Dyscalculie Flashcards

1
Q

Vrai ou faux. Cognition numérique et arithmétique : acquis ?

A

Vrai. Implique maturation et développement de nombreuses compétences intellectuelles et cognitives.
Nécessaire de comprendre ce processus et relations avec d’autres fonctions pour comprendre les dyscalculies.
- avant d’apprendre à faire des calculs, pas mal de choses qu’enfant doit acquérir et développer

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2
Q

Qu’est-ce que permet de faire la numération (COGNITION NUMÉRIQUE)

A

Multiples activités du quotidien (regarder réveil)
Permet de
- estimer et quantifier (tps pour se rendre, nb de pages dans pdf)
- effectuer des opérations
- résoudre des problèmes
- etc.

Vise à répondre à la question combien (j’ai besoin, il y a d’éléments, etc…)

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3
Q

2 procédures de quantification.

A

Estimation globale (approximative) : innée, utilise des représentations analogiques (ne compte pas. Correspondance entre qtée et ce qu’on voit, ce qu’on peut manipuler)

Quantification précise : apprise, fait appel à une représentation symbolique du nombre (orale ou écrite)

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4
Q

Vrai ou faux. Les symboles numériques doivent être reliés au capacités d’estimation pour avoir du sens (sémantique des nombres)

A

Vrai !
Procédures évoluent avec âge et apprentissages

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5
Q

Qu’est-ce qui permet à un enfant d’apprendre et de développer la cognition numérique ?

A

Faire le lien entre représentation mentale et représentation symbolique. Permet de développer les mathématiques. Si pas capable faire le lien : dyscalculie primaire.

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6
Q

Étapes du développement des capacités numériques et comment ça change ?

A
  1. Base innée et universelle analogique
    - subitizing (1 à 3)
    - petites opérations (+1, -1)
    - estimation de qutées
  2. Construction symbolique secondaire
    - linguistique (orale et écrite)
    - visuospatiale (indo-arabe)

Évolution avec âge et scolarité
- très vite, donne représentations symboliques à enfant et progressivement fait coincider symboliques et analogique

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7
Q

Substrat cérébral chez adulte de la cognition numérique

A

Activités numériques (estimer et comparer qtés) : sillon intrapariétal et bilatéral

Récupération des faits arithmétiques (tables multiplications) : zone périsylvienne gauche + structure sous-corticales

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8
Q

Substrat cérébral chez enfant

A

Chez enfant, activations sont identiques, mais de déplacent progressivement vers le réseau temporo-pariétal gauche.

Mobilisation MDT. Quand faits arithmétiques connus : MT reste activée pour récupérer l’info, mais progressivement déplacement vers zone péri sylvienne gauche et structures sous-corticales et activation temporo-pariétale gauche

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9
Q

Quelles sont les compétences numériques innées (démontre existence de représentations numériques abstraites innées) ?

A
  1. subitizing
    - très jeune, capacité à percevoir petite qtée (3 max). Pas lié à la a représentation spatial. Au delà de 3 : comptage.
  2. Perception de petits ajouts ou retraits
    - +/- 1 à 2 selon certaines études (bébé qui ont attente par rapport à combien peut être attendu
  3. Estimation et comparaison de qtée
    - besoin primaire comme alimentation, même animal peut estimer de façon globale
    - montrer des stimuli visuels, enfant capable d’apparier bonne qtée et bon nb d’image
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10
Q

Précision de estimation/ comparaison varie selon ?

A
  • taille collection
  • distance (rapport) entre les éléments
    plus la distance, plus ça va être facile d’estimer.
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11
Q

représentations analogiques (7 points)

A
  1. Universelles. Donnent accès à une représentation approximative de la quantité
  2. figuratives : ressemblance avec le modèle. On peut les voir, dessiner, manipuler (p. ex. cailloux, doigts, jetons, traits.)
  3. Traduisent directement la taille du nombre, c-à-d sa magnitude.
  4. Aspect fondateur du sens du nombre, donnent accès à la signification du nombre (sa taille) = sémantique.
  5. représentation analogique des nombres à la forme d’une ligne virtuelle horizontale, continue et orientée de gauche à droite
  6. numérosités y sont placées de façon logarithmique (plus précise pour petit et plus approximatif pour grand)
  7. représentation devient plus linéaire grâce aux apprentissages
    - p. ex. enfant de 5ème année qui ne peut pas placer 25 ou 95 sur une droite verticale : pb
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12
Q

