Examen 1 Flashcards

1
Q

Selon les récentes études, quel a été l’effet de la légalisation de l’AMM sur le taux de SPC

A

Le taux de SPC a augmenté suivant l’AMM, puisque la distinction entre les deux était plus facilement faite par le public.

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2
Q

Comment se nomme la Commission de 2012 ayant pour sujet l’entrée de l’AMM au Qc

A

La Commission sur le mourir en dignité

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3
Q

Quelle est la date d’entrée en vigueur de l’AMM au Québec

A

Décembre 2015

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4
Q

Pourquoi disons-nous que le Jugement Carter était un processus juridique ?

A

Car on se penche sur le principe que : toute personne qui souffre de manière insupportable devrait avoir droit de recevoir de l’aide pour mettre fin à ses jours si elle le souhaite –> Loi 2016 : loi modifiant le Code criminel sur l’AMM a/n fédéral

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5
Q

Vrai ou faux :

L’AMM est une juridiction fédérale

A

Faux, c’est provincial

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6
Q

Quelle est la première forme d’AMM québécoise ? Qui pouvait l’administrer ? Quel était le principal critère ?

A

2014 : Soins de fin de vie
Seuls les médecins pouvaient l’administrer
Critère : souffrance réfractaires intolérables, spécifiquement pour les personnes EN FIN DE VIE

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7
Q

Comment se nomme le projet de loi autorisant les IPS a pouvoir administrer l’AMM

A

La loi 11 (juin 2023)

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8
Q

La loi 11 sépare les demandes d’AMM selon 2 types. Quels sont-ils ? Expliquez en quoi ils consistent.

A

Demandes contemporaines : demande d’AMM afin de la recevoir actuellement
Demandes anticipées : demande d’AMM fait pour une administration ultérieure dans les cas où la personne sera inapte à consentir aux soins dans un futur (ex : TNCM)

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9
Q

Quels sont les critères d’admissibilité des demandes contemporaines d’AMM

A

Doit être assuré par la RAMQ
Maladie grave et incurable ou handicap grave
Déclin avancé et irréversible
Souffrances insupportables

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10
Q

Vrai ou faux :

La présence d’un trouble mental seul est admissible à l’AMM

A

Faux, s’il est seul, il est inadmissible

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11
Q

Quelles sont les conditions d’admissibilité supplémentaires (aux demandes contemporaines) pour les demandes d’AMM anticipées

A
  • majeur
  • apte à consentir au moment de la demande
  • atteint d’une maladie grave et incurable qui mènera à l’incapacité de consentir aux soins
  • doit, au moment de l’administration, objectivement souffrir des conditions décrites lors de la demande 2˚à sa maladie
  • doit souffrir physiquement ou psychologiquement dans des conditions qui ne sont pas jugées tolérables
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12
Q

Vrai ou faux :

Le terme AMM est également utilisé dans les autres provinces canadiennes ?

A

Faux, ils utilisent les termes d’euthanasie ou de suicide assisté

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13
Q

Vrai ou faux :

Il n’existe toujours pas d’uniformisation de l’AMM entre le Qc et le reste du Canada

A

Vrai

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14
Q

Nommez les 3 mesures de sauvegarde à l’AMM qui ont influencées le Qc

A
  1. Délai de 10 jours entre la demande et l’administration de l’AMM (mais peut être non-respectée selon le jugement du clinicien)
  2. 2 témoins lors de la signature du demandeur
  3. Délai de 90 jours entre la demande et l’administration de l’AMM pour les cas où la mort naturelle n’est pas prévisible (pas de pronostic rapproché)
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15
Q

Le 17 mars 2024, la loi québécoise sur l’AMM se verra changée. Quel est ce changement ?

A

Les cas de santé mentale SEULS seront acceptés comme pathologie admissible pour l’AMM

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16
Q

Vrai ou faux :

Si un patient mentionne à une infirmière qu’il aimerait l’AMM, celle-ci n’est pas dans l’obligation de le transmettre au médecin. Seul une demande au médecin est value comme “vraie”

A

Faux. Aucun professionnel ne peut ignorer une demande d’AMM.

