examen 2 SM Flashcards
nomme les facteurs de protection de la santé mentale
- les ressources de base de la personne
- l’estime de soi
- le soutien social
- l’inclusion sociale
- l’environnement favorable
ce sont des facteurs qui protègent la santé mentale
quels sont les facteurs de risque associés à la santé mentale, qu’est-ce qui peut favoriser le développement d’un trouble de santé mentale?
- facteurs biologiques négatifs
- stress
- inégalités socioéconomiques
- exclusion sociale
- environnement défavorable
il est possible de mesurer l’indice de détresse psychologique en identifiant différents symptômes. Quels sont-ils?
- les symptômes dépressifs
- les symptômes d’anxiété
- les symptômes cognitifs
- les symptômes comportementaux
quels sont les comportements associés à la détresse psychologique
- augmentation de la consommation d’alcool ou de psychotropes
- plusieurs demandes de services
- perception négative de soi
quels sont les deux types d’évaluation
- évaluation initiale: au premier contact, permet d’obtenir des données sur l’état de santé global afin d’établir son profil actuel de santé, identifier les aspects fonctionnels et dysfonctionnels, de préciser les attentes, de déterminer les complications potentielles et les fx de risque et de protection, puis des besoins d’enseignement.
- évaluation en cours d’évolution: établir des liens entre les données actuelle est les données antérieures pour suivre l’évolution de l’état de santé et déceler tout déséquilibre afin d’intervenir efficacement. Permet de réviser les priorités.
elles incluent des données objectives et subjectives obtenues lors d’entretiens, d’observation ou de grilles et échelles d’évaluation
comment procéder à l’évaluation de l’état mentale
- identifier les repères, les symptômes ou des indices
- déterminer la présence ou l’absence d’une bonne santé mentale
- planifier des interventions
quel est le contenu de l’évaluation de la condition mentale
- histoire de santé
- examen physique
- examen de l’état mental
- dimension psychosociale
- dépistage des risques
- données provenant des grilles et échelles d’évaluation
quels sont les repères sur lesquels sont basés l’évaluation de l’état mental*
- physiologiques
- cognitifs
- perceptuels
- d’ordre mental
- émotifs
- relationnels
nomme les repères physiologique utiles à l’évaluation mentale*
- FR, SpO2
- alimentation, hydratation
- élimination
- état de la peau
- repos et sommeil
- activités
- tabagisme
nomme les repères cognitifs utiles à l’évaluation mentale*
- niveau de conscience
- orientation
- mémoire
- attention
- jugement
- autocritique
tests:
- folstein
- test de l’horloge
- empan
- série de 7 dans le Folstein (soustraction)
nomme les repères perceptuels utiles à l’évaluation*
- évaluation de la douleur
- troubles perceptifs:
- hallucinations: percevoir des choses sans aucun stimulus (auditive, gustative, olfactive, somatiques, tactiles, visuelles)
- illusions: mauvaise interprétation d’un stimulus
- dépersonnalisation: altération de la perception de soi-même, se sent à l’extérieur de soi
- déréalisation: altération de la perception du monde environnent
nomme les repères d’ordre mental utiles à l’évaluation mentale*
les opérations de la pensée:
- processus: logique, approprié, structuré, cohérent
- contenu: préoccupations, rumination, découragement, désespoir, dévalorisation, obsessions, compulsions, phobies, méfiance, pauvre (ne parle pas beaucoup, répond par oui et par non)
- idées délirantes
quelles sont les idées délirantes
modification du raisonnement qui amène à une conviction fausse (erreur de jugement logique)
- délire de persécution: se sentir surveillé, persécuté
- délire de référence: croire que la TV envoie des messages personnels
- délire de grandeur: surestimation de ses capacités
- délire de contrôle ou influence: croire d’être contrôlé par une force ou qu’on peut lire dans ses pensées
- délire somatique: idées délirantes sur le fonctionnement de son corps
- délire nihiliste: pense qu’une catastrophe va se produire. le client se fait des idées fausses sur lui même en niant leur existence. Ex: je n’ai plus de coeur
- délire mystique: idée délirante sur la religion
nomme les repères émotifs utiles à l’évaluation mentale*
- humeur:
- euthymique (tranquillité d’esprit)
- euphorique
- labile (passe facilement et rapidement d’un extrême à l’autre)
-colère, triste, anxieuse, irritable - affect: comportement associé à l’état émotif, expression des émotions.
