Examen final : âge genre sexe Flashcards

1
Q

Le vieillissement

C’est quoi l’âge chronologique ?

Différentes classifications de la « vieillesse »

A

L’âge chronologique est un critère de classification qui renvoie à l’âge numérique d’une personne en fonction du calendrier.

l’âge qu’on avec l’avancement du temps

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Q

Le fait d’être considéré comme vieux est en partie déterminé et maintenu par des interactions, des normes et des attentes sociales. vrai ou faux ?

A

Vrai.

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3
Q

Avec l’âge chronlogique, il n’y a pas un âge précis où une personne devient officiellement vieille. vrai ou faux ?

Différentes classifications de la « vieillesse »

A

Vrai.
Les auteurs et la société en général se basent sur des critères différents pour déterminer à quel moment une personne devient vieille

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4
Q

L’âge chronologique

Quel âge est devenu le critère le plus largement employé pour qualifier quelqu’un de vieux ?

A

65 ans

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5
Q

Comment l’âge chronologique est-il contesté par les chercheurs ?

A

en considérant de plus en plus les signes biologiques et les marqueurs fonctionnels.

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6
Q

Comment l’âge physiologique est-il déterminé ?

Différentes classifications de la « vieillesse »

A

L’âge physiologique est déterminé par des marqueurs sociaux tels que les cheveux gris, les rides, ou l’utilisation d’aides à la mobilité.

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7
Q

Quels problèmes posent les conceptions basées sur l’âge physiologique ?

A
  1. Elles opposent incapacité et normalité, dévaluant les expériences des jeunes ayant des handicaps
  2. Perpétuent l’idéalisation de la jeunesse.
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8
Q

Définis l’âge social.

Différentes classifications de la « vieillesse »

A
  • L’étape de vie est une phase relativement longue comme l’enfance, l’adolescence, l’âge mûr, etc.
  • L’âge social se réfère aux étapes de vie et aux rôles sociaux que les individus expérimentent tout au long de leur parcours de vie.
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9
Q

l’âge social

Comment les étapes de vie sont-elles perçues dans la société ?

A

Les étapes de vie sont normatives, s’attendant à ce qu’elles surviennent à peu près au même âge chronologique pour chaque personne.

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10
Q

Quels rôles sociaux sont traditionnellement associés à la vieillesse ?

A

La vieillesse est associée aux rôles de retraité ou de grand-parent, souvent perçue comme une période de réflexion.

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11
Q

l’âge social

Décris l’importance des événements marquants dans les étapes de vie.

A

Les événements marquants aident à comprendre les étapes de vie, car ils sont associés à des rôles sociaux et des expériences caractéristiques.

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12
Q

Comment la société occidentale perçoit-elle le vieillissement ?

A

La société occidentale privilégie la jeunesse, ignorant souvent la notion du corps vieillissant.

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13
Q

Quels sont, Dans la société occidentale, trois principales façons de « savoir » si quelqu’un est vieux ?

A
  • L’âge chronologique
  • l’âge physiologique
  • l’âge social.
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14
Q

Décrivez la perception commune du vieillissement dans notre société.

A

Le vieillissement est souvent perçu comme un phénomène externe, lointain et étranger, que beaucoup préfèrent regarder de loin.

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15
Q

Quelles sont les statistiques concernant le vieillissement de la population mondiale d’ici 2050 ?

A

Entre 2015 et 2050, la proportion des 60 ans et plus dans la population mondiale va presque doubler, passant de 12 % à 22 %.

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16
Q

Définissez le vieillissement interne de la population âgée.

A

Le vieillissement interne est principalement relié à l’augmentation de l’espérance de vie.

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17
Q

Comment la pyramide des âges est-elle affectée par le vieillissement ?

A

Il y a un inversement de la pyramide des âges, résultant de la diminution de la natalité et de l’augmentation de l’espérance de vie.

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18
Q

Décrivez la polarisation des discours sur les aînés.

A

Les discours sur les aînés sont souvent très négatifs ou très positifs, généralisant des exemples extrêmes et oubliant la diversité des réalités.

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19
Q

Comment la théorie de la continuité se distingue-t-elle des autres théories du vieillissement ?

A

La théorie de la continuité soutient que le vieillissement n’entraîne aucun changement drastique chez la personne, qui maintient ses traits centraux.