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17
Q

Décrivez les étapes de demande de l’AMM au Qc

A
  1. Demande verbale formelle (peut être fait à tout professionnel de la santé)
  2. Formulaire signé (devant 2 témoins indépendants + professionnel de la santé)
  3. Évaluation par le md de la demande selon l’état de santé, répétition de la demande au médecin lors de l’entretien
  4. Évaluation clinique médicale de l’aptitude de consentir à la demande selon 4 habiletés cognitives
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18
Q

Q
Vrai ou faux :

La personne ayant formulé une demande officielle d’AMM peut retirer en tout temps et tout moyen sa demande, ou reporter la date de l’administration

A

Vrai

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19
Q

Quelles sont les 4 habiletés cognitives que le médecin ou l’IPS devra évaluer afin de valider l’aptitude du demandeur de l’AMM ?

A
  1. Compréhension de l’AMM selon les 5 critères de la Nouvelle-Écosse
  2. L’appréciation de l’information sur le plan personnel (est-ce que la personne est capable de s’approprier l’information sur le plan personnel/se l’approprier à sa propre situation/faire preuve d’autocritique)
  3. Raisonnement sur l’information (est-elle capable de comparer les risques et les bénéfices, discuter les différentes options)
  4. Capacité d’exprimer son choix (expression constante et raisonné de son choix)
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20
Q

Quels sont les critères de la Nouvelle-Écosse concernant la compréhension de la personne sur l’AMM (5)

A

Critères de la Nouvelle-Écosse :
1. Compréhension du but et de la nature de l’AMM
2. Compréhension des avantages et des risques de l’AMM, incluant les alternatives
3. Compréhension des risques et des conséquences de ne PAS procéder à l’AMM
4. La capacité de la maladie à affecter la compréhension de la personne
5. Compréhension de sa maladie

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21
Q

Q
Vrai ou faux :

Depuis 2022, il est possible de consentir préalablement dans le formulaire d’AMM que si le receveur n’est plus apte à consentir au moment de l’administration, le médecin peut toujours administrer l’AMM sans son consentement sur le moment

A

vrai

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22
Q

Expliquez le déroulement de l’administration de l’AMM (3 étapes)

A
  1. Sédation/anxiolyse (Versed)
  2. Coma artificiel (Propofol)
  3. Arrêt cardiorespiratoire –> décès
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23
Q

Quels sont les expériences des proches suivants l’AMM

A

Positif :
- Diminution de l’agonie
- Augmentation de la sensation de contrôle
- Respect des souhaits et de l’honneur de la vie
- Donne un sens à la mort

Négatif :
- Culpabilité des proches
- Besoins réprimées face à ce que eux auraient eux besoin comme processus de deuil

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24
Q

Combien de temps possède le médecin suite à l’administration de l’AMM pour le signaler au Conseil

A

< 10 jours

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25
Q

Vrai ou faux :

l’âge avancé et les problèmes liés au vieillissement constituent une condition d’admission à l’AMM

A

faux

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26
Q

Vrai ou faux :

Les perceptions par rapport à la sédation palliative sont généralement plus positives lorsque celle-ci n’entraîne pas l’absence complète de conscience.

A

vrai

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27
Q

Vrai ou faux :

Au Québec, un médecin peut prescrire ou fournir une substance à une personne, à la demande de celle-ci, afin qu’elle se l’administre et cause ainsi sa mort.

A

Faux. Au Québec, l’aide médicale à mourir est un « soin » médicament requis par l’état de santé d’une personne, qui est de juridiction provinciale et dont l’administration doit être réalisée par un professionnel compétent.

28
Q

Vrai ou faux :

Le critère de fin de vie n’est plus applicable à l’AMM, à la suite du jugement rendu dans l’affaire Gladu-Truchon, le rendant obsolète sur la base du jugement Carter qui ne faisait pas une telle “discrimination”.

A

Vrai

29
Q

Vrai ou faux :

Dans l’AMM, un trouble mental autre qu’un TNCM est considéré acceptable pour recevoir l’AMM

A

Faux. Un trouble mental autre qu’un trouble neurocognitif majeur n’est pas considéré comme une maladie pouvant bénéficier de l’AMM au Québec.

*légalisation en mars 2024 au Qc !!

30
Q

Vrai ou faux :

Il est difficile pour les proches de l’AMM de retrouver du support suite à la procédure en raison du stigma entourant l’AMM et la mort.

A

Vrai. Si pour la plupart, l’expérience est positive et constitue une mort douce, dans des conditions largement préférables à celles attendues par la mort naturelle, certains trouvent toutefois difficile de recevoir du support ou de s’exprimer après le décès, en raison du stigma entourant l’aide médicale à mourir, ou par peur d’être stigmatisé.

