3 QCM 2016- 2017 Flashcards
Q1. Dès les premières étapes de traitement de l’information, le sujet fait appel à sa mémoire
1) sans modifier les informations
2) en mettant les informations en relation d’autres informations
3) en effectuant une copie conforme de l’entrée perceptive
4) en dénommant les informations
2) en mettant les informations en relation d’autres informations
Q2. Indiquez quelle est la phrase correcte : d’après l’expérience de Sperling (1960) sur la capacité de la mémoire sensorielles, les sujets sont capables
1) de rappeler toutes les informations présentées
2) de rappeler aucune des informations présentées
3) de maintenir en mémoire plus d’informations qu’ils ne sont capables d’en rappeler
4) d’énoncer seulement 3 informations
3) de maintenir en mémoire plus d’informations qu’ils ne sont capables d’en rappeler
Q3. Qu’entend t-on par masquage rétrograde ?
1) le masque est placé avant le stimulus à mémoriser
2) le masque est placé après le stimulus à mémoriser
3) le masque intervient durant toute la présentation du stimulus
4) le marque apparaît par intermittence durant toute la présentation du stimulus
2) le masque est placé après le stimulus à mémoriser
Q4. Sperling (1960) a demandé à des sujets de rapporter le maximum de lettres à partir d’un stimulus formé de 3 rangées de 4 lettres. En général le nombre d’items mémorisés varie
1) de 1 à 3
2) de 3
3) de 4 à 5
4) de 10 à 12
3) de 4 à 5
Q5. Une tache de décision lexicale signifie que le sujet doit
1) retrouver un mot déjà rencontré auparavant
2) rappeler un mot déjà rencontré auparavant
3) décider si le mot présenté est un mot de la langue française
4) doit décider si le mot est bien orthographié
3) décider si le mot présenté est un mot de la langue française
Q6. La capacité de la Mémoire à Court Terme
1) est fixe
2) est liée à la vitesse de présentation des items
3) est liée à la vitesse à laquelle les items sont identifiés
4) est liée aux conditions
3) est liée à la vitesse à laquelle les items sont identifiés
Q7. Que signifie une interférence rétroactive ?
1) un second apprentissage vient perturber un 1er apprentissage cible
2) un 1er apprentissage vient perturber un second apprentissage cible
3) un second apprentissage vient faciliter un 1er apprentissage cible
4) un 1er apprentissage vient faciliter un second apprentissage cible
1) un second apprentissage vient perturber un 1er apprentissage cible
Q8. Certains auteurs (Godden et Baddeley, 1975) ont montré l’importance du contexte comme facilitateur lors d’un rappel des mots préalablement appris. Pour cela, ils ont effectué une expérience avec des plongeurs.
1) ils ont comparé des plongeurs experts avec des plongeurs novices
2) ils ont comparé les lieux d’apprentissage avec les lieux où se déroulait la restitution
3) ils ont comparé les deux lieux d’apprentissage seulement
4) ils ont comparé les deux lieux de restitution seulement
2) ils ont comparé les lieux d’apprentissage avec les lieux où se déroulait la restitution
Q9. La mémoire sémantique est liée
1) à des connaissances ponctuelles
2) à des connaissances encyclopédiques
3) à des connaissances d’évènements personnels
4) à des connaissances empiriques
2) à des connaissances encyclopédiques
Q10. La mémoire épisodique est liée
1) à des connaissances ponctuelles
2) à des connaissances encyclopédiques
3) à des connaissances d’évènements personnels
4) à des connaissances empiriques
3) à des connaissances d’évènements personnels
Q11. Les représentations imagées servent à coder
1) les informations verbales
2) les informations liées au déroulement des actions
3) les informations sur la fonctionnalité des objets
4) les informations visuelles
4) les informations visuelles
Q12. Laquelle de ces affirmations est correcte
1) les mots concrets sont plus faciles à mémoriser que les mots abstraits
2) les mots abstraits sont plus faciles à mémoriser que les mots concrets
3) la mémorisation des mots concrets et de mots abstraits est équivalente
4) les mots concrets ont une faible valeur d’imagerie
1) les mots concrets sont plus faciles à mémoriser que les mots abstraits
Q13. La notion de double codage signifie que les mots sont codés
1) verbalement
2) visuellement
3) verbalement et visuellement
4) ni l’un ni l’autre
3) verbalement et visuellement
Q14. Lors d’apprentissage spatial d’un lieu, un groupe (G1) apprend en se déplaçant réellement dans le lieu alors que le deuxième groupe (G2) apprend les relations topologiques à partir d’une carte. On leur pose une question sur la direction à prendre pour aller d’un point à un autre (question sur la connaissance de l’orientation de l’espace).
1) le 1er groupe répond mieux
2) le 2ème groupe répond mieux
3) les deux groupes répondent de façon identique
4) les deux groupes font systématiquement des erreurs
1) le 1er groupe répond mieux
Q15. Lors d’apprentissage spatial d’un lieu, un groupe (G1) apprend les relations topologiques à partir d’une carte. Cette fois-ci, on leur pose une question sur la distance entre deux points (question sur la configuration spatiale de l’espace).
