Annonce dx - examen intra Flashcards

1
Q

Explique TDAH à un parent

A

CARACTÈRE NEURODÉVELOPPEMENTAL
1. Le trouble déficitaire de l’attention, avec ou sans hyperactivité, est un trouble neurodéveloppemental. Cela signifie que c’est un trouble qui apparait pendant le développement cérébral de l’enfant, affectant la maturation de régions spécifiques du cerveau. Ce trouble n’a donc rien à voir avec son niveau d’intelligence. Ce retard fait en sorte que l’enfant ne peut pas accomplir certaines choses comme il est attendu pour son âge et pour son niveau de développement, notamment en matière d’attention et de concentration.

TROUBLE DE L’ATTENTION
2. Il y a plusieurs troubles neurodéveloppementaux. Dans le cas du TDA(H) c’est surtout l’attention qui est déficitaire, c’est à dire qu’elle peut être instable ou mal régulée selon les contextes ou les besoins. C’est-à-dire, un enfant avec un TDA(H) aura de la difficulté significatives et qui perdure dans le temps à adapter son attention aux demandes spécifiques de l’activité qu’il est entrain de faire. Il aura plus de difficulté à maintenir son attention sur des tâches qui ne sont pas très stimulantes, comme les devoirs ou les activités quotidiennes. Cela peut également se manifester par un manque d’intérêt pour des tâches longues ou répétitives, sans renforcement ou récompense. Par contre, l’enfant peut être capable de se concentrer très facilement sur les activités très stimulantes comme jouer aux jeux vidéo ou regarder son film préféré.

DEUX SPHÈRES DE VIE
3. Pour qu’on puisse diagnostiquer un TDA(H), il doit y avoir des atteintes au niveau du fonctionnement de l’enfant dans au moins deux domaines, comme à la maison, au niveau social ou à l’école par exemple. Par exemple, si un enfant rencontre des difficultés à l’école mais que tout va bien à la maison, cela peut signifier que des facteurs spécifiques à l’école influencent son comportement.
Les comportements d’un enfant TDA(H) peuvent se retrouver chez tous les enfants, mais pour ceux-ci ils sont chroniques et très prononcés.

MANIFESTATIONS
Les premières manifestations du TDA(H) vont apparaitre pendant la petite enfance. Cependant c’est surtout à l’âge scolaire que les parents vont aller chercher de l’aide parce que les manifestations vont alors avoir un impact sur la scolarisation. L’enfant peut avoir de la difficulté par exemple à rester assis longtemps, respecter son tour de parole ou suivre plusieurs consignes.

Le TDA peut se manifester de diverses façon et chaque enfant le vivra d’une façon unique. Il existe trois catégories de manifestations comportementales : l’inattention, l’hyperactivité et l’impulsivité. Chaque enfant peut avoir une ou plusieurs de ces manifestations comportementales. C’est là qu’on fait la différence entre TDA et TDAH puisque l’ajout du H signifie que l’enfant présente des manifestations d’hyperactivité et d’impulsivité. Ces catégories de manifestations comportementales permettent de qualifier comment le TDA se manifeste en ce moment pour l’enfant, ça veut dire que ça peut changer.
- Un enfant avec hyperactivité et impulsivité aura des comportements comme se lever dans des situations où il doit rester assis, trop parler, pas attendre son tour, gigotter sur son siège, courir ou grimper partout, répondre à des questions pas poser et interrompre les gens., des difficultés à se tenir tranquille.
- Un enfant avec une prédominante inattentive aura des comportements comme des fautes d’inattention, une incapacité à prêter attention au détail, du mal à soutenir son attention au travail ou dans les jeux, va agir comme s’il n’écoutait pas quand on lui parle, du mal à s’organiser, des oublis fréquents, se laisse distraire par des choses qui arrivent, perdre ses objets, éviter les tâches qui demandent un effort mental soutenu, n’écoute pas les consignes, difficulté à soutenir son attention au travail ou dans les jeux, p. ex.