31
Q

Nommez les enjeux découlant de la sécurisation culturelle auxquels les les professionnels de la santé sont exposés

A
  • Melting-pot : mélanger et réduire toutes les différentes cultures autochtones à une seule et même culture
  • Colour-blindness : faire abstraction de la diversité culturelle autour de soi
  • Ignorer ses propres préjugés entourant la diversité culturelle
  • Maintenir l’accent biomédical auprès de ces populations
32
Q

Qu’est-ce que la sécurisation culturelle

A

Reconnaitre et inclure les besoins culturels en matière de santé des communautés marginalisées en apportant des changements à nos pratiques afin qu’ils puissent maintenir leur identité culturelle dans le réseau de santé. Il s’agit de comprendre le déséquilibre de pouvoir lorsqu’ils se retrouvent dans le réseau de santé.

33
Q

Donnez des exemples que vous pourriez faire afin de permettre la sécurisation culturelle dans le réseau de santé

A
  • Permettre au malade un espace pour accueillir un grand nombre de personne durant son séjour (car les autochtones accordent un place importante à la communauté et à la famille)
  • Assurer des ressources permettant les soins à domicile (l’importance de l’environnement familier et de la communauté pour ces populations)
  • Combiner la médecine traditionnelle avec la médecine moderne ou accepter le recours aux guérisseurs traditionnels afin de mieux satisfaire leurs besoins en terme de soins
  • Rendre plus accessible l’accès aux ressources spirituelles et l’intégration des rites et rituelles (les cérémonies rituelles permettent le passage serein au moment de la mort)
34
Q

Quelles sont les conditions essentielles afin de permettre des SAD palliatifs

A
  1. La compatibilité des lieux avec le matériel nécessaire pour les SAD palliatifs
  2. Un niveau de dépendance de la personne malade est adéquat pour une gestion possible à domicile
  3. La nature et la sévérité des sxs peut être gérée à domicile si il y a présence de ;
    *Une bonne implication des proches
    *L’accès à des services spécialisés aux SAD palliatifs
35
Q

Vrai ou faux :

La prestation de soins spécialisés à domicile augmente considérablement la probabilité de décès à domicile et diminue la détresse associée aux symptômes et les interventions.

A

vrai

36
Q

Vrai ou faux :

Les SAD influencent à la hausse le temps d’hospitalisation au cours de la dernière année de vie et le nombre d’interventions visant à sauver la vie.

A

Faux. Ils influencent à la baisse le temps d’hospitalisation et les interventions servant à sauver la vie au cours de la dernière année de vie

37
Q

Vrai ou faux :

Les SAD offrent également un répit, particulièrement pour les proches, par la prise en charge certains aspects techniques

A

vrai

38
Q

Vrai ou faux :

Les SAD empêchent les patients et à leur proche de se concentrer sur les aspects de la vie ‘’normale’’ et de préparer la mort, puisqu’il y a toujours quelqu’un a domicile.

A

Faux. Au contraire, ils permettent aux proches et au patient de se concentrer sur les aspects normaux de leur vie en étant à domicile, et ce, tout en préparant leur mort.

39
Q

Vrai ou faux :

Au Québec, seulement 25% des gens décèdent à domicile

A

Faux. Ce n’est que 11%, soit le plus bas taux en Occident.

40
Q

Quels sont les buts des soins palliatifs à domicile

A
  1. gérer les sx
  2. soutenir les proches aidants
  3. permettre la prise de décision active de la personne et de ses proches
41
Q

Quelles sont les conséquences (+) des soins palliatifs à domicile

A
  • Augmente la probabilité de décès à domicile
  • Diminue la détresse r/à interventions et aux sxs chez le patient et les proches
  • Diminue le temps d’hospitalisation lors de la dernière année de vie
  • Diminue le nombre d’intervention médicale visant à sauver la vie
  • Offre un moment de répit pour les proches
  • Permet de répondre aux questionnements
  • Permet au patient et ses proches de vivre “normalement”
42
Q

Quel est le principe des communautés bienveillantes

A

modèle de santé qui favorise l’aide de la communauté envers le malade lorsque celui-ci est en soins palliatifs. C’est recevoir l’aide de sa communauté, et ne pas mourir seul.

