Ecologie Flashcards
L ecologie est une science possedant des piliers (3)
- Observation
- Repetabilite :
- la possibilite pour d autres scientifiques de pv repeter ton exp
- Collecte de donnees
- Approche correlationnelle : tjrs se q? pour savoir si il existe un autre facteur (pas pris en compte) qui peut intervenir dans mes resultats. utilisable par l experience de terrain, exp de labo et des modeles mathematiques.
Quest ce que l ecologie ?
- oikos = foyer
- logos = discours (science)
- Ecologie scientifq :
- science des relations entres les etres vivants et l environnement qui les entoure: Ernest Haeckel 1866
- L unite de base en ecol : l organisme
- Objectif general ; comprendre les fact qui determinent la distribution et l abondance des orga
- L ecologie est departage en 2 groupes formant ensemble l ecosysteme :
- Biocenose : Biotique (etre vivant integress avec l organisme)
- Biotope : Abiotique (eau, air, sable…)
- L ecosyst corresp a la communaute biotq et a son env abiotq
- Ecosysteme :
- communaute biotique avec son environnement abiotique
Les nv d organisation (7 nv)
- Individu :
- morpho
- comportement
- physio
- Expl : quelles sont les caractq qui permettent a la gentiane de survire, croitre et se reproduire dans les prairies alpines en suisse ?
- Population :
- taux de natalite/mortalite au cours du temps : dynamique de pop
- Exemple : Est-ce que la population de gentianes au col de la Croix, est-elle en croissance, diminution ou relativement constante ?
- Communaute :
- interactions entre animaux, plantes, microorganismes d un meme espace :
- competition
- mutualisme
- communaute
- Exemple : Comment la gentiane interagit-elle avec les autres plantes et animaux de cette prairie ?
- interactions entre animaux, plantes, microorganismes d un meme espace :
- Ecosysteme :
- flux d energie et de nutriments a trvs les systemes biologiques et physiques
- Exemple : Comment les variations annuelles de précipitation affectent-elles la productivité des plantes dans les prairies alpines ?
- Paysages :
- facteurs determinant la mosaique d ecosystemes
- conseq sur la disperstion des organismes (variation influant la diversite)
- Exemple : Comment la variation de topographie et de types de sols influence-t-elle la composition et diversité de différentes prairies alpines ?
- Biome :
- distribution de diff types d ecosysteme
- patrons de bioD a large echelle
- Exemple : Quels facteurs climatiques et géologiques déterminent la transition entre prairies et forêts dans les Alpes ?
- Biosphere :
- liens entre les ecosystemes et d autrres systemes de la Terre, influ sur le climat
- Exemple : Quel est le rôle du biome des prairies dans le cycle du carbone global ?
Histoire de l ecologie : (concept du pere de l ecologie moderne)
Le père de l’écologie moderne = Evelyn Hutchinson
Son hypothèse : un organisme a un ensemble défini de conditions idéales dans lequel il peut prospérer (= vivre et se reproduire) = ‘niche’
Niche réalisée de l’espèce = ensemble des conditions que les espèces occupent réellement
L incertitude en ecologie :
-
Variabilite :
- incapacite a predire precisement
-
Stochasticite :
- un habitat continu qui va se ceindre en 2 habitats distincts
- Phenomenes complexes diff a predire : hasard
- diff de predire le trajet d un oiseau a la diff d une trajectoire d une balle, trop de variables ext chez l oiseau
Quel est le role de chq espece ?
A quoi sert le moustique ?
- Moustique :
- vecterus de maladies
- n ayant pas de but a part la reproduction
- 3500 especes
- les larves sont consommees par les oiseaux : pb pour l ecosysteme si disparition ?
- certains ecologues sont defenseurs de l equilibre
- le role dans un ecosysteme ne signifie pas un but ou objectif !!!
- Si le moustique ne joue pas un role import : est ce justifiable de l exterminer ?
- pb ethique pas scientiq
- si on utls les pesticides pour les tuer, ca va selectionner des moustiques resistants mais ca decalle le pb. Si un jour nous avons besoin de vrmt les tuer, impossible car resistants.
L equilibre de la nature :
- L idee de plenitude, Aristote :
- la nature et l univers sont plein et guides par un plan divin
- Les creationnistes :
- soutiennent l idee qui DIeu a cree toutes les formes de vie telles quelles sont avec un certain objectif
- L evolution :
- le jeu ultime de l existence : diversifications et adaptations
- Arrv de l homme, eql ou harmonie ?
- quelle est sa place dans la nature ??
- pourtant il est particulier :
- present depuis 2 millions d annees mais a extermine des miliers d especes… rupture eqlb ??
- l ecosysteme est controle, maitrise, modifie, compresse par l homme
- Aucun doute sous les transformations majeures des ecosystems dues aux activites humaines
- Que faire ?
- qntff l effet des perturbations ?
- retour a un eq nat ?
- exist il un eq dans la nat ?
- savoir avec quoi on compare ?
La nature n est pas harmonieuse : l homme et la nat
- predation, competition, infanticide///
- chq indv agit de maniere a aug devlp et generations.
- les hommes sont le produits des meme processus evolutifs qui ont preside a l apparition de toutes les autres especes
- Haeckel :
- la nature n est pas statique
- variations journalieres, saisonnieres, catastrophes
- abondance de ressource et famines
- les changements perpetuels partcp au maintient de la variabilite dans le context biotiq et abiotq
- la nature nest pas statique, elle evolue
- L’homme et la nature : Quelle est la place de l’homme dans la nature ?
- La nature n’est pas ‘harmonieuse’ et la biologie évolutive nous explique pourquoi : prédation, compétition, infanticide
- Nous sommes le produit des mêmes processus évolutifs qui ont présidé à l’apparition de toutes les autres espèces et pourtant l’homme est particulier :
- Le genre Homo n’existe que depuis 2 millions d’années, (< 200’000 ans pour l’espèce Homo sapiens) mais a déjà exterminé des milliers d’espèces.
- Il y a une rupture d’équilibre entre l’homme et la nature et cela est un peu lié à la civilisation technique.
- Civilisation technique : capacité à acquérir, stocker et transmettre une information non génétique (= transmission culturelle et pas génétique).
Ecologie pre 20eme
- Naturalistes ;
- scientiq ou amateurs
- collection, classification, preservation….
- A. von Humboldt :
- classification
- obs societe humaines
- pere des naturaliste par introduction qntt des especes
- Cuvier :
- exctinction :
- grd impact de la religion sur la societe
- pour le scroyants dieu ne pouvait pas avoir cree des especes imparfaites, pour eux les animaux se trsf et ne disparaissent pas
- exctinction :
- M. Anning :
- collectionneuse de fossile
- contribution pour paleontologie
- C von Linee :
- classification binomiale
Ecologie du 20eme
- Objectif :
- identifier et comprendre des patrons a large echelle dans la natu
- Directions principales :
- organisation des communautes
- trsf d energie
- regulations des pop (Malthus)
- Les 3 supposent que la nat atteint, puis maintient un eqlb
- R. Lindeman :
- la nature comme un systeme : flux d energie et cycle des nutriments
- la regle de 10%
- les chaines alimentaires limites a 4-6 nv
- les especes de nv tropiques sup sont moins abondantes
- La pyramide écologique indique des rapports entre différentes catégories d’espèces correspondant à différents niveaux trophiques.
- Le premier maillon est les décomposeurs, puis les plantes autotrophes, les herbivores, les prédateurs primaires et les prédateurs secondaires, voire les prédateurs tertiaires (superprédateurs).
- Lotka et Volterra :
- couple d equations diff non lineaires du 1er ordre pour representer un syst dynamique de proie-predateur
- si le renard mange le lapin, diminution des lapins mais si diminution des lapins donc diminution de la nourriture pour le renard et donc diminution du renard….
- couple d equations diff non lineaires du 1er ordre pour representer un syst dynamique de proie-predateur
- Hutchinson :
- vers une science moderne et qunttv : niche ecologique
- representee par un volume
- chq espec possd une niche ecologique
- Prediction de la distribution potentielle d une espc:
- niche a n dimention -> equt -> prediction des conditions favorable pour des especes de mettre en place des senarios de leur devenir
*
- niche a n dimention -> equt -> prediction des conditions favorable pour des especes de mettre en place des senarios de leur devenir
- vers une science moderne et qunttv : niche ecologique
Les changements globaux :
- causes
- 5 crises + ex
- l homme perturbe la dynq de la nature
- son nombre aug donc necesst de nourriture
- cause des feux de forets :
- la foret tropicale est a la base trop humide pour brulee, mais si on coupe les arbres, ils sechent et c est de la que partent les feux de forets. (feux volontaires pour creer facilement des espacees agricoles)
- donc pb polituqe pas nat
- cause des feux de forets :
- son nombre aug donc necesst de nourriture
- 5 grd menace de la bioD :
- perte habitat : deforestation
- dans le passe lointain, sur les miliers d especes mammiferes moins d une especes est eteinte tous les millennium
- dans un passe recent, les extinctions sont 100 plus grd que dans le passe lointain
- dans le futur (projection), plus 10 fois plus grd que le passe proche
- 35 hotspots de bioD : regions les plus fragiles et riches en especes (bassin medit)
- utls le concept aire-espc pour predire le nombre d espec qu on va perdre
- invation bioloq
- trsfert d espece dune aire native, la quittant, pour etre trsf par l homme dans une aire introduite. Cause des degat, competition, predation…
- tsunamie au Jap a transf loins +++ des especes (phenomn rare)
- 10% des espec importees ont un impact
- 1Milion d especes d insectes decrtes :
- 12000 invasives : couts eco annuelles 70miliards US$
- changement climatiques
- blanchissement des coraux : expulsion de symbionte, stress et acidification des oceans ou les CO2 se dissoud dans l H2O
- pollution et maladies
- pluies acides : a presnt moins mediatisee car les entreprises +++ polluantes sont delocalisees dans les pays pauvres
- surexploitation
- peche : pas durable et 1/3 des poissons sont sur exploites
- FAO : 33% des espèces de poissons surexploitées (= plus de prélèvement que de croissance de population). 60% capturées au max biologiquement supportable.
- chase aux trophees :
- ecologie de consommation : truc pour les riches et plus l animal est classe rare plus son prix aug sur le marche et plus il est voulu par les riches
- peche : pas durable et 1/3 des poissons sont sur exploites
- perte habitat : deforestation
Cb d especes ?
