examen intra Flashcards

1
Q

D’où vient l’appellation de “quotient intellectuel”?

A

Un quotient est le résultat d’une division. L’on parle de quotient intellectuel, parce que on fait la division de l’âge mental divisé par l’âge réel de la personne. Ce quotient, multiplié par 100, nous donne ainsi le résultat de ce que l’on appelle quotient intellectuel.

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2
Q

Pourquoi est-ce important pour le ps. éd. de bien comprendre la nature des habiletés mentales?

A
  • parce que joue un rôle dans les processus d’adaptation

- pcq elles constituent l’une des caractéristiques les plus typiques de l’être humain

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3
Q

Quel est le meilleur prédicteur de la réussite scolaire et professionnelle?

A

l’intelligence mesurée

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4
Q

Y a-t-il des corrélations entre un moindre niveau d’intelligence, la pauvreté et des difficultés d’adaptation?

A

Oui.

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5
Q

Donnez un exemple de rôle dans les processus d’adaptation que joue les habiletés intellectuelles?

A

Les bonnes habiletés intellectuelles constituent un facteur de protection (et vice-versa) par rapport à la délinquance.

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6
Q

Vrai ou faux? Selon Neisser, l’intelligence a les caractéristiques de ce que Rosh appelle un concept naturel.

A

Vrai

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7
Q

Qu’est-ce qu’un concept naturel?
Donnez un exemple.
Comment parvient-on à forger ce genre de concept?

A
  • Ce concept décrit une réalité difficile à circonscrire dont les contours sont flous et qui a plusieurs caractéristiques pertinentes possibles (contrairement aux concepts mathématiques qui renvoient à des caractéristiques claires, par exemple).
  • L’intelligence est un concept naturel.
  • Pour forger ce concept, on a recourt à l’énumération de prototypes, cad d’exemples typiques et représentatifs du concept en question. Ainsi les membres d’une société s’entendront assez bien pour subsumer un prototype donné sous une même catégorie conceptuelle (ex. ameublement (= chaise, canapé, etc), fruits (= orange, pommes, etc), etc)

Donc on va juger si tel meuble est une chaise s’il présente suffisamment de similarités avec le prototype.

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8
Q

Peut-on établir un critère définitf de l’intelligence? Pourquoi?

A

Non. Parce que le concept d’intelligence est un concept naturel et qu’il a des frontières floues.

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9
Q

Comment trois personnes a priori différentes peuvent être toutes jugées “intelligentes”?

A

C’est qu’elles ressemblent toutes trois au prototype de “personne intelligente” même si les aspects qui les font reconnaître comme telles diffèrent.

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10
Q

Qu’est-ce qu’une théorie implicite de l’intelligence? Ces théories sont-elles importantes?

A

C’est le développement d’un idée intuitive de l’intelligence (par les “profanes”), malgré le fait que les experts élaborent des théories explicites.

Il ne s’agit donc pas d’une réflexion systématique, mais de représentations mentales du type “psychologie de la rue”.

Ça pourrait être une bonne chose quand même d’étudier ces théories implicites de l’intelligence, puisque les gens se servent couramment de ce type d’idée pour évaluer les autres, que les experts ont aussi une idée intuitive de l’intelligence et que elles pourraient aider à éclairer le débat sur la validité des tests d’intelligence.

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11
Q

Vrai ou faux? Les résultats d’une analyse eu égard aux conceptions de l’intelligence des profanes et des experts ont révélés une grande similitude entre les théories implicites de l’intelligence des experts et celles des profanes.

A

Vrai.

Les corrélations entre les réponses des deux groupes pour un même type d’intelligence varient de 0.72 à 0.89.

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12
Q

Quelles conclusions (2) peut-on tirer de l’étude de Sternberg en trois volets sur les théories implicites de l’intelligence? (étude qui compare notamment les caractéristiques de l’intelligence générale selon les profanes vs selon les experts)

A

1- De toute évidence, nous fondons l’évaluation de notre propre intelligence et de celle des autres, tant en situation formelle qu’informelle, sur des théories implicites de l’intelligence.

2- Les profanes et les experts partagent sensiblement la même conception de l’intelligence

(“profane” = non initié, non expert)

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13
Q

La structure sous-jacente aux théories implicites de l’intelligence s’organise autour de quelles dimensions (3) mises en évidence par Sternberg?

A

1- le cognitif (résolution de problèmes)

2- le verbal (capacité verbale)

3- le social (compétence sociale)

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14
Q

À la suite d’un symposium en 1921 sur l’intelligence et sa mesure, les éditeurs du Journal of Educational Psychology ont demandé aux 14 experts qui y participaient de répondre à deux questions. Quelles sont ces deux questions?

A

1- Qu’est-ce que l’intelligence et comment peut-elle être mesurée?

2- Quelles sont les prochaines étapes dans la recherche sur l’intelligence?

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15
Q

65 ans après le symposium de 1921 dans lequel les éditeurs du Journal of Psychology demandait deux questions sur la recherche en intelligence aux 14 experts participants, Sternberg et Berg ont demandé à 24 experts de répondre aux mêmes questions. Qu’est-ce qui a surtout changé entre les deux générations de réponse? Quelles conclusions peut-on tirées?

A

Conclusions :
- Malgré les différences, il existe un certain accord entre les experts des deux symposiums sur la nature de l’intelligence (coefficient de corrélation de 0.5)

  • Aussi, seul 9 aspects ont été nommés par les experts des deux cohortes, ce qui souligne l’écart entre les préoccupations à 65 ans d’intervalle.
  • Certaines divergences:
    1921: accords entre les experts sur l’urgence d’établir des tests d’intelligence valides, ce qui est acquis en 1986.

1986: On s’intéresse aux manifestations de l’intelligence dans les divers secteurs de la vie courante (ce qui n’était pas une préoccupation en 1921)

  • Certains points sur lesquels les deux cohortes s’entendent:
    L’importance de mener des recherches sur le dvp de l’intelligence, sur les habiletés autres que cognitives et sur l’intelligence à l’oeuvre dans des domaines spécifiques.
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16
Q

Est-ce que les tests d’intelligence mesure la créativité?

A

Non

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17
Q

Pour quelles raisons utiliser des caractéristiques métaphoriques de l’intelligence ?

A

Pour situer les diverses théories de l’intelligence dans un ensemble cohérent, et parce que l’intelligence est un concept dont on sait ce qu’il veut dire sans pour autant pouvoir le définir de façon satisfaisante.

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18
Q

La métaphore de l’intelligence artificielle.

Quels types d’habiletés aurait un ordinateur qui se prétendrait intelligent? (6 capacités)

A
  • Capacité de classifier
    (ne pas classifier = ne pas penser. Regrouper logiquement est indispensable pour communiquer)
  • Capacité de modifier son comportement et d’apprendre
    (ajuster son cpt en fonction de l’expérience pour maximiser l’adaptation à l’environnement)
  • Capacité d’effectuer des raisonnements déductifs
    (une grandes partie de nos connaissances relèves de déductions)
  • Capacité d’induire et de généraliser
    (raisonnement inductif, allant du particulier au général, nous permet par ex. de découvrir des lois de la physique)
  • Capacité de dvp et d’utiliser des modèles conceptuels
    (cest grâce à ces modèles qu’on peut décoder ex le fait que on voit une balle rouge disparaitre sous le sofa et réapparait verte, on comprend que cest pas la même balle)
  • Capacité de comprendre et de résoudre des problèmes
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19
Q

Vrai ou faux? Selon Popper, l’induction constitue un moyen pertinent pour acquérir des connaissances scientifiques.

A

Faux.

Au contraire, selon sa théorie du falsificationnisme, une théorie doit être falsifiable pour être considérée scientifique. Le scientifique doit sans cesse travailler à infirmer ses théories, cad à multiplier les expériences susceptibles de démontrer qu’elles sont fausses. La théorie qui résiste peut être temporairement jugée non fausse.

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20
Q

La métaphore géographique fait référence à quel paradigme?

A

Les chercheurs qui sont comme des explorateurs ou des cartographes.
Ex. Gall et sa phrénologie, mais qui a éventuellement débouché sur l’analyse factorielle.

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21
Q

Qu’est-ce que l’analyse factorielle?

A

L’analyse factorielle a été élaborée et popularisée par le psychologue Charles Spearman afin d’établir de façon quantitative et objective la structure de l’intelligence à partir de nombreuses tâche cognitives. L’analyse factorielle est une technique statistique qui permet de regrouper un ensemble de variables en sous-groupes de variables corrélées, cad des variables associées quantitativement.

Autrement dit, * l’analyse factorielle permet de dire quelles variables peuvent être regroupées.* Ce type d’analyse est donc nécessaire aux tenants de l’approche psychométrique pour établir la validité de la structure factorielle d’un instrument de mesure.

(C’est une stratégie de catégorisation quantitative, où on regroupe les tâches cognitives corrélées fortement, cad les tâches cognitives réussies de façon similaire par les milliers de personnes.
Donc autrement dit: l’analyse factorielle, permet de regrouper quantitativement les nombreuses tâches cognitives en quelques catégories cohérentes à partir de patrons communs de corrélations. Autrement dit: ces catégories (ou facteur) regrouperaient les tâches cognitives les plus naturellement reliées.)

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22
Q

Qu’est-ce que la déclaration des 52?

A

Il s’agit d’une déclaration conjointe de 52 chercheurs publié en 1994 dans le Wall Street Journal et reprise dans la revue Intelligence et qui est encore aujourd’hui valable (sauf sur la différence entre les groupes ethniques aux USA, qui n’est plus de 15 points mais de 8 points.

Cette déclaration synthétise les connaissances élémentaires en 25 propositions qui guident la majorité des spécialistes dans le domaine de l’intelligence.

Elle fait suite à la controverse qui a fait rage autour de l’ouvrage The Bell Curve et qui a fait naître bcp de réaction sous forme de désinformation publique, que les 52 ont voulu corriger et faire le point sur les positions scientifiques.

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23
Q

Qui entre l’hérédité ou l’environnement joue un rôle plus important dans la création des différences de QI entre les individus?

A

L’hérédité.

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24
Q

Vrai ou faux? Le coefficient d’héritabilité indique dans quelle mesure les différences génétiques entre individus dans une population donnée rendent compte des différences dans les comportements observés.

A

Vrai.

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25
Q

Qu’est-ce qu’il faudrait faire pour que l’héritabilité grimpe à 100% ?

A

Créer des environnements équivalent pour tous les individus, car de la sorte toutes les différences individuelles résiduelles seraient nécessairement d’origine génétique.

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26
Q

Selon Hofstadter, quelles sont les caractéristiques essentielles de l’intelligence (8):

A

Les capacités:

  • de réagir avec souplesse aux situations qui se présentent
  • de tirer profit de circonstances fortuites
  • de discerner le sens de messages ambigus ou contradictoires
  • de juger de l’importance reltive de différents éléments d’une situation
  • de trouver des similitudes entre des situations malgré les différences qui peuvent les séparer
  • d’établir des distinctions entre des situations malgré les similitudes qui les rapprochent
  • de synthétiser de nouveaux concepts à partir d’anciens concepts assemblés différemment
  • de trouver des idées nouvelles
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27
Q

Expliquez brièvement la différence entre héritabilité et hérédité.