DIFFICULTÉS
Ces symptômes là peuvent amener des difficultés à la maison, comme des crises de colère, des tensions au sein de la famille ou des conflits avec les frères et soeurs. La période de devoirs peut être plus difficile, tout comme le développement de routine puisque l’enfant se laisse distraire, ce qui peut amener le parent à s’impatienter ou être découragé.

Tandis à l’école, l’enfant va souvent avoir besoin de plus d’encadrement et de supervision pour accomplir ses tâches. Il peut également développer des problèmes d’apprentissage en lecture en raison des difficultés attentionnelles, par exemple. Ses comportements peuvent l’amener à avoir de l’attention négative de son enseignante. L’enfant peut en venir à voir l’école comme un milieu difficile où on lui demande sans arrêt des trucs qu’il n’est pas capable de faire.

Au niveau des amis, ça peut être plus difficile, notamment si l’enfant a des comportements impulsifs et de la difficulté à gérer sa colère. Un enfant qui ne sait pas quand intervenir dans la conversation, qui est impulsif ou qui a des explosions de colères peut avoir du mal à maintenir des amitiés stables. Il peut être rejeté ou mal compris par ses pairs.

TDAH et AUTRE CONDITION
L’enfant qui a un TDAH peut aussi vivrent d’autres défis, comme de l’anxiété p. ex. ou des difficultés d’apprentissage.

CAUSES
Le TDA(h) n’a pas une cause unique. Il y a plusieurs facteurs qui peuvent l’expliquer, par exemple une prédisposition génétique. Cela signifie que l’enfant a plus de risque d’avoir un TDAH si un de ses parents présente ce trouble. La façon dont le cerveau fonctionne peut prédisposer au TDA(h). Des déséquilibres au niveau de certains neurotransmetteurs, (dopamine, sérotonine), les messagers chimiques du cerveau, peuvent également être impliqués. Au niveau du lobe frontal, donc la partie à l’avant de cerveau, il peut y avoir certains enjeux au niveau du développement , sachant que cette partie du cerveau participe à la gestion de fonctions comme l’attention, la planification, l’organisation, le filtrage des paroles et la pédale de frein des comportements impulsifs. Puis, il y a certains facteurs environnementaux qui pourraient avoir un impact sur la présence du TDA, comme par exemple, la présence de plomb ou autre. Tout ça est toujours en développement.

POSITIF
L’enfant aura plusieurs comportements qui peuvent rendre son parcours plus difficile, mais il y aura aussi des traits positifs comme un niveau élevé d’Énergie, une créativité marqué, une capacité à faire plusieurs tâches en même temps, une capacité à sortir des sentiers battus et à être original et un enthousiasme contagieux. Ces traits peuvent être des atouts dans certains contextes.

INTERVENTION
La bonne nouvelle, c’est que même si l’enfant n’est pas responsable de cette condition, en collaboration avec les parents, les enseignants et les professionnels, on peut mettre en place des stratégies efficaces pour réduire les symptômes. Cela peut inclure un plan d’intervention individualisé, un suivi médical (médication), des séances en orthopédagogie ou en psychoéducation à l’école, ainsi que des méthodes adaptées pour améliorer le quotidien à la maison.

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Q

Explique dyscalculie à un parent

A

CARACTÈRE NEUROLOGIQUE
La dyscalculie est un trouble des apprentissages d’origine neurologique, soit neurodéveloppemental. Cela signifie que l’enfant présente des difficultés spécifiques à l’acquisition et l’utilisation des informations numériques et aux opérations mathématiques, en raison d’un dysfonctionnement du fonctionnement du cerveau. C’est donc vraiment les zones associées à la gestion des nombres et des calculs qui fonctionnent de façon différente. Ce trouble n’a donc rien à voir avec son niveau d’intelligence générale ou d’efforts, mais il perturbe l’apprentissage des compétences mathématiques. Ce n’est pas un retard, mais vraiment la façon dont le cerveau fonctionne. Les signes de dyscalculie apparaissent généralement dès le début de l’école primaire et sont présents tout au long de la vie, même avec un soutien ou une prise en charge spécifique.

