effets facilitant le rappel d’items
expé de Postamn et Phillips 1965: rappel immédiat et différé d’une liste d’items
-effet de primauté (les premiers de la liste)
-effet de récence (les derniers présentés): pas d’effet si le rappel est différé
= effet de POSITION SERIELLE
->hypothèse: les premiers items sont placés en MLT grâce à la répétition mentale (subvocalisation)
Bisseret 1970: notion de …
mémoire opérationnelle
Atkinson 1972: notion de …
stratégies de répétition mentale
Rundus 1970: notion de …
répétition mentale
Mandler 1967: notion de …
organisation du matériel à apprendre
Craik et Lockart 1972: notion de …
profondeur de traitement
Schneider et Shiffrin 1977 (tâche de détection d’items) ont montré que…
le temps de récupération de l’info en MLT ne dépend pas du nb d’items à surveiller. L’accès à la MLT serait donc non séquentiel et automatique.
Sternberg montre que l’accès à l’info en MT se fait de manière?
sérielle et exhaustive.
Le tps de réponse varie en fct de la longueur de la liste et non de la présence ou de l’absence de l’item.
Arguments pour distinguer MCT et MLT
- codage (acoustique VS sémantique)
- capacité de stockage
- durée de rétention
- mécanisme de récupération différents
Dans une situation problème:
espace de base VS espace de recherche
de base: ensemble des états possibles
de recherche: interprétation du pb par le sujet
Santa 1977 a montré qu’un codage imagé n’a pas les même pptés qu’un…
…codage verbal (l’imagé conserve les pptés spatiales tandis que le verbal conserve les pptés temporelles de l’ordre de lecture
La représentation du contenu d’un texte s’appuie sur (2)
Kintsch et Van Dijk 1978
- les réseaux propositionnels (le réseau s’étoffe à mesure, il se crée des liens entre les différents arguments
- la macrostructure (se construit par cycle, par suppressions, généralisations et remplacements)
description expé de Rosch et Mervis (prototype)
- 5 catégories d’objets avec 20 exemplaires de chq
- 1 grp doit énoncer pour chq exemplaires le plus de pptés possibles
- 1grp juge de la typicité de chacun des exemplaires
- résultats: les pptés communes à ts les ex sont très rares, et plus un ex est typique, plus il partage de pptés avec les autres ex de la catég
Synthèse article de Lieury sur mémoire et apprentissages scolaires
- conception populaire: mémoire visuelle VS auditive
- en réalité ce sont les mémoires abstraites (lexicale et sémantique notamment) qui sont le support des connaissances
- mém sensorielles: très courte durée
- nous sommes ts des audiovisuels (sf handicap)
Synthèse article de Marschark sur les sourds
- les enfants Sourds et Entendants apprennent différemment
- on est passés de S=inférieur à S=concret/pas de créativité, puis “S normaux”, NOW: “différent n’est pas déficient” (Moores)
- les enf S ont en moy moins de connaissances que les E
- l’organisation des connaissances (sémant et conceptuelles) est moins partagée par d’autres indiv chez les S que chez les E
- les S ont moins enclins à considérer pls approches pour résoudre un pb ou exécuter une tâche
- il faut les aider à dvpper une métacognition (prendre conscience de ses compét de langage et de ses façons d’apprendre)