- mobilisable ou non (réagit lorsque interpellé)
- concordant ou inapproprié
- émoussé (peu d’expression)
- plat (aucune expression)
- labile
nomme les repères relationnels (psychosociaux et environnementaux), utiles à l’évaluation mentale*
- évaluation de la situation relationnelle
- ressources familiales ou sociales qui peuvent l’aider
- quelles sont les stratégies d’adaptation utilisées lors de situations stressantes
comment établir le lien thérapeutique en vue d’une entrevue avec le patient
- se nommer et décrire son rôle
- adapter l’entretien en utilisant des attitudes et techniques de communication appropriées
- mettre à l’aise
- préciser les objectifs
- préciser la durée de l’entretien
- position 45-90°
explique le déroulement de l’entrevue
- inspection (observer objectivement et interpréter ce qui est dit)
- apparence: expression faciale, contact visuel, attitude
- comportement: activité motrice, mouvement
- langage: débit, vocabulaire
- état émotionnel: humeur/affect
- opération de la pensée - débuter par des questions d’ordre général (repères physiologiques) car cela facilite la confiance
- questions plus spécifiques sur les autres repères
- approfondir les difficultés présentes ou potentielles (histoire):
- raison de consultation/problèmes de santé actuels
- histoire familiale
- environnement social et physique
- symptômes
- atcd personnels et familiaux - clarifier les attentes, déterminer les besoins
- évaluer l’urgence psychiatrique:
- risques potentiels (somatiques, psychiques, ou socio-affectifs)
- dangerosité potentielle
- dangers pour la personne et son entourage - planifier les soins:
- faire des hypothèses de problèmes, d’objectifs et d’interventions prioritaires - valider la compréhension et informer le patient de son plan de soins
- conclusion
comment terminer l’entrevue
- demander si elle souhaite ajouter qqch, des questions ou demandes, des attentes
- offrir notre disponibilité
- expliqué le suivi et la suite des choses
- notes au dossiers et communiquer avec l’équipe interdisciplinaire, PTI
nomme les consignes générales de l’évaluation de l’état mental
- consacrer assez de temps
- donner des consignes claires sur le but et le déroulement de l’évaluation
- préciser à quel période on fait référence lorsqu’on pose des questions
- utiliser toutes les sources d’information
- si on hésite entre 2 cotations, on utilise la plus sévère
- les cotations extrêmes doivent être réservées aux observations inhabituelles
- garder le contrôle de l’entrevue et revenir au questionnaire
- donner une cotation anormale lorsque le client indique un changement majeur même si le résultat se trouve dans les limites de la normales (ex dormait 13h et maintenant dort 8h)
comment procéder au dépistage des risques*
- évaluer les risques suicidaires
- les risques de violence:
- ATCD de violence
- intoxication
- menace verbale ou physique
- impulsivité marquée - dépistage de drogue de rue si abus de substance
distingue le discours circonstancié et le discours tangentiel
cisrconstancié: nombreux détails superflus qui met beaucoup de temps à arriver au but.
