Agresseurs sexuels d'enfants Flashcards

1
Q

théorie de motivation-facilitation des AS; facteurs motivationnels

A

La préférence sexuelle non traditionnelle (déviance)
Une forte libido
Une incapacité à s’engager dans des relations amoureuses et sexuelles satisfaisantes avec des personnes adultes consentantes

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2
Q

théorie de motivation-facilitation des AS; facteurs de facilitation

A

surmonter inhibitions; Les déficits d’autorégulation émotionnelle
Les tendances antisociales
l’instabilité émotionnelle
L’intoxication

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3
Q

théorie de motivation-facilitation des AS; facteurs situationnels

A

opportunité criminelle; L’accessibilité à la victime
L’absence de gardien
Le moment et le lieu

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4
Q

relapse prevention model (Pithers) (trajectoire développementale)

A

trajectoires qui mène à rechute, commission d’AS, étapes de récidives

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5
Q

relapse prevention model (Pithers); première étape trajectoire

A

présentation situation à haut risque, menace contrôle de l’individu - sentiments négatifs et accès à victime vulnérable - sentiment de contrôle diminue, sentiment d’impuissance augmente

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6
Q

relapse prevention model (Pithers); deuxième étape trajectoire

A

élaboration fantaisies sexuelles - planification consciente de AS - cherche à justifier normaliser gestes

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7
Q

relapse prevention model (Pithers); troisième étape de trajectoire

A

commission du comportement, rechute, commet AS

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8
Q

self -regulation model; 4 trajectoires à 9 étapes

A

L’évitement passif
L’évitement actif
L’approche automatique
L’approche explicite

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9
Q

self regulation model; étape 1 et 2

A

incapacité de l’agresseur à gérer évènement, développement d’un intérêt à commettre comportement

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10
Q

self regulation model; étape 3 (deux avenues)

A

Le contrôle de la motivation en adoptant un objectif d’évitement ; (ne pas commettre comportement; technique d’évitements)
La satisfaction en adoptant un objectif d’approche; (veux commettre comportment; technique d’approchement)

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11
Q

self-regulation model; étape 4

A

Consiste à l’adoption d’une stratégie qui vise l’atteinte de l’objectif (celles de l’étape précédente). Approche vs évitement

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12
Q

self-regulation model; évitement passif

A

états émotionnels négatifs, faible niveau de confiance dans capacités à gérer désirs sexuels, recours à stratégies pour distraire (inefficaces), commission du comportement

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13
Q

self-regulation model; évitement actif

A

individu cherche à activement contrôler fantaisies, bonnes capacités de régulation, adopte une mauvaise stratégies (ex. alcool, désihibe) et auront conséquences; désihibe face à fantaises et augmente risque de passage à l’acte

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14
Q

self-regulation model; évitement actif; deux conséquences de mauvaises stratégies;

A

1) désinhiber face à ses fantaisies ;
2) augmente les risques de passage à l’acte.

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15
Q

self-regulation model; approche automatique

A

accepte fantaisies et ouvert aux opportunités

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16
Q

self-regulation model; approche explicite

A

recherche activement victime pour réaliser désirs sexuels

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17
Q

self-regulation model; étapes 5, 6, 7

A

5) trajectoires se rejoignent 6) chute; comportement précipite à comission du délit 6) passage à l’acte (AS)

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18
Q

trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); 3 trajectoires

A

Déviante non coercitive
Déviante coercitive
Non déviante coercitive

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19
Q

trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); 3 trajectoires selon 3 aspects?

A

Personnalité
Mode de vie général et sexuel
Modus operandi

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20
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); déviante non-coercitive - personnalité

A

évitant et dépendant

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21
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); déviante non-coercitive - mode de vie général

A

consommation substance, faible estime de soi, symptômes dépressifs, évitent contacts sociaux avec adulte (source rejet)

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22
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); déviante non-coercitive - modus operandi

A

crime planifié soigneusement avec stratégies non coercitives

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23
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); déviante coercitive - personnalité

A

dépendant et évitant

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24
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); déviante coercitive - mode de vie général

A

incapacité à résoudre difficultés interpersonnelles de manière satisfaisante, recours à fantaisies et porno.