Synthèse sens du nombre

A
  • système estimation approximative des qtés, inné, universel et caractérisé par effet de taille (plus taille est petite, plus estimation est rapprochée) et de distance (plus facile de comparer deux qtés que la distance entre numérosité de deux qtés est importante, dans un rapport optimal en fonction de l’âge)
  • repose sur des représentations analogiques des qtés, d’abord logarithmique puis de plus en plus linéaire (groupes éduqués)
  • système analogique donne accès à la représentation figurative de la grandeur (magnitude) et donc au sens du nombre
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13
Q

2 formes des symboles verbaux désignant qtés

A

orales = mots-nombres
écrites en lettres = graphémiques

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14
Q

Acquisition des mots-nombres et de leur ordre sériel permet (4 points) ?

A
  1. caractérisation précise de la quantité (48 et différent de 49)
  2. comptage et dénombrement
  3. mémorisation de qtés et faits arithmétiques (même sans savoir écrire)
  4. réalisation de calculs (série d’activité mathématique que l’on peut faire sous base des mots nombres
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15
Q

Ordre sériel ?

A

Chaine numérique verbale.

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16
Q

Développement chaine numérique verbale

A
  • précoce et non linéaire (très tôt)
  • 2 ans : 2 désigne une qtée (paire, mitaines, souliers)
  • 3 ans : 3 (vont le montrer, utilise doigts au début)
  • Acquisition progressive de la suite de la chaîne numérique et exponentielle

passe d’une comptine insécable à sécable (vers 5 ans, capable d’arrêter et de reprendre. Indice lors d’évaluation)

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17
Q

Mots- nombres : domaine langagier spécialisé caractérisé par ?

A
  1. Lexique (difficultés au niveau oral = difficultés avec mots- nombres)
  2. Syntaxe
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18
Q

Éléments importants pour les mots nombre

A
  1. en fonction ordre, permet savoir si on doit multiplier position par nb (pose problème pour certains enfants)
  2. doit savoir fondement de l’ordre dans lequel on doit dire les mots, multiplier le mot par le nombre (200), dépend de la langue aussi. Surtout difficile pour mots avec des trous comme 1004
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19
Q

5 principes pour compter une collection d’objets

A
  1. Ordre stable : si on compte avec les mots nombres, connaitre ordre de ceux-ci
  2. Correspondance terme à terme: à chaque unité on fait
    correspondre un mot-nombre
  3. Cardinalité (dernier nb représente qtée)
  4. Principe abstraction : peut compter pommes et poires en même temps (plus difficile)
  5. Principe de non-pertinence de l’ordre : compter série dans un sens puis l’autre = même quantité (va perturber longtemps les enfants)
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20
Q

2 liens entre doigts et représentation analogique de petites quantités

A

Fonctionnel : doigts sont une collection témoin et peuvent soulager la mémoire de travail

Structurel : aires cérébrales liées aux calculs (aires pariétales) sont proches de aires traitent les aires perceptivo-tactiles des doigts

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21
Q

analogie dans contexte des nb rappel

A

Dans le cadre de l’apprentissage des nombres, l’analogique signifie qu’on apprend ou comprend les nombres en utilisant des objets réels (comme des doigts, des billes, ou des objets du quotidien) plutôt qu’en se concentrant sur des symboles abstraits comme les chiffres écrits (par exemple “3”).

22
Q

Vrai ou faux. C’est une bonne idée de dire à un enfant de ne pas regarder ses doigts pour compter.

A

FAUX. on Dit de montrer les doigts au dessus du bureau. Signal alarme.

23
Q

Calcul mental repose sur ? et deux façons de le faire

A

repose sur capacité à manipuler mentalement des mots nombres
- nécessite de grandes capacités en MT et FE

2 façons
1. façon réfléchie, en décomposant les opérations
2. par récupération de faits numériques en mémoire déclarative

24
Q

Caractéristique symboles indo-arabes (4)

A

(0,1,2,3,4,5,6,7,8,9)
1. Simple et économique
2. Numération positionnelle
3. Utilisation du zéro pour marquer rien ou vide
4. Permet production infinie de nombres

25
Q

Résolution de calculs et numération arabe , 3 procédures nécessaires

A
  1. Maitrise du transcodage entre numération orale et arabe
  2. capacité à récupérer les faits numériques ou à utiliser une collection de référence
  3. Pose des nombres entièrement spatiale
26
Q

Qu’est-ce que le transcodage ?

