exam 3 motricité-tonus muscu-posture Flashcards
controle de motricité
par sys nerveux
motricité squelettique
mouv réflexes et volontaires visant à assurer survie
controle moteur hiérarchique: étages sup inhibent étages inf
motricité autonomique
pupilles, coeur, respi, digestion, sys urinaire, reproduction, vasomotricité, sécrétions
mouv réflexes
spinaux mono et poly segmentaires
réflexes supra-spinaux descendants du tronc cérébral
possibls en abscence de mouv volontaires
mouv volontaires
cortex préfrontal = motivation
cortex prémoteur = planification
cortex moteur primaire= éxécution
noyaux gris centraux = début et fin mouv
cervelet= correction durant action et apprentissage
maladies moelle épinière
perte a/n lésionnel et libération des réflexes sous lésion (perte inhibtion supraspinale)
niveau lésionnel: paralysie flasque et aréflexie
niveau sous-lésionnels: paralysie et hyperréflexie
marche automatique
maladie protubérance
perte réflexes supra-spinaux liés à équilibre (réticulo et vestibulo spinaux)
maladie mésencéphale
décérébration = libération réflexes pontiques (réticulo et vestibulo spinaux)
maladie cortex préfrontal
absence motivation
maladie cortex prémoteur
apraxie
maladie cortex moteur primaire
perte mouv volontaire (syndrome pyramidal)
libération réflexes tronc cérébral et spinaux
maladie noyaux gris centraux
difficultés initier mouv (parkinsonnisme) ou à inhiber (chorée, tremblements)
maladie cervelet
difficulté coordonner et corriger mouv
muscle contraction
PA et libération Ach par motoneurone alpha
plaque motrice de cellule muscu: récepteurs ACh
dépo post-syn
libération Ca2+ par SR
mobilisation 2 types myofilaments: glissement actine sur myosine
actine
deux chaine d’Actine + 1 filament tropomyosine enroulées en triple-hélice forment filament fin
aussi molécules troponine
myosine
plusieurs molécules forment filament épais
tête molécules myosine sont rgroupés à extrémité du filament
myofibrilles
actine et myosine en //
plusieurs par fibre muscu
réticulum sarcoplasmique autour myofibrilles
mitochondires à proximité
contraction filaments muscu
mouv de rame qui fait glisser myosine sur actine
PA: Ca2+ vient se lier tête myosine et ATP
tête myosine hydrolyse ATP en ADP et Pi et se redresse
détachement Ca2+, nouveau pont plus loin sur filament
retour au repos avec flexion de tête myosine = traction de l’actine (contraction muscu)
bandes A
filament myosine
bandes I
espace entre filaments de myosine
zone H
espace entre filaments actine
bande I et zone H
rapetissent dans contraction
motoneurone inférieur (MNI)
un muscle est innervé par plusieurs MNU
corps cellulaire des MNI dans corne ant de moelle
un seul MNI innerve plusieurs fibres du muscles= concept unité motrice
unité motrice
activation d’un MNI fait se contracter toutes fibres muscu qu’il innerve
fibres d’une unité motrice sont réparties aléatoirement dans muscle
activation d’un MNI réparti contraction dans muscle
dommage d’un MNI répartit son impact dans muscle
unités motrcies S (slow)
MNI transmettent PA à basse freq 8Hz
petites
quelques fibres rouges à seuil bas
contraction lente et soutenue
activité tonique, ex. orthostation
décharges asynchrones permettent contraction constante muscle
unités motrices FF (fast and fatigable)
grosses unités motrices
plusieurs fibres pales à seuil élevé
contraction puissante mais breve
unités motrices FR (fast and fatigue resistant)
intermédiaires
déterminants force muscu
nb unités motrices qui contractent: principe de taille (S à FR à FF)
freq contraction unités: mouv habituels asynchronisme assure contraction constante, peut aller jusqu’à contraction muscu tétanique (25Hz)
muscles extra-oculaires
unités motrices spéc
mouv oculaires précis et rapids
faibles forces
petites unités motrices (3 fibres/ motoneurone)
trajet du MNI de corne ventral au msucle
soma MNI projette axone dans racine ventrale
rejoint racine dorsale aff pour fromer nerf spinal
se faufile entre deux vertèbres pour sortir du canal spinal
chaque nerf spinal définit segment médullaire
nerfs spinaux vont en plexus et donnent nerfs périphériques qui innervent muscles
31 nerfs spinaux
8 c
12 t
5 l
5 s
1 coccyx
myotome
ensemble muscles innervés par niveau médullaire
dermatome médullaire
territoire innervé par niveau médullaire
C5
abd épaule
C6
flex coude
C7
ext coude et poignet
C8
flexion doigts
T1
abd digitale
L2
flex hanche
L3
ext genou
L4
FD pied
L5
ext hallux
S1
FP
réflexe
acitvité motrice involontaire et stéréotypée en rep à un stimulus
implique arc réflexe et une fonction
réflexes spinaux
engage un seul ou plusieurs segments médullaires
