Drogues Flashcards
psychopharmacologie
étude de comment les drogues affectent le cerveau et le comportement
drogues psychoactives
substances qui agissent pour modifier l’humeur, la pensée ou le comportement
Comment une drogue est efficace?
si elle atteint une cible dans le cerveau
injectée directement au cerveau = aucune barrière
injectée dans le sang = très peu de barrière
inhalée = peu de barrière
Manière la plus efficace : oralement
chaque barrière le dosage diminue par un facteur 10
barrière hématoencéphalique
empêche la plus part des substances de passer du sang au cerveau
cellules endothéliales
dans le corps : ne sont pas jointes fermement = facile de circuler
dans le cerveau : sont jointes très fermement = impossible de circuler (substances ne la traversent pas)
aire postrema
permet au substance toxique dans le sang de déclencher une réponse de nausée
glande pinéale
module cycle éveil-sommeil
L’accès au cerveau difficile
98% de toutes les drogues pouvant affectés le cerveau avec usage thérapeutique ne se rendent pas (impossible de traverser la barrière hémato encéphalique)
Élimination des drogues
métabolisées dans les reins, foie, intestins = sécrétion dans l’urine, excréments, transpirations¸
substances qui ne peuvent pas s’enlever : accumulation toxique
Action agoniste
augmente la fonction/effet d’une synapse
ISRS = agoniste
Action antagoniste
diminue/bloque l’effet d’une synapse
Processus d’action des drogues au synapses
- Synthèse neurotransmetteur
- Entreposage du neurotransmetteur dans les granules ou les vésicules
- Libération du transmetteur de la terminaison nerveuse
- Interaction du récepteur avec la membrane postsynaptique
- Inactivation de l’excès de neurotransmetteur à la synapse
- Recapture à la terminaison pré
- Dégradation de l’excès de neurotransmetteur
Tolérance
(def) réponse diminue à la suite de l’exposition à un stimulus
tolérance métabolique
augmentation du nb d’enzymes pour dégrader une substance
tolérance cellulaire
ajustement du cerveau pour minimiser l’effet de la substance (ex : ajustement du nombre de récepteurs)
Tolérance apprise
apprend à composer avec l’intoxication = signes moins visibles
sensibilisation
plus à risque avec un usage occasionnel : réponse accrue avec un dosage égale de drogue
Classification des drogues (5 catégories)
- Agents antianxieux et sédatifs (calmant)
- Antipsychotiques (traitement schizophrénie)
- Antidépresseurs/stabilisateur d’humeur
- Analgésiques opiacés (réduction de la souleur)
- Psychotropes (stimulant)
Agents antianxieux et sédatifs
GABA
Benzodiazépines : Valium Xanax (tranquillisants mineurs)
Barbiturates : alcool (sédation et sommeil, remplacé par benzodiazépines car dose létale)
GHB, Ketamine, PCP
Antipsychotiques
Haldol
Réduit bcp hallucination
1ère génération : bloquent récepteurs dopaminergiques = symptômes semblables au Parkinson
2e génération : bloque faiblement récepteurs dopaminergiques et bloque un peu la sérotonine = pas de parkinson, mais prise de poids et affecte motivation
antidépresseurs, stabilisateur de l’humeur
analgésiques opiacés
morphine, codéine, héroïne
Psychotropes (stimulants)
amphétamine, cocaïne
psychedelics : LSD, ecstasy, champignons magiques
Tolérance croisée (sédatif)
réponse à une nouvelle drogue réduite, car la tolérance est développée avec une drogue liée (les 2 drogues affectent une partie communes)
Ex : benzodiasépines et alcool (les 2 affectent le neurotransmetteur GABA)
neurogénèse
production de noueaux neurones
théorie de la désinhibition
alcool = effet dépresseur sur le cortex, donc inhibe cortex frontal donc bcp moins d’inhibition
myopie sous l’effet de l’alcool
cortex désactivé = vivre un peu trop dans le moment présent sans penser aux conséquences lointaines
abus de substance
addiction
- abus : utilisation de la drogue de manière chronique et occupe une place centrale dans la vie
- addiction : physiquement dépendant et développement d’une tolérance
noyaux accumbens
associé à la dépendance et au principe de récompense (dopamine) dans les drogues
différence sexuelle dans l’addiction
femme 2x + sensible
Bases cérébrales de l’addiction
cortex frontal : décision de prendre la drogue
drogue active le système des opiacés lié aux expériences plaisantes
vouloir consommer de la drogue : voie mésolimbique