43
Q

Nommez les 4 sphères de la vie du proche aidant qui peuvent être touchées en contexte de SP

A
  • psychologique
  • physique
  • social
  • financier
44
Q

Nommez des exemples de répercussions sur le plan sociale que la proche aidance pourrait avoir sur un proche aidant

A
  • diminution du temps libre (repos, activités significatives)
  • affaissement de son réseau de soutien
  • isolement
45
Q

Nommez des exemples de répercussions sur le plan financier que la proche aidance pourrait avoir sur un proche aidant

A
  • stress financier (soutien d’aide ne couvre pas toutes les dépenses)
  • diminution du revenu (doit prendre congé du travail)
  • augmentation des dépenses (matériel)
46
Q

Nommez des exemples de répercussions sur le plan physique que la proche aidance pourrait avoir sur un proche aidant

A
  • fatigue profonde
  • déclin/aggravation de l’état de santé
  • ## altération du sommeil
47
Q

Nommez des exemples de répercussions sur le plan psychologique que la proche aidance pourrait avoir sur un proche aidant

A
  • épuisement
  • tristesse
  • impuissance
  • dégradation de l’état mental
  • anxiété
48
Q

En tant qu’infirmières, comment pourrions-nous intervenir auprès d’un proche aidant afin de diminuer le risque des répercussions psychologiques qu’a la proche aidance sur lui ?

A

informer les proches des sxs et aux manifestations de fin de vie a voir –> diminue le sentiment d’impuissance

49
Q

Nommez les besoins des proches aidants en contexte de soins palliatifs

A

besoin d’information p/r la maladie (sxs de mort imminente, gestion des sxs)
besoin d’information p/r le soutien (organisationnel, financier, psychologique, post mortem)

50
Q

L’énoncé suivant est-il vrai ou faux?
Bien que plusieurs souhaite une fin de vie et un décès à domicile, le niveau de soins requis par l’état de santé conduit souvent à des admissions à l’hôpital en toute fin de vie, et ce même pour ceux qui reçoivent des soins spécialisés à domicile.

A

vrai

51
Q

Les énoncés suivants portent sur le recours à la télémédecine dans le contextes de soins palliatifs et de fin de vie. Lesquels y font référence avec justesse?

a) peut causer des difficultés liées à l’opération des interfaces
b) soulève des enjeux de confidentialité p/r à la protection des données
c) constitue un remplacement intéressant aux services offerts et permet un accès accru aux services spécialisés
d) soulève des enjeux d’équité relative à la capacité d’utilisation pour les personnes en régions éloignées

A

a), b)

La télémédecine peut constituer une addition intéressante aux services offerts et augmente l’accessibilité et la disponibilité à des soins spécialisés, dans la mesure où elle ne remplace pas ces services, mais les complémente, et ce de manière plus marquée pour les personnes vivant en région éloignée. La question de l’équité concerne plutôt la capacité d’utilisation en regard des technologies et du matériel requis, du niveau de littératie, de la présence de déficit cognitif ou sensorielle et de manière générale, de la réticence à l’utilisation de tels services

52
Q

Nommez les interventions susceptibles de faire écho aux valeurs ou conceptions traditionnelles autochtones?

a) faire appel à un interpret
b) favoriser l’accès aux ainés
c) ne pas proposer des interventions biomédicales, mais plutôt faire appel à des guérisseurs et user la médecine traditionnelle seulement
d) disposer des lieux pour accueillir plusieurs personnes (communauté et famille)

A

a), b), d)

Les guérisseurs et la médecine traditionnelle sont valorisés pour plusieurs, ainsi, une ouverture par rapport à la combinaison de la médecine moderne et traditionnelle, l’accès ou la collaboration avec les guérisseurs traditionnels sont susceptibles de rencontrer leurs besoins de manière plus satisfaisante., plutôt que le rejet complet de la biomédecine moderne. Par ailleurs, l’interprète peut, dans certains cas, assurer une médiation culturelle.

53
Q

Nommez 3 comportements qui peuvent conduire à une situation susceptible de compromettre la sécurité culturelle

A

Non-prise en compte de la diversité culturelle (Colour– blindness)
Absence de prise compte de la diversité culturelle
Ignorance de ses propres préjuger
Melting-pot
Réduction des différentes cultures au sein des nombreuses communautés autochtones à une seule et même culture
Réduction des différentes cultures à une seule et même culture
Mettre l’accent sur les aspects biomédicales

54
Q

Q
L’énoncé suivant est-il vrai ou faux?
Pour les proches aidants, le besoin de soutien est accru dans la période de fin de vie terminale, et diminue rapidement à la suite du décès.