- cb d especes :
- nous possedons des chiffres cependant il est diff de savoir si cest chiffres sont accurate. Parce que certes, il est “facile” de connaitre le nombre de vertebres cependant pour les virus, bact, champignons il est plus diff etant donne que nous parlons d un level micro ou nano
- dans le cas des fourmis :
- des recherches sont faites et des scientifq ont pose des cartes sur la diversite
- mais ou trouver les especes ?
- depend de l echantillonage
- +++ diversite => +++ chercheurs => +++ especes connues
- si nous regardons la richesse d espece par type d habitat nous remarquons que les phylums les plus importants sont dans un milieu marin
- toutes les especes recensees sur la planete :
- 80% en milieu terreste
- 15% en milieu marin
- 5% en eau douce
- comment se fait il que nous avancons quil y ait plus de phyllums en milieu marins mais moins d especes recensees sur la planete ?
- plus de phyllums :
- evoltion de la vie a commence dans l eau (branchements anciens)
- la structu physique plus fragementee : oceans hbt +++ connectees, peu d isolation par l eau a la diff de la terre
- Theory de l evolution (Darwin) avec la speciation
- plus de niches : +++ oportunite pour se specialiser
- co evolution avec les plantes :
- explo vie sur T : 125 milions d ans au Cretace
- periode ou les 1er plantes a fleurs ont evolue creant une coevolution avec les insectes : seulement sur terre car les plantes necsst de la lumiere
- prop physiq de l eau et de l aiir :
- viscosite : diff d avancer pour des petits organismes
- les pheromones ou le pollen ne voyagent pas aussi bien : contribuent a la diversification des especes et dans l air pas de filtreurs
- presc nourriture en suspension (zooplancton)
- une question qui n a pas encore de rep
- une affaire de chercheurs (milieu terrestre est plus facilement recense)
- plus de phyllums :
Extinctions et speciation :
- La BioD nest pas consttante dans l hist
- crise d extinction
- eqlb d extincti/speciation souvent intrp par des extinction
- l especerance de vie d une espece : 4 MY
- Equlb speciation-extinction: pour maintenir a l eq 40 milions d especes 10 especes disparaissent et 10 nouvelles apparaissent chq annee : “Background extinction rate”
- 5 extinctions massives :
- event relativement bref, disparition >75% des especes animales et vegetales sur Terrre et dans les oceans
- Attention : certaines personne parle de la 6eme exctinction, nous en sommes encore tres loin
- la 5eme extinction (-65 millions dans) :
- les dinosautres
- Quest ce qui a tue les dino ? : mauvaise question
- les oiseaux ont survecus= dinosaures
- les nouveaux termes pour les dino qui ont dispa : “ les dino qui ne sont pas des oiseaux”
- pendant les 160 mya :
- changm majeur dnas l environnemnt
- evoltion des plantes a fleurs, diversification des insectes
- mvmt des plaq
- changm climtq et nv de mer
- formation de new oceans
- pq crise d extinction massv ? 2 explications rationnelles :
- Actvt volcanique extreme :
- coulees de laves de 100m d epaisseur
- effets sur le climat
- nuages de cendre -> chute des temps
- CO2, gaz sulfurique, pluies acides
- interruptions des reseaux trophiques
- datation un peu precise a qq mya
- Asteroide de 10 Km, peninsule Yucatan :
- Alvarez : explq pour une couche etonnate a la frontiere Cretace- Tertiaire, enrichi d iridium
- date de -65,01 milions d ans
- controverse at first, decouerte en 1990 du cratere Chicxulub de 200km de diam
- Actvt volcanique extreme :
- Pq extinction massv a -64 mya des dino et pas d autres groupes ? HYP :
- animaux terrestres de petite taille au metabo lent avantages ?
- possbl de trouver des abris, survivre dans une forme de dormance (comme les graines des plantes)
- mais comment grenouilles, serpents… on survc aux pluies acides ?
- ON CHERCHE ENCORE….
- Anthropocene : L ere de l Homme
- marqg de l homme qui s est sedentarise
- pour mettre en place cette ere de l homme il faut des marq geoloques dans l environnement qui seraint diff
- debat encore entre Holocene vs Anthropocene
- Selon C.Darwin :
- theo de l evoltion : refechit sur un eql entre extinction et re diversification
Spectiation et adapt :
Exemple 1 : sur des iles relativement proches dans l’espace, on retrouve une spéciation car il y a une certaine barrière entre les espèces.
Exemple 2 : Phalène du Bouleau, forme noire est devenue prédominante à cause de la pollution.
Exemple 3 : Traitements aux antibiotiques et résistances (à partir des années 1940) peuvent créer des sélections chez les insectes.
Traitements insecticides, résistance à partir des années 1950, mécanismes multiples (détoxification, insensibilité).
BioD :
- Arbre de la vie :
- diff config
- L’arbre de la vie réalisé par E. Haeckel
- Vision des 5 règnes (monera, protista, plantae, fungi et animalia)
- vision moderne :
- par genetique moderne avec 3 domaines : realise par comparaison des seq gentq
- diff config
-
Les conventions interna sur la BioD : 1992, Rio
- pour la premiere fois on reconnait que la conservation de la diversit bioloq est une preoccupation commune pour l ensemble de l humanite et elle est importante au processus de dvlp
- Buts :
- conservation de la bioD
- utls durable des elements
- partg juste et equitable des avantages decoulant de l exploitation des ressources genetq
-
Princp de precaution :
- “en cas de risq de dommages graves ou irrvsble, l abs de certitide scientfq absolue ne doit pas servir de pretexte pour remettre a plus tard l adoption de mesure effectives visant a prevenir la degradation de lenv”
-
Convention de Nagoya : 2010
- un meilleur acces aux ressources genetiques et un partf plus eqtbl des avantages issus de leur utls
- adoption d u plan stratgq 2011-2020 avec 20 sous objtc quantf (ECHEC) dont un objtc de suppression en 202 des subventions dommageables a la bioD ou la creaction d un reseua d especes proteges couvrant au moins 17% de la surface terr et 10% oceans (ECHEC)
- accord pour la creation d une plateforme inter-gouv IBPS
- mobilisation de ressoures scientfq pour applq cette strtg
L ere du big Data en ecologie
- bases de donnees pour classer les informations de la diversite
- avoir toutes les info sur un seul logiciel
- ou des logiciels specifiques aux animaux : fourmies (cf image)
La diversite fonctionnelle :
-un systm vivant, qui fait quoi ?
- un systm vivant, qui fait quoi ?
- le systeme terreste viole le 2eme principe de l entropie
- Lorsque les forêts brulent, application du 2ème principe de la thermodynamique : augmentation de l’entropie car rejet de CO2, H2O, hν, N, P, K.
- Les polypores contribuent aussi à l’augmentation d’entropie, en rejetant les mêmes choses.
- la vie creee un ordre et fait diminuer l entropie
- la vie est un cycle ou chq particp a ses flux :
- l herbe utls l eau, lair…
- le lapin mange l herbe
- le lynx mange le lapin
- et un manque dans la chaine touche tout le monde et chq indv. a la capct de pouvoir acquerir et transformer des ressources presentes sur terre
- cf image
Forme d acquisition d E et de carbone :
- E : chimique
- Electrons : inorganiques
- Carbone : producteur
- les extremophiles
- les thermophiles : Chimio litho autotrophes
- Archees :
- caract comme extremophiles (sources hydrodermales, chaudes volcanq, lacs salees)
- nombreux dans les oceans
- groupe abondant sur Terre
- elements importants du cycle du carbone et du cycle d azote au nv global
- pas connaissance d arche pathogene ou parasite
- elles sont souvent mutualsites ou commensales
- chimio-litho-autotrophes (pas arches) : Riftia pachyptila
- ver tubicole geant vivant dans les fonds marins
- colonies pouvant atteindre plusieurs centaines d indivd
- jsq 2m, sans bouche, ni intestin, ni anus
- symbiose avec des bact sulfo-oxydante :
- utls des sulfures d hydrogene (H2S), CO2 et O2 pour synth des sucres que le ver peut oxyder
- seulemnt subst nutritive par les bact
- E : lumiere
- Electrons : inorganiques
- Carbone : producteur
- Photo-litho-autotrophes :
- Bacteries pourpres sulfureuses ou Bacteries vertes sulureuses :
- ncsst lumiere pour leur metabo
- proche de la surface
- oxydent le H2S en souffre
- 6 CO2 + 12 H2S -> C6H12O6 + 12 S + 6 H2O
- photosynthese anoxygenq apparue avant la photosynthese oxygenq
- anaerobie strictes
- Photo-litho-autotrophes :
- cyanobacteries :
- nitrogenase
- N2 + 8H -> 2NH3 + H2
- la nitrogenase produit a partir du diazote et de l hydrogene de l ammoniac
- plantes :
- rubisco
- 6 CO2 + 12 H2O -> C6H12O6 + 6O2 + 6H2O
- photosynth oxygenq
- rendement photsynthese :
- max 5% de energie incidente
- 53% dans le spect d absorption 400-700
- 17% utl popur frbq des sucres
- 40% sucres utls dans la respiration
- fixent collectvm :
- 100-150 Gt de Co2 fixes/an
- Halophiles : arche Halobacterium salinarum
- aime le sel
- peuvent capturer l E solaire (prot bactriorhodopsine)
- oxyder la matiere organq dans leur emvironement
- ne peuvent pas fixer CO2 (utls CH4 ou compose organq)
- E : Chimique
- Electrons : organq
- Carbone : consommateur/decomposeur
- Decomposeurs :
- champg
- bact
- detritivores :
- digestion partielle de la cellulose par des arthropodes (collemboles et acariens)
- Chimio-organo-heterotrophe : Consommateurs
- les animaux au sens large (Koala,araignee, lezard…)
Fonction dans l ecosysteme :
*consommateurs 1 :
- Appareil photosynthetq :
- folivores
- herbivores
- cellule vegetale et paroi
- fibres cellulose, lignine
- rapport C:N defavrb du a l ingestion de la cellulose et lignine
- Koala avec Eucalyptus
- seve : riche en E
- Pucerons sur Opuntia : possed Buchnera (symbionte) leur permettant la synthese d aa essentiels
- racine, tubercules :
- Rat taupe nu
- nectar :
- attirer le pollinisateurs (papillon, colibri, chauve souris…)
- fruits : plante exploitent pollinisateur pour leur dispersion
- frugivores
- graines :
- granivores (Acorn woodpecker)
- tissus de soutien :
- xylophages : espece symbiotq pour digerer le bois (Termites)
Fonction dans l ecosysteme :
*consommateurs 2 :
- predateurs :
- le consommateur 1 a un C:N favorable avec des toxines rares mais des mecanismes de defence (mimetisme, fuite, attq)
- le conso 2 a un excellent rapport C:N mais il faut quil atrap la classe 1
- existe predateurs micro (araigne) et macro (shark)
- parasites
- profite d un autre organisme (benefq et durable)
- peut etre endo et ecto
- les chauve souris hematophages se nourrisent du sang d autres especes
- lamproies : poisson qui sucent le sang de gros poissons amazoniers
- parasitoides
- organism qui se dvl sur ou dednas un autre organm dit “hote”
- il tue inevitablement ce dernier au cours de ce dvlp ou a la fin de ce dvlp alors que de nombreux parasites ne tuent pas leur hotes
Fonction dans l ecosysteme :
*detritivores:
- recyclage ecosysteme :
- bact, champi, invertebres : se nourrissent de debris animaux, vegetaux ou fongq :
- execrats, excrements, partie en decomposion ou tissus necroses
- fertilisation des sols
- bact, champi, invertebres : se nourrissent de debris animaux, vegetaux ou fongq :
- fonctions essentielles dans les reseaux trophq :
- recyclent les composes organsq (aussi une grd partie des composes organq toxq) contenus dans les detritus et les sediments
- leurs digestats et leurs excertats sont easy accessible a la microflore bact et fongique du sol
- contrvue : a la qlt de humus forestier
Fonction dans l ecosysteme :
*necrophages
- conso des corps morts : lion avec buffles, rapaces avec carcace…
- (se souvenir du cours de zoo sur ca)
Diversite fonctionnelle :
meca d acq des ressources :
- Filtreurs :
- Spongiaires
- bivalves
- echinodermes
- ascidies
- bryozoaires
- crustaces
- Psammivores : se nourrissent de sable
- lombriq
- Brouteurs
- giraphe
- escargot
- Piqueurs-suceurs
- moustq
- punaise
- Capacité à acquérir et intégrer l’information SNC, sensori-motricité.