A

L’héritabilité, c’est la variation de l’expression du gène selon son environnement. [plugger phénotype]
Autrement dit, c’est un peu le contexte qui permet à un moment donné à un gène de s’exprimer. Tandis que l’hérédité cest ex. avoir les yeux bleus.

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28
Q

Nommez un très bon prédicteur d’intelligence chez l’enfant en bas âge.

A

Le vocabulaire (intelligence verbale)

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29
Q

Nommez un exemple de tâche cognitive regroupée dans le facteur de l’intelligence fluide et dans le facteur de l’intelligence cristallisé.

A

intelligence fluide: habiletés non verbales de résolution de problèmes inédits

intelligence cristallisé: habiletés verbales et connaissances générales

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30
Q

Vrai ou faux? L’analyse factorielle pourrait permettre de regrouper les nombreuses tâches cognitives du test d’intelligence en deux facteurs: l’intelligence fluide et l’intelligence cristallisée.

A

Vrai.

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31
Q

Le coefficient de corrélation est une statistique qui s’interprète à l’échelle du groupe ou de l’individu?

A

Du groupe.

Les corrélations demeurent des mesures de tendance centrale s’appliquant à un groupe d’individus et non à chacun d’entre eux (comme une moyenne).

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32
Q

Pourquoi la définition de chaque facteur a posteriori est probablement l’étape de l’analyse factorielle la plus subjective?

A

Parce qu’il revient ultimement aux chercheurs de décider du nombre de facteurs requis pour représenter validement les données, de juger de la cohérence théorique de chaque facteur et enfin de leur attribuer un nom pertinent.

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33
Q

Les variables ne sont pas toutes liées à leur facteur de manière équivalente. Certaines y sont liées fortement, d’autres faiblement. Comment appelle-t-on la corrélation entre la variable et son facteur?

A

La saturation factorielle.

Ainsi, chaque variable a sa propre “saturation factorielle”.

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34
Q

L’intelligence est-elle mesurable?

A

Oui

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35
Q

Les tests les plus performants peuvent-ils mesurer toute l’intelligence?

A

Non

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36
Q

Qui est reconnu pour sa conception bifactorielle de l’intelligence et l’importance qu’il accorde au facteur g?

A

Charles Spearman.

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37
Q

De quelle manière Spearman a instaurer la tradition de recherche consistant à s’efforcer de concevoir des tests susceptibles de bien mettre en évidence la nature de l’intelligence humaine?

A

Spearman est allé recueillir des résultats d’étudiants à diverses matières scolaires. Constate que les notes pour différents cours tendent à corréler positivement. En conclu que cette corrélation positive devait être déterminée par un facteur commun (g) responsable de la réussite aux différents tests et par un facteur spécifique (s) responsable de la différence résiduelle entre les tests.

Ces données lui permettent d’appliquer pour la première fois l’analyse factorielle.

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38
Q

Qu’est-ce que le facteur g?

A

Fait référence à l’intelligence générale.

Le terme facteur g est préféré pcq est moins chargé émotivement.

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39
Q

Quels sont les deux facteurs de la théorie bifactorielle de l’intelligence de Spearman? En quoi consiste-t-ils?

A

Le facteur g
C’est l’énergie mise pour résoudre et comprendre un problèmes. (au sens biologique)
Se manifeste dans toute activité intellectuelle.

Le facteur s
C’est la variance individuelle.
Est spécifique à chaque activité.

Chaque performance intellectuelle requiert une combinaison des composantes g et s.

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40
Q

Coefficient de Cohen.

Quel écart donne des résultats très bons.

A

.50 et plus = très bons

(.30 et moins = faible
entre .30 et .50 = moyen)

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41
Q

À quoi associe-t-on la tradition de Galton?

A

Les composantes biologiques

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42
Q

Nommez et résumez brièvement les trois lois néogénétiques fondamentales du fonctionnement cognitif et de la production de connaissances nouvelles qu’utilise Spearman pour définir g (en plus de la notion d’énergie):

A

1- L’appréhension de l’expérience
(sorte de prise de conscience de sa propre expérience)

2- L’éduction de relations (imp)
(consiste à établir des relations entre des objets, des événements ou des idées. Propre du raisonnement inductif)

3- L’éduction de corrélats (imp)
(consiste à partir d’un élément ou relation à trouver un autre élément lié au premier par ladite relation. Propre du raisonnement déductif)

(2 et 3: cest pas mal ce qui est à l’oeuvre dans des matrices de Raven. et cest pourquoi selon Spearman ces matrices sont les meilleurs tests pour mesurer g. voir figure 1.2 p. 26)

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43
Q

Complétez la phrase:
Une habileté fortement saturée en __ permet d’affirmer qu’un individu a des habiletés dans ce domaine particulier, tandis qu’un __ fort indique la probabilité chez un individu de réussir bien dans la plupart des domaines puisque son __ compense d’éventuelles faiblesses en __.

A

1- s
2- g
3- intelligence générale
4- s

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44
Q

L’élaboration des Matrices de Raven visait quoi au juste?

A

En s’inspirant des travaux de Spearman, dans le but de mesurer la variabilité interindividuelle lors de raisonnements inductifs.

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45
Q

Qui sont les auteurs des Matrices progressives de Raven?

A

J. Raven et L.S. Penrose.

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46
Q

Qu’est-ce que les Matrices progressives standards (MPS) évaluent?

A

Elles évaluent l’intelligence générale (g) des personnes de 6 à 17 ans.

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47
Q

Qu’est-ce que les Matrices progressives colorées évaluent? (MPC)

A

L’intelligence générale (g) des enfants de 5 à 11 ans et des adultes qui présentent des signes de retard mental.

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48
Q

Qu’est-ce que les Matrices progressives avancées évaluent? (MPA)

A

L’intelligence générale (g) des adolescents et adultes (jusqu’à 85 ans) dont le niveau intellectuel est plus élevé que la moyenne.

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49
Q

À quoi fait référence le terme “progressif” dans les Matrices progressives de Raven?

A

A trait au niveau de difficulté des items qui va en progressant à l’intérieur d’une série de 12 items.

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50
Q

Quels sont les tests d’intelligence les plus utilisés dans le monde?

A

Les Matrices de Raven et les échelles de Wechsler.

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51
Q

Les Matrices de Raven sont très sensibles à l’effet Flynn. Qu’est-ce que cela signifie et implique?

A

Cela signifie que on peut y voir une augmentation de plusieurs points par décennie. Cela implique que plus les normes sont anciennes, plus elles risquent de surévaluer le niveau intellectuel des individus testés.

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52
Q

Quelle est la version des Matrices progressives de Raven la plus utilisée dans le monde?

A

Les Matrices progressives standards. (MPS)

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53
Q

Comment on interprète les résultats aux Matrices de Raven?

A

Le score obtenu par un participant est par la suite situé sur un rang centile sur une grille, en fonction de sonâge. C’est parce que le résultat au score n’est pas absolu, sa signification prend sens par rapport à l’âge du sujet.

Il est possible de convertir ce rang centile en QI.

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54
Q

Quelle est la critique de Thurston envers Spearman?

A

Il n’aime pas l’idée d’un seul facteur, c’est pourquoi il propose un modèle avec plusieurs facteurs (théorie multifactorielle).

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55
Q

Thomson conteste la théorie bifactorielle de quelle manière? Quelle théorie et modèle dvp -t-il?

A

Il pense que g peut pas être représenté par juste un processus d’intelligence générale.

Il propose un modèle neuropsychologique selon lequel les diverses habiletés intellectuelles évaluées à l’aide de tests peuvent être expliqués par sa théorie de l’échantillonage.

En gros, chaque test fait appel à un échantillon de liaisons neuronales. Chaque test déterminé par un échantillon de facteur élémentaires et spécifiques dans le cerveau.

Théorie trop vague pour être testée.

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56
Q

Thorndike rejette aussi le facteur g et fait plutôt la promotion de quelle idée?

A

L’idée d’intelligences multiples.

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57
Q

Quelle critique est souvent faite à l’endroit de Thurston?

A

Biais dans ses études.

Pcq celles-ci sont souvent faites avec un échantillon composé d’étudiants.

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58
Q

Selon Thurston, quelle serait la fonction biologique de l’intelligence et quel impact cela peut avoir dans l’éducation des enfants?

A

La fonction biologique de l’intelligence serait de protéger les individus en leur permettant de satisfaire leurs besoins avec le minimum de risque d’échec et cela suppose d’exercer un contrôle sur les impulsions.

Donc apprendre un vocabulaire riche et une bonne gestion des impulsions à ses enfants est une bonne chose.

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59
Q

Thurstone conteste aussi le facteur g de Spearman. Que privilégie-t-il à la place?

A

Une concetption de l’intelligence décomposable en un certain nombre d’habiletés primaires.

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60
Q

Vrai ou faux? Thurstone préconise non seulement l’élimination du facteur g mais celle de la notion même d’intelligence.

A

Vrai.

Puisque les aptitudes primaires sont des composantes élémentaires de la cognition, indépendantes et autonomes, et qu’aucune aptitude d’ordre plus général n’est postulée pour les coordonner, la notion d’intelligence perd à ses yeux toute légitimité théorique.

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61
Q

Les modèles de Spearman et Thurstone campent bien le débat sur le sens à donner à la structure (géographie) de l’intelligence. Les deux modèles cherchent à répondre à la question suivante: les individus se différencient-ils par une capacité générale qui serait à l’oeuvre dans toutes les tâches cognitives ou par plusieurs formes d’intelligence indépendantes les unes des autres et correspondant chacune à un domaine spécifique de compétence?

> Comme ce débat trouvera une issue?

A

Dans les modèles hiérarchiques qui intégreront les deux conceptions (avec Burt)

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62
Q

Nommez les 7 habiletés primaires de Thurstone.

A
  • Le facteur spatial
  • le facteur verbal
  • le facteur numérique
  • le facteur de fluidité verbale
  • le facteur de raisonnement
  • le facteur mnémonique
  • le facteur perceptif
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63
Q

(comment a-t-on tenté d’établir l’existence du facteur g?)

A

(grâce à des corrélations positives observées sur des grands échantillons… et avec coefficient de cohen ou de variation…)

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64
Q

Quelle est la position de Guilford par rapport à la question l’intelligence est-elle une ou multiple?

A

Il donne la réponse la plus extrême quant au caractère multiple de l’intelligence.

Développe un modèle tridimentionnel de la structure de l’intellect.

Modèle a priori des aptitudes humaines représentée par un cube. Hypothèse selon laquelle les composantes de chaque facteur se répartissent sur trois dimensions interdépendantes: opérations, produits, contenus. La combinaison des trois dimensions donne 180 facteurs de l’intelligence.

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65
Q

Nommez deux éléments à retenir du modèle tridimensionnel de la structure d’intellect (SI) de Guilford.

A
  • Sa théorie est peu appuyée empiriquement et a un faible taux de succès de réplication. Or, en science, la réplication doit être possible.
  • Son modèle a tout de même contribué à la compréhension de la notion de créativité grâce à la distinction entre une pensée convergente (réponse habituelle à un problème, le fait de penser un peu comme tout le monde) et une pensée divergente (réponse inhabituelle à un problème, le fait de penser différemment).
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66
Q

Burt. Quel type de modèle propose-t-il?

