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CRI1950 > Femmes délinquantes > Flashcards

Femmes délinquantes Flashcards

1
Q

Pourquoi la délinquance des femmes est un phénomène peu étudié ?

A

Les théories en criminologie ont toujours ciblé les hommes.
Il n’a jamais été considéré que la criminalité des femmes puisse être distincte de celle des hommes.
(sauf prostitution)

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2
Q

conséquences du peu d’études et théories sur délinquances féminine

A

plusieurs théories de s’appliquent pas aux femmes (théories ont été élaborées pour expliquer hommes)

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2
Q

comment est-ce que la criminalité des femmes étaient perçues avant? explique le phénomène eu étudié?

A

La criminalité des femmes était vue  manque d’adhérence au rôle prescrit – attendu des femmes

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3
Q

est-ce que c’est un fait universel que les femmes commettent moins de crimes que les hommes?

A

oui, minoritaire au sein du système judiciaire (4%)
sauf dans crimes moins sévères, plus égaux

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4
Q

pourquoi augmentation des femmes mises en causes de 30% (vs 23% hommes)?

A

La société est plus ouverte à reconnaître la délinquance des femmes. Le taux en tant que tel n’a pas augmenté, les crimes sont tout simplement plus visibles.

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5
Q

statistiques officielles Canada; (12+ et adulte)

A

21% des crimes (12 ans et plus) – 17% (adultes seulement)

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6
Q

statistiques autorévélées; quelle sexe autorévèle plus gestes criminels?

A

hommes x2

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7
Q

au niveau des crimes mineurs, quel sexe commet + actes?

A

aucune différence entre hommes et femmes

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8
Q

au niveau des vols de voiture, cambriolages, quel sexe commet + actes?

A

hommes, 5:1

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9
Q

filles représentent quel % des arrêts juvéniles? % interventions qui ciblent filles?

A

25% vs 8%
Il serait plus logique d’avoir 25% de programmes de prévention ciblant les filles (même proportion que celles arrêtées)

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10
Q

pourquoi interventions juvéniles ciblent + hommes?

A

Idée sous-jacente: on cible les garçons, car les filles «ne sont pas importantes»

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11
Q

deux types d’offenses féminins

A

statut offense (cible certaine population, certaines femmes ne peuvent pas conduire)
actes criminels

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12
Q

quel crime est en augmentation chez les femmes depuis les dernières années?

A

sexting; la création, le partage et la distribution d’images sexuellement suggestives ou partiellement nues

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13
Q

sexting primaire

A

le fait de se prendre en photo et de l’envoyer par la suite. Le fait de créer un fichier – Inclut les messages écrits.

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14
Q

sexting secondaire

A

Le fait de «follower», REdistribuer une image qu’on nous a envoyée.

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15
Q

quels sont les 2 problèmes associés au sexting?

A

Photographie nue de mineur/e = pornographie juvénile
Sexting secondaire: forme de cyber-intimidation

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16
Q

rôles des filles dans le sexting; en tant que victime

A

Vont prendre elles-mêmes les photos et vont les envoyer dans un cadre amoureux.
Certaines filles envoient des photos d’elle-même sans qu’on ait demandé. But: avoir des commentaires positifs afin de booster leur confiance en soi.

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17
Q

rôle des filles dans le sexting secondaires; en tant qu’auteure

A

Certaines vont le faire par bienveillance, mais la plupart vont le faire par vengeance.

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18
Q

premières perceptions de la délinquance au féminin

A

La criminalité est une erreur dans la vie des femmes.
Encontre au rôle de la femme, renie ce qu’elle est vraiment, pour ressemble à l’homme (délinquant)

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19
Q

qui fût le premier à s’intéresser à la délinquance des femmes? que rapporte t-il?

A

lombroso
Il rapporte que des traits physiques masculins, notamment au niveau du crâne ou de la posture, sont observables chez les femmes criminelles, contrairement aux autres femmes.
(Déterministe = nait criminel)

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20
Q

Criminelle née (Lomboroso et Ferrero); pourquoi la femme ne commet pas de crime?