Les ressources :
- Les ressources sont :
- Des éléments de l’environnement exploités
- Des éléments de l’environnement « utiles » càd qui affectent positivement la fitness
- Rendus non-disponibles par l’exploitation, donc induit une compétition entre consommateurs
- Définies par rapport à un consommateur (car c’est l’interaction entre ressource et consommateur qui les définit)
- Une plante requiert 20-30 ressources différentes pour compléter son cycle vital. Chacune doit être acquise par un mécanisme spécifique, certaines sous forme de ions, d’autres de molécules, certaines en solution, d’autre sous forme de gaz, de rayonnement, etc.
- Certaines sont essentielles (= irremplaçables) dans le sens où leur présence est une condition nécessaire à la survie, croissance et reproduction. De nombreux aa, des vitamines, sont ainsi essentiels aux consommateurs.
- D’autres ressources sont considérées comme remplaçables, dans le sens où la pénurie d’une ressource x peut être compensée par la présence d’une autre ressource y.
- Toutes les plantes ont besoin d’azote (= ressource essentielle), mais certaines peuvent l’absorber, alternativement, sous forme de nitrate ou d’ammoniaque.
- Le nitrate et l’ammoniaque sont dans ce cas remplaçables l’un par l’autre.
- Entre les plantes on trouve peu de ressources différentes MAIS à l’intérieur d’une même plante on trouve des ressources différentes en fonction des parties de la plante (racines, fleurs, feuilles etc.) : cf image
Les ressources peuvent etre :
- 2 types :
- Certains couples de ressources peuvent être considérés comme :
- Antagonistes (l’ingestion de l’un diminue les bénéfices liés à l’ingestion de l’autre)
- Complémentaires (l’ingestion de l’une accroît les bénéfices liés à l’ingestion de l’autre)
- Par exemple le riz est pauvre en lysine, mais possède des aa riches en soufre, alors que les légumineuses (féculents) sont, elles, riches en lysine mais pauvres en soufre.
Un régime mixte est donc préférable à u régime basé sur l’une ou l’autre de ces deux ressources.
Les ressources trophiques :
- Ressources trophiques :
- places de nidification
- outils
- materiaux
- partenaires sexuls : pas de consommation maus dispo variable
- Les ressources trophiques sont quelque chose qui affectent positivement la fitness d’un organisme. Le spectre de ces ressources est immensément vaste.
- Le concept s’applique aussi aux ressources non trophiques car les partenaires de reproduction, les sites de nidifications et le matériel de construction du nid peuvent être considérés comme des ressources, dans la mesure où il s’agit aussi de facteurs limitants qui sont ‘’consommés’’ (càd rendus inutilisables pour d’autres organismes).
- Les animaux sont des machines à exploiter les ressources.
- Quelles sont les stratégies optimales pour acquérir les ressources ? Les risques à prendre ?
- Si un animal produit peu de descendant, ceux-ci auront bénéficier de toutes les ressources que la mère a à offrir et seront très résistant ≠ si un animal produit beaucoup de descendants, ceux-ci seront plus faibles et devront se battre pour survivre.
Les conditions :
1-climat
- Les conditions sont des éléments de l’environnement de l’organisme qui affectent son bon fonctionnement (= capacité à survivre, croître et se reproduire), mais qui ne sont pas exploités par l’organisme.
- Exemples : la température, le Ph ou la salinité d’un sol.
- Le climat
- Climat vs. Conditions météorologiques (= météo) :
- Les conditions météorologiques (= humidité, précipitations etc.) correspondent à des prévisions pour une journée.
- Le climat correspond aux mêmes éléments que les conditions météorologiques mais à une échelle plus longue, pour pouvoir faire des variations annuelles, des comparaisons etc.
- Ex : aujourd’hui, en moyenne, il fait plus chaud qu’au 19ème siècle.
- La température de surface est définie par le rayonnement du soleil et de la Terre.
- La terre émet des rayonnements de longues fréquences et reçoit les rayonnements émis du soleil.
- Au total, on retrouve une compensation : il y a autant d’énergie absorbée qu’émise sur terre.
- Albedo : pouvoir réfléchissant d’une surface. La moyenne globale est de 30%. La glace réfléchi les rayonnements du soleil, or quand la glace fond, elle ne peut plus les réfléchir donc la terre chauffe encore plus, ça a un effet négatif.
- Effet de serre : les gaz forment une couche autour de la terre et réfléchissent une partie des rayonnements envoyés par la terre, c’est encore un effet négatif car la terre chauffe encore plus
- Les saisons :
- La terre effectue 2 mouvements :
- Autour de son axe
- Autour du soleil : trajectoire elliptique
- Sur la photo, ça dit ‘solstice d’été’, mais le solstice d’été n’est pas le même partout sur la terre. Ici c’est en fonction de l’Europe.
- 21 juin : journée la plus longue.
- 21 septembre : 12 heures de soleil et 12 heures de nuit pour toute la planète.
- Les régions tropicales ont très peu de saisonnalité, ça a une conséquence sur la diversité.
- La différence spatiale entre absorption et émission de rayonnement crée la circulation globale.
- orange : rayonnments par soleil
- Bleu : rayonnements par la terre
- Les regions loin de l equater emettent plus que ce quellle revoivent
- La terre effectue 2 mouvements :
- Effet Coriolis
- Les vents et courants océaniques sont des déterminants majeurs du climat sur terre.
- Ex : sur un manège qui va à gauche, on dévie sur la droite (par rapport au référentiel du manège).
- Sur terre, lorsqu’un vent avance en ligne droite, il va s’enrouler car la terre a tourné pendant ce temps.
- Température et humidité
- Plus il fait chaud, plus de l’eau peut être emmagasiné.
- La rosée du matin est due à un phénomène de condensation.
- Ces deux facteurs (effet Coriolis et température/humidité) générèrent des précipitions au niveau mondial.
- L’air chaud monte, se déplace vers les pôles et va ré absorber l’eau, puis refaire des précipitations. Ça explique le paterne en 3 bosses
- Proximité aux zones côtières influencent le climat
- Les surfaces terrestres chauffent et refroidissent plus vite.
- Il y a plus de variations saisonnières (continentalité).
- Influence maritime : les extrêmes sont atténués.
- La topographie influence le climat
- La limite des arbres est définie par l’altitude mais aussi par la latitude.
- Peut-on prédire les limites des arbres ? Oui
- Température de la saison de croissance > 6.7°C
- Durée de la saison de croissance > 90 jours
- Phénomènes d’oscillations, ex : ENSO
- Pour ‘’El Nino conditions’’ : il y a plusieurs cycles donc le mouvement ne va pas partout : une partie s’assèche et l’autre partie a beaucoup de pluies.
- Effet sur l’abondance des organismes
- *
- Exemples : la température, le Ph ou la salinité d’un sol.
Les conditions :
- Comment le climat affecte les organismes ?
- relation metabo et temps :
*norme de reaction
- Les enzymes dépendent de la température. Toutes les enzymes ont un optimum de température. Plus il faut chaud, plus on consomme l’oxygène.
- relation metabo et temps :
- le metabo s accelere avec la temp (en partie parce que l E cinetique des molecules aug la frc de rencontre entre les moleucles du sub et les sites actf des enwymes)
- la relation n est pas lineaire (mais plus geometrq)
- le metabo croit de maniere approximativement exponentielle avec la temp (du moins dans le domaine d actv normal de l organ)
- MT2 = MT1eq(T2-T1)
- Mtx mesure le metabo a la temp Tx
- q mesure le coeff de sensiblt a la temp
- Norme de reaction :
- les espces qui vivent dans des regions tropicale sont tres proches de leur optimum
- la temp letahle sup pour les organisme est generalement autour de 45degres car c est a cette temp quil y a la denaturation de bcp de prot
- Ex :
- si q=0,09, Q10 = e10,09
- 2<q>10<3 pour la maj des especes </q>
- bcp de processus physio changent a cause de la temp ou leur vitesse aug
- l optimum thermq de certaines archeabact (Thermus aquaticus) vivant dans des sources chaudes peut depasser 70 degres
Les conditions :
- Comment le climat affecte les organismes ?
- relation metabo et temps :
*degres-jour
- Degres jours ;
- repr le nombre de jjour de dvl quil faut a l orga en comparant le nombre de jours ou la temp exede un certain seuil = unite de mesure de la qntt de chaleur neccs pour achever un processus biologique
- d = A/(T-Tc)
- d = devl en jours
- T = temp externe
- Tc = temps crtq (dev s arrete)
- A = une constt propre a l espece, exprimant le nombre de degres jours neccs au dvl
Les conditions :
- Comment le climat affecte les organismes ?