A

Faux. Le besoin de soutien peut également être accru après le décès, plus particulièrement dans le contexte où le décès survient à domicile; certains peuvent ressentir un grand vide par l’absence de leur proche décupler par la relation étroite entretenu dans le contexte de proche aidance.

55
Q

Vrai ou faux :

Même si la proche aidance peut imposer un fardeau et de l’épuisement, elle constitue une expérience valorisante pour la plupart.

A

vrai

56
Q

Parmi les énoncés suivants, lesquels décrivent avec justesse les avantages associées à l’accès soins spécialisés à domicile ou dans la communauté?

a) diminue la détresse associée aux sxs
b) augmentation du nb de prestations visants à sauver la vie
c) diminution de temps d’hospitalisation dans la dernière année de vie
d) permet un répit aux proches
e) permet aux patients et aux proches de se concentrer sur les aspects “normaux” de la vie
f) enlève la charge de devoir planifier la mort
g) augmente la probabilité de décès à domicile

A

a), c), d), e), g)

La prestation de soins spécialisés à domicile augmente considérablement la probabilité de décès à domicile et diminue la détresse associée aux symptômes et les interventions. Au Canada, les personnes ayant reçu des soins à domicile spécialisés plutôt qu’usuels avaient 2,5 fois plus de chance de décéder à la maison. De tels services influencent aussi à la baisse le temps d’hospitalisation au cours de la dernière année de vie et le nombre d’interventions visant à sauver la vie.
Ils offre également un répit, particulièrement pour les proches, par la prise en charge certains aspects techniques, liés à la planification ou à l’évaluation et permet de répondre au besoin d’informations et ultimement permet aux patients et à leur proche de se concentrer sur les aspects de la vie ‘’normale’’ et de préparer la mort.

57
Q

Parmi les énoncé suivants, lesquels doivent être considérer lorsque que la fin de vie ou le décès à domicile sont souhaités?

a) la disponibilité et l’implication des proches
b) la nature et la sévérité des sxs
c) l’éligibilité à l’aide financière
d) la disponibilité et accès aux services spécialisés à domicile ou dans la communauté
e) le niveau de dépendance de la personne malade
f) l’accès aux technologies et la possibilité d’un suivi entièrement fait via télémédecine
g) la compatibilité des lieux avec le matériel requis pour la prestation des soins

A

a), b), d), e), g)

De nombreux aspects doivent être considérés pour rendre possible la réalisation de la fin de vie et du décès à domicile, notamment la compatibilité des lieux avec le matériel requis pour la prestation des soins, le niveau de dépendance de la personne malade et la nature et la sévérité des symptômes à gérer, mais cette possibilité est largement dépendante de deux aspects clefs, soit l’implication accrue des proches et la disponibilité et l’accès à des services spécialisés à domicile ou dans la communauté, dispensés par les acteurs du réseau de la santé ou programmes et organismes indépendants

58
Q

L’énoncé suivant est-il vrai ou faux?
Les soins à domicile et communautaires, dans le contexte de soins palliatifs et de fin de vie, concernent plus particulièrement la gestion de symptômes et le soutien aux proches aidants, et permettent la participation active des personnes malades et de leurs proches dans la prise de décisions.

A

vrai

59
Q

quel est le bénéfice de la zoothérapie en SP

A

diminuer l’anxiété
rendre l’environnement plus normal et moins médical
permet des sujets de conversation autre que sur la situation

60
Q

quel est le bénéfice de la robotique en SP

A

permet d’accomplir différentes tâches

61
Q

quel est le bénéfice de la thérapie par l’art/musique en SP

A

permet d’exprimer ses émotions
permet la socialisation

62
Q

quel est le bénéfice des doulas en SP

A

permet un support social et spirituel –> amélioration du bien-être
meilleure qualité de fin de vie

63
Q

quel est le bénéfice de la télémédecine en SP

A

permet à la personne de ne pas avoir à se déplacer

64
Q

quel est le bénéfice de la réalité virtuelle en SP

A

permet de faire des activités –> + bien-être

65
Q
A