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20
Q

Pourquoi est-il préférable de parler de vieillissements au pluriel ?

A

car chaque individu vieillit différemment, et il existe une multitude de façons de vivre le vieillissement.

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21
Q

Décris l’importance de l’histoire de vie d’une personne dans la compréhension de sa réalité actuelle.

A

L’histoire de vie permet de contextualiser les expériences et les défis rencontrés par une personne, offrant ainsi une perspective plus complète de sa situation actuelle.

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22
Q

Comment l’âgisme se manifeste-t-il dans la société ?

A

L’âgisme se manifeste par des discriminations basées sur l’âge, similaires à d’autres formes de discrimination comme le sexisme ou le racisme.

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23
Q

C’est quoi l’exclusion sociale ?

A

L’exclusion sociale est un processus multidimensionnel de mise à l’écart de certains groupes sociaux, ici les personnes âgées, qui les marginalise et limite le plein exercice de leurs droits et de leur citoyenneté.

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24
Q

L’exclusion sociale c’est un processus et non un état. Vrai ou faux ?

A

Vrai.
L’exclusion sociale c’est un processus et non un état

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25
Q

Quelles sont les implications de la définition de l’exclusion sociale ?

A

L’exclusion sociale est un processus collectif qui agit à différents niveaux et reconnaît les personnes âgées comme des acteurs sociaux.

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26
Q

Comment se caractérise l’exclusion symbolique ?

A

L’exclusion symbolique se manifeste par des représentations négatives des personnes âgées et leur invisibilité dans la société.

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27
Q

Décris l’exclusion identitaire.

A

L’exclusion identitaire réduit l’individu à un seul groupe d’appartenance, niant ses multiples identités.

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28
Q

Quelles barrières sont associées à l’exclusion politique ?

A

L’exclusion politique se caractérise par des obstacles à la participation civique et à l’accès aux espaces décisionnels.

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29
Q

Comment l’exclusion institutionnelle affecte-t-elle les personnes âgées ?

A

L’exclusion institutionnelle limite l’accès aux services de protection sociale et sanitaire, affectant les conditions de vie des personnes âgées.

30
Q

Définis l’exclusion économique.

A

L’exclusion économique se réfère à la mise à l’écart des personnes d’un accès équitable aux ressources économiques.

31
Q

Comment la société perçoit-elle souvent les personnes âgées ?

A

Les personnes âgées sont souvent perçues comme malades, dépendantes ou comme un fardeau, renforçant les stéréotypes négatifs.

32
Q

Définis l’exclusion des liens significatifs.

A

L’exclusion des liens significatifs se manifeste par l’absence ou la perte de réseaux de sociabilité et le rejet de la part de ces réseaux.

33
Q

Comment l’exclusion territoriale se manifeste-t-elle ?

A

L’exclusion territoriale se caractérise par le rétrécissement de la liberté géographique et la relégation à des espaces isolés de la vie sociale.

34
Q

Les dimensions de la manifestation de l’exclusion (exclusion symbolique, identitaire, politique, etc) sont distinctes, mais ils sont très…

A

inter-reliées.

De plus, leur effets peuvent se cumuler, ce qui demande des ressources de résistances toujours plus grande.

35
Q

Dans les manifestation de l’exclusion sociale, leurs effets peuvent se cumuler, ce qui demande des ressources de résistance toujours plus grande. vrai ou faux ?

A

Vrai.

36
Q

C’est quoi l’intersectionnalité ?

outil

A

Un outil d’analyse des systèmes d’oppression qui s’articulent et se renforcent mutuellement.

37
Q

Comment les préjugés sur le vieillissement peuvent-ils être combattus ?

A

Il est important de combattre les préjugés sur le vieillissement en reconnaissant la diversité des parcours et en créant des espaces d’échange.

38
Q

Le concept d’intersectionnalité rejette la hiérarchisation des systèmes d’oppression et souligne l’interaction de plusieurs dynamiques qui façonnent l’identité des personnes. vrai ou faux

A

vrai.

39
Q

Comment définit-on le travail invisible ?

A

Le travail invisible est un travail de reproduction, généralement effectué par les femmes, qui inclut des tâches de service, d’éducation et de soins aux personnes malades et vulnérables.

40
Q

Quelles sont les caractéristiques du travail invisible ?