- relation metabo et temps :
*supercooling = surfusion
- Supercooling :
- la surfusion est le tat d une matiere qui demeure en phase liquide alors que sa temp est plus basse que son point de solidification. C est un etat dit metastable, cad qu une pett pertubation peut suffire pour declencher abruptement le changement vers la phase solide
- Solutions au gel chez les plantes a lattd elevee :
- production de polyols de type glyceros ou sorbitol (agissent comme antigels en diminuant le point de congelation du cytoplaste) et d autres prot spe empechant la formation de nuclei de glace dans la cellule
- Tolerance du gel :
- possd des prot spe qui initient la cristallisation en dehors des cellules.
- les lqd extracellulaire se concentrant au fur et a mesure de la formation de glace, l eau du cytoplasme va diffuser passivement hors des cellules et la pression osmotique du cytoplasme va augmenter ce qui diminuera d autant son point de congelation
- ajuster la phenologie (diff etapes annuelles) (ex : ht altitude : temps plus froides et temps de croissance restreint) : pas rentable de maintenir la tolerance au froid en toute saison
- bcp trop couteux pour l organisme de transfm systmq ce glycogene en glycerol lorsq les risques de gels sont tres faibles ou inexistants
Les conditions :
- Comment le climat affecte les organismes ?
- relation metabo et temps :
*endothermie
- L endothermie repr les orga qui se chauffent eux meme par leur metabo
- la plupart des mammf maintiennet une temp corpo constante de l ordre de 36–38 eggres alors que chez les oiseaux elle est proche de 40 degres
- lorsq env est proche de cette temp, les organs sont en zone de thermoneutralite
- leur metabo est minimal, on parle alors de metabo basal
- en dessus de cette zone lorga utls de l E pour se refroidir (evapotranspi, haletement…)
- en dessous de cette zone on assiste a une combustion des sucres et des graisses pour rechaff le corps. Il s ensuit une elevation du metabo, notamment de la consommation d oxygene d autaut plus forte que la temp externe est basse
- le limite de temp letale sup intervient souvent assez brusqmt au dessus de l optimum thermq
- ainsi de maniere G , la fitness d un organisme aug prog avec la temp jusq un max puis chute brutalement
- Entre les 2 limites letales on peut distg concentriquement une zomne externe ou la survie est possble puis une zone intermediaire ou la croissance est possible, enfin une zone centrale ou la repro est possible.
- C est pas evidemment qu au sein de cette dernniere zone que l espece consideree pourra maintenir une population viable
- Cet optimum de temp depend bien entendu de l hab auquel cette espc s est adaptee
- Pour une pers de 70Kg :
- le corps degage une puissance de 80-100 W, converti en chaleur
- si elle fait du sport : 1000 W/h
- un frisson genere 400 W
- Il faut eviter l aperte de chaleur pour les organ volumineux ou poilus
- les chiens ne transpirent pas donc ils utls leur langue pour faire passer de l air et se rafraichir
- comme le rapport surface/volume d u corps depd de sa taille, la relation entre metabo et masse corpo est de type allometrique
- Mammf : M= 3,34 W0,75
- ou M expr le metabi en Watt (J/S) et W la mass en Kg
- il s ensuit que les mamm de pett taille conso bcp d E par unite de poids pour maintenir leur homeothermie
- Pour minimiser ces couts mmetabo, les endothermes ont mis au point des meca d isolation
- morphologq :
- sous les lattd elevees, le plumage ou la fourrure sont bien plus epais et une mue autmnale permet de s adapter a la saisonnalite.
- De mene les extrmt sont reduite (Regle de Allen) et la taille corporelle sup pour aug le rapport volume/surface (regle de Bergmann)
- les mammf aqutq devl une couche de graisse cutanee (ncss du fait que l eau et bien le meilleur conducteur thrmq que l air) (regle de Golger :
- regle empirique de la distribution des animaux endothermq en fonction de leur pigmentation.
- Pigmentations plus sombres dans les zones humides ?
- PLus de microorga qui attq les plumes….)
- physiologq :
- par temps froid, une vasoconstriction des arterioles de la peau detourne le sang des capillaires cuanes reduisant la deperdition de chaleur. Dans les membres se mettent en place des echangeurs thermq a contrecourant ce qui permet d etablir un gradient thermq entrensang arteriel et sang veineux
- la torpeur ou l hibernation permettant une diminution substantielle du metabo lorsq la temps est basse et ressc rares est partclm repandue chez les pett endothermes (colibris, chauvres souris, loirs, musaraigne) du fait du cout eleve de lendothermie chez ces derniers
- morphologq :
- Malgres ces meca, les couts restent tres eleves :
- meme en zone de thermoneutralite, un endotherme utls bcp plus d E qu un ectotherme
- un allgtr requiert a 20 degres 200 Kj/jours pour son metabi basal alors qu un humain de meme pooids a besoin de 4000-8000 kj/jour
- une stratg d endotherme ne peut donc etre maintenue que si elle permet par ailleurs un acces facilite a des ressources consq
- meme en zone de thermoneutralite, un endotherme utls bcp plus d E qu un ectotherme
Les conditions :
- Comment le climat affecte les organismes ?
- relation metabo et temps :
*benefices de l endothermie
- temp stable proche de loptimum
- moindre dependance des conditions externes (elargissm de la distribution)
- actv constante :
- physiologique : renouvellement d ATP, enwymes du metabo sont plus efficaces car spe pour la temp corporelle
- comportement : meilleure endurance, vigilance
- permet le dvl d un SN central performant :
- 2% de la masse corporelle
- 20% de l E
- On app homeostasie la capact d un orga a controler ses conditions physio internes. L homeost permet aux orga de s affrancuir dans une certaine mesure des conditions externes :
- un bon controle de la balance osmotq a ete necssr pour quitter le milieu marin et coloniser les eaux douces
- le controle de la balance hydrq a offert la possble de quitter le milieu aqtq pour coloniser les milieux terrestres comme l ont fait plusieurs lignees evolutives dans l hist de la vie.
- l evolution des capct de thermoreg ont permis a certaines esp de s affranchir des contraintes thermq limitant leur distribution
- Des bonnes capc homeostq consomment des ressources mais conferent une certaines independc relativement aux conditions du milieu :
- colonisation de nouveaux habt
- exploitation de nouvelles ressources
- elargissemnt de la niche ecolgq
Les conditions :
- Comment le climat affecte les organismes ?
- relation metabo et temps :
*adaptation et plasticite
- La plasticite permet a lorga de changer ses traits en fonction de l env : cf image
- Exp avec 2 plantes :
- 1 vivant en altt et pssd des pett feuilles
- 1 vivant a une altitude basse et possd des grd feuilles
- Pour tester si le spett feuilles sont adpt a l alttd : on prend la plante avec les grd feuilles et on la plante en haut
- on peut aussi transplt le sgraines des plantes avec les grd ffeuilles sur le splantes avec les pett et calculer la fitness
- Il peut y avoir des diff genetq sans adaptation (transportation par animaux)
- Norme de reaction :
- toute la gamme de trats possble qui peuvent etre exp par un genos dans un env diff
Les conditions :
-Les effets du changemt climtq sur les orga :
- Le climat peut interargir dans les interactions entre les diff especes
- entre les fleurs et les insectes : sil es fleurs s ouvrent plus tard ou plus tot elles pevuent ne pas trouver d insect pour les polliniser
- Le changmt de temp peut amnr a de la compettion entre les especes :
- rep possible si une espc veut eviter l extinction (tout en restant a sa place) :
- changer sa physiologie
- changer dans le temps (exploiter d autres plages horaires = deplacer ses actv vers de smoments de la journee en adeqt avec sa physio_
- changgement dans l espec e: complmt changer sa position
- Points de non retour (tipping points0 :
- si on exd un certain momnet de changmt on ne pourra pas revenir en arrr
- rep possible si une espc veut eviter l extinction (tout en restant a sa place) :
Conditions env dans les milieux aquatq :
-le cycle de l eau :
- 75-95% de l abiomasse est de l eau
- env : eau douce et marine
- Le cycle de leau commence par la precipitation :
- une partie est absorbee par les plantes puis perdue par transpiration
- peuplier : peut perdre jqs 300 000 L/h
- puis a lieu l evaporation de l eau
- il y a une partie de l eau qui n arrv pas a penetrer la terre
- une partie est absorbee par les plantes puis perdue par transpiration
- Les nappes phreatq rejoignent les rivieres et les oceans
- Bcp d eau est stockee dans les glaciers :
- env 2% de toutes les ressources
- 2,3% des ressc se trouve dans la nappe phreatq
- Les oceans evaporent + d eau que ce quils recoivent :
- evaporent 40 000 cubiques d eau de plus que ce quils recoivent
- les surfac terrestres recoivent 120 000 km^2 d eau environ 75% est reccp vers le soceans
- L eau est sous forme de vap dans l atmosph ce qui va cuaser les precipitations de puies…
- Le renouv de l eau prend 3 jours. Le renv entier des oceans prends 3 000 ans
- les pluies qui ont eu lieu en hiver permettent de reapprivoiser la nappe phreatq
- au contraire les pluies qui ont lieu lorsq les temps sont chaudes ne reapprivoisent pas la nappe phreatq car l eau s evaporent trop rapidement
- La suisse : le chateau d eau de l europe
- 1500 lacs, 890 km^2 de glaciers, rivieres et ruisseaux
- 5% des reverses en eau douce du continent eurp, 40% des sources d eau douces, 40% nappes phrea souterraines, 20% eaux de surfaces (lacs)
Conditions env dans les milieux aquatq :
-propt physq de l eau ;
- La struct de leau :
- attirance entre les diff molecules d eau est due a des fortes interactions : liaisons H
- chauffer l eau il faut aporter de l E
- la chaleur spe corrsp a la chaleur a apporter pour transfm la temp du liqd de 1 degres env 4184 Joules.