A

Un modèle hiérarchique.
Il propose une combinaison du facteur général de Spearman et des habiletés primaires de Thurstone, qu’il juge complémentaires.

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67
Q

Comment Burt définit l’intelligence générale?

A

Par la capacité d’intégration de la pensée, laquelle se retrouve à tous les niveaux (de la hiérarchie).

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68
Q

Nommez les 5 niveaux de la hiérarchie du modèle de Burt.

A
  • L’intelligence générale
  • Niveau des relations
  • Niveau des associations
  • Niveau des perceptions
  • Niveau des sensations
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69
Q

Quel type d’étude a fait Burt, quels sont ses résultats et quelle est la critique majeure faite à leur endroit?

A

C’est lui qui a fait les premières études de jumeaux monozygotes élevés dans des milieux différents.

Résultats: l’hérédité influencerait l’intelligence plus que l’environnement.

Allégations de fraude qui a eu bcp d’impact (comment aurait-il trouvé autant de jumeaux séparés à la naissance, résultats trop parfaits, etc.)

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70
Q

Vrai ou faux? La génétique prend le dessus, peu importe les conditions environnementales dans lequel la personne se développe.

A

Faux.
Dans un environnement normal, la génétique prend le dessus, mais dans un environnement très dur, violent, l’environnement prend le dessus.

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71
Q

Quels sont les 4 reproches principaux faits à Burt par rapport à l’authenticité de ses travaux?

A

1- résultats trop surprenants. Scores si élevés que cest douteux

2- Manque d’info sur ses méthodes d’analyse

3- il a abusé de sa position de rédacteur, notamment en faisant du plagiat

4- Il a inventé le nom de deux collaboratrices

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72
Q

Qu’est-ce qu’un test culture fair ou culture free? De qui vient cette idée?

A

C’est l’idée de faire un test qui soit sans biais envers un groupe ethnique. Vient de Cattell.

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73
Q

Nommez les trois traits de personnalité fondamentaux qui explique selon Cattell la plupart des différences individuelles entre les humains.

A
  • les habiletés
  • la motivation
  • le tempérament

Ainsi, pour lui les concepts d’intelligence et de personnalité sont reliés.

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74
Q

Quelle méthode Cattell utilise pour réduire l’impact culturel des tests?

A

Il utilise des stimuli totalement inédits, en l’occurrence des figures géométriques.

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75
Q

Les tests visant à réduire l’impact culturel de Cattell visaient à mesurer un facteur général d’intelligence jugé davantage dépendant du développement neurophysiologique et peu soumis aux influences éducatives et culturelles correspond à l’intelligence fluide ou cristallisé?

A

L’intelligence fluide.

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76
Q

Comment Cattell réconcilie dans son modèle hiérarchique les théories de Spearman et de Thurstone?

A

il propose d’une part de scinder en deux facteurs généraux le g de Spearman et d’autre part, de regrouper les habiletés mentales primaires de Thurstone sous deux facteurs généraux: l’intelligence fluide (facteur gf) et l’intelligence cristallisée (facteur gc).

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77
Q

Faites correspondre intelligence fluide et intelligence cristallisée avec:

a) habiletés cognitives davantage déterminée biologiquement
b) capacités cognitives davantage influencée par la culture et l’éducation

A

a) intelligence fluide

b) intelligence cristallisée

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78
Q

Faites correspondre intelligence fluide et intelligence cristallisée avec:

a) capacité d’acquérir de nouvelles connaissances, su la base de stratégies cognitives familières
b) capacité de raisonnement (induction, déduction) nécessaire à la résoluation de problèmes nouveaux

A

a) intelligence cristallisée

b) intelligence fluide

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79
Q

Faites correspondre intelligence fluide et intelligence cristallisée avec

a) mieux préservées au vieillissement et altérations cérébrales
b) sensible au vieillissement et altérations cérébrales

A

a) intelligence cristallisée

b) intelligence fluide

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80
Q

Faites correspondre intelligence fluide et intelligence cristallisée avec

a) relativement stable au cours de la vie
b) variable au cour de la vie, pcq dépend des occasions qui se présentent et du désir d’apprendre de la personne

A

a) intelligence fluide

b) intelligence crisallisée

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81
Q

Quels sont les meilleurs tests pour mesurer

a) l’intelligence fluide
b) l’intelligence cristallisée

A

a) Matrices de Raven, tests non verbaux, tests culture-fair

b) échelles de Wechsler, tests qui font appel beaucoup au langage et aux apprentissages scolaires

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82
Q

Vrai ou faux? En vieillissant, le gf augmente mais le gc baisse.

A

Faux, c’est l’inverse.
En vieillissant, l’intelligence fluide baisse mais l’intelligence cristallisée augmente.

Truc mnémotechnique: en sc dure, les découvertes sont faites jeunes tandis que en sciences humaines les découvertes sont souvent plus faites tard.

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83
Q

Qu’est-ce que Horn ajoute à la théorie de Cattell gf-gc?

A

Il ajoute 3 facteurs:

  • le facteur de visualisation générale
  • le facteur de rapidité générale
  • le facteur de facilité à utiliser des énoncés de concepts.

(pour un total de 5 facteurs, en comptant le Gf et le Gc)

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84
Q

La théorie gf-gc étendue d’après Horn (posthume) compte combien de facteurs?

A

9 facteurs.

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85
Q

Donnez des exemples de ce qu’on retrouve dans chacune des strates de la théorie en trois strates des habiletés cognitives de Carroll

A

Strate 1: intelligence générale
Strate 2: 8 facteurs d’habiletés générale (intelligence fluide, intelligence cristallisée, mémoire générale et l’apprentissage, perception visuelle, perception auditive, restructuration, rapidité cognitive, vitesse de décision)
Strate 3: Facteurs. (facteurs de niveau + facteur de vitesse)
Ex facteurs sous l’intelligence fluide: facteurs de niveau: raisonnement séquentiel général, induction, raisonnement piagétien. Facteurs de vitesse: vitesse de raisonnement

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86
Q

Vrai ou faux? Le modèle de Carroll est une conception multidimensionnelle de l’intelligence.

A

Vrai.

Vu les divers patrons d’habiletés des deux premières strates, on peut déduire que différentes personnes peuvent présenter des habiletés intellectuelles supérieures dans différents domaines de la vie.

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87
Q

Est-ce que les théories gf-gc de Cattell et Horn, et la théorie en trois strates de habiletés cognitives de Carroll ont été solidement démontrées empiriquement?

A

Oui.

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88
Q

La théorie CHC (Cattell-Horn-Caroll) combine en une seule taxinomie quelles théories ?

A

La théorie gf-gc de Cattell et Horn, et la théorie en trois strates de habiletés cognitives de Carroll

89
Q

Combien de facteurs d’habiletés possibles la Théorie CHC compte-t-elle?

A

16.

90
Q

Est-ce que le facteur g est aujourd’hui communément accepté dans la communauté scientifique?

A

Oui.
(les résultats de certaines recherches ont confirmé la présence d’un facteur g)
( le facteur g semble effectivement exister en tant que résultat statistique permettant d’expliquer la corrélation systématique de la plupart des habiletés cognitives.)

91
Q

La théorie CHC, en tant qu’entreprise scientifique, vise à faire quoi?

A

À encourager le lien entre la recherche et la pratique en offrant une taxinomie qui sert de référence à ceux qui conçoivent des tests d’intelligence, mais aussi aux intervenants soucieux de comprendre où se situent les tests d’habiletés cognitives qu’ils utilisent.

92
Q

Le facteur g est-il une variable latente?

A

Oui. Il n’est pas une entité organique, ni ne peut être observé ni mesuré directement.

93
Q

Vrai ou faux? Aujourd’hui, nous en arrivons à la conclusion que le facteur g ne peut pas expliquer à lui seul le fonctionnement intellectuel sans l’ajout d’habiletés cognitives spécifiques, et celles-ci ont vraisemblablement besoin de processus liés au facteur g pour être activées et fonctionner.

A

Vrai.

94
Q

Quel besoin était à l’origine des tests de Simon et Binet?

A

Ils ont élaborés ensemble une échelle métrique de l’intelligence en 1905 après que le gouvernement français ait mandaté Binet pour mettre au point des techniques de dépistage des enfants torp lents sur le plan intellectuel pour suivre le programme régulier et qui, par conséquent, bénéficieraient d’une éducation spécialisée. Besoin qui découle d’une loi qui rend obligatoire l’école pour tous les enfants.

Autrement dit: c’Est pour aider les enfants en difficultés que sont nés les premiers tests de QI (tests tels qu’on les connait et non pas comme les matrices de Raven qui ne sont pas considérés comme un test)

95
Q

Indiquez les spécificités de chacune des trois versions des tests de Binet et Simon.

A
  1. Version originale (1905)
    Comprend 30 items classés dans ordre croissant de difficulté.
    Permet de tester des enfants de 3 à 12 ans.
    Conçue pour détecter les “débiles mentaux”
  2. 2e version (1908)
    Items passent de 30 à 58. Ceux trop faciles ou difficiles sont éliminés.
    Introduction de la notion d’âge mental.
    Conçue pour tester toute la population scolaire.
  3. 3e version (1911)
    Révision méticuleuse. Identifie d’autres items. Comprend 5 items par niveau d’âge.
    Les niveaux d’âge s’étendent jusqu’à l’âge adulte.
    Conçue pour tester toute la population scolaire aussi.
96
Q

Comment fonctionne l’attribution d’un âge mental avec le test de Simon et Binet?

A
  • L’âge mental attribué à chaque item correspond à l’âge le plus jeune auquel un enfant d’intelligence normal peut le réussir.
  • Chaque niveau d’âge (de 3 à 12) correspondent de 3 à 8 items. L’âge associé aux derniers items réussis devenait l’âge mental de l’enfant.
  • On considère qu’on item correspond à un âge donné lorsqu’il est réussi par plus de la moitié des enfants de cet âge et par moins de la moitié des enfants du groupe d’âge inférieur. Ex. Un item réussi par plus de 50% des enfants de 8 ans et par moins de 50% des enfants de 7 ans demande 8 ans d’âge mental.
  • On soustrait l’âge mental de l’âge chronologique et on connaît, en nombre d’années, l’avance ou le retard intellectuel de l’enfant. Cela permet de donner des services spécialisés à ceux qui ont du retard.
  • soustraction*
97
Q

Comment définit-on l’intelligence?

A

Comme la capacité à résoudre des problèmes.

un peu pour cette raison que les Matrices de Raven est pas considérée comme un test

98
Q

Vrai ou faux? Binet s’est seulement intéressé aux tests pour enfants.

A

Faux.

99
Q

En quoi réside la clé du succès de l’approche de Binet?

A

Son approche pragmatique, cad qu’il s’est efforcé de mesurer des connaissances pratiques plutôt que des tests en laboratoire. (Il n’a jamais proposé de théorie formelle au sens strict)

100
Q

Vrai ou faux? Pour Binet et Simon, leur échelle ne doit servir qu’à détecter les enfants “anormaux”, pour leur fournir de l’aide, et ne doit surtout pas être utilisée dans le but d’étiqueter ou évaluer les enfants “normaux” entre eux.