A

Les femmes sont meilleures et commettent moins de crimes à cause de leurs traits biologiques spéciaux: (religion, maternité, manque de passion, sexualité froide, faible physique et intelligence)

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21
Q

Criminelle née (Lomboroso et Ferrero); pourquoi la femme criminelle est-elle doublement un monstre?

A

Considérée comme un monstre, car elle est née «anormale», qu’elle n’a aucune qualité féminine. + est criminelle

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22
Q

théorie de la masculinisation

A

Les femmes qui commettent des crimes sont plus « masculines » sur les plans physique, psychologique et social.
se rebel de son rôle de subordonné, rôle féminin naturel

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23
Q

théorie de l’opportunité; à l’encontre de quelle théorie?

A

théorie de masculinisation; hommes et femmes ne se distinguent pas tant quant à moralité et caractéristiques biologiques = n’explique pas criminalité des femmes, pas vrai sur plan biologique

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24
Q

théorie de l’opportunité

A

hommes sont plus impliqués dans criminalité car ont plus d’opportunités que femmes, plus de compétences et possèdent un réseaux

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25
Q

théorie de l’opportunité; qu’est-ce qui augmente criminalité féminine?

A

quand femmes ont opportunités; accès au marché du travail, postes hautement spécialisés (+ crimes contre les biens), connaissent plus de gens (réseau + grand), plus de compétences.

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26
Q

théorie de la marginalisation; à l’encontre de quelle théorie?

A

théorie de l’opportunité; réfute l’idée qu’une plus grande implication des femmes dans société augmente criminalité

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27
Q

théorie de la marginalisation ressemble à quelle théorie?

A

théorie des tensions; commettre des crimes pour atteindre buts car pas la même chance dans la vie

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28
Q

théorie de la marginalisation; causes de la criminalité

A

crime en réponse à:
Salaire moindre
Occupation peu valorisante
Emplois moins certains (- stable)
(femmes moins éduqués, emplois – sûrs.)

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29
Q

théorie de la marginalisation; motivation

A

Réponse à la pauvreté et à l’insécurité financière

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30
Q

théorie de la marginalisation; autres causes, motivation?

A

Chômage, emploi mal rémunéré, prestation sociale insuffisante, nombre croissant du nombre de ménages dirigés par des femmes (monoparentalité) avec un grand nombre d’enfants
= Expliquent également comportements criminels

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31
Q

théorie de la chevalerie

A

femmes commettent autant de crimes que les hommes, mais que celles-ci font l’objet d’un traitement moindre par le système judiciaire.
(+++ critiqué)

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32
Q

théorie de la chevalerie; différences dans taux d’arrestations associé à?

A

attitudes proactives et bienveillantes envers femmes
Pouvoir discrétionnaire des policiers (décident ou non d’arrêter)
Considère femme comme victime
Femmes criminelles souffrent de problèmes de santé mentale
*part de vérité, peu d’accusation dans le passé
Justice arbitraire, selon le sexe (- sévère pour femmes)

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33
Q

éthologie de délinquance au féminin, pouvant expliquer criminalité à l’âge adulte

A

AS à l’enfance (avant 18 ans, par connaissance) = facilite passage à l’acte et méfiance envers autres
foyer d’acceuil (famille problèmatique, comportements problématiques)
familles monoparentales (absence du père)

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34
Q

facteur de risque généraux gender neutral (exemple)

A

indépendant du genre. S’appliquent de la même façon aux hommes ET aux femmes
ex. Toxicomanie

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35
Q

facteur de risque généraux sexo-spécifique

A

Explique la délinquance de la femme OU de l’homme.
Différents comportements, raison de commettre crime selon sexe

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36
Q

facteur de risque généraux gender neutral d’application sexo-spécifique

A

Facteurs qui se retrouvent chez les deux sexes mais qui s’appliquent différemment selon le sexe.

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37
Q

facteurs de risque généraux ne sont pas même chose que facteurs de?