TROUBLE DU CALCUL
Un enfant atteint de dyscalculie aura de grandes difficultés à comprendre et utiliser les nombres, ainsi qu’à résoudre des problèmes de mathématique ou logique. Les compétences en mathématique ou avec les chiffres de l’enfant vont être significativement en dessous de ce qui est attendu pour un enfant de son âge.

SPHÈRES AFFECTÉES
Ces difficultés là en mathématique vont interférer de façon significative sur les performances à l’école ou les activités de la vie de tous les jours. Par exemple, l’enfant pourrait avoir de la difficulté à mesurer les quantités d’ingrédients pour faire une recette, lire l’heure, lire les prix à payer, calculer la durée d’une activité. À l’école, les apprentissages nécessitant des compétences en mathématique ou une compréhension des chiffres, donc les sciences, la lecture des nombres, les calculs mentaux, par exemple.
MANIFESTATION

DIFFICULTÉS
L’enfant va avoir une difficulté à comprendre les nombres, mais aussi à les utiliser, donc à faire des opérations.
- SENS DU NOMBRE
Les enfants avec une dyscalculie vont avoir de la difficulté avec le sens du nombre. Cela signifie que ça va être plus difficile pour eux de s’imaginer dans leur tête la représentation des nombres, p. ex. le chiffre 4, et le sens de ceux-ci. Ils vont avoir de la difficulté à comprendre les quantités, les estimer et les représenter. Donc ca serait difficile par exemple de placer le chiffre 2 sur une échelle de grandeur de 10. Le comptage sera difficile pour ces enfants là et le dénombrement, surtout sans les doigts. Tout ça va faire en sorte que les systèmes numériques, la lecture et l’écriture des nombres sera plus difficile.
- OPÉRATIONS
Puisque ça va être difficile au niveau du sens des nombres, cela le sera aussi au niveau des opérations, par exemple les additions, soustractions, multiplications et division. La calculatrice va être un défi pour ces enfants là. Le calcul mental va être un défi et la résolution de problème également. Tout ça va faire qu’il aura plus de difficulté à faire appel aux apprentissages précédents pour répondre à un problème.

DYSCALCULIE ET AUTRES CONDITIONS
La dyscalculie peut coexister avec d’autres troubles, mais aussi être causées par d’autres troubles. C’est pour cette raison que lors des évaluations, on vient regarder comment le cerveau fonctionne pour d’autres tâches, comme les tâches verbales, de connaissances, de fonctions exécutives, qui sont comme les chefs de cuisine du cerveau. On vient regarder que ce n’est pas d’autres difficultés qui causent la dyscalculie, mais aussi la coexistence de d’autres difficultés avec la dyscalculie, comme la dyslexie ou un TDA.

CAUSES
Comme mentionné au début , ce sont vraiment des anomalies dans le développement du cerveau qui sont présentes dès la naissance qui cause la dyscalculie. C’est pas un manque de stimulation ou d’intelligence, ni un manque d’effort de la part de l’enfant ou du parent au développement des apprentissages en classe. Il s’agit d’une différence neurologique dans la manière dont les informations mathématiques sont traitées par le cerveau

POSITIF
Poser le diagnostic de dyscalculie permet de mieux comprendre les difficultés de l’enfant et donc de mettre en place les mesures appropriées pour l’aider. Ces interventions vont pouvoir potentialiser ses capacités en s’appuyant sur ses forces et favoriser son bien-être. Il y a différents professionnels qui peuvent aider l’enfant à mieux comprendre le sens des nombres et des opérations en mathématiques, dont les orthophonistes, les orthopédagogues par exemple. Des mesures d’accommodations peuvent aussi être mis en place à l’école.