A

Vrai.

101
Q

Pour quelle autre population Simon et Binet voulaient-ils que leur test soit adaptés afin de le faire passer?

A

Aux recrues de l’armée
(afin d’éliminer dès l’entrée les jeunes soldats qui sont réformés pour insuffisance intellectuelle. Motifs humanistes. Mais cest pas arrivé)

102
Q

Comment Binet se situe par rapport à la position génétique de son époque?

A

Binet considérait que l’intelligence était grandement influencée par l’environnement, modifiable par des interventions appropriées et variable au fil du temps. Bref: à l’opposé de la position génétique de l’époque, qui considérait plutôt que le résultat au tests Binet-Simon correspondait à l’intelligence générale, le g de Spearman réputé pour être déterminé génétiquement.

103
Q

Stern est un des premiers à avoir parlé de quelles notions?

A

Des notions d’inné et d’acquis.

À partir des observations faites sur ses enfants, il est convaincu que la formation de la personnalité d’un enfant découle de la convergence entre la nature de l’enfant et l’ensemble des influences environnementales.

104
Q

Le débat entourant les notions d’inné et d’acquis est-il toujours en vigueur aujourd’hui?

A

Non. L’épigénétique a résolu le débat, en démontrant que l’un ne va pas sans l’autre.

105
Q

Quel était le gros problème avec la notion d’âge mental de Binet ? (“l’effet pervers de l’âge mental”)
(*question examen)

A

L’attribution de l’âge mental permettait d’établir une comparaison entre un enfant et ses pairs, mais pas entre des enfants d’âge chronologique différentes. Autrement dit: il ne rend pas compte du fait qu’un retard de deux ans mental à 5 ans n’est pas du tout la même chose qu’un retard mental de 2 ans à 10 ans.

106
Q

Comment Stern a résolu le problème de l’ “effet pervers de l’âge mental”?
(*question examen)

A

Stern propose de diviser l’âge mental par l’âge chronologique (plutôt que de les soustraire): le résultat devient le quotient mental.

Ainsi la division correspond mieux au but recherché pcq ce qui importe c’est l’écart relatif et non absolu entre l’âge mental et l’âge réel: un retard mental n’a pas la même signification selon l’âge de l’enfant.

Ex. âge mental = 3 et âge chronologique = 5
Donc 3 % 5 = 0.6

107
Q

Quel est l’apport de Goddard par rapport à l’échelle de Simon-Binet?

A

Il la traduit et l’aide ainsi à se répandre rapidement aux États-Unis.

108
Q

Goddard n’apprécie pas les fondements pragmatiques de la théorie de Binet.
Quel raisonnement y applique t-il à partir des lois de la génétique mendelienne ?

A

Il décrète que la majorité des “morons” (terme qu’il utilise pour traduire “débile”) ont hérité d’un gène récessif et qu’ils le transmettront à leurs enfants si on les laisse se reproduire.

Goddard est un héréditariste.

109
Q

Quelles sont les 2 conséquences qui découlent du raisonnement de Goddard (sur la génétique et les morons)?

A

1- La stérilisation des “morons”

(Publie un ouvrage de propagande en ce sens. Les propos de Goddard seront repris par les eugénistes et dans les années 1930 plus de 200 000 morons sont stérilisés aux USA. )

2- La sélection des immigrants

(Considère les immigrants comme aussi une menace. Fait passer le test Binet à plusieurs immigrants et obtient des résultats sont extrêmes; ont quasiment tous un âge mental inférieur à 12 ans)

110
Q

Nommez les 2 grandes réalisations de Lewis Terman.

A

1- L’adaptation américaine de l’échelle de Binet et Simon (la Stanford-Binet)

2- La plus longue étude longitudinale portant sur des enfants doués.

111
Q

Qu’est-ce que Terman ajoute de significatif dans sa version de l’échelle de Binet et Simon (le Stanford-Binet)? (*important)

A

La multiplication par cent du résultat de la division de l’âge mental par l’âge chronologique de Stern, afin d’éliminer les décimales.
AM/AC x 100 = QI

Il décide d’appeler “quotient intellectuel” le résultat de cette opération. Le QI tel que nous le connaissons aujourd’hui est né.

112
Q

Quels éléments sont compris dans le Stanford-Binet (Terman)?

A

90 épreuves, soit 36 de plus que celle du Binet-Simon.

Elle couvre l’âge mental adulte, fixé à 16 ans.

Terman standardise le tests sur plus de 2300 personnes.

113
Q

Qu’est-ce que l’étude longitudinale sur les enfants doués de Terman révèle?

A

Que plus a de bonnes habiletés intellectuelles, moins a de chance de venir alcoolique, de se divorcer, que la famille compte plus que le travail, etc.

Mais surtout: que les enfants doués ont plus de chances de bien réussir leur vie que les autres enfants.

114
Q

Comment se comparent les nouveaux tests d”intelligence de Robert Yerkes (la Point Scale for Measuring Mental Ability) aux échelles de Binet?

A

La notion d’âge mental n’y a plus cours.

Dans les échelles de Binet, la réussite d’un ensemble d’items correspond à un niveau d’âge mental. Dans l’échelle en points proposée par Yerkes, les items sont rangés par épreuves (n=20) et, dans celle-ci, par ordre de difficulté pour arriver à un maximum de 100 points.

Il propose aussi des normes différentes en fonction des classes sociales, des races et des sexes pour les sujets de moins de 13 ans.

115
Q

Quelle population Yerkes cherche-t-il à évaluer? Que vise-t-il avec ses tests?

A

Les recrues de l’armée de terre.

Il n’envisage pas d’exclure les déficients mentaux, mais souhaite que chaque homme occupe le bon poste.

116
Q

Quels tests (2) Yerkes introduit et quelles sont leurs particularités? Quelles reproches sont faites à ces tests?

A

1- L’Army Alpha Test
(pour les recrues qui savent lire et écrire)

2- L’ Army Bêta Test
(pour les illettrés et ceux qui ont échoué le test Alpha).

Particularités: tests de groupe.
A été fait en collaboration avec Goddard et Terman, le “trio infernal”.

Reproches:

  • Les conditions inadéquates dans lesquelles se déroulaient les examens suffisent à invalider les résultats.
  • Conçus pour évaluer l’intelligence innée, ils ne tiennent pas compte des influences environnementales
117
Q

Quel est l’impact du travail de Yerkes?

A

En administrant ses tests mentaux à plus 1.7 millions de recrues, il inaugure l’âge d’or des tests de QI, qui vont être commercialisés à grande échelle. L’ère de la psychométrie de masse commence.

Aussi, grand impact qui provient des données statistiques à partir de 160 000 dossiers. Toutefois, les conclusions de la publication de ces stats sont teintés d’héréditarisme, ce qui reflète la pensée de l’époque.

Les conclusions sont: différences interraciales dans le QI, différences observées à l’intérieur de la population blanche liée au pays d’origine et le fait que les recrues blanches ont en moyenne 13 ans d’âge mental.

118
Q

Quelles conclusions tire Brigham de l’étude de Yerkes?

A

Puisque l’intelligence est héréditaire et qu’il y a des différences entre les groupes ethniques, Brigham évoque le spectre du déclin de l’intelligence des Américains en l’absence d’une limitation eugénique des naissances et une immigration sélective et restrictive. Pensent que l’immigration fait baisser le QI des américains blancs, donc doivent limiter cette immigration.

119
Q

Qui fait partie du “trio infernal”?

A

Goddard, Yerkes et Terman.

120
Q

Qu’est-ce que l’Immigration Restriction Act?

A

L’Immigration Restriction Act de 1924, fixait des quotas d’immigration par pays d’origine dans le but explicite de limiter l’entrée aux ÉU d’individus “génétiquement inférieurs”.

A été influencé par l’ouvrage biaisé de Brigham, mais surtout pcq l’eugénisme était dans l’ère du temps.

L’IRA considérée comme un victoire de l’eugénisme et du racisme américain.

121
Q

Quels sont les tests les plus utilisés au monde?

A

Les échelles de Wechsler (plus particulièrement le WISC-IV)

122
Q

Vrai ou faux? Weschler préfère le modèle hiérarchique et est contre l’idée du facteur g.

A

Vrai.

123
Q

Résumez en une ligne le modèle bifactoriel du fonctionnement cognitif (Spearman).

A

Implique que toute performance intellectuelle est à la fois déterminée par g et par un facteur spécifique qui intervient uniquement dans la réussite du test en question.

124
Q

Quels sont les points sur lesquels Weschler diffère de Spearman?

A

Weschler:

1- Préfère un modèle hiérarchique

2- Reconnaît l’existence et l’importance du facteur g, mais n’admet pas que g soit le fondement de toutes les formes d’actes intelligents, autrement dit qu’il soit le seul élément clé de l’évaluation de l’intelligence.

125
Q

Est-ce que les tests de QI mesurent toute l’intelligence (*important)?

A

Non. Mais en mesurent une bonne partie.

126
Q

Quelles faiblesses (2) Wechsler dénonce des tests pour adultes alors en vigueur?

A
  • la notion d’âge mental (W. l’enlève de ses tests)

- l’utilisation des échelles de développement

127
Q

Quels sont les 3 versions les plus récentes des échelles de Wechsler?

A
  • Le WAIS-III (Weschler Adult Intelligence Scale)
    pour adultes de 16 à 89 ans, 1997
  • Le WPPSI-III (Weschler Preschool and Primary Scale of Intelligence (WPPSI)
    pour enfants de 3 à 7.3 ans, 2002
  • Le WISC-IV (Weschler Intelligence Scale for Children)
    pour enfants et adolescents de 6 à 16.11 ans, 2003
128
Q

Il y a combien d’échelles Weschler pour des catégories d’âge différents?

A

3

129
Q

Nommez des éléments de la conception de l’intelligence de Weschler

A
  • l’intelligence est un concept abstrait, on ne peut en saisir complètement la nature, tout au plus on peut en mesurer ses effets.
  • l’intelligence n’est pas une entité en soi mais fait partie de la personnalité
130
Q

Comment Weschler pallie au fait qu’un test d’intelligence ne peut pas mesurer toute l’intelligence?

A

En incluant dans ses tests une variété de domaines requérant diverses aptitudes que traduisent des cpts intelligents dans la vie de tous les jours.

131
Q

Selon Weschler, l’intelligence fait partie de la personnalité, c’est pourquoi il attribue un rôle important aux facteurs non intellectuels de l’intelligence, comme des traits de caractère susceptibels de jouer sur les performances intellectuelles. Donnez un exemple d’un tel type de facteur non intellectuel.

A

Quelqu’un d’impulsif aura pas la même forme d’intelligence que quelqu’un de plus posé, qui réfléchit avant d’agir. Il y a peu de marge d’erreur quand on répond immédiatement sans réfléchir.

Autres exemples: la ténacité, le désir de réussir, etc.

132
Q

Quels sont les 3 aspects sur lesquels les échelles de Weschler se distinguent des échelles de Binet?