- pour changer 1L d air d e1 degres il faut 4 fois moins d E
- qd l eau passe de solid a lqd : apport de 80 calories. Pour le pssg de liq a gazeux il faut apporter 536 calories
- attirance entre les diff molecules d eau est due a des fortes interactions : liaisons H
- Tension superf :
- la surf d une molecule d eau est moins attiree parce queil y a l ext que par le au en dessous c est pour ca que la surf de l eau est bombee
- Viscosite :
- viscosite represente la resistance opposee a un organisme qui se deplace dans l eau
- l eau est plus visqueuse que l air
- la forme des animaux est hydrodynamq dans l eau pour etre plus adapte a la viscosite
- Poussee d archimd :
- la poussee d archimd rep la poussee que subit un corps vers le haut qd il est plonge integrallement dans un fluide
- est egal au volume de ce fluide deplace
- 1L d air pere 1g
- pression de leau aug avec la profd
- tous les 10m : on ajoute 1 atm : a 20 m on est a 3 atm
- L anomalie de densite ;
- plus on refroidit un lqd plus il devinet dense sauf pour l eau qui a partir de 4 degres, atteint son max de densite
- en ete : plus il fait chaud, plus la sufc de l eau est chaude
- en hiver : c est l inverse la partie plus profonde est plus chaude
- c est du a la stratification (disposition par strates)
Conditions env dans les milieux aquatq :
- lumiere :
- salinite
- oxy
- estuaire
- Lumiere ;
- la lumiere diminue qd on va dans les profondeurs des eaux car certaines long d onde diminuent plus que d autres
- en porf on s ne fou des pigments colores pour attirer les partenaires sex parce que il fait sombre
- en prof ++++ il n y a plus du tout de pigment car pas lumiere
- Salinite :
- eau salee : 35 %o
- oxygene :
- diffusion bcp moins bien dans l eau que dans l air car l emax doxy que l eua peut absorber est plus faible que celui de lair
- a un certain nv dans l eau on retrouv une diminution car bcp de conso d oxy a cet endroit et en plus ca se trouve en dessous de la zone de photosyn
- ensuite ona une re aug due a. la diffusion plus lente de l oxy dans les prof
- Estuaires :
- zone de rencontre entre eau douce et mer
- la richesse de sorga est peu elevee mais le sorga sont spe avec des caract adaptes pour gerer des situations de stress
Conditions env dans les milieux terrestres :
- lumiere
- sols + types + stratifications + erosion
- Lumiere :
- Leaf area inddex : pour les couches des feuilles
- il ffaut regard si orientation des feuilles est adapte a prendre le plus de lum possbl
- les plantes absb entre 400-700
- les mousses et algues se retrouvent tout en bas dans une communaute de plantes alors en fonction de la luminosite il y aune limite d absp de CO2
- c est inutil d investir dans un metabo pour daire un syst de photo
- Leaf area inddex : pour les couches des feuilles
- Sols :
- sont :
- la base de la vie terrestre
- un sys de recyclage de la nature
- collection de terre composee de mineraux et de matirer orga capbl d entre la croissc des plantes
- systm vivant : interactions entre de smilliards de micro orga et env physiq
- types :
- classm selon leur taille des grains dans la terre de 3 materiaux :
- sables : 0-5 mm
- limon : 0,002 - 0,05 mm
- argile (inf 0,002 mm)
- un sable plus sabeux est mieux aere et pauvre en resv en eau et en element nutritifs
- un so++ limon est riche en nuttriments mais peut aere
- un sol avec ++ argile riche chmqm mais diff pour les racines de penetrer le sol
- classm selon leur taille des grains dans la terre de 3 materiaux :
- stratification :
- attendre entre 2000 et 20 000 ans pour avoir un sol mus
- pH
- 7 neutre ok
- erosion des sols :
- 50% de la terre : suf agric
- destrabilisation des sols
- 80% des surf agri souff de l erosion
- au nv global : 30t/ha de sol erode
- pendant les 40 dern annees : 30% des terres arables ne sont plus productiv
- fact imp :
- texture des sols, pluies , vent
- solutions?
- rotation des plantation (3t/ha) pas de labourage (0,14 t/ha)
- 50% de la terre : suf agric
- sont :
Conditions env et distribution des especes :
-Def : niche, habt, distribution,
- La niche ecologique :
- rep l ensemble des valeurs de resssources et conditions permettant la realisation de son cycle viral
- noche multi dimensionnelle def comme un hypervolume dans les n dimensions de l espace des resssources et conditions
- L habt :
- rep le lieu physq ou sont reunies les conditions et les ressources permettant la realisation de la niche (foret, ocean, desert, montagnes)
- La distribution :
- rep l ensemble des hbt de l espece et l ensemble des lieux ou la niche est realisee
- La niche peur se ref a :
- position trophique d ine espece (relation aux autres espc dans lecosysteme) = son “job” (elton)
- comment une pop/espece rep aux conditions abiotiques et biotique de l env (Hutchinson)
- cf image : liant les conditions de l env a l espece ou pleins de fact influ lespece
- Niche n dimensionnelle : un hypervolume
- la prise en compte simultanee de 3 conditions ou ressources permet de concevoir cette niche comme un volume en 3D dont il est encore possble de donner un epre graphq.
- Pour un plus grd nombre de ressources ou conditions, la rep graph n est plus possible mais le concept math de niche multi dimensionnelle def comme un hypervolyme dans les n dimensions de l espace ecologique reste applicable et avec lui l ensemble des analyses stat multivariees
- La niche dont il est q? ici peut eter qualif de fondamentale.
- Une niche fondamentale rep l ensemble des conditions ou l espece peut survivre et se reproduire mais l espece n occupe pas tous des espaces a cause de diff dact (presnec d une competitieur, barriere physq,…)
- De ce fait, la niche realisee ne constt generalement qu un sous ensemble de la niche fondamentale
Conditions env et distribution des especes :
-Modelisation de la niche ecologique
- Modles de niche : ecological niche model (ENM) = species distribution model (SDM) = prediction of occurences = hbt suitabilitu index (HSI)
- On veut predire le sconditions fav de le spec ecad la ou elle peut s etablir donc in regarde le climat
- On part d une distribition d une espece (points d une esp sur une carte) et on essaye d explq la presnc de cette espece par diff variables. Ensuite, c est un modele math qui predit les distributions
- Ca peut etre un modele lineaire qui predit la presc des espces en fonction de la temp
- Le resultat peut etre projete sur une carte ou chq point est un endroit ou l on connait les variables (temps,,,)
- SPECIES DISTRIBUTION DATA + ENVIRONNEMENTAL DATA LAYERS => PROJECTION OF POTENTIAL DISTRIBUTION
- *
Conditions env et distribution des especes :
- ETUDE DE TERRAIN :
- COmment esetimer la taille de l aire perdue ?
- quest ce qui determine la limite d une distribution geo ?
- Diff applications du moedele de niche :
- espece invasive :
- localisation
- aug/dimminution
- espece invasive :
- si on arrv a comprendre tot les bonnes conditions de dvl d une espece invasive ou au contraire des endroits def pour elle on peut encore eradiq l espece
- espece menacee :
- impact du changm climatq
- rsique du a d autres fact : deforestation, urbanisation
- identification de pop particulierement a risque
- perte de la bioD :
- couplage des modeles de niche avec la relation aire-espece :
- S = cAz
- formule qui donne le lien entre le nombre d espece trouvees et l aire choisie
- le resultat obtenu n est pas une courbe lineaire
- couplage des modeles de niche avec la relation aire-espece :
- Cette formule permet la prediction des pertes d especes
- Comment esptimer la taille de la ire perdue ?
- Il faut faire un modele de niche par especes et pour chq espece on peut estimer la reduction/aug de l aire potentiellement favoralbe.
- L aire se reduit en fonction du temps
- si on reduit la taille de l aire est ce que ca reduit la taille des especes a l int de l aire ?
- entre 15-37% de toutes les especes sont vouees a l extinction a la fin du siecle
- si on reduit la taille de l aire est ce que ca reduit la taille des especes a l int de l aire ?
- L aire se reduit en fonction du temps
- Il faut faire un modele de niche par especes et pour chq espece on peut estimer la reduction/aug de l aire potentiellement favoralbe.
- Migration assistee :
- utls lorsq on a peur pour une espc et pour essayer de la sauver on va prendre des indv de ceette espece qu on introduire ailleurs
- meme si une epesce est en danger si on la deplace lle peut metre end anger d autres especes dnas le nouvel env
- ici on utls le modele de la niche avec une demarche commune : cf image
- Remqraue G sur la niche :
- niche fonamentatle ≠ niche realisee
- certains indv se dispersennt de la niche meere et decouvrent parfois une niche favorable
- migration limitee : parfois ceux qui se dispersent ne trouvent pas la niche fav
- parfois il u a un changement de l aire fav ici celle ci est reduite mais il y a tjrs des indv a l ext de la niche
- Principes : limites de distriution :
- quest ce qui determine la limite d une distribution geo ?
- il y a des chngmt de dynamq de pop locale a la limite de distribution : Pertes > Gains
- Ces changement au nv de la pop viennent de :
- changmt dans les facteurs abiotiques (barr physq, fact climtq, abs de ressources essentielles) et biotiques (impacts de competitieurs, predateurs ou parasite)
- mecanismes genetiques
- Hypotheses de base d un modele de niche :
- des fact env determinent la distrib de l espec
- les espc sont en eqlb avec leur env
- les variables limitantes sont elles vriament limitantes ?
- non colinearite des varaibles : les variables doivent etre indp les une des autres
- la niche determine l assemblage des communautes (pas de dynamq de metapopulation)
- Variables et leur selection :
- quelles varaibles et a quelle echelles ???
- ca depend du processus etudie
- araibles directes et indirectes
- sur une carte on predit la presence d une espece, 4 cas de figures en resultent :
- predit une prpesence mais lespece est abs
- predit une abs mais lesp est presente
- predit une abs et l espece est abs
- predit une presence et l espec est presente
- quelles varaibles et a quelle echelles ???