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25
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); déviante coercitive - modus operandi

A

dans année qui suit délit, insatisfait sur plan sexuel, chicanes avec partenaire, entraine sentiments négatifs de colère
agresse enfant, violence instrumentale, pour atteindre objectif

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26
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); non-déviante coercitive - personnalité

A

dépendant et antisociaux (satisfaction des besoins immédiats sans se préoccuper des conséquentes pour autrui)

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27
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); non-déviante coercitive - mode de vie général

A

sexualité non-déviante, préoccupation sexuelle importante, haut libido. mode de vie égocentrique

28
Q

Trajectoire développementale (Beauregard, Proulx et Leclerc, 2014); non-déviante coercitive - modus operandi

A

état émotionnel positif avant crime, satisfaction des besoins sexuels, opportunité criminelle prime avant tout, utilisation de coercition pour arriver à fins, enfants ou adulte.

29
Q

typologie (Groth, 1979); 2 catégories d’infraction

A

attentat à la pudeur et viol

30
Q

typologie (Groth, 1979); attentat à la pudeur; objectif

A

obtenir affection de la part de l’enfant

31
Q

typologie (Groth, 1979); attentat à la pudeur; méthode

A

non-coercitive

32
Q

typologie (Groth, 1979); attentat à la pudeur; deux types d’agresseurs

A

fixé et régressé

33
Q

typologie (Groth, 1979); agresseur fixé (préférence développé quand? style de vie? éléments déclencheur?)

A

infraction; attentat à la pudeur
méthode; non coercitive
préférence pour enfant développée pendant adolescence, difficulté à interagir avec adultes (antisocial), crime planifié, pas d’éléments déclencheurs,

34
Q

typologie (Groth, 1979); agresseur régressé (préférence développé quand? style de vie? éléments déclencheur?)

A

infraction; attentat à la pudeur
méthode; non coercitive
intérêt apparaît adulte, style de vie normal, survient à la suite d’élémentaires déclencheur

35
Q

typologie (Groth, 1979); viol; méthode

A

coercitive

36
Q

typologie (Groth, 1979); colérique (type de violence, but)

A

coercitif
réparer injustice de son enfance (victime), force plus que nécessaire, impulsif , réponse à élément situationnel

37
Q

typologie (Groth, 1979); pouvoir (type de violence, but)

A

coercitif
chercher à contrôler et humilier enfant (violence psychologique, minimale et instrumentale)

38
Q

typologie (Groth, 1979); sadique (type de violence, but)

A

acte planifié, cherche à faire souffrir enfant, victime spécifique, crime ritualisé, fantaisies.

39
Q

Typologie (Lanning, 1995); fins d’enquête policières, deux catégories

A

situationnels et préférentiels

40
Q

Typologie (Lanning, 1995); Situationnel

A

Plusieurs raisons expliquer son passage à l’acte : (Antisocialité
Habiletés sociales faibles
Adoption de stratégies d’adaptation inadéquates )
types; régressé, moralement indiscriminé, sexuellement indiscriminé et inadéquat

41
Q

Typologie (Lanning, 1995); préférentiel

A

Vise à satisfaire une préférence sexuelle déviante.
types; séducteur, introverti et sadique

42
Q

Typologie (Lanning, 1995); Régressé

A

situationnel
socialement inadéquat (faible estime, gestion des émotions, trouver partenaire)
se tourne vers enfant, violence lorsque nécessite

43
Q

Typologie (Lanning, 1995); moralement indiscriminé

A

situational
antisocial
choisit victimes en fonction de vulnérabilités et opportunités, manipulation et force si nécessaire

44
Q

Typologie (Lanning, 1995); sexuellement indiscriminé

A

situationnel
ressemble à moralement indiscriminé mais se distingue sur AS comme stratégie de régulation, pas seulement enfants, n’importe qui, recherche diversité d’expériences sexuelles