tangentiel: s’éloigne de plus en plus du sujet et n’y répond jamais
distingue les termes rumination, obsessions, délires
- rumination: pensées répétitives et incontrolable à propos d’un sujet souvent négatif. Occupe l’esprit de façon obsédante
- obsessions: une idée, une pensée ou une impulsion récurrente et persistante qui entraine une augmentation de l’anxiété
- délires: conviction erronée, irréductibles par la logique et non conforme aux croyances du groupe
comment évaluer l’aptitude à consentir ou à refuser un traitement
- comprenez vous la nature de la maladie
- comprend-elle la nature du traitement
- comprend-elle les risques associés au traitement
- la personne comprend-elle les risques si elle ne reçoit pas les traitements
- la maladie de la personne affecte-elle sa capacité à consentir
distingue les termes illusions et hallucinations
illusion: perception erronée ou déformée d’un objet réel
hallucination: voir des choses qui ne sont pas réelles/présentes
quel est le terme qui signifie “être en mesure d’évaluer la situation correctement”
le jugement
ton patient consomme 4g de cocaïne par jour et ne prend plus sa médication car il se dit guéri et ne voit pas l’utilité de cette médication. Qu’est-ce qu’il n’a pas au niveau du fonctionnement mental repère cognitif
il ne fait pas preuve d’autocritique
ton patient te mentionne qu’il ne sait pas s’il poursuivra son tx puisqu’il ne voit pas la lumière au bout du tunnel. Il ajoute qu’il ne sera pas là pour voir grandir ses enfants. Quels sont les éléments que tu vas évaluer
évaluer le risque suicidaire
quelles sont les conditions qui restreignent le droit à la confidentialité
- moins de 14 ans
- client inapte ou décédé
- un acte de violence ou un suicide pourrait être évité par la divulgation de renseignements au dossier
- ordre du tribunal
quelles sont les exceptions au droit au consentement et au refus des soins
- la vie de la personne est en danger et elle ne peut donner son consentement
- soins d’urgence ou soins d’hygiène pour un client inapte
- mesure de contrôle dans un contexte d’intervention non planifié (code blanc)
quelles sont les conditions qui rendent le consentement valide
- mentalement et physiquement apte à prendre une décision
- être âgée de plus de 14 ans
- donné de façon volontaire sans aucune incitation utilisée
- doit bien comprendre les procédures, les risques et les bienfaits du traitements auquel elle consent
- selon le code de déonto: l’inf doit fournir toute l’information nécessaire pour comprendre les soins.
quelles sont les questions permettant d’évaluer l’aptitude à consentir
- comprend-elle la nature de la maladie
- comprend-elle la nature et le but du traitement
- comprend-elle les risques r/a traitement
- les risques si elle refuse le tx
- sa maladie affecte-elle sa capacité à consentir
qu’est-ce que la loi P-38
la loi sur la protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elle-même ou pour autrui
- la dangerosité est le seul critère d’application de la loi. La personne peut être en psychose, mais ne représenter aucun danger imminent, donc on peut rien faire.
- ce qui est problématique, c’est qu’elle ne définie pas ce qui est dangereux et ce qui ne l’est pas. Tout repose sur le jugement de l’intervenant
- permet de garder une personne dans un établissement contre sa volonté et permet d’amener un client contre son gré dans un établissement de santé
- on garde la personne à l’hôpital, mais on ne peut l’obliger à recevoir des traitements à moins d’avoir une ordonnance de traitement de la cours.
quels sont les trois types de garde
- garde préventive
- garde provisoire
- garde en établissement
qu’est-ce que la garde préventive
- peut être imposer par tout médecin qui juge que l’état mental de la personne représente un danger grave et immédiat pour elle ou pour autrui
- pas besoin de consentement, de l’autorisation du tribunal ni d’examen psychiatrique
- 72h max, si on veut le garder plus longtemps, le médecin doit obtenir une autorisation de garde provisoire pour le soumettre à un examen psychiatrique, et ce avant l’expiration du délai (la fds et jour férié ne comptent pas dans le 72h)
- on ne peut obliger le client à subir un examen psychiatrique sauf si on obtient son consentement
qu’est-ce que la garde provisoire
Elle est demandé au tribunal par une personne intéressée ou par un médecin suite à la garde préventive malgré l’absence de consentement.