- On retrouve un prob de circularite : on tuls des donnees pour donner une estimation et on utls ensuite ces meme donnees pour vf les estimations faites
- Il faut que sur toutes les valeurs qu on ait on en laisse une partie de cote qu on ne prend pas en compte dans notre estimation et qu on vf ensuite notre modele avec ces valeurs
- Corss validation : estimer la preformance d un modele predictif
- Chq projection d un modele est tjrs basee sur une combinaison de :
- diff algo
- diff scenarios d emission de CO2 (SRES)
- diff global circulation models (GCMs) : complq de modeliser l evolution du climat, les chercheurs prennent du temps a comprendre comment marche notre climat. Or on a une variation du climat constt (de + en + de carbone…)
- genere une variete de modeles diff
- Pour separer le signal du bruit : omodele consensuel
- Modele consensur : faire diff projections et ensuite les superposer
- En plus de changement qunttf de la taille d une distribution potentielle, il peut y avoir des changement qualtf a l interieur de cette aire
- Les resultats precednet comme la tres grande majorite d etudes sur les impacts du chagement climatq sont bases sur une compariason entre :
- l aire potentielle auj
- l aire potentielle a une date dansle futur
- La date est souvent arbitriare
- supposition immplicite : la date n a pas d influence qualittv
- une espece qui aug a une date aug a une autres
- dans un echantillon de 15, 6 especes montrent des inversions de tendance
- si on ne fait pas de predictions pour de multiples dates dans le futur on risq de passer a cote d un phenos d inversion de tendance
- a diff date on peut arrv a des conclusions contraires 9aug vs diminution)
- consq potentiellement grave pour des applications en conservation (especes menacees, especes invasives…)
Conditions env et distribution des especes :
-Limites des modeles
- Microclimats :
- on ne peut pas prendre le microclimat comme prediction pour une espece parce qu une espece choisit son climat
- ex : on trace une courbe de temp optimale pour une espce donnee, mais en espagne l espece sera en dessous de la temperature annoncee car il fait chaud en espagne. Inversement en Angleterre l espece sera ua dessus de la temp annoncee car il fait plus froid en Angleterre
- les animaux par leur comportement peuvent reguler les temp auquelles elles sont exposees
- si une espece veut consommer une nourriture chaude, elle ira la chercher qd il fait plus frqis et inversement pour une nourriture froide
- Thermoreg comportementale :
- lezards restent au soleil
- les abeilles bougent leurs ailes pour chauff le nid
- Niche shift : changmt de niche
- un changement de niche lie a ;
- un mauvais calculde la niche fondamentale : donc il y a un decalage entre la niche realisee et la niche fond
- un changement de la tolerance physiolq sot par plasticit, adaptation ou aloirs evolution de la plasticite
- un changement de niche lie a ;
Acquisition des ressources :
-La reponse fonctionnelle :
- L output depend du compartiment de ressource
- On a une modeliisation du changement de la ressource au cours du temps par la formule :
- input - output x ressource = i - oR = dR/dt
- Equilibre dynamique :
- Cas limite :
- pas de compartiment : rayonnement solaire
- Pas d input : energies fossiles
- Cas limite :
- Comment le taux d acquisition des ressouces depend de l investissement dans cete qcquisition et de la densite de particules ?
- c = cR ?
- x : taux d acquisition des ressources
- R : densite de particules (=ressources)
- c : investissement d acquisition
- Exemple de la plante :
- elle investit de l E parce quelle fait pousser ses racines mais cet investissement servira pour les futures energies/ressosurces
- Reponse fonctionnelel : la relation entre quantite de ressource et intensite de consommation
- on peut etre plus ou moins efficace pour exploiter une ressource
- donc : x= acR ou a : efficacite
- exemple 1 :
- pour la preparation d un examen il faut prendre en compte le temps qu on met a se preparer mais aussi l efficacite de notre travail
- exemple 2 :
- sur un sol sec certaines plantes sont plus efficaces pour extraire l eau
- c = cR ?
- Qd la ressource ne st pas un flux mais une unite discrete la formule devient :
- X = aCR = acRT
- X : nombre discreet de proies
- C : investissement totale dans la capture
- T : temps que ca lui pris pour capturer cette proie
- X = aCR = acRT
- Esct ce que la formule est toujours lineaire ?
- Saturation a forte densite de ressources R : la capacite de l organisme a traiter les resssources acquises est elle meme limitee
- Autre pb :
- on ne psse pas tous notre temps a manger nos ressourcces on passe aussi du temps a les chercher
- Densite de proies tel quil faut un temps S pour trouver une proie
- Chq proie trouvee ncsst un temps h de manipulation (capture, ingestion,,,)
- ne peut passer qu une proportion 1-hx de son temps a chercher des proies :
- S = T-hX
- S : 1- temps de manipulation x nombre de proie
- ne peut passer qu une proportion 1-hx de son temps a chercher des proies :
- Nombre de proies capturees :
- X = acRS ou X = (acRT)/(1+acRh)
- X converge vers l asymptote 1/h
- 1/h exprime la capacite max a traiter des ressources (manipulation, digestion, transformation)
- l eficacite de photsynthese diminue generalement avec l intensite lumineuse parce que la capacite d une plante a traite l energie lumineuse est limitee
- le parametre 1/h est adapte a la richesse habituelle de la ressource
- Compromis entre efficacite d acquisition a et la capacite de traitement (efficacite de transformation) 1/h :
- A : plante au soleil : avec plus de luminosite elle est plus efficace que celle a l ombre
- B : plante a l ombre : avec une faible luminosite la B fait plus rapidement la photosynthese
- L efficacite est represente par la pente verte : celle a l ombre est bcp plus efficace q utls la lumiere mais elle a une capapcite de traitement plus faible
- X = acRS ou X = (acRT)/(1+acRh)
Acquisition des ressources :
-Cout valeur et profitabilite :
*Cb un organisme doit il investir pour acquerir une ressource ?
*J usq ou faut il investir dans l acquisition d une ressource ?
- Cb un organisme doit il investir pour acquerir une ressource ?
- c/x ou C/X = cout moyen
- dc/dx = cout marginal (cout quil faudrait investir par quntt en plus)
- Si les deux couts sont identiq : la reponse fonctionnelel est lineaire (x=acR)
- Si les deux couts sont diff : la rep est saturante
- Pour R fixe : diminution des retours sur invetissement (diminishing returns)
- dx/dc diminue avec c
- Augmentation des couts marginaux !!!!!
- J usq ou faut il investir dans l acquisition d une ressource ?
- ca depend de sa valeur (cb l organisme serait pret a investir pour l obtenir_
- c (investissement) —> X (taux d acquisition de la ressource) —> b (energie assimilee)
- implq une fonction dutls qui fait formcement ref au fitness de l organsime
- il faut cesser d investir dans l acqusitio dune ressource lorsq le cout margunal depasse la valeur marginale
- cf image : pour x=27 que les 2 ont la meme pente donc qu il faut arreter
- ca depend de sa valeur (cb l organisme serait pret a investir pour l obtenir_
- La profitabilite : rapport entre valeur marginale et cout marginal
- v= dB/dX * dX/dC = dB/dC
- ou dB : changemenet de benefiques
- il faut cesser l activite qd la profitabilite devient inf a 1
- v= dB/dX * dX/dC = dB/dC
Acquisition des ressources :
-Fourragement optima; :
*Quelle est la duree d exploitation d un patch de ressources ?
*Theoreme de la valeur marginale :
- Les comportements de consommation ont ete selectionnes pour maximiser la profitabilite (quantite d energie acquise ou assimilee par unite de temsp)
- Quelle est la duree d exploitation d un patch de ressources ?
- sites de ravitaillement (stop over sites)
- necsst de restaurer rapidemtn les resev
- maximiser l E acquise par unite de tmesp (profitabilite)
- Le baceasseau maubeche est un oiseau migrateur qui s arrete pour chercher de la nourriture. Celui ci a interet a recharger rapidement ces reserces car il fait un long voyage qui est couteau en energie
- il faut quitter le patch lorsq la profitabilite instantanee a rejoint la profitabilite moyenne de l environnement
- la duree d exploitation optimale d un patch (h*) ne depend pas seulement de sa richesse intrinseque (X) mais aussi du temps de recherche entre patchs (s)
- La duree d exploitation optimale aug si le temps de recherhce eset augmente
- Un indv doit quitter le patch sil peut esperer davantage en chercher un nouveau patch qu en continuant l exploitation
- Test experimental :
- la duree d exploitation optimale aug si le temps de recherche est aug
- Les parches de ressources peuvent etre variables, que faire ?
- h* : point d exploitation optimal pour la moyenne
- si loiseau est sur un patch il faut regaarder la pente de la tangente de ce patch et celle de h* et regarder a quel moment les deux pentes sont egales
- la duree d exploitation optimale est plus longue sur les patches riches
- la profitabilite est la meme au moment de quitter le patch (leaving time)
- Theoreme de la valeur marginale :
- l indv doit quitter un patch lorsq la valeur marginale locale du patch est descendue au nv de la valeur moyenne de lenvironnement
- nivellement des profitabilites !!
- le distribution liberale ideale (Ideal free distribution)
- chq indv chercher a maximiser sa fitness
- il choisira le patch le plus profitable
- mais les survivants doivent tenir compte de la competition
- a une certaine densite ce sera plus interessant d expliter un patch plus pauvre car moins de compettion
- a l eqb les indv seront distribues de sorte que chq obtient le meme retour
- l indv doit quitter un patch lorsq la valeur marginale locale du patch est descendue au nv de la valeur moyenne de lenvironnement
Acquisition des ressources :
-La specialisation :
- Optimal foraging :
- qd faut il se specialiser ?
- Generaliste si :
- le temps de recherche est long
- le temps de manipulaation est court
- Specialiste si :
- le temps de rechercher est court
- le tmeps de manipulation est long
- Energie consommee par tmeps de manipulation :
- Ei/hi >> E/(s+h)
- E : energie
- i : numero de la proie
- h : temps de manip
- Ei/hi >> E/(s+h)
- Ce principe vaut si :
- les ressources sont acquises par le meme meca
- les ressources sont substituables l une a l autre
- Ressources diff , actv d exploitation diff : allocation du temps ?
- Les especes ont parfois pleins de ressources et diff maniere de les exploiter
- Or, les resssources ne sont pas faciliement comparables. Donc quel est le temps optimal a passer sur chq actv ?
- Ressources substituables :
- ne signifie pas R1 = R2 en termes de profitabilite
- R2 peut se substituer integralement a R1 si elle est en quantite suffisante
- Nivellemetn des profitabilite -> regime alimentaire generaliste
- La conso d une ressource diminue sa disponibilite et donc sa profitabilite
- A l eq : v1=v2
- Nivellement des profitabilites
- Si une ressource diminue, il faut switcher sur lautre
Communaute 1 : Relations trophiques
- Competition
- Supposons deux ressources substituables X1 et X2
- A l eq la strategie de conso est telle que : V11 = V12
- Supporson un deuxieme conso pour qui : V21 < V22
- Pour le deuxieme conso lexploitation de la ressource est plus profitable pour X2 il fav ainsi celle ci. Donc la profitabilite pour X2 diminue. Le consommateur 1 doit se spe pour X1 et le consommateur pour X2
- separation de la niche
- possible seulement si les deux ressources ne sont pas essentielles
Communaute 1 : Relations trophiques
- Mutualisme :
- l organisme a besoin d exploiter les deux ressources car les deux sont essentielles
- Les efficacites d exploitation sont tres diff
- N1 : efficace pour exploiter X1 mais pas pour X2
- N2 : efficace pour exploiter X2 mais pas pour X1
- Les efficacites d exploitation sont tres diff
- Mutualisme : chq exploite ce pour quoi il est bon et ensuite ils partagent
- exemplle : champignon-plante
- chacun se spe sur la ressource pour lq il est le plus efficace et ensuite ils se les echanges par les mycorhizes
- les benef pour chq partenaire dependent de la mainere dont la ressource est acquise et redistribuee du tpye d orga implq
- les deux partenaires ont une fitness sup (isocline)
- exemplle : champignon-plante
Communaute 1 : Relations trophiques
- Symbiose
- Association plus ou moins permanente souvent obligatoire entre especes diff
- les deux partenaires profitent chc de lautre
- Les protozoaires phagocytent la cellulose => degradation en glucose
- Les bact fermentent les sucres en AG (acetate et ions ammonium)
- Les poissons clows dans un recifs coralien ont un mutualisme avec les anemones de mer : ils ne mangent pas d anemone mais profitent de l espece quelle engendre car est celle ci est venimeuse
- l anemone prof des poissons clowns la nuit : ceux ci font venir des courants d eau vers l anemone
- ces courants sont importants car la nuit l anemone consomme les sucres quelle a produit en journee avec son autre mutualsime avec les microorganisme (= permettent la photosynthese)
- pour conso les sucres elle a besoin d oxygene qui est apporte par l eau amene par le spoissons
- Mutualisme entre fourmi et puceron :
- les fourmis defendent les pucerons contre d autres predateurs et le spucerons donnent une goutte de sucre (ressource trophq) aux fourmis
- Mitoc : a l orgins des bact indp
- ATP contre sucres
- Les mutualisme a une part importante dans l evolution car c est base sur la maximisation de la fitness de chq partenaire.