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Q

Explique TDL à un parent

A

CARACTÈRE NEUROLOGIQUE
Le trouble développemental du langage est un trouble d’origine neurologique. Cela signifie que l’enfant présente des difficultés spécifiques à l’apprentissage du langage parce que son cerveau fonctionne différement. Ce trouble est présent de la naissance jusqu’à l’âge adulte. Ce n’est donc pas un retard que l’enfant va rattraper, même avec des mesures d’intervention. Les difficultés ne résultent pas non plus d’un autre trouble comme l’autisme par exemple ou une difficulté marquée dans toutes les sphères d’apprentissage. Tous les enfants qui apprennent à parler doivent relever certains défis. Par exemple pour les touts-petits qui parlent français, conjuger les verbes c’est difficile ! Mais pour un enfant avec un trouble de langage, c’est encore plus compliqué.

CE QUE ÇA IMPLIQUE POUR L’ENFANT
De façon générale, le langage de l’enfant avec un trouble de langage va ressembler à celui d’un enfant plus jeune. Il va y avoir d délais langagiers. L’enfant peut avoir de la difficulté à comprendre le langage, à s’exprimer ou les deux. Les difficultés vont variés d’un enfant à l’autre, mais peuvent inclure une difficulté à comprendre les consignes et les questions. Il peut très bien comprendre ce qu’on lui dit, mais s’exprimer avec des phrases incomplètes ou incorrectes, p. ex. en disant moi manger gâteau à l’âge de 5 ans. Ou encore, un enfant d’un an et demi qui ne cherche pas à communiquer ou imiter le sons L’enfant peut avoir un faible vocabulaire pour s’exprimer, par exemple souvent chercher ses mots et utiliser des mots imprécis. Cela peut le mener à faire des phrases très courtes ou prononcer difficilement certains sons.

IMPLICATIONS SECONDAIRES
C’est important d’agir pour ses enfants là parce qu’il y a également des implications secondaires au trouble du langage. Par exemple, l’apprentissage du langage écrit se base sur l’apprentissage du langage oral. Donc pour savoir lire et écrire, le langage doit être développé.
Au niveau fonctionnel, puisque l’enfant prend peu la parole, ça peut devenir difficile au niveau des interactions sociales. Il peut éviter certains événements où la prise de parole est nécessaire. L’organisation peut être plus difficile. Tout ça peut mener à des enjeux au niveau de l’estime de soi.

POSITIF
Le fait d’en venir à un dx de TDL présente certes, beaucoup de défis. cependant ce qui est positif là dedans c’est que cela nous permet de l’adresser. Il y a plusieurs choses qu’on peut mettre en place pour favoriser les apprentissages de l’enfant et son bien-être. Sur le plan de la compréhension, l’enfant peut bénéficier qu’on ralentisse le débit de parole, qu’on simplifie les consignes et qu’on lui donne plus de temps. À l’école, le pairage avec un autre élève peut l’aider puisque l’enfant sera peut-être plus confortable de poser de questions. Au niveau de l’expression, il est recommandé de laisser le temps à l’enfant de s’exprimer, de ne pas parler à sa place et de valoriser les tentativse de prise de parole. Si on est pas certains d’avoir bien compris, on reformule une fois qu’il a terminé ou on peut donner des indices pour qu’il spécifie sa pensée.
Il y a aussi plusieurs professionnels qui peuvent venir aider l’enfant, notamment un orthophoniste qui va pouvoir faire un plan d’intervention, une ergothérapeute ou une TES. Du soutien existe également pour vous, sachant que c’est beaucoup à gérer. Une travailleuse sociale pourrait vous aider dans votre recherche de ressource et de subvention.

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Explique dyslexie/ dysorthographie à un parent

A

CARACTÈRE NEUROLOGIQUE
La dyslexie et la dysorthographie sont des troubles des apprentissages d’origine neurologique, soit neurodéveloppemental. Cela signifie que l’enfant présente des difficultés spécifiques à l’acquisition et l’utilisation du vocabulaire et de l’écriture, en raison d’un dysfonctionnement du fonctionnement du cerveau. Ce sont donc vraiment les zones associées à la lecture et à l’écriture qui fonctionnent de façon différente. Ce trouble n’a donc rien à voir avec son niveau d’intelligence générale ou d’efforts, mais il perturbe le fonctionnement et l’apprentissage des compétences d’écriture et de lecture. Ce n’est pas un retard, mais vraiment la façon dont le cerveau fonctionne. Les signes de dyslexie et dysorthographie apparaissent généralement dès le début de l’école primaire et sont présents tout au long de la vie, même avec un soutien ou une prise en charge spécifique.