- si le juge accepte: garde pour une durée maximum de 96h
- doit subir une évaluation psychiatrique, deux examens par 2 psychiatres dans un délai maximum de 24h de l’ordonnance pour le premier, puis le 2e doit être fait 24h max après le 1er
- intervention de la police si le patient est à la maison
qu’est-ce que la garde en établissement/garde autorisée
La garde en établissement est autorisée par le juge suite à l’évaluation psychiatrique faite lors de la garde provisoire (2 évaluations différentes qui confirment la dangerosité du client à l’égard du client ou d’autrui).
Peu importe la durée fixée par le tribunal, le client doit être réévalué au moyen d’un examen psychiatrique au 21e jour et par la suite tous les 3 mois pour renouveler la garde
*pas obligé de consentir aux soins
*ordonnée en cas de dangerosité où la garde est nécessaire
qu’est-ce qu’une ordonnance de sauvegarde
Une ordonnance prononcée par un juge pour protéger les intérêts des parties (patient et hôpital) qui nous permet de garder et soigner le patient contre son gré
Cette ordonnance concerne les extrêmes urgences seulement, car on ne peut attendre l’ordonnance d’autorisation de soins (OAS) car la vie du patient est en danger imminent: obligation de le traiter STAT et de le soigner contre son gré
ex: ativan lors de catatonie, hyperalimentation pour anorexie en fin de vie
quels sont les droits du client mis sous garde
- il a le droit d’être informé du lieu où il est gardé
- du motif de la garde
- de son droit de communiquer avec ses proches ou un avocat
- la demande d’évaluation psychiatrique ou de garde doit être signifié au moins 2 jours avant de présenter le cas au tribunal
- toute communication est permis en toute confidentialité entre le patient et la personne de son choix, mais le médecin peut lui interdire ou restreindre certaines communications (téléphone, ordi, réseaux sociaux) mais cela est temporaire et doit être formulé par écrit, motivée et remise à la personne sous garde et mise à son dossier
*cela ne s’applique pas pour la communication avec un représentant juridique - le patient a droit de contester la garde et peut se déplacer au palais de justice
comment définir la dangerosité
- faits, explications, motifs rapportés par des tiers (police, famille)
- les observations du médecin: délires, hallucinations, manie
Mme Rioux est en garde préventive. Est-elle obligé de se soumettre à une évaluation psychiatrique
non, pour obliger une évaluation psychiatrique, une demande doit être fait au tribunal afin d’établir une garde provisoire.
combien de temps maximum peut durer la garde préventive?
72h maximum, à moins que le délais expire la fds ou lors d’un jour férié
madame Rioux a été mise en garde préventive jeudi à 18h. Quand se terminera cette garde
la garde se terminerait le lundi, car aucune garde n’est levé la fds et les jours fériés
dans quel cas une personne sous garde provisoire n’aura besoin que d’une seule évaluation psychiatrique?
Si la première évaluation conclut que la garde n’est plus nécessaire, elle prend fin automatiquement
vrai ou faux: seul un psychiatre peut faire une demande de garde provisoire
faux, elle peut être faite par la famille, un ami ou par un intervenant, ainsi qu’un médecin suite à la garde préventive
vrai ou faux: une personne en garde en établissement ne peut refuser le traitement prescrit par le psychiatre
faux, il a le droit de refuser à moins que le juge aie ordonné une ordonnance de traitement.
vrai ou faux: une évaluation psychiatrique est nécessaire pour mettre une personne en garde préventive
faux. L’évaluation psychiatrique est ordonnée lorsqu’une garde provisoire est ordonnée par un juge.
vrai ou faux: un patient peut être admis en garde provisoire sans avoir été en garde préventive
vrai, la personne peut être amené à l’hopital par un policier suite à la demande faite par un proche ou un intervenant
vrai ou faux: dès que la garde est levée, le patient obtient automatique son congé de l’hopital
faux, le patient a le choix de rester ou non
vrai ou faux: une personne en garde en établissement peut avoir des sorties temporaires prescrites par le psychiatre pour aller fumer
vrai
vrai ou faux: la garde préventive a été demandée par l’urgentologue à 15h samedi. Comme il n’y a pas de psychiatre la fin de semaine, la garde débutera le lundi et se poursuivra jusqu’à jeudi 15h
faux, la présence d’un psychiatre n’est pas obligatoire car aucune évaluation psychiatrique est nécessaire lors de la garde préventive.
