Devoir n° 2 2017-2018 Flashcards

1
Q

Q1. Dans l’approche cognitiviste, il existerait

1) 3 types de mémoire
2) 1 type de mémoire
3) 4 types de mémoire
4) 2 types de mémoire

A

1) 3 types de mémoire

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2
Q

Q2. Dans le modèle de Sperling de la mémoire sensorielle, les informations visuelles sont stockées sous forme

1) de représentations propositionnelles
2) de représentations imagées
3) d’icônes

A

3) d’icônes

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3
Q

Q3. La durée de rétention de l’information dans la mémoire sensorielle visuelle est d’environ

1) 250 ms
2) 500 ms
3) 100 ms
4) 1 s

A

1) 250 ms

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4
Q

Q4. Quelle est la fausse caractéristique de la MCT

1) traitement en parallèle
2) conservation pendant quelques minutes
3) traitement séquentiel
4) capacité limitée de traitement

A

1) traitement en parallèle

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5
Q

Q5. Dans le modèle de Baddeley (1996), la mémoire de travail est composée de

1) un sous-système
2) deux sous-systèmes
3) quatre sous-systèmes
4) trois sous-systèmes

A

4) trois sous-systèmes

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6
Q

Q6. Le rôle de l’administrateur central du modèle de Baddeley (1996) est de

1) gérer les relations avec la mémoire à long terme seulement
2) gérer les ressources entre les autres sous-systèmes et les relations avec la mémoire à long terme
3) gérer les ressources entre les autres sous-systèmes seulement
4) encoder les informations visuelles langagières pour la boucle phonologique

A

2) gérer les ressources entre les autres sous-systèmes et les relations avec la mémoire à long terme

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7
Q

Q7. Le rôle du calepin visuo-spatial du modèle de Baddeley (1996) est de

1) stocker la référence spatiale des objets seulement
2) stocker et coder les informations visuelles, des images mentales et de la référence spatiale des objets
3) stocker et coder les informations visuelles seulement
4) stocker les images mentales seulement

A

2) stocker et coder les informations visuelles, des images mentales et de la référence spatiale des objets

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8
Q

Q8. Dans le modèle SPI de la mémoire de Tulving (1995), le stockage des informations se fait de manière

1) parallèle
2) indépendante
3) sérielle, parallèle et indépendante
4) sérielle

A

4) sérielle

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9
Q

Q9. Quelle est l’affirmation vraie ? La mémoire à long terme est

1) un phénomène passif
2) une sélection des informations
3) une copie des entrées perceptives
4) une réelle copie des situations

A

2) une sélection des informations

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10
Q

Q10. Selon le modèle de Squire (2004), la mémoire épisodique et la mémoire sémantique sont des sous-systèmes de

1) la mémoire explicite
2) la mémoire de travail
3) la mémoire procédurale
4) la mémoire implicite

A

1) la mémoire explicite

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11
Q

Q11. La récupération des images mentales se fait de manière

1) sérielle
2) globale
3) spécifique
4) parallèle

A

2) globale

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12
Q

Q12. La mémoire implicite correspond

1) aux souvenirs
2) au savoir-faire
3) au non-dit dans le langage
4) aux faits sur le monde

A

2) au savoir-faire

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13
Q

Q13. La distinction entre accessibilité et récupération de l’information est appuyé par l’argument de

1) de la similarité entre rappel et reconnaissance
2) du primat du rappel sur la reconnaissance
3) du primat de la reconnaissance sur le rappel
4) la différence entre rappel et reconnaissance

A

4) la différence entre rappel et reconnaissance

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14
Q

Q14. Selon Tulving et Thomson (1971), la notion d’encodage spécifique rend compte de

1) la spécificité de l’encodage pour chaque type de mémoire
2) l’importance de la spécificité d’une modalité pour l’encodage
3) l’importance des indices contextuels dans le rappel et la reconnaissance

A

3) l’importance des indices contextuels dans le rappel et la reconnaissance

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15
Q

Q15. L’activation permet

1) le traitement des informations en mémoire de travail
2) le décodage des informations en mémoire de travail
3) le stockage des informations en mémoire à long terme
4) la disponibilité d’une information en mémoire à long terme

A

4) la disponibilité d’une information en mémoire à long terme

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16
Q

Q16. Les représentations imagées ont un caractère

1) métaphorique
2) structurel
3) fonctionnel
4) analogique

A

4) analogique

17
Q

Q17. Dans les représentations propositionnelles, l’argument désigne

1) un concept dans le réseau sémantique
2) le sujet auquel on attribue le prédicat
3) l’idée que l’on a du sujet

A

2) le sujet auquel on attribue le prédicat

18
Q

Q18. Dans l’approche de Collins et Quillians (1969), le réseau sémantique est

1) un type de mémoire
2) un arbre hiérarchique
3) un graph non orienté
4) un graph orienté

A

2) un arbre hiérarchique

19
Q

Q19. Dans le modèle de comparaison des traits (Rips, Shoben & Smith, 1973), les propriétés essentiellement sont

1) le propre d’un prototype
2) inévitables pour décider de l’appartenance d’une entité à une catégorie
3) des propriétés fréquentes mais non obligatoires pour les membres d’une catégorie
4) les propriétés liées à l’essence d’un objet

A

2) inévitables pour décider de l’appartenance d’une entité à une catégorie

20
Q

Q20. Les schémas expriment

1) des relations spatiales
2) des connaissances déclaratives
3) des relations causales
4) des connaissances procédurales

A

2) des connaissances déclaratives