réflexe myotatique
ostéotendineux, d’étirement
ex. rotulien ou bicep
boucle réflexe myotatique
stimulus= étirement muscle A/P
aff proprioceptive
monosynapse dans moelle sur MNI alpha
rép= contraction muscu pour garder art immobile
2e synapse dans moelle sur interneurone inhibiteur: inhibe MNI alpha du muscle antagoniste pour éviter réflexe myotatique de antago
fuseau n-m
détecte étirement muscle
a fibres intrafusales spécialisées avec partie contractile à chaque pole
quand muscle soudainement étiré:
fibres intrafusales aussi, aff 1a dans terminaisons annulo=spiralées détectent étirement soudain, eff des MNI alpha donne contraction ago et relax antago
réponse phasique le temps de corriger étirement du muscle
si muscles raccourci
tension réduite sur partie centrale fibres intrafusale
détection sous optimale de étirement
pour optimiser fonction du fuseau n-mu: contraction des parties polaires maintient tension sur centre grâce aff 2 qui donne réponse tonique MNI gamma
réactivité réflexe myotatique varie selon
+ quand mouv intense
- quand relax ou étirement volontaire
modulation dans moelle avec aff supra-segmantaires (action directe sur MNI alpha et gamma)
interneurones médullaires inhibent aff 1a
modulation persistante ou éphémère
conséquence d’un gain augmentée = + freq des décharges ou du nb de MNI alpha recrutés
réflexe myotatique inversé
organe tendineux de golgi: situé dans tendon muscu et formé collagène
aff: terminaisons sensitives dans collagène qui contiennent canaux cationiques mécano-sensibles
une fibres 1b par organe
étirement passif du muscle (réflexe myotatique inversé)
tension absorbée par fibres msucu relachées
aucune rep de OTG= silence dans fibre 1b
contraction active muscle (réflexe myotatique inversé)
tension absorbée par tendon = relachement de agoniste et activation antago
tension moindre= activation antago stabilise art dans effort
sources de modulation des interneurones inhibtieurs 1b
neurones moteurs supra-segmentaires
récepteurs cutanés
fuseaux n-m, 1a
récepteurs art
réfelxe de flexion et ext croisée
aff: stimulus nociceptif sur membre
plusieurs interneurones inhibiteurs ou activateurs dans moelle
effecteurs: MNI alpha
résultat: flexion du membre dlr et ext du membre controlat
role: protection du membre menacé
interneurones spinaux modulés par voies descendantes activatrices ou inhibitrices
réflexes spinaux multisegmentaires
générateurs de rythme: nécessaire pour activités complexes avec activation séquentielle de groupes muscu ex. marche et nage
phase appui marche
extension et mise en contact du membre au sol puis propulsion vers avant
phase transfert/oscillation marche
flexion membre pour quitter sol et propulsion vers avant pour recommencer patron
somatotopie interneurones
corps cellulaire de zone intermédiaire de moelle épinière
ceux situés lat projettent unilat à courte distance (1-4 segments) sur MNI lat dans corne ventral vers muscles distaux (mouv fins distaux volontaires)
ceux en med projettent près et loin, en bilat sur MNI med de corne ventral vers muscles axiaux (posture, équilibre, locomotion)
réflexes supraspinaux
descendants du tronc cérébral
rôles: posture, équilibre, locomotion
réflexes supraspinaux centre du TC
hiérarchie de haut en bas vers moelle
tectum du mésencéphale
noyau rouge (voie rubro-spinale)
noyau vestibulaire
formation réticulaire
réflexes supraspinaux projections axonales descendantes
cordons ant
réflexes= innervation bilat multiétagée sur muscles axiaux et proximaux des membres
noyaux vestibulaires
réflexe vestibulo-oculaire
voie vestibulospinale med et lat (liée équilibre)
réflexe vestibulo-oculaire
rot rapide de tête, canaux semi-circulaires, PPRF, coordination du 6 et 3 pour stabiliser la fixation durant mouv de tête
voie vestibulospinale med
stimulus: rot rapide tête vers bas (ex. chute), canaux semi-circulaires ant, noyaux vestibulaire med
eff: cordon ant, moelle cervicale corne ant, ext cou et bras
voie vestibulospinale lat
stimulus: déviation équilibre vertical stable, otolithes, noyau vesti lat
eff: cordon ant, moelle cerv et lomb corne ant ipsilat, extension muscles antigravitaires
posture de décérébration lorsque lésion mésencéphaliques libère ce réflexe
noyaux réticulo-spinaux mésencéphale et protubérance rostrale
centres modualteurs
cycle veille-sommeil
substance noire (dopamine)
noyaux réticulo-spinaux protubérance caudale et bulbe
PPRF (oculomotricité)
réflexes locaux orofaciaux: hoquet, déglutition, baillement
noyau ambigu: controle neurovégétatif respi et cardiovascu
réflexe réticulo-spinal
role: prévenir chute