A

Ce travail est souvent peu ou pas reconnu par la société, peut être rémunéré ou non, et est influencé par des rapports de genre, de pouvoir, de race et de classes socioéconomiques.

41
Q

C’est quoi la stratification du travail invisible ?

A

La stratification du travail invisible se réfère aux nouvelles divisions au sein de la catégorie femmes, exacerbées par la demande croissante de services domestiques et de soins dans les pays du Nord.

42
Q

Pourquoi le terme “aidante naturelle” est-il problématique ?

A

Le terme “aidante naturelle” invisibilise la nature systématique et complexe des soins, suggérant qu’ils sont innés ou normaux, minimisant ainsi le travail des proches aidants.

43
Q

Quelle est la différence entre “aidante naturelle” et “proche aidant.e” ?

A

Le terme “proche aidant.e” est préféré car il reconnaît le travail systématique des aidants, souvent réalisé par des femmes, contrairement à “aidante naturelle” qui le banalise.

44
Q

Comment les tâches des proches aidants sont-elles réparties entre les sexes ?

A

Les femmes sont plus engagées dans les tâches répétitives et à long terme, tandis que les hommes s’occupent de responsabilités de manière plus ponctuelle ou distante.

45
Q

Quelles tâches sont généralement attribuées aux femmes en tant que proches aidants ?

A

Les femmes s’occupent des soins personnels et médicaux, de la gestion et coordination des soins, des tâches ménagères et de la préparation des repas.

46
Q

Comment la notion de “prise en charge par la famille” est-elle interprétée ?

A

L’expression “prise en charge par la famille” revient souvent à dire “prise en charge par les femmes”, soulignant leur rôle central dans l’aide familiale.

47
Q

Décris la charge mentale.

A

C’est un poids psychologique, (surtout sur les femmes), lié à la gestion des tâches domestiques et éducatives, entraînant fatigue physique et psychique.

48
Q

Comment se manifeste le harcèlement de rue ?

A

Par des propos ou comportements intrusifs, non consentis, insistants et dégradants dans des lieux publics.

  • Commis dans des lieux publics (rues, parcs, transport en commun, web, écoles, commerces…)
  • Par des inconnus, majoritairement des hommes majeurs
  • Qui s’appuient sur des rapports de pouvoirs
  • Davantage si elles sont racisées, autochtones, en situation de pauvreté ou de handicap, ou qui ne correspondent pas aux standardsde beauté/minceur
  • Ils ciblent surtout des filles, des femmeset des personnes de la diversité de genre
  • Accumulation et répétition d’actes tout au long de la vie ,généralement dès l’enfance.
49
Q

Quels sont les groupes les plus ciblés par le harcèlement de rue ?

A
  • Les filles
  • les femmes
  • Les personnes de la diversité de genre, en particulier celles qui sont racisées, autochtones, en situation de pauvreté ou de handicap.
50
Q

Quels sont les impacts durables sur le quotidien des personnes vicitimes de harcèlement de rue ?

A

Impact sur :
* Vie sociale
* Rapport à l’espace public
* Psychologique et émotionnels
* Rapport au corps

51
Q

Comment le harcèlement de rue affecte-t-il la vie sociale des victimes ?

A

Elles évitent les interactions avec des inconnus, se privent de sorties et ne sortent plus seules.

52
Q

Quelles sont les conséquences sur le rapport au corps des victimes de harcèlement ?

A

Soucis constant de leur apparence physique, tentatives de se rendre invisibles et masquage de leur féminité.

53
Q

Quels sont les impacts psychologiques du harcèlement de rue ?

A

Hypervigilance, trauma, sentiment d’être constamment traquée.

54
Q

Comment soutenir une victime de harcèlement ?

A
  • Écoutez
  • croyez sa version
  • validez ses émotions et informez-la des ressources d’aide
55
Q

Quelles attitudes solidaires peuvent adopter les témoins d’un harcèlement ?

A
  • Se concentrer sur le bien-être de la victime
  • déjouer l’harceleur
  • offrir son aide et alerter les autorités
56
Q

C’est quoi les manifestations du harcèlement de rue dans l’espace public ?

A
  • Sifflements
  • commentaires sexistes
  • violences verbales, psychologiques, physiques ou sexuelles
  • Féminicide
57
Q

Définis la maltraitance.

