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Soins palliatifs > cours 3 : représentation et expérience entourant le deuil, la mort et la maladie > Flashcards

cours 3 : représentation et expérience entourant le deuil, la mort et la maladie Flashcards

1
Q

Pourquoi la mort est-elle taboue

A

La mort n’est pas nécessairement naturelle, logique et acceptable. Elle est une échéance incompréhensible, inconnaissable et mystérieuse à la fois

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2
Q

Quels sont les courants ayant marqués l’évolution de la médecine permettant ainsi le développement des soins palliatifs

A
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3
Q

Qu’est-ce qui rend le caractère tragique de la mort?

A

La mort est un paradoxe généré entre la volonté de vivre et d’assouvir un désir d’éternité et celui d’une fin imposée par le principe même d’existence

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4
Q

À quoi fait référence une mauvaise mort selon l’idée du bien mourir (3)

A
  • une mort subite
  • une souffrance prolongée
  • précédée d’une longue période de dépendance
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5
Q

Nommez 3 critères d’une bonne mort selon l’idée du bien mourir (8)

A
  • Contrôle des symptômes et de la douleur (aux plans physique et psychologique)
  • Maintient de la dignité/être perçue comme une personne à part entière
  • Être préparé à la mort et avoir la possibilité de faire ses au revoir
  • Sentiment de complétion (‘’closure’’)
  • Être capable de ‘’donner’’ aux autres/ laisser un héritage
  • Ne pas être un fardeau
  • Être capable de prendre des décisions/avoir la possibilité de choisir le lieu/moment du décès
  • Être entouré
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6
Q

Approfondir les courants qui ont marqué le développement de la médecine et dans lesquels les soins palliatifs se sont développés

Mieux comprendre l’expérience de la maladie chez les personnes atteintes de maladies à issue fatale

Explorer les différentes représentations de la mort, leurs origines ainsi que leurs caractéristiques dans un contexte de postmodernité

Approfondir les logiques soignantes qui sont issues de ces différentes conceptions

Explorer les notions d’individualisation et de déritualisation de la mort

Approfondir les notions de rites et rituels, leurs fonctions, ainsi que les principes qui les sous-tendent

Se familiariser avec les conceptions modernes associées au processus du deuil

Apprécier l’apport des technologies numériques en ce qui a trait à la transformation des pratiques rituels entourant la mort

A
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7
Q

Quelles sont les variables personnelles pouvant influencer l’idée du bien mourir (7)

A
  • la culture
  • valeurs sociétales
  • aspects financiers
  • l’appartenance religieuse ou spirituelle
  • la trajectoire
  • le stade de la maladie
  • l’âge
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8
Q

L’idée du bien mourir est largement _______________
a) subjectif
b) objectif

A

a) subjectif

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9
Q

Nommez les caractéristiques intemporelles de la mort selon une perspective anthropologique

A
  • la mort est tragique
  • la mort est taboue
  • la mort est reconnue et symbolisée
  • La mort conditionnelle
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10
Q

Qu’est-ce que la mort conditionnelle ?

A

Renvoie à la nécessité d’accompagner le défunt dans sa mort. Il peut s’agir :
- d’interdits à respecter au moment venu de la mort et concernant le défunt, les proches
- de respecter les biens ayant appartenu au défunt
- de respecter la manière d’approcher le défunt et la façon qu’il veut que son corps (cadavre) soit pris en charge (enterrer, incinérer)
- respecter de convenances sociales, de gestes, de paroles et d’actions à poser pour protéger le défunt et ses proches et ceux qu’il part rejoindre
- de précautions à prendre pour empêcher la venue de revenants, pour protéger son âme

C’est ainsi que l’on dit que la mort ne s’accepte alors que sous condition, ces conditions qui soulignent comment on prend soin du mort.

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11
Q

À qui appartient cette vision de la mort en deçà ?

A

Jankelevitch : La mort de soi et du corps qui se fait de jour en jour est inévitablement liée à la vie. Cela va avec l’idée que vivre, c’est mourir un peu.

