Devoir n° 1 autocorrectif - Année 2016-2017 Flashcards
- Textes à compléter (6 points)
Dérivée du grec “____” et “____” pour désigner la ____ du ____ (ayant pour objet l’adaptation du ____ à ____), l’ergonomie est une discipline qui s’étend aujourd’hui à tous les aspects de l’activité humaine.
Le concept de “tâche” a pris une acception spécifique en ergonomie ____, où il est opposé au concept “____”. Selon Leplat et Hoc (1983), la tâche se définit par deux éléments : “____ ____, et ____ ____ ____ ____”.
La plupart des ergonomes sont ____, c’est-à-dire qu’ils sont compétents pour intervenir dans tout type de contexte. Cependant certains peuvent choisir de se spécialiser dans des secteurs d’activité (exemples : ____, ____, ____), ou sur des champs / thèmes d’intervention (exemples : ____ ____ ____, ____, ____, etc).
Dérivée du grec “ERGON” et “NOMOS” pour désigner la SCIENCE du TRAVAIL (ayant pour objet l’adaptation du TRAVAIL à L’HOMME), l’ergonomie est une discipline qui s’étend aujourd’hui à tous les aspects de l’activité humaine.
Le concept de “tâche” a pris une acception spécifique en ergonomie FRANCOPHONE, où il est opposé au concept “D’ACTIVITE”. Selon Leplat et Hoc (1983), la tâche se définit par deux éléments : “UN BUT, et DES CONDITIONS DE REALISATION”.
La plupart des ergonomes sont GENERALISTES, c’est-à-dire qu’ils sont compétents pour intervenir dans tout type de contexte. Cependant certains peuvent choisir de se spécialiser dans des secteurs d’activité (exemples : INDUSTRIE, HOPITAUX, ETC), ou sur des champs / thèmes d’intervention (exemples : TRAVAIL DE NUIT, HANDICAP, IHM, etc).
Q1. L’ergonomie, en visant la production de connaissances relatives au fonctionnement de l’Homme en activité naturelle, poursuit un objectif
1) pragmatique
2) épistémique
3) systémique
4) éthique
2) épistémique
Q2. L’ergonomie favorise une approche
1) centrée sur la santé
2) centrée sur le poste de travail
3) centrée sur le système socio-organisationnel
4) centrée sur les postures
3) centrée sur le système socio-organisationnel
Q3. Les deux grands critères poursuivis dans la démarche ergonomique sont
1) la fiabilité et la qualité
2) la qualité et l’efficacité
3) le bien-être et l’efficacité productive
4) la santé et le confort
3) le bien-être et l’efficacité productive
Q4. Le courant « hygiéniste » partage avec l’ergonomie, telle qu’on la pratique aujourd’hui dans les pays francophones
1) la recherche de normes
2) un objectif éthique
3) l’analyse de l’activité en situation
4) une approche systémique
2) un objectif éthique
Q5. Le médecin, considéré comme le père fondateur de la médecine du travail, qui a publié le premier ouvrage sur les pathologies professionnelles (« Traité des maladies des artisans » - étude des relations entre certains troubles de la santé et les conditions de travail), est
1) Coulomb
2) Murell
3) Ramazzini
4) Laville
3) Ramazzini
Q6. Murell fonde en 1949
1) les Comités Hygiène et Sécurité
2) l’Ergonomic Research Society
3) le Centre d’Etudes Appliquées au Travail
4) la Société d’Ergonomie de Langue Française
2) l’Ergonomic Research Society
Q7. L’organisation scientifique du travail, vivant à proposer la manière la plus efficace de découper le travail, a été proposé par
1) Taylor
2) Leplat
3) Wisner
4) Clémenceau
1) Taylor
Q8. En 1973, le ministère du travail montre que les pouvoirs publics s’emparent de la question des conditions de travil en créant
1) les CHS-CT
2) l’EPHE
3) la SELF
4) l’ANACT
4) l’ANACT
Q9. On dit que l’ergonomie favorise une approche
1) systémique
2) systématique
3) analytique
4) synthétique
1) systémique
Q10. Dans l’approche ergonomique, l’activité est orientée vers trois pôles en permanence imbriqués
1) les pôles « outil », « soi » et « sécurité »
2) les pôles « productivité », « santé » et « sécurité »
3) les pôles « autres », « santé » et « compétences »
4) les pôles « objet », « soi » et « autres »
4) les pôles « objet », « soi » et « autres »
Q11. En ergornomie, l’unité analytique de base est
1) la tâche prescrite
2) la tâche réelle
3) l’activité prescrite
4) l’activité réelle
4) l’activité réelle
Q12. En ergonomie, l’activité réelle
1) est définie par ce qui doit être fait
2) est finalisée par le but que se fixe le sujet
3) répond toujours aux exigences de la prescription
4) ne prend pas en compte la variabilité des situations
2) est finalisée par le but que se fixe le sujet
Q13. En ergonomie, la notion de variabilité se définit de manière
1) synchronique
2) systémique
3) diachronique
4) épistémique
3) diachronique
Q14. Dans l’étude de Toupin (2008), les deux infirmières de nuit du service de soins utilisent des outils différents, et prennent en charge des patients qui présentent des caractéristiques et des pathologies très différentes (cancer, pneumopathie, détresse respiratoire, épanchement pleural, etc.). Cet exemple illustre le concept de
1) diversité inter-personnelle
2) diversité des situations
3) variabilité intra-personnelle
4) variabilité des situations
2) diversité des situations