complémentaire aux réflexe vestibulospinaux qui réagissent chute
aff multiples: centres moteurs corticaux, hypothalamus, autres structures du TC
eff: cordon ant vers corne ant med de moelle (bilat) = muscles axiaux et appendiculaires proximaux
réflexe supra-spinal mésencéphale et voie tectospinale
libération par lésion supra-mésencéphalique, posutre de décortication
réflexe supra-spinal noyau rouge
chez mammifères non-humains: proje sur partie lat de corne ant et zone intermédiaire destinées aux membres sup = motricité fine des mains
chez humain: incertain si existe
réflexe supra-spinal colliculus sup
connexions directes sur moelle (voie colliculo ou tecto-spinale)
connexions indirectes via la réticulée
controle de musculature cervicale et yeux dédiée à orientation de tête et yeux
réflexe supra-spinal région locomotrice mésencéphalique
noyaux paramédians mésencéphaliques
projection sur circuits locaux de locomotion dans moelle
cortex prémoteur
devant cortex moteur primaire, face lat et med interhémisphérique
aff: motivation et intention (cortex préfrontal), aff multisensorielles (lobules pariétaux sup et inf)
eff: sur cortex moteur primaire, centres controle dans tc et moelle, peu sur MNI alpha
organisation en cartes motrices de neurones produisant des mouv volontaires spécifiques
cortex prémoteur face lat réponse neurale conditionnelle
élicitée par stimuli dans espace extra-personnel
décharges début longtemps avant exécution gest
freq décharge augmente intensité de association indice-mouv et à mesure que approche le gest à venir
neurones miroirs
neurones prémoteurs qui déchargent sur observation du geste exécuté par autre individu
role présumé dans apprentissage de gestes par imitation
d’autres neurones ont activité diminuée pendant observation du geste= supprime imitation
neurones prémoteurs dédiés à fonctions spéc
son et language: aires 44-45 (Broca)
saccades volontaires: FEF (champs oculomoteurs frotnaux)
cortex prémoteur face med
aire motrice supp (AMS): mouv intentionnels sélectionnés et organisés en rep a des indices internes= auto-déclenchés
lésions de AMS bilat= mutisme akinétique
aire motrice cingulaire: expression comportement émotionnel
cortex moteur primaire MNS
motoneurones sup (MNS): cellules à seuil bas dans couche V
connexion directe sur MNI de moelle (2 voies corticospinales) et TC (voie cortico-nucléaire)
deux sortes MNS
cellules de Betz
neurones pyramidaux
cellules de Betz
5% des MNS (grosses cellules)
voie cortico-spinale lat= controle mouv volontaires précis de extrémité membres
neurones pyramidaux
95% MNS (aussi dans cortex prémoteur)
autres mouv volontaires
voie corticospinale lat
90% MNS
axones décussent au bulbe inf vers cordon lat
minorité synapse sur MNI alpha dans partie lat de corne ventrale
majorité synapse sur interneurones lat de zone intermédiare
tous destinés aux muscles distaux des membres controlat au cortex
récup difficile post AVC de motricité ditale pcq muscles innervés par une seule voie corticospinale lat
voie corticospinale ventrale
10% des MNS
axones ne décussent pas et restent dans cordon ant ipsilat: projections bilat med
sur les MNI alpha et interneurones
destinés aux muscles axiaux et appendiculaires proximaux
bilat= meilleure récup post AVC
fonctions essentielles préservées par innervation bilat
clignement palpébral (7 portion sup)
déglutition et vocalisation (9 et 10)
langue (12)
noyau du 7G, app clinique
moitié sup: innervation bilat (MNS des 2 hémisphères) donc fermeture yeux
moitié inf: innervation unilat (MNS seulement de hémisphère D) donc sourire
aussi innervé par cortex insulaire (émotions= rire)
atteinte nerf 7 périphérique
fermeture palpébrale (yeux) et sourire impossible
atteinte centrale nerf 7
voie cortico-nucléaire
fermeture palpébrale possible mais pas sourire
organisation fonctionnelle cortex moteur primaire
exécute mouv volontaires de facon coordonnée par aff du cortex prémoteur, NGC et cervelt
distribution somatotopique: homonculus
permet de localiser lésions focales et voir progression Jacksonnienne des crises épileptiques
champ muscu du neurone moteur cortical
stimulation d’un MNS active plusieurs MNI alpha dans moelle
donc plusieurs neurones stimulés individuellement et de facon soutenue produisent même mouv volontaire signification pour espèce
carte de mouv suit homonculus
syndrome moteur central MNs
parésie flasque en aigu, spastique
atteinte distale + que axiale
libération réflexes sous-lésionnels (hyperréflexion myotatique, réflexe de Babinski, posture de décortication)
amyotrophie légère par non usage