A

1- Elles incluent des facteurs non intellectuels.

2- le fractionnement de l’intelligence en deux sous-échelles, l’une dite verbale et l’autre dite non-verbale (ou de performance).

3- L’abandon de la notion d’âge mental et du quotient

133
Q

Par quoi Weschler remplace la notion d’âge mental dans ses tests?

A

Par une échelle à points.

Celle-ci n’établit pas d’équivalence entre les items et les niveaux d’âge. L’utilisation d’items de difficulté croissante permet ainsi d’évaluer l’intelligence sur un continuum, de la déficience à la douance. Chaque réussite équivaut à un nombre de points dont le total devient le score brut du sujet, lequel est par la suite transformé en score pondéré variant de 1 à 19.
(la somme est ensuite transformée en QI standard)

Un sujet est cependant toujours situé par rapport à son propre groupe d’âge dont la distribution des scores de l’échantillon de référence a été normalisé. (Ex. une note stnadard de 10 signifie que 50% des sujets de son groupe d’âge on fait mieux et 50% ont fait pire)

134
Q

Quel est le principal avantage de la méthode de transformation des notes choisie par Wechsler?

A

Pouvoir situer un individu par rapport à son groupe d’âge.

QI = stable:
Cette façon de procéder expliquer pourquoi la stabilité du QI est liée à l’évolution des connaissances et des capacités des enfants au fil du temps.

135
Q

Qu’est-ce qu’une échelle ordinale (comme celle de Wechsler)?

A

Une échelle ordinale permet de grouper en catégorie et permet d’établir une relation d’ordre entre les éléments d’un ensemble, sans toutefois être capable d’évaluer de
façon quantitative la distance qui les sépare.

> Ainsi, un QI de 120 ne représente pas le double d’un QI de 60, il ne représente pas un individu deux fois plus intelligent.
Cela pcq un individu n’est que sa position relative par rapport aux autres individus du même groupe d’âge.

136
Q

De quoi est composé le WISC-IV?

A
  • 4 indices factorielles (4 composantes cognitives)
    (indice de compréhension verbale (ICV); indice de mémoire de travail (IMT); indice de raisonnement perceptif (IRP); indice de vitesse de traitement de l’information(IVT))
  • 15 sous-tests
    (ex. vocabulaire, séquence de chiffre, cubes, matrices, etc.)
137
Q

A) Expliquez très brièvement comment est évalué la réponse au sous-test de similitude, de vocabulaire, de compréhension, de connaissance et de raisonnement verbal dans le WISC-IV de Wechsler.

B) Ces sous-tests d’indice de compréhension verbale (ICV) sont une excellente mesure de quel facteur d’intelligence?

A

a)
- Similitude: Doit trouver en quoi deux mots se ressemblent. Plus la réponse est abstraite, plus on obtient des points

  • Vocabulaire: Doit définir 36 mots de difficulté croissante. Plus la définition est de nature abstraite, plus elle vaut de points.
  • Compréhension: Question à caractère pratique, qui évalue le sens commun. Plus la réponse est superficielle, moins vaut de points
  • Connaissances: Contenu qui évalue les connaissances acquises généralement dans le milieu de vie. Déppend donc des occasions d’apprentissage du sujet
  • Raisonnement verbal: À partir d’indices, doit formuler le concept commun qui s’en dégage. Fait appel à la pensée divergeante et convergente. Évalue la flexibilité cognitive.
    b) le facteur d’intelligence cristallisée (et aussi le facteur g).
138
Q

a) Expliquez brièvement en quoi consiste les sous-tests de cubes, de concepts en image, de Matrices et d’Images à compléter qui font partie de l’indice de raisonnement perceptif du WISC-IV.
b) Qu’est ce que mesure surtout l’IRP?

A

a)
- Cubes: consiste à reproduire, à l’aide de cubes, des dessins bidimensionnels présentés sur des cartes.

  • Concepts en image: Doit choisir une image par rangée pour former un groupement d’images qui partagent des caractéristiques communes. Mesure le raisonnement inductif.
  • Matrices: le sujet doit sélectionner parmi 5 choix possibles la partie manquante d’une matrice incomplète. (construit sur le modèle de Raven). Mesure facteur g et intelligence visuospatiale.
  • Images à compléter: Doit pointer l’élément manquant sur une image incomplète.
    b) L’IRP est une mesure du raisonnement fluide et non verbal.
139
Q

a) Expliquez brièvement en quoi consiste les sous-tests de séquences de chiffres, de séquences lettres-chiffres et d’arithmétique qui font partie de l’indice de mémoire de travail du WISC-IV.
b) Qu’Est-ce que l’IMT évalue?

A

a)
- Séquences de chiffres: Doit répéter une série de chiffre en ordre direct et inversé. Ce sous-test est utilisé pour évaluer la dyslexie.

  • Séquence lettres-chiffres: Une séquence de lettres et chiffres doit être répétée mais en ordre croissant et alphabétique.
  • Arithmétique: Problèmes à résoudre à l’oral.
    b) évalue la rétention, concentration, capacité de planification, etc. Dimension importante de l’apprentissage, la réussite et la capacité d’autorégulation.
140
Q

a) Expliquez brièvement en quoi consiste les sous-tests de Code, repérage de symboles, et d’annulation qui font partie de l’indice de vitesse de traitement du WISC-IV
b) Qu’est-ce que l’IVT évalue?

A

a)
- Code: Doit tracer le trait correspondant à chaque forme ou à chaque chiffre.

  • Repérage de symboles: doit trouver si deux symboles donnés se retrouvent au sein d’une série de cinq symboles.
  • Annulation: Doit rayer des animaux dispersés parmi d’autres images. Mesure gs et attention sélective.

b) la capacité d’attention, de balayage rapide, de différentiation, de mise en séquences de l’information visuelle. Aussi des traits comme la motivation, le travail sous pression, la coordination motrice.
Bcp de psy n’utilisent pas cet indice.

141
Q

Les erreurs de mesure aléatoires potentielles des échelles de Wechsler sont susceptibles de provenir de quoi? Est-ce que cela peut affecter la valeur des tests?

A

Pourraient provenir de l’examinateur (ex. sa fatigue, ses distractions, etc. et qui affecterait son niveau de sévérité / souplesse, son imprécision au niveau du chronométrage, etc.)

N’affecte pas la valeur des tests pcq l’erreur aléatoire est plus grande que l’erreur systématique.

142
Q

Qu’est-ce qui détermine si un test est fidèle (précis) ou non?

A

Considérés comme fidèle si au-delà de l’erreur de mesure, ils demeurent constants.

On considère habituellement qu’un test d’habileté psychologique bien construit a un coefficient de fidélité d’au moins r= 0.80, ce qui est le cas des 15 sous-tests du WISC-IV.

143
Q

Vrai ou faux? Un coefficient de fidélité élevé est une garantie suffisante de la valeur des mesures et de l’interprétation qui peut en être faite.

A

Faux.

C’est faux dans la mesure oû la fidélité ne concerne que la précision de l’instrument peu importe ce que celui-ci mesure. Par contre, un test sera valide s’il mesure ce qu’il prétend mesurer. Autrement dit, les échelles de Wechsler sont valides si elles mesurent l’intelligence.

144
Q

Qu’est-ce que la validité conceptuelle?

A

Vérifier la validité conceptuelle d’un test permet de savoir si les propositions théoriques sous-jacentes se réalisent effectivement.

145
Q

Qu’est-ce que la validité concomitante?

A

Évaluer la validité concomitante du WISC-IV consiste à s’assurer que celui-ci corrèle bien avec d’autres tests reconnus comme de bonnes mesures de l’intelligence et corrèle peu avec des critères réputés mesurer d’autres caractéristiques humaines que l’intelligence.

146
Q

Qu’est-ce que la validité prédictive?

A

Il s’agit de vérifier si le test permet de prédire le comportement d’individus placés dans des situations mettant en jeu les mêmes habiletés que le test. Par exemple avec les échelles de Wechsler, on utilise la réussite scolaire.

147
Q

Quel est le facteur d’indice (du WISC-IV) qui a le coefficient de fidélité le plus élevé?

A

L’Indice de Compréhension verbale (calculé à partir des sous tests vocabulaire, similitude et compréhension).

148
Q

Est-ce que la culture, de l’éducation et l’origine socio-économique du sujet a un impact sur ses performances aux échelles de Wechsler?

A

Oui.

Même pour les épreuves non verbales!

149
Q

Au 18e et 19e siècle règne une idéologie raciste croyant à la supériorité hiérarchique des blancs. On cherche donc à mesurer cette supériorité blanche, par 4 moyens. Quels sont-ils?

A
  • Les stigmates de Lombroso
  • La phrénologie
  • La craniométrie (mesure le crâne)
  • la psychométrie (qui est apparue dans ce contexte)
150
Q

Vrai ou faux? Le concept de race n’a aucun fondement scientifique et reste un concept flou.

A

Vrai.

Oui il y a des tendances génétiques, comme sur le plan de la santé et du sport, mais ce sont des approximations (et aussi peut être lié à la géographie (même phénotype)

Le mot ethnie est préféré (catégorie moins fixe, se définit pas juste par des gènes)

151
Q

Qu’est-ce qu’un phénotype?

A

Le phénotype est le trait visible ou observable d’un organisme, comme la couleur des cheveux. Le phénotype dépend du génotype, mais peut aussi être influencé par des facteurs environnementaux.

152
Q

Résumez les résultats globaux concernant le profil cognitif (QI) en fonction de la classification géographique et raciale de Cavalli-Sforza d’après Lynn.

A

Lynn établit le profil cognitif de groupes à travers le monde.
Il utilise la classification de Cavalli-Sforza, divisant le groupe en trois: blancs, asiatiques et noirs. Compile les données sur âge, pays, nombre d’échantillons, nombre de sujets, moyenne au scores, empan. Compare le QI de ces groupes, qui proviennent de plusieurs très larges échantillons de sujets. Les scores de QI viennent surtout des Matrices de Raven et des échelles de Wechsler.

Le score de QI moyen se situe légèrement au dessus de 100 pour les asiatiques (les résultats varient entre 100 et 110); la moyenne pour les noirs tourne autour de 70 pour les noirs d’Afrique mais de environ 85 pour les noirs d’Angleterre et de US (pour dire que l’environnement joue aussi un rôle!); les blancs ont une moyenne légèrement en dessous de 100 (environ 97).

De nos jours l’écart type d’environ 15 points entre les blancs et noirs aux US s’est rétrécit.

153
Q

Vrai ou faux? Les données de la classification géographique et raciale de Cavalli-Sforza d’après Lynn montrent que la variabilité entre les groupes dépassent largement la variabilité interindividuelle.

A

Faux: c’est l’inverse!

Au-delà des différences de QI moyen entre les groupes ethniques, la variabilité des scores de QI est encore plus grande à l’intérieur d’un groupe donné.

L’appartenance ethnique et la classe sociale prises ensemble n’expliquent que 30% de la variance dans les scores de QI. Le score est donc d’abord attribuable aux caractéristiques personnelles.

154
Q

La découverte d’écart significatif intergroupe pose la question des biais culturels des tests d’intelligence. Quelles sont les 3 grandes catégories de biais possibles?