Madame Bélanger est en manie sévère et elle appelle sa soeur à toutes les heures. Le médecin a décidé de restreindre les appels téléphoniques à 3 par jour. Est-ce légal?
oui c’est légal. L’interdiction doit toutefois être temporaire et doit être formulée par écrit, motivée, et remise à la personne et mise au dossier.
Mme Bélanger réclame le téléphone pour parler à son avocat. Elle a déjà utilisé ses trois appels, que faire?
lui permettre de téléphoner à son représentant car ces appels ne peuvent être restreintes, c’est son droit.
vrai ou faux: vous pouvez écouter la conversation téléphonique de votre patiente pour l’évaluer
faux, elle a droit à la confidentialité
quels sont les 3 types de régime de protection
- conseiller au majeur: vise les personnes généralement apte, est possiblement temporaire, et concerne seulement la gestion des biens, sans implication du curateur public. Ex: besoin d’aide dans la gestion des transactions complexes
- tutelle au majeur: vise les personnes partiellement inapte, possiblement temporaire, concerne la personne ou ses biens, géré par un représentant légal, implication du curateur public. Ex: hospitalisation et ne peut s’occuper de ses biens
- curatelle au majeur: vise les personnes totalement inaptes, est permanente, concerne la personne ou ses biens, la personne nommé est un représentant légal et implication du curateur public. Ex: incapable de prendre soins d’elle et de gérer ses biens.
lequel est faux parmi ces éléments:
a) l’inaptitude d’une personne et son besoin de protection doivent obligatoirement être démontrés par des preuves médicales et psychosociales
b) le majeur concerné peut contester la demande de protection même s’il est en état de psychose
c) aucun frais n’est relié è une demande de régime de protection
C
une personne est hospitalisée en psychiatrie et n’est plus en mesure de s’occuper de ses affaires pour un certains temps. Son inaptitude est partielle et temporaire. Quel régime de protection sera le plus approprié?
la tutelle au majeur
quelles sont les réactions extrapyramidales causées par les antipsychotique de première génération?
- dystonie: mouvements anormaux du visage, de la mâchoire, du cou, de la langue, des yeux, rigidité de la nuque, spasmes, dysarthries, torsion du cou, cris oculogyre (révulsion de yeux). Arrive dans les premiers jours de traitements
- pseudo-parkinsonisme: masque facial, akinésie, bradykinésie (ralentissement des mouvements volontaires), rigidité des membres, sialorrhée, tremblements. Arrive dans la première semaine
traité par anticholinergique (cogentin) et parfois des antihistaminique
- acathisie: mouvements incessants et involontaires, qui obligent la personne à changer fréquemment de position et à bouger sans arrêt. Survient dans les premières semaines
- dyskinésies tardives: grimaces spastiques, mâchonnements, bercements, mouvements choréeiforme (contractions cloniques involontaires). Arrive plusieurs semaines après le début de la médication
comment évaluer les réactions extrapyramidales
- demander de tendre les bras et évaluer la pronation, supination, chercher un ralentissement des mouvements
- évaluer l’expression du visage, chercher la présence de grimaces
- test de la spirale: tourner les poignets pour dépister la présence de tremblement
- demander de signer leur nom
- observer la démarche pour chercher la rigidité musculaire
- test de la roue dentée: prendre le bras, laisser le bras mou et laisser le bras tomber sans le dire. Si rigidité articulaire, le bras va tomber de façon saccadée. Si c’est le cas, écrire test de la roue dentée positif unilatéral/bilatéral