diabète Flashcards
quel est le taux de glucose sanguin normal chez l’humain
3.5 et 6 mmol/L
quel est l’âge d’apparition du diabète de type 1?
plus fréquent chez lez jeunes sujets, mais possible à tout âge
quel est l’âge d’apparition du diabète de type 2?
vers 35 ans, mais possible à tout âge. incidence accrue chez les enfants
type d’apparition de la maladie dbt1
apparition soudaine des s&s, mais possibilité d’évolution pdt +sieurs années
type d’apparition de la maladie dbt2?
s&s insidieux, parfois non reconnaissables pdt des années
prévalence de chaque type de dbt (%)?
1: 5-10%
2: 90-95%
facteurs environnementaux selon chaque type de dbt?
dbt 1: virus, toxines
dbt 2:obésité, manque d’exercice
principales anomalies selon chaque type de dbt?
dbt 1: production d’insuline insuffisante/nulle
dbt2: insulinorésistance, diminution de la prod d’insuline avec le temps, faible production d’adipokines
anticorps anti-îlots de Langerhans selon chaque type de dbt?
(ICA) constituent un marqueur d’autoimmunité anti cellules β pouvant contribuer au typage du diabète
dbt1: svt présents au début de la maladie
dbt2: absents
insuline endogène selon chaque type de dbt?
dbt1: quantité minimale/nulle
dbt2: pt excessive. adéquate, mais sécrétion tardive ou utilisation réduite. diminution des sécrétions avec le temps
état nutritionnel selon chaque type de dbt?
dbt1: mince, normal ou obèse
dbt2: normal ou obèse
s&s selon chaque type de dbt?
dbt1: perte de poids, fatigue, polyurie, polyphagie, polydipsie
dbt2: svt aucun, ou fatigue ou infections persistantes
il y a une incidence accrue de diabète de type 2 chez les enfants. Pour quelle raison croyez-vous qu’il y a une augmentation des apparitions de cas chez les enfants ?
type 2 survient à cause de facteurs environnementaux tels que l’obésité et le manque d’exercice. De nos jours, les habitudes de vie des enfants sont de moins en moins bonnes ce qui augmentent les risques pour les enfants d’être atteints d’obésité et ainsi de développer un diabète de type 2.
Il est mentionné dans le tableau 60.1 que l’insuline endogène diminue avec le temps chez les personnes diabétiques de type 2. Quel lien faites-vous avec l’administration d’insuline et l’état du diabète de la personne? C’est-à-dire au début de la maladie versus l’état avancé du diabète.
Dans le diabète de type 2, 4 anomalies métaboliques jouent un rôle dans l’apparition du diabète de type 2.
1- la résistance à l’insuline, ou l’insensibilisation des tissus à l’insuline
2- diminution marquée du pancréas à produire de l’insuline
3- production inappropriée de glucose par le foie
4-altération de production d’hormones et de cytokines par le tissu adipeux
Le premier facteur est la résistance à l’insuline (insulinorésistance) dans le métabolisme du glucose et des lipides, qui correspond à l’insensibilisation des tissus à l’insuline. Ceci est dû au fait que les récepteurs insuliniques ne répondent pas à l’action de l’insuline ou sont trop peu nombreux. En général, les récepteurs insuliniques se trouvent sur les cellules musculaires, adipeuses et hépatiques. L’utilisation inadéquate de l’insuline entrave la pénétration cellulaire du glucose, ce qui provoque une hyperglycémie.
Dans les stades précoces de l’insulinorésistance, le pancréas répond à l’hyperglycémie en augmentant la sécrétion d’insuline (si le fonctionnement des cellules bêta est normal). Ceci crée un état temporaire d’hyperinsulinémie qui coexiste avec l’hyperglycémie.
Le second facteur lié à l’apparition du diabète de type 2 est une diminution marquée de la capacité du pancréas à produire de l’insuline, soit par l’épuisement des cellules bêta causé par la surproduction compensatoire d’insuline, soit par la perte de la masse fonctionnelle des cellules bêta.
Le troisième facteur est la production inappropriée de glucose par le foie. Plutôt que de régler adéquatement la sécrétion du glucose en fonction de la glycémie, le foie produit de l’insuline d’une façon désordonnée qui ne correspond pas aux besoins momentanés de l’organisme.
**Ce processus n’est pas considéré comme un élément principal dans l’apparition du diabète de type 2.
Le quatrième facteur est une altération de la production d’hormones et de cytokines par le tissu adipeux. Ces dernières, aussi appelées adipokines, semblent jouer un rôle dans le métabolisme du glucose et des gras, et contribuent probablement à la physiopathologie du diabète de type 2.
que signifient les 4p du diabète
1- perte de poids récente et soudaine
2- polydipsie (soif excessive)
3- polyurie (mictions fréquentes)
4- polyphagie (faim excessive)
Faites la différence entre une anomalie de la glycémie à jeun, une intolérance au glucose et les valeurs d’une hémoglobine glyquée (HbA1C) dans la phase du prédiabète? Par quels examens les détectons-nous?