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12
Q

À quelle représentation de l’idée de la mort selon Jankelevitch appartient cet énoncé :

C’est l’entre-deux qui démarque le temps où l’on se meurt du temps, ponctuel et fort temporel qui marque précisément la fin vers l’éternité de l’absence de la vie.

A

La mort sur le moment

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13
Q

À quelle représentation de l’idée de la mort selon Jankelevitch appartient cet énoncé :

Renvoie à l’au- delà marqué par le partir, par l’existence immatérielle. Ce à quoi l’idée de mystère fait écho.

A

La mort au-delà

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14
Q

À quelle représentation de l’idée de la mort selon Jankelevitch appartient cet énoncé :

La mort de soi et du corps qui se fait de jour en jour est inévitablement liée à la vie. Cela va avec l’idée que vivre, c’est mourir un peu.

A

La mort au-deçà

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15
Q

Quelles sont les 3 avenues de mort selon Hintermeyer

A

1) La retarder le plus possible, l’ajourner (acharnement thérapeutique).
2) L’humaniser pour la rendre « moins désagréable » : soins palliatifs et emphase mise sur la présence relationnelle.
3) L’anticiper : décider du temps, du moment, de comment et de quand (euthanasie et suicide assisté).

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16
Q

Complétez la phrase sur la mort dans l’ère postmoderne :

Le soutien devient de plus en plus ___________ et moins livré à Dieu. La responsabilité est celle de __________

A

familial
la famille

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17
Q

Complétez la phrase sur la mort dans l’ère postmoderne :

La mort __________ : si la mort est sans appel, sans au-delà sans pourquoi, qu’elle n’a pas de sens, les gens préfèrent ne pas la vivre, ne pas la savoir… on parle de mort __________

A

inconsciente

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18
Q

À quand remonte le premier concept de deuil

A

Freud, entre 1914-1930

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19
Q

Quelles sont les conceptions reliées au deuil

A
  • conceptions traditionnelles
  • conceptions modernes
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20
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • conception négative du deuil
A

Conception traditionnelle

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21
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • épreuve psychologique; épreuve intrapersonnelle
A

Conception traditionnelle

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22
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • on chercher à résoudre les difficultés associées au deuil afin de préerver le soi; peut avoir succès (deuil normal) ou échec (deuil pathologique)
A

Conception traditionnelle

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23
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • détachement affectif avec le défunt visant à diminuer l’affect négatif r/a deuil –> la perte fait de moins en moins mal avec le temps
A

Conception traditionnelle

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24
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • Je suis écrit initialement par Kobler Ross
A

Conception traditionnelle

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25
Q

Le modèle de deuil de Kobler Ross est un modèle de ________ du deuil selon des _____________

A

Processus
Étapes successives

26
Q

Nommez les 5 étapes du deuil selon Kobler Ross (1969)

A
  1. Deni
  2. Colère
  3. Marchandage
  4. Dépression
  5. Acceptation
27
Q

Quelles sont les critiques entourant le modèle de Kobler Ross

A
  • Ordonne que le deuil est linéaire et selon des étapes
  • Vision passive du deuil (une fois rendue à l’acceptation, le deuil est terminé/résolu)
  • Certains cliniciens prennent ce modèle pour interpréter une fin de vie réussie ou non
28
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • présence d’une variété d’émotions lors du deuil (positives ou négatives)
A

Conception moderne

29
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • accorde une importance à la nature de la relation et au sens de la perte (expériences personnelles)
A

CONCEPTION MODERNE

30
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • processus dynamique, continu et évolutif
A

Conception moderne

31
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

Implique la construction et la reconstruction de la personne face à la perte

A

Conception moderne

32
Q

Quel est le modèle du deuil le plus utilisé pour la conception moderne

A

Modèle d’adaptation au deuil en double processus (Stroebe et Sheutz, 1999)

33
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

Perçoit la souffrance du deuil comme une opportunité de croissance personnelle

A

Conception moderne

34
Q

Dans quel contexte a été développé le modèle de Stroebe Sheutz)

A

Deuil d’une personne proche

35
Q

Dans quel contexte a été développé le modèle de Kobler Ross

A

Auprès des personnes en fin de vie

36
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • Fait appel aux stratégies de coping/adaptation du deuil
A