syndrome moteur périphérique MNI
parésie flasque
atonie muscu
hyporéflexie myotatique (ostéotendineuse)
hyporéflexie des réflexes superficiels
fibrillations: hyperexcitabilité et contraction spontanée d’une fibre muscu (invisible oeil nu)
fasciculations: hyperexcitabilité d’un MNI et contraction spontanée de toutes les fibres d’une unité motrice
amytotrophie (sévère) par déaffréentation
def tonus muscu
représente tension active et involontaire du muscle
prépare muscle à répondre aux réflexes ou commandes
force avec laquelle un muscle résiste à étirement
tonus muscu dépend de quoi
élasticité intrinsèque du muscle ou rigidité
(muscle agit comme ressort)
contribution neuronale (boucle de rétro à la voie réflexe d’étirement) permet au muscle de s’ajuster
réflexe d’étirement myotatique (voie monosynaptique)
fuseau n-m part en fibre sensitive aff 1A à la moelle épinière
revient de la moelle et du cortex moteur le motoneurone gamma et alpha
flexion réflexe (voie polysynaptique)
axone se divise dans la moelle, va activer motoneurones fléchisseurs et va inhiber antagoniste (extenseurs)
réflexion d’extension croisée
inhibition croisée est réflexe modulé par contexte (réflexes contextualisés)
ex. si tient une tasse au bout du bras vs juste allonger son bras??
transmission neuronale dans voies réflexes est ajustée en fonction de
la tâche motrice
l’entrée sensorielle d’une source localisée produit
réponses réflexes coordonnés dans plusieurs muscles à la fois dont certains peuvent être éloignés du stimulus
modulation descendante des centres supraspinaux
role imp pour adapter réflexes spinaux au point de même pouvoir inverser les mouv si nécessaire
tests de réflexes
au repos: palpation muscle (test du niveau d’activité des motoneurones alpha)
en mouv passifs: mobilisation et ROT (test niveau excitabilité des motoneurones alpha et gamma, des terminaisons primaires et secondaires des fuseaux, des interneurones)
réflexes hypoactifs/absents
indiquent anomalie affectant une ou + composantes de voie réflexe périphérique
ou même de lésions au SNC
réflexes hyperactifs
indiquent toujours lésions dans SNC
réflexe d’étirement phasique (myotatique ou ostéotendineux)
intensité de stimulation va changer l’étirement (+ étirement rapide = + fibres = +fort)
implique terminaisons primaires et aff 1a car vite
faisceau corticospinal pyramidal
axones du cerveau viennent inhiber réflexes ou les faciliter (influence descendante)
réflexe d’étirement tonique (anormal)
réflexe prolongé, fibres restent allongées à une certaine position
impliquent terminaisons primaires et seondaires, aff 1a et 2 (tonus maintenu mais peut pas savoir si 1a ou 2)
motoneurones gamma
dynamique ou statique
contrôle sensibilité des afférences 1a et 2 à étirmeent
motoneurones gamma dynamiques
changements rapides de longueur de muscle, augmentent sensibilité des fuseaux lors mouv dynamiques pour permettre étirement rapide (sensible à vitesse)
aff 1a
motoneurones gamma statiques
maintien tonicité du muscle, ajustent sensibilité des fuseaux durant positions statiques (sensibilité à amplitude de étirement)
aff 1a et 2
aff 1a des fuseaux
terminaisons primaires
décharge proportionnelle à vitesse et amplitude de étirement (longueur du muscle)
monosynaptique
aff 2 des fuseaux
terminaisons secondaires
décharge proportionnnelle à amplitude de étirement (change pas selon vitesse)
polysynaptique
si section des racines ventrales
diminution de sensibilité à amplitude de étirement à cause de perte influence des motoneurones gamma statique
cellule de Renshaw
autre circuit qui contribue au tonus muscu
circuit inhibiteur réverbérant
inhibition des motoneurones alpha
organe tendineux de Golgi
autre circuit qui contribue au tonus muscu
afférences 1b (réflexe myotatique inverse)
inhibition des motoneurones alpha
hypertonie def
+ tonus
suite perte des influences toniques inhibitrices et/ou augmentation influence tonique facilitatrices descendantes
ex. spasticité
hypotonie def
diminution tonus
suite perte influence toniques facilitatrices descendantes
spasticité
réflexes tendineux hyperactifs et résistance à étirement rapide
choc spinal
hypotonie, si moelle complètement sectionnée période où tous réflexes sont supprimés
après quelque temps reviennent de manière exagérée (hyper réflexie chronique)
influences inhibitrices
au niveau supraspinal
stimulation: -tonus
lésion: + tonus
cortex cérébral
inhibiteur
projection extrapyramidale
origine: aires motrices 4 et 6, somatosensorielles (3,1,2, S1, 5, 7, CPP)
projections corticales: aux ganglions de base, au noyau rouge, au cervelet, à formation réticulaire