1) AGJ : 6,1 à 6,9 mmol, est une glycémie à jeun
2) IG : 7.8 à 11, est provoqué avec petit jus 75g
3) HbA1C : 5,7 et 6,4%, permet de voir % sucre qui se lie à glob rouge
quel est le rôle de l’inf dans la gestion du diabète
1) objectifs de la prise en charge
- atténuer les symptômes
- favoriser le bien être
- prévenir les complications aiguës de l’hyperglycémie
- retarder et prévenir les complications à long terme
2) enseignement sur plusieurs éléments
- régime alimentaire
- mesure et autosurveillance de la glycémie
- médicaments et pharmacothérapie
- exercice
** essentiel au succès de plan de traitement de collaborer!
qu’est-ce que la résistance à l’insuline
La résistance à l’insuline (insulinorésistance) dans le métabolisme du glucose et des lipides correspond à l’insensibilisation des tissus à l’insuline.
Ceci est dû au fait que les récepteurs insuliniques ne répondent pas à l’action de l’insuline ou sont trop peu nombreux. En général, les récepteurs insuliniques se trouvent sur les cellules musculaires, adipeuses et hépatiques. L’utilisation inadéquate de l’insuline entrave la pénétration cellulaire du glucose, ce qui provoque une hyperglycémie.
L’insulinorésistance est une condition où les cellules du corps deviennent moins sensibles à l’insuline, une hormone qui régule la glycémie. Cela peut conduire à des niveaux de sucre dans le sang plus élevés, augmentant le risque de diabète de type 2 et d’autres problèmes de santé. Souvent causé par sédentarité.
nommes les examens cliniques et paracliniques qui sont effectués dans l’encadré 60.2 et leur but recherché
- Antécédents et examen physique
- Analyses sanguines (glycémie à jeun, glycémie postprandiale, taux d’HbA1c, profil lipidique, créatinine sérique, électrolytes, thyréostimuline [TSH])
- Analyse complète des urines (microalbuminurie, créatinine (fonction du rein) pour voir s’il y a présence de néphropathie et acétone, au besoin)
- Pression artérielle
- Électrocardiogramme [ECG] (chez tous les diabétiques âgés de plus de 40 ans; chez tout diabétique ayant plus de 15 ans d’évolution de la maladie) indépendamment de l’âge, en présence d’hypertension, de protéinurie, d’un pouls diminué ou d’un souffle vasculaire. Personne diabétique plus susceptible de faire infarctus que personne en santé)
- Ophtalmoscopie (examen des yeux dilatés. Car peut créer trouble visuel, puisque diabète peut faire angiopathie microvasculaire)
- Examen dentaire (car plus de risque de caries ou maladie buccodentaire ou diminution de la production de salive)
- Examen neurologique, y compris le test du monofilament pour évaluer la sensibilité des extrémités
- Indice tibio brachial, si indiqué (mesure pression artérielle du bras vs tibial) : Bon indication de la perfusion sanguine et voir s’il y a une perte = dépiste insuffisance artérielle (propice à avoir des plaies).
- Examen podiatrique (pieds) : Perte de sensibilité possible, dégradation au niveau nerveux est souvent périphérique
- Surveillance du poids
processus thérapeutique (?)
- Programmes de formation et de suivi à l’intention des clients et des proches aidants
- Thérapie nutritionnelle
- Activité physique
- Autosurveillance de la glycémie
- Pharmacothérapie
- Insuline
- Antidiabétiques oraux et autres
- Comprimés d’acide acétylsalicylique (de 81 à 325 mg) envisagés chez les clients qui présentent une maladie cardiovasculaire stable
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IECA) - Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine Il (ARA)
- Antihyperlipidémiants
BIEN CONNAITRE LES INSULINES ET LEURS UTILITÉS
explique le phénomène de lipodystrophie (lipohypertrophie)
la lipodystrophie (atrophie des tissus sous-cutanés) se produit dans la régions qui ont été le lieu d’injection répétées (L’utilisation de l’insuline humaine a diminué le risque de ceci). L’hypertrophie régresse lorsque le client n’utilise pas ce site d’injection pendant au moins 6 mois.
Vous vous faites demander comment effectuer la rotation des sites d’injection. Qu’allez-vous répondre?
Par conséquent, et comme la rotation des sites anatomiques d’injection entraîne des variations dans l’absorption de l’insuline, cette rotation n’est plus recommandée.
Il est plutôt conseillé aux clients de faire une rotation dans les points d’injection au sein d’un même site.
Par exemple, il est parfois utile d’imaginer l’abdomen comme un jeu de dames, chaque demi-pouce représentant un point d’injection pour une rotation systématique dans le damier.
Vrai ou faux : Lorsqu’on prélève deux insulines, on débute par l’insuline claire et ensuite l’insuline brouille
On commence par le clair calvaire, parce que c’est moins dommageable de mettre un peu de clair dans l’intermédiaire que mettre intermédiaire dans la claire. Quand on mélange, c’est clair avec intermédiaire et pas contraire.