A

Passage d’une représentation d’un nombre à une autre.

27
Q

Transcode le plus utilisé et raison difficultés

A

oral à chiffre arabes et vice-versa (écris nb que j’entends, prononce nb que je vois)

Difficultés : dysmétrie entre les 2 codes : structure verbale des mots=nombres irrégulière (complexe, pas transparent) vs structure logique des chiffres arabes.
- impacts sur l’apprentissage de la numération et transcodages

28
Q

Qu’est-ce que le modèle du triple code de Dehaene et ses corrélats cérébraux (4)

A

Modèle qui établit des liens anatomiques et fonctionnels entre les codes arabe, auditivo-verbal et analogique. Permet de rendre compte des erreurs dans un code spécifique et de dissociations rencontrées en pathologie. (Peut avoir des difficultés pour un aspect, mais pas l’autre)

Corrélats cérébraux :
- code verbal : aires langagières. H. Gauche
- code indo-arabe : cortex occipito-temporal
- code analogique : régions pariétales
- MdT et FE : cortex frontal

29
Q

représentation analogique vs représentation visuelle arabe vs représentation auditive verbale

A

ANALOGIQUE
Comparaison et calcul approximatif
- Système préverbal de raisonnement numérique. Système estimation analogique (permet de donner une idée).

VISUELLE ARABE
Calcul mental complexe et jugement de parité.

REPRÉSENTATION AUDITIVE VERBALE
Comptage et tables de multiplication
- Modules généraux du traitement du langage

30
Q

Dyscalculie primaire, qu’est-ce qui ne fonctionne pas ?

A

Calcul approximatif et estimateur de la quantité.
- peuvent donner réponse aberrantes. enfant à des difficultés au niveau neurologique.

31
Q

Qu’est-ce qui impactent capacité enfant à résoudre des problèmes ?

A
  • présentation chronologique ou non des faits
  • aspects langagiers de l’énoncé (vocabulaire et structure syntaxique)
  • notions à manipuler (a du sens ? possible ?, p. ex. 99/ 2, plus difficile)
32
Q

Résumé principale fonctions cognitives dans activités arithmétiques

A

AU CENTRE
Sens du nombre : repères analogiques, approximation, ordre de grandeur, magnitude, sémantique du nombre.

INTERCONNECTÉ AVEC
Aspects linguistiques :
- lexique / syntaxe (oral / écrit)
- mots-nombres

Aspects visuospatiaux :
- comptage
- numération arabe, pose et résolution des opérations

Aspects logiques :
- classification
- sériation
- inclusion

ASPECTS LOGIQUES NÉCESSITENT
- résolution de problème (MT et FE)

ASPECTS LINGUISTIQUES NÉCESSITENT
- calcul mental (MT et FE)

2 ASPECTS INTERCONNECTÉS ?
Linguistiques et visuosaptiaux

33
Q

Dyscalculie DSM-5

A

Troubles des apprentissages avec déficit du calcul :

  1. Difficultés à maitriser le sens des nombres, les données chiffrées ou le calcul (compréhension pauvre des nombres, leur magnitude et leur relation)= atteinte spécifique des fonctions liées aux nombres et aux calculs

OU/ET

  1. Difficultés avec le raisonnement mathématique (difficultés d’appliquer les concepts mathématiques, les faits ou les procédures pour résoudre des problèmes) = trouble logicomathématique en lien avec fragilité globale (être capable de le démontrer)

**dyscalculie : difficultés à procéder info numérique, apprendre des faits arithmétiques et performer des calculs.

  1. Compétences en numération et calcul sont nettement au-dessous du niveau escompté pour l’âge chronologique du sujet, et ce de façon quantifiable (persiste).
  2. Interfère de façon significative avec les performances scolaires, universitaires ou professionnelles, ou avec les activités de la vie courante, comme le confirment des tests de niveau standardisés administrés individuelles (-1,6 ÉT) ainsi qu’une évaluation clinique complète
    ***jeune avec DI qui a difficulté en mathématique :difficile de dx dyscalculie
34
Q