latéralité: controlat
effets à long terme des lésions = spasticité
projection extrapyramidale
projections du cortex moteur aux autres structures motrices (ganglions de la base, cervelet, formation réticulaire)
cervelet
inhibiteur
lobe antérieur et lobules paramédians
projections: formation réticulaire (voies réticulospinales) et noyaux vestibulaires (voie vestibulospinale lat)
latéralit: ipsilat
stimulation= -tonus
ganglions de la base
inhibiteur
projections: indirectes via cortex et tegmentum du tronc cérébral et formation réticulaire
latéralité: controlat
lésion= + tonus (ex. Parkinson)
formation réticulaire (bulbaire)
inhibiteur
projections: à moelle (voies réticulospinales aux motoneurones alpha et gamma)
latéralit: bilat
stimulation= - tonus
controle du mouv, posture, tonus mais aussi cardiovascu, respi, sommeil
influences facilitatrices
stimulation = +tonus
lésion = -tonus
cortex cérébral (facilitateur)
facilitateur
projection pyramidal, voie corticospinale
origine: aire motrices 4 et 6, somatosensorielles (3,1,2, 5,7)
projections: moelle ep (motoneurones alpha et gamma, interneurones zone intermédiaire) via voie corticospinale
latéralit: controlat
stimulation= contraction muscles (+tonus)
lésion= -tonus (aigue, choc)
cervelet facilitateur
facilitateur
origine: néocervelet (lobe post et hémisphères), noyau dentelé
projection: indirectes via thalamus et cortex frontal 4-6
latéralité: ipsilat
lésion= - tonus
noyaux vestibulaires
sous controle du cervelet
facilitateur
origine: noyau vestibulaire lat
projection: voie vestibulospinale lat aux motoneurones alpha et gamma des extenseurs
latéralité: ipsilat
stimulation = + tonus
formation réticulaire facilitateur
facilitateur
sous controle cortex, ganglions base, cervelet
orignie: formation réticulaire pontique et mésencéphalique
projection: voies réticulospinales ventrale et lat aux motoneurones alpha et gamma
latéralit: ipsilat
sitmulation = + tonus
syndrome pyramidal +
hyperactivité muscu
réflexes tendineux hyperactifs/hyper réactifs
clonus
réflexes cutanés
spasmes en ext ou flex
dystonie spastique
schèmes en flex ou ext (mass synergy pattern)
syndrome pyramidal -
parésie
perte dextérité et controle moteur fin
fatigabilité
hypotonie
hypotonie lésions possibles
cérébelleuses post
interrompant arc réflexe myotatique (racines dorsales, ventrales, motoneurones)
aigues de moelle ep
aigues du cortex et ou capsule int
hypotonie
diminution réflexes myotatiques et réglexe tonique vibratoire
vibration: aff 1a
hypertonie lésions possibles
chronique de moelle ep (spasticité)
chronique du cortex/capsule int (spasticité)
subtance noire (rigidité parkinson)
aigue corticales bilat sévères (rigidité de décortication): MS flex, MI ext
aigue sévère du tronc cérébral (rigidité de décérébration): MI et MS ext
spasticité
phénomère phasique
contraction réflexe continue même après que msucle cesse d’être étiré
fréquente chex syndromes pyramidaux (SEP: 80%, AVC 90%, lésions médullaires 80%)
spasticité -
peut limiter mobilité
peut nuire à force active antagoniste du msucle et créé débalancement
peut causer dlr
spasticité +
aide développement de fonction antigrafique: favorise station debout via réflexe redressement
(des fois seul tonus muscu possible)
spasticité d’origine cérébrale
exagération réflexes myotatiques (réflexe phasique)
résistance aux mouv passifs + avec vitesse
distribution: muscles anti-gravitaires
clonus (contractions ryhtmiques) présent
rxn en lame de canif présente parfois
réflexe tonique vibratoire présent, incapable inhiber volontairement
clonus
contractions ryhtmiques, 5-10s
provoqué par étirement passif du muscle spastique ou stimulus cutané
réaction en lame de canif
résistance à étirement d’un muscle spastique disparait soudainement
spasticité d’origine spinale
exagération réflexes myotatiques (réflexe phasique)
résistance aux mouv passifs + avec vitesse
distribution: souvent dans fléchisseurs
clonus présent
rxn en lame de canif présente
réflexe tonique vibratoire absent
réflexes de flexion prédominants (spasmes en flex)
rigidité parkinsonienne
réflexes myotatiques normaux
réflexe tonique étirement présent
résistance mouv passifs ne dépend pas vitesse
distribution: fléch et ext + muscles axiaux
clonus absent
réflexe tonique vibratoire: normal
phénomène roue dentée: résistance à étirmeent cède par coup (interaction entre réflexe tonique et tremblement)
bases pathophysiologiques hypertonie
plasticité
hyperactivité des motoneurones alpha et gamma (section racine dorsale = pu d’hypertonie)
réduction de inhibtion présynaptique des aff 1a