Conception moderne (modèle de Stroebe Sheutz)

37
Q

Quelle conception du deuil suis-je :

  • Se base sur des assises psychologiques
A

Conception moderne (modèle de Stroebe Sheutz)

38
Q

Quelles sont les 2 catégories de stratégies de coing du modèle de Stroebe et Sheutz

A
  • stratégies axées vers la perte (évitement du changement, maintien du lien avec la personne)
  • stratégies axées vers la restauration (développement de nouveaux rôles, modification de sa vie, création d’une nouvelle réalité, se retourner vers l’avenir, préservation de la relation à travers le changement)
39
Q

Selon Stroebe et Scheutz, quel type de stratégie de coping est le plus dominant au début du processus

A
  • Stratégie axées sur la perte
40
Q

Vrai ou faux : dans le modèle de Stroebe et Scheutz, l’oscillation entre les stratégies de coping et de restauration sont nécessaires pour permettre l’adaptation au deuil

A

Vrai

41
Q

La finalité du modèle de Stroebe et Scheutz est la __________

A

transformation du lien en l’absence physique de la personne

42
Q

Vrai ou faux :

Selon Stroebe et Scheutz, le déni/évitement est une réaction primaire au deuil

A

Faux

43
Q

Nommez des avantages de l’utilisation de la technologie lors des rituels funéraires

A
  • permet d’engager la discussion et d’échanger au sein d’une communauté qui partage le même deuil ou qui vit une expérience similaire, permettant d’engager dans un deuil collectif et affranchi
  • Leur portée plus large que les modes de communication traditionnels peuvent être facilitants dans la mesure où elle soustrait au malaise associé au taboues de la mort.
  • Elles agissent comme véhicule de l’expression des émotions associées au deuil, permettant l’expression explicite du choc et de l’aberration ressentis et des émotions douloureuses qui accompagne la perte
  • L’utilisation des réseaux sociaux, cimetières virtuels et autres permettent d’honorer la mémoire du défunt, par le partage de témoignages, de souvenirs, de récits de vie, par l’ expression de l’admiration et de l’appréciation pour le défunt, la création artistique originale ou dédicacée entre autres.
44
Q

Nommez des désavantages de l’utilisation de la technologie lors des rituels funéraires

A
  • le partage d’informations fausses ou déplacées ou les interventions de ‘’death troll’’ échappent au contrôle des endeuillés et peuvent ternir la mémoire du défunt. Les interventions, de la part des endeuillés, visant à restaurer l’intégrité de l’image du défunt, soit par la correction, la lutte ou l’autocensure, peuvent dévier l’attention portée au deuil et peuvent poser un risque de l’inhiber.
  • La présence virtuelle éternelle du défunt, parfois dynamique et impliquant son intervention au moyen de messages différés par exemple, offre la possibilité d’une communication ‘’immortelle’’ qui s’oppose au caractère irréversible que suppose la mort et sur laquelle s’articule le deuil. Cette immortalité virtuelle confronte également la notion de passage associée aux rites entourant la mort et qui marque la séparation. Un deuil prolongé de manière involontaire pourrait en résulter.
45
Q

Qu’est-ce que la mort consciente

A

La mort actuelle et reconnue est la mort de la conscience. Aussi, le coeur peut encore battre, les poumons s’emplir d’air et le corps être chaud, ce qui permet de qualifier un être de mort est cette mort de la conscience.

46
Q

Selon la biomédecine, quelle est la mort qui est dites “vraie”

A

La mort consciente

47
Q

Parmi les énoncés suivants, lesquels font référence à la transformation des rites entourant la mort de nos jours ?

a) bricolage et éclatement des symboles intégrés aux rites
b) retour des pratiques religieuses traditionnelles
c) souligne le passage du défunt plutot que l’hommage à sa vie
d) contraction, retrait et fusion de certains aspects composant les rites

A

a) et d)

48
Q

Quelles sont les sources principales de souffrance des personnes atteintes de maladies fatales

A
  • l’incapacité à accomplir ses activités de la vie quotidiennes et de remplir ses rôles sociaux
  • être confronté à sa propre finitude
49
Q

L’énoncé suivant est-il vrai ou faux?
Les rituels funéraires constituent une stratégie de transmission d’un mort vers un Ailleurs, une manière de rompre le rapport à l’autre, et de cesser les lien qui ne peuvent exister à l’extérieur de la vie biologique.