A

récidive

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38
Q

facteurs sexo-spécifique (2)

A

emploi stable= femme, peu importe emploi, protège + contre criminalité
facteurs liés aux pairs; + influence chez garçons (femmes vont s’adapter à partenaire au lieu, qui a pairs délinquants)

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39
Q

facteur de risque gender neutral d’application sexo-spécifique

A

avoir enfant = protège + contre criminalité chez femmes, rapide (+ lent chez hommes)

40
Q

répartition de criminalité chez femmes

A

maojrité; contre propriété et personne

41
Q

violence conjugale; différents types de violence, violence bidirectionnelle

A

hommes + violents, homicides,
Violence bidirectionnelles: des deux côtés, majorité de cas. un commence et l’autre continue, augmentation en intensité

41
Q

types de violence chez les femmes

A

La violence générale (frapper quelqu’un)
La violence conjugale
Les homicides
L’agression sexuelle

42
Q

femmes meurtrières; victimes plus souvent…

A

hommes. quelqu’un qu’elles connaissent (90% vs 75% hommes)

43
Q

délinquance sexuelle; contraintes utilisées par femmes

A

des tactiques psychologiques (pression verbale, chantage) ou étaient en état d’ébriété.

44
Q

taux de prévalence officiel des agressions sexuelles commises par femmes

A

1%

45
Q

sous-déclaration des AS par femmes; pourquoi?

A

Peur de ne pas être cru
Peur de la stigmatisation
Les auteurs féminins = plus de possibilités de masquer leurs contacts
Au sein de la famille
Moins de blessures physiques

46
Q

selon méta-analyse, taux de prévalence des infractions sexuelles (littérature)?
chiffre noir?

A

4-5% (Littérature)
vs chiffre noir; 11-12% (1 sur 20)

47
Q

femmes agressent majoritairement _______. sauf quand;

A

hommes.
sauf quand avec partenaire (s’adaptent)

48
Q

prevalence des victimes d’infractions sexuelles à caractère pédophilique

A

25% gars et 13% filles

49
Q

types d’infractions sexuelles pédophiliques

A

Indécence
Exhibitionnisme (exposition des organes génitaux)
Attouchements (caresses, contacts oraux)
Viol (pénétration vaginale/anale, utilisation d’objet)
Meurtre

50
Q

caractéristiques d’auteurs féminins d’infractions sexuelles; sociales

A

+ jeunes que homologues masculins, - éduqués, faible SSE

51
Q

caractéristiques d’auteurs féminins d’infractions sexuelles; développementales

A

Victimisation physique, sexuelle (50-80%), émotionnelle et de négligence à l’enfance.
Dépendance à un partenaire, veux faire plaisir, ne pas se faire quitter ou violence, aide avec crime, trouver victime.

52
Q

caractéristiques d’auteurs féminins d’infractions sexuelles; psychologiques

A

problèmes psychologiques (anxiété, dépression, dissociation, trouble de stress post-traumatique.
Toxicomanie
Faible estime de soi (dépendance), des compétences sociales inadéquates, une faible identité personnelle (s’identifie à partenaire), et une peur des hommes

53
Q

caractéristiques d’auteurs féminins d’infractions sexuelles; psychopathologiques

A

Présentent des troubles mentaux (bipolaire, schizophrénie, trouble de la personnalité)

54
Q

caractéristiques d’auteurs féminins d’infractions sexuelles; modus operandi; avec autre personne

A

un tier des infractions sexuelles
commence avec partenaire, continue seule (pas nécessairement contrainte de l’hommes, 50% du tier), homme généralement conjoint
victime: enfant

55
Q

caractéristiques d’auteurs féminins d’infractions sexuelles; modus operandi; sexe de la victime

A

en compagnie (partenaire qui choisit victime) - féminine
agression seule - masculine
agression dyade femmes - victime fille et même a^ge

56
Q

délinquance sexuelle; facteurs de risque

A

adversités pendant l’enfance, pairs délinquants, distorsions cognitives

57
Q

délinquance sexuelle; facteurs de risque; adversité pendant l’enfance

A

Antécédents familiaux chaotiques (négligence/violence)
abus physique, sexuel, émotionnel + grave que leurs homologues masculins

58
Q

délinquance sexuelle; facteurs de risque; pairs délinquants

A

Influence du conjoint / désir de plaire au conjoint

59
Q

délinquance sexuelle; facteurs de risque; distorsions cognitives (pédophiliques)