changement des transmission dans voies réflexes
plasticité
nouvelles connexions (pousse axones)
supersensibilité des éléments postsyn
changement dans patron normal d’usage synaptique
spasticité vs rigidité
spasticité: hyperactivité mn gamma dynamiques
rigidité: hyperactivité mn gamma statiques
réduction inhibition présyn aff 1a
benzodiazépines (valium, diazépam) augmentent inhibition présyn et diminuent spasticité
changement transmission dans voies réflexes
exagération réflexes de flexion, absences du RTV (origine spinale)
changment dans patron inhibition réciproque 1a (ext + que flex) (origine cérébrale)
baclofen (antispastique): diminution transmission dans voies réflexes a/n moelle
fonctions posture
maintenir élévation du corps contre gravité
assurer équilibre face pertubatiosn externes et internes
positionne et oriente segment corporels dans espace poru supporter action et perception
réponse posturale anticipée
lors mouv volontaire
prévient déséquilibre en produisant commandes motrices contrebalancant les pertubations prévues
réponse posturale compensatoire
lors mouv imprévu
en réaction suite aux info sensorielles signalant présence pertubation posturale
centre gravité
point application de totalité des forces de gravité exercées sur corps
si statique, coincide avec centre de pression qui contrebalance la force gravitationnelle
lors pertubation, deux pts ne coincident pplus et corps commence à chuter vers centre de gravité
3 techniques maintien du centre de gravité
stratégie cheville, hanche, du pas
permet de garder centre de gravité sous pied à l’int de base de support
stratégie cheville
michael jackson
série de contractions muscu qui vont limiter rot du corps autour cheville et déplacer centre de pression en maintenant centre de gravité sous pieds
déséquilibre avant: muscles dorsaux activés
déséquilibre arrière: muscles avant activés
stratégie hanche
rotation du tronc autour du bassin
avancement du bassin empêhce déplacmenet du centre de gravité hors base
déséquilibre avant : muscles avant activés
déséquilibre arrière: muscles dorsaux activés
stratégie du pas
si débalancement trop grand pour rester sur place, un pas est pris pour étendre base de support
expérience plateforme mobile vs basculable
sollicite même muscle (gastrocs) mais si plateforme bascule pas besoin de réaligner centre gravité (inhibition réflexe étirement contre-productif au maintien posture)
décours temporel réponses posturales
80ms
activation synergique et ordonnée muscles
plus flexibles que réflexe spinal et plus rapide que mouv volontaire
comment centre gravité est il déterminé?
par info sensorielles
aff cutanées, proprioceptives, vestibulaires ++, vision
si une des sources est défaillante, compensation des autres
si vestibulaire absentes, corps dépend vision et ocntact au sol pour déterminer centre G, plus risque chute
organes vestibulaires fonction
détermine orientation et déplacement angulaire et linéaire de tête dans espace
labyrinthe vestibulaire
sens du mouv de la tête provient de là
ensemble de cavités dans os temporal qui contiennent senseurs vestibulaires
2 types senseurs vestibulaires
canaux semicirculaires: accélérations angulaires
organes otolithiques: acc linéaires
cellules ciliées vestibulaires
semblables à ceux cochlée avec cils dans endolymphe (riche en K+, pauvre en Na+) et base dans périlymphe
mouv stéréocils vers plus grand (kinocil) dépo la cellule et le mouv inverse hyperpolarise
CC canaux semi circulaires
dans les ampoules
toutes orientées dans même direction
chaque canal détecte rotation autour d’un axe en particulier
3 canaux: rot en 3D
CC organes otolithiques
orientées dans diff directions
acc en 2D
utricules: plan horizontal tête
saccules: plan vertical tête
canaux semi-circulaires
détectent mouv rot tête
canal rempli endolymphe et dans l’ampoule un épithélium spécialisé (crête ampullaire) contient CC
CC sont insérées dans substance gélatineuse (cupule) qui fait une barrière flexible qui est courbée par mouv de endolymphe
3 canaux environ perpendiculaires
canaux horiz inclinés à 30 vers haut
canaux ant et post (verticaux) orientés à 45 du plan sagittal tête
détection acc angulaires
CC d’un canal donné ont la même orientation du kinocil (ex. canal horizontal, les kinocils sont alignés vers l’avant)
Lors d’une rotation de la tête dans le plan horizontal (ex., vers la gauche), l’endolymphe dans le canal gauche a tendance à rester sur place à cause de son inertie et bouge relativement à la tête dans le sens inverse de sorte que l’endolymphe pousse sur la cupule vers l’avant.