A
  • L’erreur égalitariste
  • l’erreur de standardisation
  • l’erreur culturaliste
155
Q

Qu’est-ce qu’un biais de type erreur égalitariste?

A

En résumé:
C’est l’idée d’égalité a priori, ce qui rendrait les tests inadéquats lorsque résultats sont inégaux. Or, il existe une multitudes de différences, pas juste pour le QI. Si les tests ne permettaient pas de distinguer les individus, ils seraient inutiles! Les tests permettent d’objectiver cette différence.

Explication plus longue:
C’est l’idée selon laquelle toutes les populations humaines sont égaux sur le plan intellectuel et ce, a priori. À partir d’un tel biais, un instrument de mesure qui démontre un QI moyen plus faible chez certains groupes sera vu comme défaillant. Or, il existe des différences a priori entre les populations dans bcp de domaines (sport, maladies, etc)

Les tests avaient été d’abord conçu (avec Binet) pour trouver des différences chez les enfants. Donc l’absence de différence serait suspecte!

Ex. un mètre qu’on utilise pour mesurer un peuple A et un peuple B n’est pas biaisé s’il s’avère que le peuple B est plus petit que le peuple A. Mais il serait biaisé s’il se rétrécissait lorsqu’il mesurait le peuple B.

156
Q

Qu’est-ce que l’erreur de standardisation (biais)?

A

C’est l’idée selon laquelle un test standardisé auprès d’une population donnée est nécessairement inapplicable à une autre population.
Mais les vérifications empiriques prouvent le contraire. Et un jugement a priori de non-transférabilité culturelle est antiscientifique.

157
Q

Qu’est-ce que l’erreur culturaliste (biais)?

A

Est un peu comme l’erreur de standardisation mais vise les items d’un test de QI.
Saturation culturelle: fait référence aux items très spécifiques à la culture d’un groupe social/ethnique. Ex. “Qui fut le premier président américain” est très haut en saturation culturelle. Évidemment ces items sont changé pour ex le Japon qui sera “qui a été le premier empereur du Japon”.

158
Q

De quel nature est un biais dans les tests?

A

Systématique.
C’est seulement s’il est systématique (et non juste par exemple au niveau du biais d’interprétation qui vise un individu) dans l’interprétation des scores à un test qu’il défavorise les membres d’un certain groupe par rapport à d’autres groupes. Donc le terme biais doit être pris dans son sens statistique, pour désigner l’erreur systématique et non aléatoire.

Ex un test est biaisé si sa validité varie selon le groupe etnique, si la performance d’un groupe est systématiquement sous-estimé ou surestimé par rapport à un autre groupe, ou s’il ne prédit pas la performance d’un groupe minoritaire vs le groupe majoritaire.

159
Q

Quel est un bon indicateur du fait que les tests d’intelligence ne sont pas biaisés culturellement?

A

Les tests de QI prédisent la réussite scolaire et professionnelle avec le même degré de précision pour tous les groupes socioéconomiques et ethniques.

160
Q

Un élément de possible biais: la structure factorielles des tests. De quoi s’agit-il?

A

La composition des facteurs et l’ordre dans lequel ils sont donnés pourraient varier d’une culture à l’autre. Pcq en effet, items verbaux et non verbaux ont été modifié (surtout au niveau du vocabulaire). Mais un coup que a adapté l’échelle verbale, a pu utiliser le WISC partout dans le monde en fonction des cultures et des pays. Matrices de Raven aussi, parce que sont culture fair. Donc items modifiés mais structure est restée la même pour tous les pays.

161
Q

Un élément de possible biais: les contenus d’items comme source de biais. De quoi s’agit-il?

A

on suppose que ce soit le contenu d’items qui sont biaisés culturellement. A été vérifié empiriquement avec des experts ayant sélectionnés des items jugés biaisés culturellement. Les ont enlevés puis ont découvert que c’était pas favorables aux noirs de les enlver pcq les items “culturels” sont souvent moins abstraits.

162
Q

Un élément de possible biais: l’ordre de difficulté des items. De quoi s’agit-il?

A

Si un item était plus difficile pour un groupe particulier, pourrait être biaisé culturellement. Vérifications empiriques confirment que cest pas le cas.

163
Q

Un élément de possible biais: l’analyse des erreurs. De quoi s’agit-il?

A

l’analyse des erreurs par les examinés permettent de voir si il y a biais. Or, les erreurs des noirs sont les mêmes que celles de blancs environ deux ans plus jeunes. Donc on peut dire que cest pas des erreurs avec facteurs culturels mais bien des erreurs liées à la capacité de maîtriser ces opérations.

164
Q

Un élément de possible biais: la fidélité du test. De quoi s’agit-il?

A

Les scores doivent être reproductibles dans le temps, avec des examinateurs différents et des versions équivalentes du même tests. Pcq les scores sont sensés être stables dans le temps et avoir une cohérence interne.

165
Q

Nommez 2 types de biais possibles issus du contexte de passation du test et susceptibles d’influencer la performance d’individus appartenant à certains groupes ethniques.

A
  • Les caractéristiques de l’examinateur
    (son appartenance ethnique; sa langue; son attitude et ses attentes(ex. ses encouragements, comment il donne les consignes)
  • Les caractéristiques du sujet examiné
    (sa langue (on doit lui faire passer le test dans sa langue maternelle!); sa motivation (ex. si on sent que l’enfant est très fatiguer on lui propose de remettre ça); le décodage des résultats (effet Halo: on se laisse influencé par toutes sortes d’éléments superficielles comme la beauté, la couleur)
166
Q

La Public Law exige en 1984 de créer 2 tests pas discriminatoires. Quels sont ces deux tests?

A

Le SOMPA (System of Multicultural Pluralistic Assessment) et le BITCH (Black Intelligence Test of Cultulral Homogeneity).

SOMPA: évaluation pluraliste. Sorte de relativisme culturel: selon l’auteur du test, on ne peut comparer les capacités cognitives qu’à celles des sujets présentant le même profil socioculturel.

BITCH: mesure un quotient de survie. Mesure la connaissance d’expressions culturelles propres à la culture noire. Mais validité du test est assez faible.

167
Q

Il a été vérifié que les tests de QI ne présentent pas de biais culturels. Toutefois, l’argument culturel pourrait dénoter certains désavantages réels. Quel est-il?

A

Certains désavantages lié au milieu de vie.

Certains groupes disposent de moins d’occasions de résoudre des problèmes requérant un certain niveau d’abstraction, ce qui retarderait leur maîtrise de certaines compétences mesurées par le test.

168
Q

Nommez et expliquez brièvement les 3 hypothèses de nature environnementale qui sont évoquées pour expliquer les écarts de QI entre le groupe ethniques.

A
  1. L’environnement familial

Étude sur l’adoption dans familles transraciales.
Le résultat de ces recherches montre l’héritabilité du QI, cad la proportion dans un score de QI qui est attribuable à la génétique. En vieillissant, les enfants rejoignent le score du groupe ethnique.

  1. Les variables sociodémographiques et économiques

Lynn et Vanhanen notent une corrélation positive significative entre le QI et le PNB et ce, pour l’ensemble des pays. Le QI national explique à lui seul le tiers de la variance du PNB per capita.

Aussi, l’impact de la classe sociale sur le QI moyen des noirs et des blancs a un impact somme toute modéré. Donc il y a une certaine corrélation avec la classe sociale, mais aussi on peut pas dire elle vient de quoi (SSE en partie associé aux habiletés intellectuelles des parents, donc eux mêmes tributaires d’influences génétiques et environnementales…). Aussi le score aux SAT augmentent en fonction du revenu familial.

  1. Les hypothèses culturelles: acculturation, caste et stéréotype

Certains auteurs pensent que le sentiment d’appartenance à un groupe minoritaire ou ayant été victime d’oppression ou de discrimination peut marquer profondément et s’ajouter aux effets d’un faible statut socioéconomique.

Certains types de minorités (autonome, volontaire ou involontaire) laisse penser que les écarts de QI ne dépendent ni de la race, ni de l’ethnicité mais du statut minoritaire. Autrement dit ils cherchent à se distinguer de la majorité. Ex. ne croient pas à la vertu de faire des efforts à l’école, pcq la réussite scolaire est perçue comme typique du groupe majoritaire.

Aussi renforcement par l’identification au stéréotype concernant les noirs comme étant moins intelligents que les blancs. Donc la réussite scolaire serait synonyme d’un renoncement à son identité.

Aussi, possibilité du phénomène de la menace de stigmatisation (anxiété de performer au test pour pas être stigmatisé).

169
Q

Décrivez brièvement les 6 constats qui se dégagent de la Minnesota Transracial Adoption Study (qui analyse le score de QI d’enfant adoptés dans familles n/b, b/b, n/n, mixtes, biologiques)

A

1- Plus avance en âge, plus la génétique joue un rôle

2- Effet de l’hétérosis. C’est le fait d’être hybride (métisse). Ça permet un meilleur QI
Aussi le fait que les scores de B/N sont à mi chemin entre les N/N et les B/B favorise l’hypothèse génétique.

3- Effet de régression vers la moyenne

4- L’impact de l’environnement des familles adoptives s’est fait sentir lors de la première mesure, qui a des scores un plus élevées à celui de la moyenne de la population noire et plus élevée que la mesure prise à l’adolescence. (mais qi corrèle plus avec mère biologique, donc on suppose un effet plutôt d’ordre génétique)

5- Le QI des adoptés noirs approche celui des enfants élevés dans l’environnement typique de la population noire (ce qui confirme les effets de l’épigénétique).

6- À partir de la fin de l’adolescence, la composante de l’environnement partagé reste la moins pertinente pour expliquer la variance du QI (net recul du QI à mesure prise à 17 ans)

170
Q

Quel est en somme le bilan de l’étude longitudinale MTAS (sur les familles adoptives transraciales)?

A

C’est une constante que la génétique influence plus le QI que l’environnement.

Notamment: le QI des enfants adoptés corrèle plus avec leur famille biologique que adoptive et les effets du placement sur le QI sont faibles.

171
Q

Qu’Est-ce qui vient infirmé l’hypothèse de la menace de stigmatisation, hypothèse utilisée pour justifier de manière environnementale les différences interethnique des QI?

A

Étude de Hernstein et Murray, sur la probabilité en pourcentage pour les Blancs, les noirs et les hispaniques d’obtenir un diplôme collégial, un baccalauréat et d’occuper un emploi requérant un QI élevé, selon que le QI est contrôlé ou pas.

> D’après les données de cette étude, sans contrôle de QI, les données appuient l’hypothèse de la menace de stigmatisation. Mais lorsque le QI est contrôlé (ex à 103, à 114 ou encore à 117), alors les Noirs sont dans les trois cas plus avantagés que les Blancs. Autrement dit: quand les noirs ont de bonnes habiletés intellectuelles, ils battent les blancs.

172
Q

Expliquez comment le facteur g de Spearman offre un autre argument en faveur du fait que les tests d’intelligence ne sont pas culturellement biaisés.