IMPLICATION POUR L’ENFANT
L’enfant peut avoir des difficultés spécifiques dans deux domaines principaues.
1. Lecture : Au niveau de la lecture, l’enfant va avoir de la difficulté à lire avec précision, à reconnaitre les mots écrits, et à maintenir un rythme fluide. Puisque son rythme est affecté, il aura de la difficulté à comprendre ce qu’il lit. L’enfant dyslexique ne sera pas capable de rendre la lecture automatique à la même vitesse que les élèves.
2. Écriture : Au niveau de l’écriture, l’enfant aura de la difficulté à épeler correctement, à faire un bon usage de la grammaire et de la ponctuation et organiser avec clarté son idée écrite. En d’autres mots, il aura de la difficulté à acquérir et mémoriser l’orthographe.

CONSÉQUENCES INDIRECTES
Écrire et lire va également demander beaucoup d’énergie, malgré la pratique. Il va donc moins lire et ne pas s’améliorer. Chez certains enfants, le manque de lecture va nuire au développement du langage oral.

Il va y avoir des conséquences directes , comme des difficultés au niveau de la compréhension, du vocabulaire, de la composition écrite et de la performance scolaire, mais aussi des conséquences indirectes chez ses enfants là. La lecture est nécessaire à la réussite de différentes matières scolaires : mathématique, sciences, histoires.

CONSÉQUENCES VIE QUOTIDIENNE :
Au-delà des difficultés scolaires, la dyslexie et la dysorthographie peuvent avoir des conséquences dans la vie de tous les jours. Par exemple, l’enfant peut avoir de la difficulté à lire les étiquettes d’un produit ou une recette quand il cuisine avec ses parents. Il peut alors avoir du mal à suivre et se sentir décourager. Il pourrait redouter la lecture avant le dodo puisque ça le fatigue, ce qui pourrait entrainer une perte de plaisir lié à la lecture.

Ces impacts là peuvent également avoir des impacts émotionnelles pour l’enfant, telles que une faible estime de soi, de l’anxiété, voire des problèmes de motivation. L’enfant peut se sentir frustré ou démoralisé, surtout lorsqu’il voit ses camarades réussir plus facilement. Par exemple, il peut redouter de lire à haute voix en classe ou éviter les exercices d’écriture, ce qui peut affecter son bien-être.

CAUSES
Comme mentionné au début , ce sont vraiment des anomalies dans le développement du cerveau qui sont présentes dès la naissance qui cause la dyslexie et la dysorthographie. C’est pas un manque de stimulation ou d’intelligence, ni un manque d’effort de la part de l’enfant ou du parent au développement des apprentissages en classe. Il s’agit d’une différence neurologique dans la manière dont les informations lors de la lecture/ écriture sont traitées par le cerveau

POSITIF
En identifiant un enfant qui vit une dyslexie et une dysorthographie, on peut venir l’adresser. Il existe vraiment plusieurs interventions possibles pour maximiser le fonctionnement d’un enfant dys et diminuer l’impact de ses difficultés sur son rendement scolaire. Le plus on vient agir tôt et de façon personnalisé, p. ex. en petit groupe ou de façon individualisé, le plus on va assister à des progrès. En classe par exemple, l’enseignant peut faire preuve de flexibilité, adapter la lecture ou modifier les demandes pour l’enfant. On veut vraiment venir mettre l’accent sur la maitrise du graphème-phonème, c’est-à-dire à associer les lettres aux sons correspondants. On peut aussi encourager la lecture à haute voie et l’utlisation d’outils technologiques. Si vous demandez à l’enfant de lire à voix haute, faites le vous aussi pour partager.

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