A

Similaire à celles chez les hommes auteurs d’infractions sexuelles
Distorsions pédophiliques;
(enfants en tant qu’objet sexuel)
L’enfant n’est pas violé ou blessé par l’abus (nature du préjudice)
(monde incontrôlable, dangereux)

60
Q

délinquantes sexuelles; récidive

A

faible taux de base, 1-3% (vs hommes 13,5%) période de 5-6 ans

61
Q

délinquantes sexuelles; caractéristiques des récidivistes femmes

A

Plus jeunes
Crime sexuel avec contact
Victime de plus de 12 ans (femmes qui agressent ado)

62
Q

Typologies délinquantes sexuelles d’enfants; enseignante amoureuse

A

se considère comme faisant partie d’une relation amoureuse consentante avec un adolescent et nie généralement tout comportement abusif.

63
Q

Typologies délinquantes sexuelles d’enfants; prédisposition à l’agression

A

a été victime d’abus et présente un comportement de dépendance.

64
Q

Typologies délinquantes sexuelles d’enfants; agresseurs sous contrainte d’un homme

A

décrit comme une femme passive dans une relation avec un homme violent et abuse généralement de ses propres enfants.

65
Q

Typologies délinquantes sexuelles d’enfants; expérimentateur, exploiteur

A

une jeune femme (adolescente) qui exploite un jeune homme (encore plus jeune).

66
Q

Typologies délinquantes sexuelles d’enfants; psychologiquement perturbées.

A

présente des caractéristiques psychotiques.

67
Q

Typologies délinquantes sexuelles; nourrice hétérosexuelle

A

ces délinquantes (30 ans) et victime garçons (12 ans.)
Elles ressentaient un manque d’intimité et cherchaient une compensation émotionnelle auprès de leurs victimes adolescentes.

68
Q

Typologies délinquantes sexuelles; délinquante homosexuelle non criminelle

A

ces délinquantes(32 ans) et victimes filles (âge moyen 13 ans).

69
Q

Typologies délinquantes sexuelles; prédateurs sexuels féminins

A

ces délinquantes (29 ans) préférence pour victimes âgées (11 ans)

70
Q

Typologies délinquantes sexuelles; jeunes adultes exploitrices d’enfants

A

ces délinquantes + jeunes (âge moyen de 28 ans) et avaient peu, voire pas du tout, d’arrestations en dehors de leur infraction d’enregistrement. + susceptible d’être arrêté pour agression sexuelle sur de jeunes victimes, (7 ans.)
relation préétablie avec la victime et pas de préférence pour les victimes de sexe masculin ou féminin.

71
Q

quelle type de délinquantes sexuelles sont les plus jeunes?

A

jeunes adultes exploitrices d’enfants (28 ans)

72
Q

Typologies délinquantes sexuelles; délinquantes homosexuelle

A

délinquantes + âgées (30 ans), motivées par le gain économique et ciblent des victimes + âgées (30 ans)
délinquantes arrêtées à nombreuses reprises, traits antisociaux, préférence pour les victimes féminines et forçaient souvent leurs victimes à se prostituer.

73
Q

Typologies délinquantes sexuelles; délinquantes homosexuelles agressives

A

ces délinquantes étaient les plus âgées et avaient tendance à agresser sexuellement des victimes féminines adultes âgées en moyenne de 31 ans.

74
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010)

A

une séquence d’évènements contextuels, comportementaux, cognitifs et affectifs qui, tout au long de la vie, ont facilité et maintenu le comportement sexuellement coercitif.

75
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); 3 phases

A

Facteurs de base
Période précédente l’infraction
L’infraction

76
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); facteurs de base

A

expériences du début de la vie qui pourrait « préparer » à commettre un délit.
enfance, adolescence, victimisation. Expérience de début de vie qui pépare à comettre délits

77
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); période précédente l’infraction

A

concerne les 12 mois avant l’infraction et examine la manière dont les objectifs sont établis.
Style de vie à l’âge adulte, précarité financière

78
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); infraction

A

concerne l’infraction et la période qui la suit.