45
Q

Typologie (Lanning, 1995); inadéquat

A

situationnel
présence d’une psychose ou trouble de santé mental
pas responsable criminellement

46
Q

Typologie (Lanning, 1995); séducteur

A

préférentiel
s’identifie aux enfants surtout négligence, chercher à courtiser

47
Q

Typologie (Lanning, 1995); introvertie

A

faibles habiletés sociales, même enfants, exhibition, peur extrême du rejet

48
Q

Typologie (Lanning, 1995); sadique

A

excitation sexuelle face à souffrance de l’enfant, recours à force, homicide

48
Q

Typologie (Lanning, 1995); sadique

A

excitation sexuelle face à souffrance de l’enfant, recours à force, homicide

49
Q

Typologie (Worthley et Smallbon, 2006);

A

prédispositions criminelles de l’agresseur et facteurs situationnels qui mène à l’agression

50
Q

Typologie (Worthley et Smallbon, 2006); 3 catégories

A

prédateur, opportuniste, situationnel

51
Q

Typologie (Worthley et Smallbon, 2006); prédateur

A

préférence enfant fixe et habiletés stratégiques développées pour approche dans cadre extra familial

52
Q

Typologie (Worthley et Smallbon, 2006); opportuniste

A

criminel polyvalent, satisfaire besoins immédiats

53
Q

Typologie (Worthley et Smallbon, 2006); situationnel

A

pas d’attirance généralement envers enfants, éléments déclencheur avant délit (affects négatifs), recherche à gérer plaisir sexuel;

54
Q

Typologie (Worthley et Smallbon, 2006); situationnel

A

pas d’attirance généralement envers enfants, éléments déclencheur avant délit (affects négatifs), recherche à gérer plaisir sexuel;

55
Q

deux grandes catégories de AS d’enfants

A

préférentiels et situationnels

56
Q

Typologie résumé; agresseurs préférentiels

A

Fixé et Régressé (Groth, 1979)
Séducteur, Introverti et Sadique (Lanning, 1986, 1995)
Prédateur (Worthley et Smallbone, 2006)

57
Q

Typologie résumé; agresseurs situationnels

A

Colérique, Pouvoir et Sadique (Groth, 1979)
Régressé, Moralement indiscriminé, Sexuellement indiscriminé, inadéquat (Lanning, 1986, 1995)
Opportuniste et Situationnel (Worthley et Smallbone, 2006)

58
Q

Agresseur préférentiel; DSM-V

A
  1. 6 mois +; fantasmes, pulsions, 13 ans -
  2. individu agit sur pulsions ou ressent détresse importante, difficultés relationnelles
  3. age de 16+, a au moins + 5 ans que victime
59
Q

Agresseur préférentiel; plus de risque de récidive si attiré à?

A

garçons

60
Q

hébéphile

A

attirés sexuellement par les 13-14 ans.

61
Q

éphébophile

A

attirés sexuellement par les 15-17 ans.

62
Q

pourquoi hébéphile et éphébophile ne se situent pas dans DSM-V?

A

Confusion de terminologie; ce qu’on considère comme enfant, groupes d’âges à inclure

63
Q

Est-ce que pédophilie est synonyme d’agression sexuelle d’enfant?

A

Peut avoir comportement criminel sans diagnostic clinique
Pas parce que pédophile que va commettre comportement criminel.

64
Q

Est-ce que pédophilie est synonyme d’agression sexuelle d’enfant?

A

Peut avoir comportement criminel sans diagnostic clinique
Pas parce que pédophile que va commettre comportement criminel.

65
Q

Nombre d’individus ayant une préférence sexuelle pédophilique est _______ au nombre de personnes ayant commis une agression sexuelle envers un enfant.

A

supérieur

66
Q

deux types de pédophiles;

A

selon capacité à inhiber comportements; pédophiles abstinent et pédophile qui commet agression sexuelle