2 types de dyscalculie

A

Primitives (ou spécifiques) : résulte d’une atteinte (dysfonctionnement) des structures cérébrales dédiées aux nombres et aux calculs (troubles du sens du nombre) : dyscalculie ( dx)

Secondaires à une atteinte dans un autre domaine : dyscalculie-sx

Selon les critères pris en compte pour le dx, la prévalence de la dyscalculie varie de 1,3 % à 3,6 - 7,7 % (pas tout le monde qui fait cette distinction)

35
Q

Dyscalculies - synthèse

A

ATTEINTES DYSCALCULIE PRIMAIRE
1. Sens du nombre : subitizing, comparaison de quantités et magnitude du nombre
(interrelié avec)
2. Apprentissage : nombres symboliques

ATTEINTES DYSCALCULIES SECONDAIRES
1. Apprentissage : nombres symboliques
(interrelié avec)
2. Autres fonctions cognitives : facteur g, langage, visuospatial, FE, MT, MLT

36
Q

Distinction principale deux dyscalculie

A

si pb au niveau sens du nombre !!!
P. ex. si en 5ème année on doit encore

37
Q

5 signaux alerte

A
  • lenteur / erreurs persistantes
  • difficultés à lire / écrire les nombres
  • difficultés en calcul mental, à estimer
  • problème à comprendre les concepts
  • difficultés à utiliser les apprentissages

*toujours intéressant de demander à l’enfant pourquoi il fait les choses

38
Q

Dyscalculie primaire - signe caractéristique (3)

A

ATTEINTE AU NIVEAU DU SENS DU NOMBRE
- Anomalie pour le subitizing
- Anomalie pour le développement de la ligne numérique mentale, difficultés persistantes pour la comparaison de qtées visuelles
- lenteur pour comparer magnitude des nombres

39
Q

Dyscalculie primaire - manifestations cliniques (2 avec sous sx)

A

DIFFICULTÉS POUR LE SENS DU NOMBRE
- acquérir représentation mentale du nombre
- comprendre le sens des nombre
- comprendre les qté, estimer, représenter
- estimer un nb, le situer sur une échelle de grandeur
- accéder au comptage (croissant et décroissant) et au dénombrement
- compter spontanément sans ses doigts
- maitriser les systèmes numériques
- lire et écrire les nombres

DIFFICULTÉS AVEC LES OPÉRATIONS
- réaliser des opérations arithmétiques simples : +, -, x, /
- difficultés d’accès au calcul mental
- poser une opération et la résoudre
- se référer aux précédents apprentissages pour poser les opérations
- utiliser la calculatrice

40
Q

Qu’est-ce qui peut influencer manifestation dyscalculie ?

A

Temps investi dans étude (p. ex. famille favorisée)

41
Q

Dyscalculies secondaires 4 sphères pouvant être atteintes et nécessité numéro 1

A
  • TDC et troubles visuospatiaux
  • trouble développemental du langage oral
  • atteinte en MT
  • trouble des FE (inconfort à parler de dyscalculie secondaire)

***nécessite être apte à identifier pb primaires

42
Q

Trouble développemental de la coordination (TDC) et troubles visuospatiaux : 4 points

A
  1. Existence d’un recouvrement important au niveau cérébral entre aires pariétales liées au traitement visuospatial et aires liées au traitement numérique
  2. Certains enfants dyspraxiques ou TDC ont des troubles visuospatiaux, mais pas de problème pour la sémantique du nombre
  3. Mais peuvent avoir des anomalies dans le développement de la ligne numérique mentale
  4. parmi les plus fréquents dans dyscalculie secondaire
43
Q

Trouble développemental de la coordination (TDC) et troubles visuospatiaux : manifestations cliniques (4)

A
  1. Difficultés dans toutes les activités visuospatiales
  2. Difficultés dans les activités mathématiques qui ont une composante visuospatiale (dénombrement, calcul écrit, géométrie, etc.)
  3. Peu ou pas aidé par la manipulation concrète du matériel
  4. Réussit les activités numériques sans composantes visuospatiales : suite des mots-nombres, faits numériques, calcul mental, signification des opérations, connaissances déclaratives des procédures de calcul
44
Q

Trouble développemental du langage oral : manifestations cliniques (6)