Les cils du canal gauche sont donc pliés dans le sens du kinocil, les cellules ciliées sont dépolarisées et les afférences qui les contactent augmentent leur taux de décharge
Dans le canal droit, l’endolymphe plie la cupule dans le sens inverse (vers l’arrière), les cils sont pliés vers les plus petits, les cellules ciliées sont donc hyperpolarisées et les afférences qui les contactent diminuent leur taux de décharge
Le système vestibulaire combine les signaux de tous les canaux des deux côtés de la tête pour déterminer la direction et la vitesse de rotation en 3-dimensions.
au repos aff canaux semi circu
freq décharge élevée
en acc ou dec aff canaux semi circu
+ ou - leur freq de décharge à cause inertie et mouv de endolymphe
canaux donnent une bonne estimation de la vitesse de la tête pour les mouvements de hautes fréquences mais pas pour les mouvements de basses fréquences.
Qu’est-ce qui se produit quand nous nous tournons à une vitesse constante?
Après une accélération, si la vitesse de rotation est constante, l’endolymphe commence à tourner avec la même vitesse que la tête. La cupule qui est élastique reprend sa place et le taux de décharge revient au taux de repos les canaux cessent de détecter la rotation.
Qu’est-ce qui se produit quand nous nous arrêtons soudainement de tourner?
La cessation de rotation représente une décélération. L’endolymphe qui tournait avec la même vitesse que la tête a la tendance à continuer de tourner mais la tête ne bouge plus. Les cupules sont alors pliés dans la direction opposée les canaux détectent brièvement une rotation dans la direction opposée
organes otolithiques
détectent forces linéaires qui signalent acc en translation, inclinaisons de tête par rapport à gravité
épithélium spécialisé (macula) contient CC insérées dans couche gélatineuse recouverte cristaux de carbonate de Ca (otoconies ou otolithes) pesants
sur chaque épithélium les CC sont orientées en diff directions pour pouvoir détecter acc et inclinaisons de partout
orientatioon des CC d’un côté de la tête est pareille de l’autre côté
ne peut pas détecter diff entre translation ou inclinaison (cerveau doit combiner signaux de multiples senseurs)
acc délplacent la tête en translation
à cause de l’inertie les otoconies (cristaux) et la membrane otolithique sont laissées en arrière par rapport à l’épithélium sensoriel et plient les cils dans la direction opposée de l’accélération
excitation ou inhibition de différents groupes de cellules ciliées
inclinaison de tête par rapport à gravité
les cristaux sont attirés par la gravité et fait glisser la membrane otolithique en bas pour faire incliner les cils soit vers le kinocil (dépolarisation) ou dans l’autre sens (hyper-polarisation)
excitation ou inhibition de différents groupes de cellules ciliées
centres sup du sys vestibulaire
Les afférences vestibulaires partent des organes labyrinthiques, atteignent leur corps cellulaire dans le ganglion de Scarpa, puis projettent aux noyaux vestibulaires du tronc cérébral.
4 noyaux vestibulaires dans le tronc cérébral : médian, supérieur, latéral et inférieur, aux multiples projections ascendantes et descendantes. Ces noyaux intègrent l’information vestibulaire ainsi que des autres modalités pour déterminer l’orientation et la direction de la tête et du corps.
Partant de ces noyaux :-> Les voies ascendantes permettent la stabilisation du regard et donnent naissance à la perception. -> Les voies descendantes contribuent à la posture, au tonus antigravitaire et à l’équilibre.