A

Le facteur g est assimilé à l’intelligence générale. Or, les différences dans les scores de QI entre Blancs et Noirs est plus prononcée dans les tests davantage saturés en facteur g. Le sous-test de la mémoire immédiate des chiffres des échelles de Wechsler illustre bien ce constat. Cela indique que de tels résultats ont peu à voir avec les particularités culturelles d’un groupe donnés.

173
Q

En quoi consiste l’hypothèse évolutionniste pour expliquer les écarts de QI entre ethnies?

A

Lynn: on peut penser que survie en climat froid nécessit de plus grandes capacités intellectuelles, éléminant les moins aptes au fil du temps. (vrai aussi pour asiatiques, ère glaciaire)

174
Q

Qu’est-ce que les échelles de Bayley?

A

Mesurent essentiellement les habiletés sensorimotrices à la petite enfance. N’est PAS un bon prédicteur d’intelligence d’un enfant ou d’un adulte.

175
Q

Quel est le meilleur élément prédicteur d’intelligence à la petite enfance? Pourquoi?

A

Le fait que le bébé préfère la nouveauté à des stimuli familiers ou qui s’habituent rapidement à des stimuli familiers tendent à présenter des scores de QI plus élevés au cours de l’enfance.

Peut être pour des raisons évolutionniste, cad que explorer son environnement et se familiariser avec divers éléments donne des meilleures chances de survie. L’exploration de l’environnement aide aussi à décoder ce qui est dangereux de ce qui ne l’est pas. Fonction adaptative.

176
Q

Peut-on prédire le QI d’un enfant avant l’âge de 4 ou 5 ans?

A

Oui, à partir d’éléments comme l’exploration et l’habituation aux stimulis familiers.

177
Q

Vrai ou faux? Le QI est stable à partir de 7 ans.

A

FAUX. (question d’Examen)

178
Q

Vrai ou faux? Le QI est relativement stable à partir de 7 ans.

A

Vrai (question d’Examen)

Donc à partir de 7 ans, on commence à avoir une bonne idée du QI.

179
Q

Est-ce que les facteurs sous-jacents et spécifiques au QI restent stables à travers le temps et dans une population donnée? 6 constats se dégagent d’un tableau présentant les corrélations de score QI entre 2 et 18 ans tirés de 5 études longitudinales. Expliquez brièvement ces constats.

A

1- Les résultats mettent en évidence une relative stabilité.

2- Cette stabilité est toutefois fonction de l’intervalle entre les deux mesures (ex. corrélation plus élevée entre mesures prises à 3 et 6 ans que celles prises à 3 et 12 ans).

3- ce même écart montre que plus les sujets sont âgés, plus le coefficient de corrélation est élevé.

4- Sept ans est plus ou moins l’âge à partir duquel se dégage un consensus quant au caractère prédicteur du QI au début de l’âge adulte, ce qui en fait un moment de relative stabilité.

5- Un coefficient de corrélation parfait n’existe pas et il faut expliquer cette variabilité.

6- Dans l’étude plus récente de Bishop les coefficients de corrélation sont systématiquement plus faibles que dans les autres études.

180
Q

Est-ce que les QI tend à rester stables?

A

Oui, mais à l’intérieur d’une même cohorte d’individus. Car d’une cohorte à l’autre, les individus progressent de 3 à 5 points d’une décennie à l’autre.

181
Q

Vrai ou faux? Les coefficients de corrélation sont nettement plus élevés à l’âge adulte qu’à l’enfance.

A

Vrai.

182
Q

Qu’est-ce que l’effet Flynn (ou la mouvance transgénérationnelle)? Qu’est-ce que cela implique?

A

Flynn démontrait en 1984 une augmentation de l’ordre de 3 à 5 points par décennie des scores aux principaux tests d’intelligence aux US à la suite d’une grande analyse. Depuis, Flynn et d’autres ont confirmé le phénomène dans 27 pays pour la plupart occidentaux ou qui en ont épousé le mode de fonctionnement, particulièrement au plan technologique.

Cela implique la nécessité d’établir périodiquement de nouvelles standardisations des tests d’intelligence pour respecter le postulat de la moyenne à 100 points et d’un écart type à 15 points. Autrement, dans presque tous les cas, les sujets obtiennent des scores plus élevés dans la version plus ancienne.

183
Q

Pourquoi un psy compétent ne pourrait pas utiliser un test d’intelligence fait en 1932?

A

Parce que le test de 1932 n’est pas standardisé pour la population de 2021 (effet Flynn)

184
Q

Effet Flynn. L’augmentation du QI se situe-t-elle surtout dans les tests non verbaux (donc plus liés au facteur g) ou aux tests verbaux (donc plus liés à l’intelligence cristallisée)?

A

Le QI augmente surtout dans les tests non verbaux, donc plus liés au facteur g.

185
Q

Quelles sont les manifestations de l’effet Flynn en fonction du genre?

A

À un certain moment, le QI des filles augmente dans le verbal et le QI des garçons augmente dans le non-verbal.
Mais aujourd’hui, c’est pas mal pareil pour les 2 sexes.

186
Q

Quelles sont les manifestations de l’effet Flynn en fonction du statut socioéconomique?

A

Au départ, sujets des milieux aisés avaient de meilleurs scores que les pauvres mais maintenant, cest les sujets des milieux pauvres qui font plus de gains.

187
Q

Nommez 8 hypothèses environnementales qui tentent d’expliquer l’effet Flynn.

A
  • L’attitude différente des répondants au fil des générations

(hypothèse de Brand: les gens prennent plus de risque, la société encourage ça. Pas une véritable augmentation de QI. Mais données empiriques montre que hypothèse fausse)

  • La plus grande exposition aux situations de tests

(habituation aux tests. Donc pas une réelle augmentation QI. Mais faux pcq les augmentations les plus significatives sont chez les enfants préscolaires. )

  • Des variables liées à la scolarisation: précocité, accessibilité, durée

(Plausible et démontré. Augmentation du QI qui est apparue en même temps qu’une meilleure éducation (accessibilité, durée, qualité). QI aide à la réussite scolaire mais le nombre d’années de scolarisation aussi aide à augmenter le QI. Cercle vertueux. On le sait pcq QI cesse de progresser ou baisse pendant vacances d’été, etc.)

  • Le phénomène de l’urbanisation et le statut socioéconomqiue

(Le coefficient est très élevé entre QI moyen et PIB.
Aussi, Lynn suggère que QI plus élevé en ville à cause des lointaines différences historiques transmises de génération, et aussi pcq les individus plus doués vont vers capitales pcq centre de pouvoir et richesse et culture. Les gens qui sont restés en campagne ont des tâches plus complexes.)

  • Des changements dans l’environnement familial

(diminution du nombre d’Enfants par famille; style d’interactions parents-enfants modifiés, idée de s’adapter aux besoins de l’enfant plus en vogue, augmentation du niveau de sécurité de l’environnement qui favorise cpts exploratoires de l’enfants)

  • L’augmentation du nombre et de la complexité des médias visuels

(nouvelle technologie qui offre occasions d’apprentissage, enfants inondés de stimulis visuels

  • Une amélioration de la santé et de la nutrition

(Une nutrition plus riche et diversifiée a donné une augmentation de la taille, tête et cerveau; Dans pays sous-dvp, le QI moyen est plus faible et correspond avec plus de carences alimentaires; la nutrition prénatale a des effets selon étude sur jumeaux; l’intelligence fluide est plus sensible aux variations nutritionnelles que l’intelligence cristallisée; manger bien te donne plus de chances d’avoir un cerveau qui a de l’allure)

  • Facteurs génétiques

(Immigration a joué sur l’impact de la moyenne et aussi bcp d’individus avec haut QI qui ont pas ou d’enfant ou peu.)

188
Q

Est-ce que l’effet Flynn se manifeste de la même manière dans tous les pays?

A

Non. Il se manifeste surtout dans les pays développés avec déjà un bon QI. Tandis que dans les pays pauvres moins développé, il augmente plus progressivement.

189
Q

Qu’est-ce que l’effet Flynn inversé?

A

Le constat que dans les années ‘90 le QI a stagné (en même temps que la grandeur) puis a commencé redescendre (très tranquillement)

190
Q

Nommez des facteurs majeurs (7) dans le monde de l’éducation qui peuvent expliquer la baisse de QI

A
  • Le décrochage scolaire
  • l’absence de redoublement
  • âneries pédagogiques (Ex. psychanalyse)
  • la surprotection des enfants
  • Mythe que peut réussir sans faire d’efforts. (plutôt: efforts stratégiques)
  • Avoir des éléments qui sont pas à jour (ex. bcp d’élèves initiés à l’ésotérisme)
  • Écrans et tablettes
191
Q

L’effet Flynn est-il réellement le reflet d’une augmentation de QI? Plusieurs paradoxes (5) nous font croire que non et certains éléments (3) nous renseignent sur le phénomène. Quels sont-ils?

A
  1. Paradoxe du retard mental chez nos ancêtres
    > Un tel progrès de l’intelligence voudrait dire que nos ancêtres étaient retardés. Or, ils n’étaient pas déficients, mais leur intelligence était for bien adaptée à leur environnement, cad ancrée dans le concret.
  2. Le paradoxe du facteur g (ou gf contre gc)
    > Ce n’est pas vraiment le facteur g qui augmente, pcq les gains ne sont pas répartis également entre tous les tests (surtout ceux saturés en g)
  3. Le paradoxe de commente la génétique joue son rôle
    > les gains sont trop rapides et importants pour parler de sélection naturelle. Donc, on sait grâce à l’étude sur les jumeaux que la génétique joue un plus grand rôle, mais ici semble vraiment plus être une question de facteurs environnementaux.
  4. Le paradoxe de l’absence de boom culturel
    > les enfants apprennent peut-être à lire plus tôt, mais cela ne semble pas se traduire par une augmentation du vocabulaire nécessaire à la lecture de littérature plus avancée.
  5. Le paradoxe des familles nombreuses
    > l’ordre des naissances joue un rôle sur la répartition des QI: premier né a souvent QI plus élevé que le deuxième etc Ainsi, paradoxe que les individus à faible QI ont plus d’enfants que les individus à QI élevés.
  6. L’effet Flynn profite surtout aux scores faible-moyens
    > On peut présumer que les progrès nutritionnels ont fortement joué au cours du 20e siècle et ce, davantage dans les milieux caractérisés par un QI faible.
  7. L’effet Flynn semble avoir atteint sa limite
    > dès le début des années ‘80, le rythme d’amélioration des habitletés intellectuelles a grandement ralenti, sinon plafonné.
  8. L’impact au quotidien de l’effet Flynn pour la pratique clinique.
    > Prendre une version d’un test plutôt qu’une autre peut avoir des conséquences dramatiques pour un individu. Ex. prisonnier et peine de mort.
192
Q

Nommez des éléments qui, selon le prof, expliqueraient l’effet Flynn inversé.

A
  • Intelligence et maladies
    (moins bon QI associé à plus d’adversité et vice versa)
  • Perturbateurs endocriniens
    (augmentation des pesticides etc. pourraient être déterminants)
  • Facteurs génétiques
    Phénomène de l’hétérosis (hybridité des gènes). Explication la plus probable selon Grouni.
  • Les gens avec QI plus élevés font moins d’enfants
193
Q

Quelle est la différence entre phénotype et génotype? Donnez un exemple.