A

***conséquences variables selon nature des atteintes

  1. difficultés pour acquisition des mots-nombres
  2. difficultés pour transcodage code orale à code arabe et vice-versa
  3. difficultés mémorisation des faits arithmétiques
  4. difficultés pour compréhension des énoncés
  5. réussit mieux quand présentation visuelle ou visuospatiale, aidé par le matériel concret
  6. pas d’atteinte pour estimation des quantités et représentations analogiques

Aller regarder dans les erreurs si erreurs résultent lexique, syntaxe…

45
Q

Atteinte en MT (3 points)

A
  1. MT juoe un rôle dans acquisition stratégie comptage, calcul mental et faits arithmétiques
  2. Existence d’une corrélation entre variables phonologiques liées aux performances en lecture et dyscalculie
  3. Dyslexie et dyscalculie souvent associées
46
Q

Atteinte MT manifestations cliniques (4)

A
  1. Difficultés apprentissage faits numériques
  2. Difficultés en calcul mental
  3. Difficultés à gérer différentes opérations et à traiter simultanément les informations
  4. Erreurs de transcodage

Difficile pour table multiplications (même chiffre dans ordre différents qui donnent résultats différents).
*** plus on surcharge mt, plus il y a de chance de perdre info.

47
Q

Atteintes FE : manifestations cliniques (4)

A
  1. difficultés dans toutes les activités, pas uniquement math
  2. présence de réponses impulsives
  3. difficultés à inhiber les stratégies préalablement apprises, les schèmes prégnants
  4. difficultés à déterminer les étapes dans les résolutions de problème et à appliquer/ coordonner celles-ci

***inconfort à parler de dyscalculie

48
Q

Évaluation des mathématiques (étapes)

A
  1. Évaluation intellectuelle
  2. Déficit global ?
    ***si oui pas de tx spécifique. on donne aide, mais pas pb spécifique aux maths
  3. Profil évocateur d’un trouble ?
  4. Évaluation des maths
  5. présence de difficultés ?
  6. difficultés primaires/ secondaires
49
Q

Domaines à explorer (3)

A
  1. Différentes représentations du nombre et transcodage
  2. Connaissances déclaratives verbales, connaissances procédurales et connaissances conceptuelles
  3. MdeT et FE
50
Q

Analyse des tests, façon de grouper les épreuves selon fonctions qu’elles sollicitent

A
  1. Sens du nombre
  2. Codes symboliques et transcodage
  3. Compétences transversales
51
Q

Difficultés vs trouble

A
  1. Dyscalculie : trouble spécifique des apprentissages, pas une atteinte globale. SPÉCIFIQUE
  2. Écart significatif à la norme (-1,6 ET)
  3. Persistante : difficultés résistantes à un soutien, à une prise en charge spécifique
    MAIS
    Peut coexister avec autre tx spécifique, avec autre tx cognitif
52
Q

7 tests proposés

A

TEDI-MATH (5-8 ans) : Estimation de quantité, comptage, dénombrement, opérations logiques, code verbal
oral/écrit, code arabe, opérations/calculs, transcodage, compréhension base 10,
résolution de problèmes

TEDI-MATHS GRANDS (3ème année à Sec 1) : Subitizing, estimation de quantité, comptage, dénombrement, opérations logiques,
code verbal oral/écrit, code arabe, opérations/calculs, transcodage, compréhension
base 10, résolution de problèmes, géométrie

ZAREKI (1ère à 5ème) : Estimation de quantité, comptage, dénombrement, code verbal oral/écrit, code arabe,
opérations/calculs, résolution de problèmes

EXAMATH (5 à 8 ans et 8 à 15 ans) : Habiletés numériques de base, numération, arithmétique, mesure, résolution de
problèmes à énoncés verbaux, raisonnement et langage

NUMERICAL (7 à 10 ans) : Estimation de quantité, dénombrement, code verbal oral/écrit, code arabe,
opérations/calculs, transcodage

UDN-3 (4 à 15 ans) : Estimation de quantité, comptage, dénombrement, opérations logiques,
opérations/calculs, transcodage, résolution de problèmes

KEY-MATH 3 (5 à 18 ans ) : Numération, algèbre, géométrie, mesure, probabilités, calcul mental calcul écrit,
résolution de problèmes