intégration multisensorielle
sys vesti recoit et inegre info senso lui permettant d’extraire l’orientation et la direction du corpps et tête à partir signaux ambigus
réflexe vestibulo-oculaire RVO
induti des mouv oculaires qui compensent les movu de la tête exactement afin de stabiliser le regard et focus sur un pt
essentiel pcq les délais dans voies visuelles sont trop longs pour indurie des mouv des yeux assez rapide pour compenser mouv de la tête
voie centrale vestibulaire du RVO
voies comprenant aff innervant canaux semicircu, neurones secondaires dans noyaux vestibulaires, neurones moteurs extraoculaires
si tête tourne G (RVO)
décharges des aff du canal horiz G ++
acitvité du noayu vestibulaire médian G ++
noyau vestibulaire G excite noyau abducens (NC6) controlat qui provoque la contraction du muscle droit externe qui tourne l’oeil droit vers droite
noyau abducens excite ++ le noyau oculomoteur (NC3) de l’autre côté qui porovque contraction du muscle D interne qui tourne OG vers D
yeux tournent vers D
circuit vestibulo-cérébelleux
cervelet forme boucle avec noyaux vestibulaires
a 3 focntions
1. Il intègre les signaux des organes otolithiques et des canaux SC pour distinguer sans ambiguïté les mouvements de translation et les inclinaisons de la tête.
2. Il intègre ces signaux vestibulaires avec d’autres modalités, telles que la vision et la proprioception cervicale, pour déterminer l’orientation du corps vis-à-vis de la tête, important pour la production des réponses posturales du corps.
3. Le cervelet est impliqué dans l’apprentissage moteur; il renvoie ainsi aux noyaux vestibulaires un signal modulateur scuplté par l’expérience, permettant de produire des réflexes vestibulaires adaptés.
projections descendantes dans voies centrales vestibulaires
ajustent posture de tête en agissant sur musculature du cou (réflexe vestibulo-cervical) et tonus de musculature des membres (réflexe vestibulospinal)
voies vestibulospinales lat sortent du noyau vestibulaire lat et excitent les motoneurones du muscle pour maintenir la position
cervelet contribue à
apprentissage des rép vestibulaires
noyaux vestibulaires médian et lat recoivent
recoivent non seulement inputs des organes otolithiques mais aussi du cervelet et participe maintien de la posture
controle descendant posture, 2 voies
voie vestibulospinale: origine des noyaux vestibulaires médian et lat
voie réticulospinale: originie formation réticulée ponto-médulaire du tronc cérébral
faisceau (tract)
groupes de fibres/axones d’un même sys
sys médian
équilibre et posture
voies vestibulospinale et réticulospinale
sys lat
mouv volontaires
voie corticospinale et rubrospinale
voie vestibulospinale médiane
issue du noyau vestibulaire médian
projection bilat à moelle ventromédiane
s’arrête à moelle cervicale
à base du réflexe vestibulo-cervical
voie vestibulospinale lat
issue du noyau vestibulaire lat
projette ipsilat sur toute moelle ventromédiane
fonction principale: activation msucles antigravitaires: extenseures des jambes et muscu axiale
formation réticulée
a population cellulaire diffuse
pas de noyau clair
formation réticulée ponto-médullaire (PMRF)
recoit aff du cortex moteur transmettant intentions motrices volontaires
recoit info orientationnelles/directionnelles traitées via la cervelet profond et noyaux vesti
recoit plus directement info proprioceptive issue des muscles des memebres et du cou
utilise info pour produire proactivement réponses posturales adaptées aux mouv volontaires via voie réticulospinale
voie réticulospinale médullaire
projections bilat
voie réticulospinale pontique
projections ipsilat
voies réticulospinales
descendent 2 par substance blanche médiane innervant la corne ventrale de toute la moelle
rôle moins antigravitaire que voie vestibulospinale et + liée au controle fin des expressions de posture, pas biaisée par extension
décérébration
lésion mésencéphalique coupant voies descedantes volontaires mais aau-dessus de formation réticulée et des noyaux vestibulaires
activation incontrolée des réflexes posturaux du tronc cérébral sous lésion (vestibulaire et réticulaire) = activité muscu tonique extrême = rigidité
biais extenseurs (pontique mais surtout vestibulaire)
réflexes posturaux descendants
vestibulo-cervical
vestibulo-spinal
tonique du cou
réflexe vestibulo-cervical
Lors d’une inclinaison déstabilisante vers l’avant, la tête penche vers l’arrière et les bras se lèvent en protection contre la chute. Ce réflexe est déclenché par les afférences vestibulaires et médié par la voie vestibulospinale
réflexe vestibulo-spinal
désigne une collection de réponses posturales réactives à un déséquilibre du centre de gravité. Impliquent le système vestibulaire latéral et la formation réticulée
réflexes toniques du cou
Découlent fortement des afférences proprioceptives du cou. Impliquent les noyaux vestibulaires et la formation réticulée
effets sur membres d’une rotation passive de la tête
hémiplégie spastique chez enfant (paralysie cérébrale)
perte des ajustements posturaux anticipatoires
réponses posturales proactives vs réponses rétroactives
proactives: préprogrammées et précèdent début du mouv des membres
rétroactives: déclenchées par aff sensorielles signalant instabilité posturale
les deux sculptées par expérience