A

Génotype: composition génétique d’un individu. C’est les gènes qui influencent spécifiquement un trait étudié.

Phénotype: toute caractéristique individuelle observable et mesurable. Résulte de l’action des gènes. Cest la façon dont le matériel génétique s’exprime dans l’organisme, par ex la couleur de l’oeil.

Ce n’est donc pas le génotype qui se livre à l’observation, mais bien le phénotype.

Ex.: syndrome de down. La personne trisomique hérite généralement de sa mère un troisième chromosome. Ce matériel particulier représente le génotype associé au syndrome de Down. Le phénotype constitue plutôt l’expression de ce matériel génétique dans l’organisme, que l’on pense par exemple à certaines caractéristiques physiques connues du syndrome de Down comme les yeux bridés, la courte stature ou encore la bouche ouverte.

194
Q

Quel est le meilleur critère pour discuter des relations entre les classes sociales et l’intelligence?

A

L’occupation (travail) des parents.

195
Q

Vrai ou faux? Le QI des enfants varie en fonction de leur appartenance sociale.

A

Vrai.

Écart de 15 points entre enfants de parents de profession libérale et enfant de travailleurs non qualifiés.

196
Q

Les coefficients de corrélation entre le QI et la classe sociale sont moyens, mais toujours significatifs. Est- vrai pour les blancs autant que pour les noirs?

A

Oui, c’est le même phénomène pour les deux.

197
Q

Est-ce que la transmission du QI parents-enfants est linéaire? Pourquoi?

A

Non pas tout à fait, comme le phénomène de la régression vers la moyenne le montre.

Le QI des enfants tend à suivre celui des parents mais les enfants des parents avec un QI plus dans les extrêmes tendent à régresser vers la moyenne.

198
Q

Est-ce que le phénomène de la régression vers la moyenne s’explique mieux par l’influence de l’environnement ou celle de la génétique?

A

Par l’influence de la génétique, puisque la génétique n’a pas de mémoire sociale. C’est plus les mécanismes sociaux et environnementaux qui vont tentés de maintenir les classes sociales, à la limite artificiellement. Donc la régression vers la moyenne montre que la génétique est aussi en jeu et que les facteurs environnementaux à eux seuls ne peuvent expliquer la transmission générationnelle du QI. La génétique obéit aux lois de la probabilité et non pas à un conservatisme social. (ex. système de caste (= environnemental) est ce qui détermine et maintient artificiellement le rang social et est très rigide. Tandis que les contraintes génétiques n’ont pas de préjugés sociaux)

Autrement dit: quand la structure sociale des classes n’Est pas rigides, qu’il y a une égalité des chances, alors enfants de bourgeois vont notamment régresser vers la moyenne pcq cest bien plus leur QI qui va déterminer leur rang social que la classe sociale de leur parents.

199
Q

Comment l’influence de l’intelligence sur les classes sociales joue dans le cadre de la mobilité sociale?

A

Les individus plus intelligents accèdent habituellement à un statut social plus élevé, ce qui leur donne accès aux facteurs favorables du milieu telles que stimulations intellectuelles variées, alimentation de qualité, meilleures écoles, meilleures conditions de vie, etc. Tous ces facteurs environnementaux pourraient à leur tour influencé le fait que leurs enfants aient à leur tour un bon QI, lequel donne des meilleure chances d’obtenir une bonne position sociale. (?)

Par conséquent: il y aurait à la fois une part génétique et mais aussi environnementale qui expliquerait la “transmission de QI” entre les générations.

(mobilité sociale = le mouvement des personnes d’une classe sociale à l’autre)

200
Q

Vrai ou faux? la réussite scolaire et sociale dépend plus des habiletés cognitives de l’Enfant et moins du statut social des parents.

A

Vrai.

La génétique a une plus grande influence sur la classe sociale (dans une société qui permet la mobilité sociale).

201
Q

Étant donné que la plupart des enfants adoptés proviennent d’un milieu défavorisé et se font adopté dans une famille favorisée, un programme d’adoption peut être vue presque comme un programme d’intervention visant à améliorer les habiletés intellectuelles grâce à l’amélioration d’un ensemble de composantes environnementales.
Ainsi, qu’est-ce que les études d’adoption montrent par rapport à l’influence génétique/environnementale sur le QI?

A

Les résultats du livre montrent clairement l’influence du SSE sur le dvp de l’intelligence mais dans les études d’adoption plus récentes, on montre que le QI des enfants est toujours plus proches des parents biologiques que celui des parents adoptifs.

202
Q

Sur quelles variables psychosociales le QI a-t-il un impact? Quelle conclusion peut-on en tirer? (étude de Herrnstein et Murray)

A
  • la pauvreté
  • la scolarité
  • le travail
  • le mariage et le divorce (plus de mariage et moins de divorce chez QI élevé. Effet inverse pour SSE élevé).
  • le nombre d’enfants illégitimes
  • le bien-être social
  • les capacités parentales, maltraitance, bébés de petit poids et intelligence de l’enfant (SSE plus lié aux habiletés parentales que QI, mais maltraitance plus lié au QI)
  • Criminalité (Qi faible et élevé = facteur de risque et de protection pour criminalité)

Le QI a plus à voir avec ces résultats que le statut socio-économique, puisqu’il est un meilleur prédicteur de ces variables que le SSE.

203
Q

Les recherches sur la mobilité sociale et les études d’adoption suggèrent que l’intelligence détermine le SSE indépendamment du SSE du père.

Vrai ou faux? Cela n’empêche pas qu’un changement majeur d’environnement (SSE) permette un meilleur dvp intellectuel.

A

Vrai.

204
Q

Vrai ou faux? Le SSE est un meilleur prédicteur de la pauvreté que l’intelligence.

A

Faux, c’est l’inverse.

205
Q

Vrai ou faux? Les classes sociales se fondent désormais sur les capacités intellectuelles plutôt que sur l’origine familiale.

A

Vrai.

206
Q

Nommez 5 arguments qui appuient l’importance de l’effet du nombre d’années de scolarité sur le QI.

A

1- Le décrochage scolaire
Ceux qui décrochent ont un QI plus faible, mais aussi si ne raccrochent pas rapidement, le QI va continuer à baisser

  1. L’âge du début de la scolarité
207
Q

Nommez 5 arguments qui appuient l’importance de l’effet du nombre d’années de scolarité sur le QI.

A

1- Le décrochage scolaire
Ceux qui décrochent ont un QI plus faible, mais aussi si ne raccrochent pas rapidement, le QI va continuer à baisser

  1. L’âge du début de la scolarité
    Étude qui a montré que la fréquentation scolaire permet d’augmenter les scores de QI à tous les tests. Étude qui comparait enfants presque du même âge, un groupe qui ont commencé l’école et l’autre qui manquait comme 2 semaines pour commencer. Donc âge du début a un impact pcq une année de scolarisation a plus d’impact sur le QI qu’une année chronologique de plus.
  2. L’impact des vacances estivales.
    Légère baisse de QI pendant vacances, surtout si celles-ci sont pas éducatives.
  3. Le retard dans la scolarisation
    Plus la scolarisation commence tard (plus elle est retardée), plus le QI est faible.
  4. La scolarité intermittente.
    On suppose un lien causal entre la scolarité intermittente et le QI qui se détériore.

Conclusions: les scores de QI des enfants se modifient en fonction du temps passé à l’école.

208
Q

À partir de quel âge le QI est-il relativement stable?

A

7 ans.

209
Q

Est-ce que c’est un QI élevé qui contribue à la prolongation des études ou cest le nombre d’années de scolarité qui contribue à élever le QI (et donc qu’il est modifiable)?

A

Il y a bidirectionnalité des relations entre la scolarisation et l’intelligence, l’une influençant l’autre: l’école favorise les habiletés intellectuelles et les habiletés intellectuelles favorise les capacités scolaires.

210
Q

Quel est l’impact des styles parentaux sur le QI?

A

Les enfants dont les parents adoptent un style ouvert de type démocratique présentent de meilleures performances cognitives et de meilleures compétences sociales.

211
Q

Nommez quelques caractéristiques de l’approche démocratique des parents d’enfants avec QI élevé (D’après le test HOME)

A
  • Ont des jouets appropriés au dvp
  • Écoutent les enfants, enfants prennent part aux décisions
  • utilisent un vocabulaire approprié
  • jeu = dans la zone proximale de dvp
  • restrictions, permissions: modérées
  • encouragements dans la réussite scolaire (sans pousser)
  • valorise locus interne

Bref: ils valorisent le type d’habiletés qui permettent de réussir un test cognitif (résoudre un problèmes, poser des questions, etc.)

212
Q

Quel est le poids de l’influence environnemental sur l’intelligence?

A

Pris individuellement, ils ont peu d’influence sur le QI, par contre ils ont un effet cumulatif. Plusieurs facteurs risquent forts d’influencer positivement ou négativement le QI.

213
Q

L’intelligence est-elle un phénotype ou un génotype?

A

Un phénotype.

AInsi, les habiletés intellectuelles sont à la fois attribuables à des facteurs génétiques et environnementaux.

214
Q

Vrai ou faux? L’héritabilité désigne ce qui est sous l’influence génétique chez un individu spécifique.

A

Faux.
hérédité = individu
héritabilité = population

> héritabilité = une mesure statistique exprimée en pourcentage qui renvoie à l’importance des facteurs génétiques sur la variation d’un trait entre les individus d’une populaiton donnée et à un moment donné et ce, indépendamment des influences environnementales.

215
Q

L’héritabilité de l’intelligence est-elle immuable?

A

Non. L’influence relative des gènes et de l’environnement se modifie au cours de la vie. Pas de déterminisme génétique.

216
Q

Quels sont les 3 concepts essentiels pour comprendre le jeu de l’interaction facteurs génétiques et environnementaux ?

A

1- l’héritabilité
2- l’environnement partagé
3- l’environnement non partagé

Environnement partagé:
= l’influence environnementale partagée par les individus qui vivent ensemble et qui, par conséquent, est susceptible de contribuer à leur ressemblance, tant dans la fratrie qu’entre la fratrie et les parents.

Environnement non partagé:
= l’influence environnementale que les individus qui vivent ensemble ne partagent pas et qui pourrait contribuer au fait qu’ils ne se ressemble pas, même en tant que membres de la même famille (ex. groupe d’amis, type d’école, etc).
= les expériences propres à chacun.
[élément qui explique par exemple pourquoi deux jumeaux identiques élevés dans même famille ont pas un QI exactement pareil]

> > ex. Pourcentage attribuable à l’environnement partagé, non partagé et génétiques dans la détermination du facteur g:

enfance: Ep = 25%; ENP = 35%; Génétique = 40%
adolescence: ENP = 35%; génétique = 60%

217
Q

Quel est le meilleur prédicteur de QI d’un enfant de 4 ans?

A

la qualité de l’environnement telle que mesurée par le HOME.

218
Q

Vrai ou faux? Aucun facteur environnemental, hormis dans les situations extrêmes, ne produit d’Effet durable et marquant sur les scores de QI.

A

Vrai.