- Mais est ce quil ya des echanges positifs dans la nature ??
- est ce que la selection ant peut selectionner les organismes quelles cooperent ?
- Une proie a interet a diminuer sa profitabilite : v= E/(s+h)
- camouflage : aug le temps de recherche
- defense et contre attq : aug le temps de manipulatio (h) (coquillag, herisson)
- defense chimq et aposematisme : diminue le gain energetq du predateur (subst toxq present ou non toxq mais indigestes) coloration d avertissement, signe de toxicite
Communaute 1 : Relations trophiques
- Mimetisme
- Mimetisme batesien :
- Papillons : vice-roi (cmestb) ≠ monarque (toxq)
- Serpents : rhinobothryum bovallii (non-venimeux) ≠ micrurus fulvius (venimeux)
- Aragnees qui imitent le comportement des fourmis
- Poissons : labroides dimidiatus (nettoyeur) ≠ aspidontus taeniatus (imposteur)
- Si un individu nettoyeur mange un bout de peau de celui qu’il nettoie : il est puni par les autres individus de son espèce en se faisant mordre ou se faisant expulser.
- Minetisme mullerien :
- les races coexistent localement
- Il ya une variete intra espece mais une convergence entre les deux especes dans un meme env
- Spe des predateurs et coevolution
- les plantes produisent des glucosinolates mais les larves du papillon ont la capacite de les detoxifier
- le monarque est capable de detoxifier des alcaloides et de les stocker pour se proteger lui meme des predateurs
Communaute 1 : Relations trophiques
- Chaine et reseaux trophiques :
- Paradoxe de l enrichissement :
- la quantite de R a l eq ne depend pas du flux i, R est maintenu constante
- le dernier maillon de la chaine est toujours controle par sa ressource : controle bottom up
- Dans les chaines trophiques : ca alterne le penultieme top down et l antepenultieme bottom up
- En realite les relations trophq entre les organismes d une communaute ne sont pas des chaines lineaires
- Plusieurs chaines forment un reseau trophique
- les interaction sont complexes entre producteurs, consommateurs et predateurs
- les producteurs primaires sont la base d un reseau trophique
- cf image :
- liens : fleches entre consommes eet consommateuers
- espaces a la base L autotrophes
- Il faut utls les reseaux trophq pour qntff la structure des communautes
- le nombre max de liens dans un reseau trophiqye est une fonction directe de la richesse specifique S
- pour un reseau avec S especes, si on suppose que chq espece peut avoir un lien avec chq autre especes : S**2
- le nombre de liens reels est L
- la connectivite : C= L/S**2
- densite des liens : LD = L/S
- longueur de chaine moyenne = (long chaine P1 + long chaine P2)/2
- qd S aug, la struct du reseau trophique devient plus complexe. Souvent les reseaux se compartimentent
- les especes du meme compartiment (group d espc) :
- interagissent souvent entre elles
- ont moins d interactions avec les especes d autres compartiments
- les especes du meme compartiment (group d espc) :
- etude : reseau trophique marin aux Caraibes
- total de 3313 interactions trophiques entre 249 especes
- Le reseau trophique eteait divise enn 5 compartiements bases sur :
- la taille du corps
- la gamme des tailles de proies
- l utlisation des hbt cotiers
- les predateurs associes
- cf image :
- n importe quelle paire d espece est liee par une fleche
- la dynamique d une communaute ne depend pas seulement d interaction direction
- un predateur peut reduire la competition entre deux especes de proies en regulant la taille de population des deux
Communaute 1 : Relations trophiques
- Les flux au sein d une communaute :
- cf image : les comprendre
- Efficacite d assimilation :
- conso 1 :
- bois : 10-20%
- herbes, feuilles : 40-50%
- fruits, graines : 60-70%
- conso 2 :
- carnivores, necrophages : 80%
- decomposeurs : 100%
- conso 1 :
- Efficacite de conso :
- Conso 1 :
- foret : 5%
- Prairie : 25%
- milieux aqutq : 50%
- Conso 1 :
Communaute 2 : Richesse et diversite
-Definition et mesures :
- Communaute biologique :
- une communaute biologique est caracterisee par l ensemble des indv de differentes especes coexistant au sein d une meme ecosysteme
- la notion de communaute est souvent def au seind un groupe d organisme (communaute vegetale, insectes…)
- elle pourrait theoriquement aussi etre def entre plusieurs groupes cas extrm (communaute = biocenose)
- mais dans la grd partie des cas (littrt) seul un groupe est considere
- Mesure de diversite des communautes ?
- Nombre d especes abondance relative
- dominance comportementale
- role (especes cle, keystone species)
- mesure diff sellon l importance donne a chacune de ces composantes
- Comment quantifier la biodiversite ?
- il faut regarder avec le ombre d indv echantillonne combien d especes sont echantilonnees : cf formules
- Mesures quantitatives de diversite
- l indice de simpson (dominance0
- l indice de Simpsone est tres utls et est dit de dominance car il prend en compte les abondances mais ne donne pas bcp de poids aux especes rares : cf formules
- l indice de Shannon (evenss = regularite)
- l indice de Shannon aug a la fois avec le nombre d especes dans la communaute et avec la regulatire donc c est bien ca les deux sont des composantes de la diversite mais ca rend les communautes difficilement comparalbe : cf formule
- ici la diversite mesuree n est pas la meme mais obtention de la meme valeur de Shannon
- il y a le meme nombre d es pece dans les deux communautes mais :
- dans la communaute 1 : les especes sont en proportions egales
- dans la communaute 2 ; les especes ne sont pas en proportions egales
- il y la meme richesse mais au nv de la diversite c est mieux dans la communaute 1
- l indice de simpson (dominance0
- La diversite phylogenetique des communautes :
- il y a bcp d indices dont certains qui prennent en compte l histoire phylogetq (diversite phylogenetq, mais cet indice ne distingue pas la diff entre especes)
Communaute 2 : Richesse et diversite
Patrons et causes : diversite des conditions/ ressouces (micro habitats)
- Diversite specifique dpd de :
- diversite des conditions/ ressouces (micro habitats)
- ex : si on regarde la diversite en taille des arbres : bcp de communautes d oiseaux ont un lien direct avec ces tailles, car plus ces tailles sont diversf plus y aura de niches offertes
- ex : temp : si on regarde la canopee forestiere : les feuilles ont des porp thermiq diff et on observe une grande diversite de feuilles
- diversite des conditions/ ressouces (micro habitats)
- Mesures de diversite et echalles spaciales :
- å diversite : expression du nombre d especes (pondere ou non par leur abondance relative) dans un meme habitat (echelle locale/ fine resolution)
- ß diversite : taux de renouvellement d especes (species turnover) entre duex hbt (compariason de diversite å dans l espace geo)
- gamma diversite : comme diversite å mais dans un secteur geo incluant a priori plusieurs habtitats (echelle spatiale plus large)
- ∂- diversite : comme ß mais entre duex secteurs biogeographq eloignes
- Richesse/ surface :
- plus on inclut une grd aire plus la diversite qu on a echantillonne sera grd.
- on a une courbe cumulative : le nombre d especes rencontrees aug plus elargit notre aire d etude
- Comparaison de communautes : la ß diversite
- mesure de similarite/dissimilarite (turnover) entre deux communautes
- 2 concepts :
- entite discrete (clements)
- communaute = super organisme
- interaction
- continuun m(gleason)
- communaute = coincidence d especes partageant les memes preferences ecologiques
- entite discrete (clements)
- Coubres de zones d especes :
- S = cA**m
- S : nombre d especes
- c : constt ajustee
- A : surface de l hbt
- m : pente ajustee de la relation espece sugace dans l espace log log
- 0.1 < m < 0.2 en zone continentale
- S = cA**m
Communaute 2 : Richesse et diversite
Patrons et causes : productivite (temps, pluviosite)
- les plantes sont des producteurs donc elles sont a la base des reseaux trophique donc plus elle sont nombreuses plus elles puevnet donner une diversite de niches
- il y aun lien entre le nombre d especes de plantes et le nombre de tetrapode (meme relation pour les insectes) Plus on s apporche des poles plus on a une diverste/une richesse d espece
- il y a bcp de courants d eau qui chauffent ou refroidissent certaines parties de la planete. Les precipitations et la temps sont des bons indicateurs pour dire la productivite
- la productivite et stabilite climta : specialisation (ressources susbtituables)
Communaute 2 : Richesse et diversite
Patrons et causes : interactions specifiques (competition et predation, perturbation et succession)
- la dynmq des communautes au cours du temps depdn des interactions entre especes
- la succession est le chagmt temp d une communaute a un endroit donne
- lors de la substitution des communautes celles ci sont assez diff et vers la fin on retrouve une plus grd diversite vegetale
- lorsq on couep un arbre dans un foret on declenche un processus qui necsst le renouvellement dune communaute d arbre qui se succedent : ca prend env 700 ans. Phenomene qui se passi aussi dans le senv aquatq
- especes pionnieres : premieres a arrv qd opportinite (tot dans la successions)
- taux de croissance elevee
- pett taille
- grd capacite de dispersion et de colonisation
- croissance per capita elevee
- especes de succession tardive :
- plus grd longevite
- plus grd taille
- moins de dispersion et croissance
- patterns de remplacment d especes au cours du temps
- Pq des sqc temp de struct de communautes ?