79
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); voie 1; approche explicite (abusent de qui? cause de l’infraction? affects? planification?)

A

Abusent d’enfants ou d’adultes
Planifient explicitement leur délit
Motivation (gratification sexuelle, intimité avec la victime, récompense financière = proxénète)
Affect positif = pas de dégoût, regret.

80
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); voie 2; évitement dirigé (abusent de qui? cause de l’infraction? affects? planification?)

A

Abusent d’enfants
Évitent les infractions
Affect négatif = anxiété, dégoût, honte
Elles commettent des infractions par peur (pour leur vie) ou pour satisfaire leur conjoint

81
Q

modèle explicatif des délinquantes sexuelles (Gannon et coll. 2010); voie 3 - implicite désorganisé
(abusent de qui? cause de l’infraction? affects? planification?)

A

Abusent d’enfants ou d’adultes
Manque de planification (désorganisées)
Infraction suite à des affects positifs ou négatifs (délit impulsif)

82
Q

Psychopathie chez les femmes mesurée comment?

A

PCL-R

83
Q

Prévalence de psychopathie chez les femmes?

A

11-17% des délinquantes

84
Q

femmes psychopathes - corrélats de personnalité

A

Histronique
Impulsive
Hostilité et colère
Recherche de sensations fortes
Manque de préoccupation empathique
Narcissisme
Désirabilité sociale
Mensonge
Agressivité

85
Q

femmes psychopathes - corrélats de symptômes cliniques et violence

A

Mauvaise réponse au traitement
(Non-conformité (aux règles de thérapie)
Faible présence (aux rencontres)
Violations violentes des règles (du groupe thérapeutique)
Évitement des tests d’urine (consommation))
Violence en prison et hors prison
Criminalité non violente

86
Q

femmes psychopathes - corrélats de symptômes cliniques et violence

A

Mauvaise réponse au traitement
(Non-conformité (aux règles de thérapie)
Faible présence (aux rencontres)
Violations violentes des règles (du groupe thérapeutique)
Évitement des tests d’urine (consommation))
Violence en prison et hors prison
Criminalité non violente

87
Q

femmes psychopathes - corrélats développementaux

A

Début plus tardif de problème de conduite, avec une prévalence plus faible d’agression

88
Q

femmes psychopathes - distinction de comportements agressifs

A

agression relationnelle =
Commérages(rumeur, intimidation)
Refus de l’amitié
Ostracisme (émotionnelle)
(Des comportements qui visent à causer du tort en privant la victime de ses droits au sein du groupe social

89
Q

femmes psychopathes - corrélats psychopathologiques externalisés

A

bloc dramatique DSM;
Personnalité antisociale / limite / histrionique / narcissique
Consommation de substance = sensations fortes
trouble de la personnalité limite (Instabilité émotionnelle, relationnelle, faible estime, peur abandon, identité sociale)

90
Q

femmes psychopathes - corrélats psychopathologiques internalisés

A

Associé aux idéations suicidaires (BPD)
Violence autodirigée (automutilation)
Présence d’anxiété et de dépression

91
Q

femmes psychopathes - manifestation

A

plus déréglée sur le plan émotionnel et dans des contextes interpersonnels plus intimes
versus hommes; antisocial, violence

92
Q

traits de psychopathes prototypes chez femmes (3)

A

Instabilité émotionnelle
Instabilité de l’image de soi
Manipulation (flirt et sexualité pour manipuler)

93
Q

Psychopathie; différences hommes et femmes - manifestations

A

femmes flirt (sexualité), hommes escroquerie (violence)

94
Q

Psychopathie; différences hommes et femmes - manifestations troubles de conduites et impulsivité

A

femmes = fugues ado, comportements autodestructeurs, manipulation et complicité dans commission de crimes
hommes = comportements violentes

95
Q

Psychopathie chez les femmes - manifestations moins apparents chez femmes

A

Les symptômes interpersonnels de désinvolture, de grandiosité et de charme superficiel

96
Q

Psychopathie; différences hommes et femmes - promiscuité sexuelle

A

femmes = exploitation, (gains financiers, sociaux, narcissiques), proxénètisme
hommes - sensations fortes, gratifications sexuelle

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