A

Il y a maltraitance quand une attitude, une parole, un geste ou un défaut d’action appropriée, singulier ou répétitif, se produit dans une relation avec une personne, une collectivité ou une organisation où il devrait y avoir de la confiance, et que cela cause, intentionnellement ou non, du tort ou de la détresse chez une personne adulte.

Il est censé avoir de la confiance envers l’organisation par exemple, genre imagine quelqu’un qui doit changer tes couches, on est sensé avoir une relation de confiance. Le “méchant” est censé être un proche aidant. Imagine dit : « Lala je vais la laisser dans sa marde un bout », mais bref ça peut être intentionnelle aussi.

58
Q

C’est quoi la maltraiance intentionnelle ?

A

La maltraitance intentionnelle est lorsque la personne maltraitante veut causer du tort ou sait qu’elle cause du tort à l’aîné.

59
Q

C’est quoi la maltraiance non intentionnelle ?

A

La maltraitance non intentionnelle se produit lorsque la personne maltraitante ne veut pas causer de tort ou ne comprend pas le tort qu’elle cause.

60
Q

Quelles sont les deux grandes formes de maltraitance ?

A
  • La violence : l’action posée cause un tort
  • La négligence : l’absence d’action cause un tort
61
Q

Maltraitance envers une personne

proche aidante

La maltraitance envers une personne proche aidante provient généralement d’où ?

A

Institution
de son entourage
de la personne aidée

62
Q

Maltraitance envers une personne

proche aidante

Comment la maltraitance peut-elle se manifester envers une personne proche aidante ?

A

Peut se manifester par des jugements sur leurs décisions, la négation de leur expertise, ou l’absence de soutien.

63
Q

C’est quoi l’âgisme ?

A

Désigne la discrimination en raison de l’âge, par des attitudes hostiles ou négatives, des gestes préjudiciables ou de l’exclusion sociale, par exemple :
* Des restrictions ou des normes sociales imposées en raison de l’âge
* L’accessibilité réduite à certaines ressources ou à certains services
* Les préjugés
* L’infantilisation
* Le mépris
* L’indifférence à l’égard des pratiques ou des propos âgistes lorsqu’on en est témoin

64
Q

Comment l’intervention en situation de maltraitance est-elle perçue ?

A

L’intervention est complexe, car le dévoilement est souvent difficile pour la personne aînée, qui peut ressentir culpabilité ou honte.
L’individu ne veut pas perde la personne.

65
Q

Quelles sont les conséquences de la maltraitance au fil du temps ?

A

La maltraitance a tendance à devenir plus fréquente et plus sévère avec le temps, semblable à la violence conjugale.

66
Q

Qu’est ce qui peut se traduire à tous les âges de la vie ?

Représentation de la sexualité et de la conjugalité à un âge mature et avancé

A

Asexualité

67
Q

C’est quoi la désexualisation des personnes âgées ?

Représentation de la sexualité et de la conjugalité à un âge mature et avancé

A

Processus qui a son origine dans l’association commune de la sexualité avec différents attributs tels que la jeunesse, la beauté, la performance et avec un objectif de procréation, incompatibles avec les représentations de l’âge avancé.

68
Q

Les agressions sexuelles chez les femmes aînées est une réalité inconcevable. Vrai ou faux.

A

Vrai

69
Q

C’est quoi l”hétéronormativité ?

A

Système, cadre ou préjugé culturel et/ou sociétal, souvent implicite et inconscient, selon lequel l’hétérosexualité est la norme, le standard de l’attirance romantique et sexuelle. Ce cadre normatif soutient que toute personne est (ou devrait être) hétérosexuelle et que l’hétérosexualité est inhéremment supérieure à tout autre mode de relation. Les orientations non-hétérosexuelles sont considérées comme anecdotiques, anormales, voire condamnables

70
Q

L’hétéronormativité peut mener à la non-reconnaissance de quoi ?

A

diverses configurations familiales s’écartant du modèle dominant

71
Q

C’est quoi la définition de la bientraitance ?

A

La bientraitance vise le bien-être, le respect de la dignité, l’épanouissement, l’estime de soi, l’inclusion et la sécurité de la personne.

72
Q

Comment s’exprime la bientraitance ?

A

Elle s’exprime par des attentions, des attitudes, des actions et des pratiques respectueuses des valeurs, de la culture, des croyances, du parcours de vie, de la singularité et des droits et libertés de la personne aînée