A

Faux.
Il s’agit plutôt d’une stratégie de transmission d’un mort vers un Ailleurs, une manière d’élaborer un nouveau rapport à l’autre, à l’extérieur de la vie biologique

50
Q

Selon la biomédecine, la conception du corps est … (2)

A
  • Le fonctionnement organique optimal comme norme de santé
  • Le corps comme planche anatomique et dimension matérielle objective
51
Q

Selon la biomédecine, la santé est … (5)

A

Un processus biophysiologique normal (principe de Broussais)
Une norme théorique chiffrée (mathématique) et absolue
Une absence de maladie (pathologie) : modèle binaire
Un état devant être jugé sous le regard expert, objectif et à l’aide de technologies
Un état de santé pouvant être mesuré et comparé à l’échelle de collectivités.

52
Q

Expliquez ce qu’est la mort biologique

A
  • Le terme de la vie : la cessation totale et définitive des fonctions organiques et tissulaires, cellulaires.
  • Une condition irréversible, une question d’instant (Dictionnaire médical de l’Académie de médecine, 2016)
  • « L’arrêt définitif et irréversible des fonctions vitales, du cerveau, du cœur, du poumon et l’abolition progressive des tissus et des cellules » (Laporte, 2017).
  • Les signes de la thanatomorphose permettent de valider la présence de la mort : refroidissement du corps; rigidité cadavérique; déshydratation; les lividités liées à l’affaiblissement de la circulation sanguine et à la dégradation de l’hémoglobine (Léry, 1987; Thomas, 2003 dans Laporte, 2017).
  • L’activité encéphalique devient le critère exclusif permettant d’affirmer l’arrêt de la vie, à savoir un tracé encéphalique nul, ininterrompu et persistant durant de 8 heures à plusieurs jours (Schepens, 2013; Thomas, 2003 dans Laporte, 2017).
53
Q

Quel type de mort permet le prélèvement d’organes

A

La mort consciente

54
Q

Qu’est-ce que la mort abandonnée

A

cesser de parler de la mort afin d’éviter les sentiments désagréables r/à la mort.

55
Q

Qu’est-ce que la mort silencieuse

A

le déni de la mort, on passe nos journées sans y penser afin d’avoir une vie quotidienne qui file normalement.

56
Q

Qu’est-ce que la mort désocialisée

A

faire taire la mort (sujet tabou), l’exclure de la société. Faire de la mort une affaire personnelle et non communautaire ou public. On ne donne pas le temps à la société de ressentir ou d’exprimer la perte. Le départ de la personne est suivi par un silence sociétal.

57
Q

Qu’est-ce que la mort dédramatisée

A

adopter une attitude civilisée (calme et pacifique) suite à la mort, ne pas en faire un drame. Gérer sa peine individuellement et refouler ses émotions.

58
Q

Qu’est-ce que la mort biologique déconstruite

A

tenter de repousser la mort naturelle via les technologie et la médecine.

59
Q

Qu’est-ce que la mort à la carte

A

choisir sa mort grâce au technologies médicales, soit en ;
○ La retarder le plus possible : acharnement thérapeutique
○ L’humanisant : SP
○ L’anticipant : euthanasie et suicide assisté

60
Q

Qu’est-ce que la mort désymbolisée

A

ne pas apporter de signification autour de la mort et de la vie du défunt suite à sa mort.

61
Q

Qu’est-ce que la mort déritualisée

A

délaisser les rituels funéraires (diminution de l’impact de la religion)

62
Q

En quoi consiste la représentation posmortem

A

attribution d’une fonction au défunt (à aller rejoindre ses proches dans l’au-delà, veiller sur nous)

Soins palliatifs (5 decks)

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