Devoir n° 2 autocorrectif - Année 2016-2017 Flashcards
- Textes à compléter (6 points)
Dès 1955, ____ et ____ définissaient, dans leur ouvrage de référence, l’analyse du travail comme la confrontation entre “les exigences de la ____ et les ____ ____ ____ ____ / ____ par lesquelles les individus observés répondent réellement à ces exigences”.
En 1970, la Société d’Ergonomie de ____ ____ (SELF) définit l’ergonomie comme : “l’adaptation du ____ à ____, ou, plus précisément, comme la mise en oeuvre de connaissances scientifiques relatives à l’homme et nécessaires pour concevoir des outils, des machines et des dispositifs qui puissent être utilisés avec le maximum de ____, de ____ et ____”.
En ergonomie, la distance entre les prescriptions et le réel peut mettre en évidence :
- une prescription ____ / ____ / ____ / ____ / ____,
- la ____ et la ____ des situations auxquelles les opérateurs peuvent être confrontés,
- la façon dont les opérateurs ____ leur tâche prescrite (en se donnant par exemple de nouveaux ____).
Dès 1955, OMBREDANE et FAVERGE définissaient, dans leur ouvrage de référence, l’analyse du travail comme la confrontation entre “les exigences de la TACHE et les ATTITUDES ET SEQUENCES OPERATIONNELLES / L’ACTIVITE par lesquelles les individus observés répondent réellement à ces exigences”.
En 1970, la Société d’Ergonomie de LANGUE FRANCAISE (SELF) définit l’ergonomie comme : “l’adaptation du TRAVAIL à L’HOMME, ou, plus précisément, comme la mise en oeuvre de connaissances scientifiques relatives à l’homme et nécessaires pour concevoir des outils, des machines et des dispositifs qui puissent être utilisés avec le maximum de CONFORT, de SECURITE et D’EFFICACITE”.
En ergonomie, la distance entre les prescriptions et le réel peut mettre en évidence :
- une prescription LACUNAIRE / OBSCURE / IMPLICITE / INADAPTEE / ERRONEE,
- la DIVERSITE et la VARIABILITE des situations auxquelles les opérateurs peuvent être confrontés,
- la façon dont les opérateurs REDEFINISSENT leur tâche prescrite (en se donnant par exemple de nouveaux BUTS).
Q1. L’ergonomie est une discipline scientifique qui ne vise pas
1) la conception de nouvelles situations de travail
2) la compréhension de l’activité humaine en situation expérimentale
3) la production de connaissances sur le fonctionnement humain
4) l’amélioration de l’efficacité productive d’un système
2) la compréhension de l’activité humaine en situation expérimentale
Q2. L’ergonomie, en visant l’amélioration des conditions de réalisation de l’activité, poursuit un objectif
1) pragmatique
2) épistémique
3) systémique
4) éthique
1) pragmatique
Q3. L’ergonomie dite cognitive s’intéresse
1) à l’optimisation des systèmes socio-techniques
2) aux liens entre les caractéristiques anatomiques, anthropométriques et biomécaniques, et l’activité physique des individus
3) aux liens entre la disposition d’un poste de travail et les postures adoptées
4) à la façon dont un individu mobilise ses connaissances, se construit des représentations des états du système et des dispositifs auxquels il est confronté
4) à la façon dont un individu mobilise ses connaissances, se construit des représentations des états du système et des dispositifs auxquels il est confronté
Q4. L’ergonomie favorise une approche
1) holistique
2) automatique
3) académique
4) synthétique
1) holistique
Q5. Les deux grands critères poursuivis dans la démarche ergonomique sont
1) la sécurité et la santé
2) le développement des compétences et le bien-être
3) la santé et la performance
4) la qualité et la performance
3) la santé et la performance
Q6. Le médecin et sociologue français, chargé par l’Académie des Sciences Morales et Politiques d’un rapport sur les conditions de vie de la classe ouvrière (« Conditions dans lesquelles travaillent les ouvriers »), est
1) Villermé
2) Murell
3) Ramazzini
4) Laville
1) Villermé
Q7. Le physicien français qui a évalué la quantité d’actions que l’Homme peut fournir durant une journée en prenant en compte les charges déplacées, la vitesse d’exécution et la durée du travail, est
1) Coulomb
2) De Montmollin
3) Villermé
4) Laville
1) Coulomb
Q8. Les ergonomes, entre 1963 à 1970, sont confrontés à plusieurs problèmes, dont celui
1) de privilégier la santé à l’efficacité productive
2) de privilégier l’efficacité productive à la santé
3) de passer des études expérimentales à des études sur le terrain
4) de mettre en place des normes ergonomiques
3) de passer des études expérimentales à des études sur le terrain
Q9. La SELF, fondée afin de promouvoir l’ergonomie, a été créée
1) en 1949
2) en 1963
3) en 1968
4) en 1970
2) en 1963
Q10. En ergonomie, l’unité analytique de base est
1) l’activité re-créée en laboratoire
2) l’activité observée sur le terrain
3) l’activité décrite par les opérateurs
4) l’activité prescrite par l’organisation
2) l’activité observée sur le terrain
Q11. Pour Guérin et coll. (2001), l’activité s’oppose
1) à la conduite humaine
2) au mouvement
3) à la cognition
4) à l’inertie
4) à l’inertie
Q12. Dans l’approche ergonomique, le pôle « objet » de l’activité se réfère
1) à l’entreprise
2) à l’opérateur
3) à la hiérarchie
4) aux collègues de travail
1) à l’entreprise
Q13. En ergonomie, la notion de diversité se définit de manière
1) synchronique
2) systémique
3) épistémique
4) diachronique
1) synchronique
Q14. Dans l’étude de Toupin (2008), le travail de nuit des soignantes, dans le service de pneumologie étudié, s’inscrit dans un environnement dynamique, notamment car l’état de santé des patients pris en charge n’est pas complètement stable et prévisible, et va pouvoir évoluer tout au long du poste de nuit : par exemple, des douleurs vont s’estomper, des angoisses vont se réveiller, l’état de santé va s’aggraver, etc. Cela renvoie au concept de
1) diversité inter-personnelle
2) diversité des situations
3) variabilité intra-personnelle
4) variabilité des situations
4) variabilité des situations