- Facilitation :
- les premieres colonisateurs changent l environnement le rendant pls favorable pour d autres especes
- Inhibition :
- interactions fortes de competition
- aucune espece n est completement sup a une autre
- la premiere arrv peut monopoliser un site contre d autres especes qui essaent d enavahir
- rend le site moins fav pour les competitrices
- maintient sa position tout au long de sa vie
- peut etre etre remplacee seulmt qd elle est blessee ou meurt
- finalement les especes avec une longevite linitee sont remplacees
- la facilitation et l ihnb sont opposes mais les deux facteurs sont vrais et ont chacun pour consq de generer des successsions
- tolerance :
- pas de facilitation pas d hinb
- les especes tardives peuvent envahis un site nouvellement expose et maturent indpd des especes venuees avant ou apres elles
- les especes pionnierre sont simplement capables de tolerer un nv de ressources plus faibles
- Facilitation :
- 5 especes de plantes : succession hypopth : cf image
- a quel moment a t on le plus de diversite ?
- il faut un certain temps pour mature mais qd on attend suffisamment longtemps ca se stabilise
- a quel moment a t on le plus de diversite ?
- Quel est l effet de la perturbation sur la dynamq des communautes ? cf img
- les perturbations nat
- arbre qui tombre donc competition pour la lumiere arrv subitement
- feu : cycle neccss pour faire germer des graines mais si humain augm les frqc nat du feu : on ne laisse pas le tmeps aux pop de maturer
- tornade
- …
- pendnat la succession de communautes , lorsq y a une perturbation ca remet le compteur a 0
- la perturbation reinitialise l horloge
- le site esst colonise par des especes pionnieres
- le cycle de colonisation/ remplacement recommence
- si la frq est elevee : la diversite reste faibles
- les perturbations nat
- Hyp de la pertubation intermediaire : cf image
- chq communaute (=herbes, buissions, arbres) offres diff ressources aux animaux
Communaute 2 : Richesse et diversite
Patrons et causes : processus neutres (extinction/colonisation)
- dynamiq d extinction-colonisation
- la population source (Pool = P) sur le continent va se deplacer sur la futur ile (ou s = richess local)
- le taux d immigration diminue lorsq le nombre d espece sur l ite aug, mais l eq determinera le nombre. especes final sur l ile : cf image
- si le taux d extinction reste le meme : eql se decale juste un peu : cf imagge
- Sur une ile plus grd, on aura moins d extinction car il y a plus de niches dispo donc ca met plus longtmps pour atteindre le meme taux d extinction qu une ile plus petite : cf image
- les iles present un deficit en especes relativmnt a des zones continentales de meme surgace. D autant plus grd que :
- l ile est pett (extinction frq) (prediction1)
- l ile est eloignee (colonisation rare) (prediction 2)
- prediction 3 : turnover
- la faune d intervetbre est eliminee sur une serie de pett iles de mangrove :
- richess reconstt en 200 j
- avec des compositions specifq diff
- depuis les taux d extinction et colonisation snt estimes a 1.5 especes/an
- applications dela theorie de la biogeographie des iles a la dynamq du paysag
- autre types d iles :
- montagne
- tourbieres
- etang
- dunes
- hote d un para
- la faune d intervetbre est eliminee sur une serie de pett iles de mangrove :
- tout patch d hbt isole d un autre habt similaire
Communaute 2 : Richesse et diversite
Complexite et stabilite
- les communautes insulaires sont :
- pauvres en especes
- frgl
- est ce que la stabilite des communaites tropicales (forets, recifs coraliens) tres riche en espece vient de leur complxt ?
- complexite :
- richesse : nombre d especes
- diversite
- connectivite : proportion de connexions posbbl realisees
- stabilite : retour a leq apres perturbation
- resistane : importance de la perturbation necss pour quitter l eq
- resilience : vitesse de retour a l eq :
- simuation : May 1974 (cf image)
- conclusion : contraire de notre hyp de dep
- simulation : Pimm 1979
- connectivite C
- pertuvations : suppression d une espece
- critere de stabilite : maintinet des autres especes
- la connectvt dimine la stabilite si la perturbation touche un conso 2. mais elle l aug qd elle touche un producteur. Globalement la stabilite diminue avec C
- par contre la resilience des communautes stables aug avec leur connectivite
- simuation : May 1974 (cf image)
- Pimm adn Lawton 1980
- le resilience diminue avec la long des chaines trophq (effet destabilisant)
- frglt des communautes insulaires due a leur pauvrete en especes ? NON
- stabilite des communautes tropicales grc a leur complext ? NON
- productv, stabilite env +—-> complext + —–> sensibilite aux perturbations
- frglt des faunes insulaires due a leur isolement (cf biogeographie)
- milieux tropicaux : productvt et stabilise permettent une specialisation de niche et une plus grd richesse spe
Communaute 2 : Richesse et diversite
Dominance comportementale
- Dominates :
- extractrices, defendent de maniere agressive la nourriture, souvent territoriales
- Subdominantes :
- pas de territoire mais assez agressv qd elles prennent le controle de la nourriture. Plus opportuniste. Densites moderees
- Subordonnees :
- colonies de peitt taille, evitent le contat physq
- Comment elles coexistent ?
- le trade off : dominance exploiration/exploitation
- les especes invatives decouvent l appat plus vite et le monopolisent
- trade off : dominance resistance aux maladies aux parasitoides
- souvent des epseces dominantes sont aussi dans une position d handcp (fourmi invasive victimes des mouches decapiteuses)
- trade off : dominance resistance aux temp extermes
- autre facteur de coexistence: la complexite de lhbt
- Quest est le lient entre la stabilt et le role fonctionnel des especes ?
- quelque chose dencore hypothetq
Quest ce que les dynamique de pop ?
- La dynamique des pop :
- etude des fluctuationsd es effectifs d une pop en fonction de para intrinseq (traits d his de vie, competition intraspe) et extinseq (fact env abiotq, presc de competiteurs ou predateurs).
- cette dicipline vise a representer par des modeles maths comment et sous quelles conditions une pop va s accroite diminuer se stabiliser ou s eteindre
Comment evoluent les effectifs de pop au cours du temps ?
-Modelisations maths basees sur la bio
*competition intraspe
$Variation de la population des conso au cours du tmeps :
- Variation de la pop des conso en fonction du temps :
- dN/dt = cfRN - mN
- dN/dt : la natalite soit la production de descendant a partir des ressources transformees
- cfR : chq conso produit un nombre de descendants en fonction de la ressource
- R : ressource
- c : de sa capacite a les aquetir
- f : a les transformer en descendants
- mN : la mortalite
- m : chq conso a une proba instantee de mourrir
- 1/N dN/dt = cfR - m : taux instantane d accroissement ind
- si R est constt (ressources illimites) dfR est const et equivait a la natalite b
- si le conso ne diminue pas R ou si R est constt (ressources infinies), cRf = const = b
- dN/dt = N(b-m)
- dN/dt = rN (forme exponen)
- avec r = b-m
- r est le taux instantane d accroissement indiv
- dN/dt = cfRN - mN
- Modele exponentiel : ressources illimitees
- forme integree : Nt = N0e**rt
- Nt : effectif au temps t
- N0 : effectif initial
- e**r : nombre par lequel l effectif est multiplie chq unte de tmeps t
- b>m -> r>0 : croissance expo
- b r<0 : decroissance expo
- b=m : equilb lorsq la natalite est egale a la mortalite
- forme integree : Nt = N0e**rt
- ex :
- croissance expo de la pop d elephant dans le parc national de Kruger, Afriq du Sud apres les mesures de protection contre la chasse jsq 1965
- population humaine : quotd il y a 200 000 humains de plus sur la planete
- croissance expo de la pop d elephant dans le parc national de Kruger, Afriq du Sud apres les mesures de protection contre la chasse jsq 1965
Comment evoluent les effectifs de pop au cours du temps ?
-Modelisations maths basees sur la bio
*competition intraspe
$Diagramme de phase : le paradoxe de l enrichissement
- Diagramme de phase :
- Dans les faits R diminue generalement avec la conso totale donc avec la densite de conso et la dynamq de la ressource vaut :
- dR/ct = i - oR - cRN
- i : input des ressources
- o : output
- il s ensuit que le conso et la ressource atteignent un equl stable :
- R = i/(o+cN)
- l eql de la ressource prend une valeur max de i/o lorsq le conso est abs (N=0) et tend vers 0 lorsq la densite du conso tend vers l infini
- l eq du conso :
- N = m/cf
- cet equl : capacite de soutient
- ce qui implq une valeur constante de la ressource. La pop de conso s accroit lorsq la densite de ressource est en exces de ce seuil, et diminue lorsq elle est en dessous
- eq global du systeme :
- N = if/ m - o/f
- la capact de soutient N s annule pour
- i = o* m/cf
- Dans les faits R diminue generalement avec la conso totale donc avec la densite de conso et la dynamq de la ressource vaut :
- Le conso ne peut donc pas maintenir de pop viable en dessous d un seuil critq de ressource.
- en dessus de ce seuil la capacite de soutient (N) aug lineairement avec l inpus des ressources.
- par contre de maniere un peu paradoxale l eql des ressources est indp de l input i au dessus de ce seuil puisq il est entierement controle par la conso:
- LE PARADOXE DE L ENRICHISSEMENT
- On sapercoit que l eq de la ressource est d autant plus faible que l efficacite d acquisition du conso est forte mais ne s annule jamais
- il reste toujours une qntt non exploitee de la ressource a leq parce que la capacite du conso a acquerir cette ressource est limite
- on peut appeler cette qntt le seuil de maintien du conso
- dans le cas de l eau du sol, resource essentielle pour les plantes terrestres ce seuil de maintient (antt d eau en dessous de lq une plante ne peut plus asssurer son bilan hybride) : POINT DE FLETRISSEMENT
- La valeur de ce seuil est spe a chq esp :
- une plante adaptee a un climat sec aura un point de fletrissement bien inf a une plante du climat humide ou de marias
- Un conso ne peut pas maintenir de pop stable (sa capct de soutien est neg) si une ressource limitante est maintenue en dessous de ce seuil de maintien
- ce point jouera un role central dans le processus d exclusion competitive discute plus loin :
- un conso tres efficace dimine la densite de ressource au desssous du seuil de maintien des autres especes qui sonta alors elminees
- au dessus de ce seuil critq la capact de soutient du conso aug lineairement avec l iput des ressources et d autant plus rapidment que sa propre effict d acquisition et de transfmation est forte
- ce point jouera un role central dans le processus d exclusion competitive discute plus loin :