1) le 1er groupe répond mieux
2) le 2ème groupe répond mieux
3) les deux groupes répondent de façon identique
4) les deux groupes font systématiquement des erreurs
2) le 2ème groupe répond mieux
Q16. Selon le modèle de Kintsch et Van Dijk (1978), la macrostructure d’un texte correspond
1) au rappel par le sujet de tous les détails du texte
2) au rappel dans l’ordre des différentes propositions
3) à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte
4) à l’élaboration par le sujet de l’objectif principal du texte
3) à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte
Q17. Selon la logique, la notion de concept se définit selon 2 formes
1) sa catégorisation et son extension
2) sa catégorisation et son expansion
3) son intension et son extension
4) son intention et son expansion
3) son intension et son extension
Q18. Les schémas n’ont pas pour caractéristique
1) d’être liées aux connaissances verbales
2) d’être des blocs de connaissances globales
3) de permettre des inférences
4) de permettre de faire des catégories
4) de permettre de faire des catégories
Q19. La notion de schéma désigne
1) des dessins, des images mentales
2) des représentations imagées
3) des structures de représentations fondées sur la relation tout / parties
4) des structures de présentations fondées sur l’ensemble de l’objet
3) des structures de représentations fondées sur la relation tout / parties
Q20. La notion de script ne rend pas compte
1) de la représentation d’évènements ou d’actions
2) du scénario d’un récit
3) de la succession des actions nécessaires
4) des inférences faites par le sujet
2) du scénario d’un récit
Q1. L’empan d’une mémoire correspond
1) au nombre d’items pouvant être retenus
2) à la durée de rétention de l’information
3) à la capacité d’oubli
4) aucun des trois
1) au nombre d’items pouvant être retenus
Q2. Selon le modèle d’activation interactive (Mc Clelland & Rumelhart, 1988), les mécanismes de traitement de l’information visuelle se font
1) séquentiellement, à un seul niveau à la fois
2) parallèlement, à un seul niveau à la fois
3) séquentiellement, à plusieurs niveaux à la fois
4) parallèlement, à plusieurs niveaux à la fois
4) parallèlement, à plusieurs niveaux à la fois
Q3. Le codage préférentiel pour les lettres et / ou mots en mémoire à court terme est
1) le double codage visuel / acoustique
2) le codage sémantique
3) le codage visuel
4) le codage acoustique
4) le codage acoustique
Q4. Par rapport à la mémoire à court terme, la mémoire de travail se focalise sur
1) le rôle automatique de la mémoire
2) le rôle visuel de la mémoire
3) le rôle fonctionnel de la mémoire
4) le rôle structurel de la mémoire
3) le rôle fonctionnel de la mémoire
Q5. La mémoire déclarative comprend
1) aux connaissances que nous sommes capables de rappeler verbalement
2) aux connaissances implicites
3) aux connaissances liées aux croyances
4) aux connaissances liées à l’action
1) aux connaissances que nous sommes capables de rappeler verbalement
Q6. L’activation permet
1) le traitement des informations en mémoire de travail
2) le stockage des informations en mémoire à long terme
3) la disponibilité d’une information en mémoire à long terme
4) le décodage des informations en mémoire de travail
3) la disponibilité d’une information en mémoire à long terme
Q7. La durée de rétention de l’information dans la mémoire sensorielle est d’environ
1) 100 s
2) 1 s
3) 250 ms
4) 500 ms
3) 250 ms
Q8. Le rôle de l’administrateur central du modèle de Baddeley (1996) est de
1) encoder les informations visuelles langagières pour la boucle phonologique
2) gérer les relations avec la mémoire à long terme seulement
3) gérer les ressources entre les autres sous-systèmes seulement
4) gérer les ressources entre les autres sous-systèmes et les relations avec la mémoire à long terme
4) gérer les ressources entre les autres sous-systèmes et les relations avec la mémoire à long terme
Q9. Dans le modèle SPI de la mémoire de Tulving (1995), l’encodage des informations se fait de manière
1) sérielle, parallèle et indépendante
2) sérielle
3) indépendante
4) parallèle
2) sérielle
Q10. Le rôle du calepin visuo-spacial du modèle de Baddeley (1996) est de
1) coder et stocker les images mentales seulement
2) coder et stocker la référence spatiale des objets seulement
3) coder et stocker les informations visuelles, les images mentales et de la référence spatiale des objets
4) coder et stocker les informations visuelles seulement
3) coder et stocker les informations visuelles, les images mentales et de la référence spatiale des objets
Q11. La notion de représentation désigne
1) la structure logique
2) les contenus en mémoire se rapportant à un objet, une situation, ou un évènement
3) les scènes imaginées
4) la suite des événements
2) les contenus en mémoire se rapportant à un objet, une situation, ou un évènement
Q12. Les représentations imagées ont un caractère
1) structurel
2) fonctionnel
3) métaphorique
4) analogique
4) analogique
Q13. Dans les représentations propositionnelles, le prédicat désigne
1) le sujet auquel on attribue l’idée
2) l’idée que l’on a d’un sujet
3) un concept dans le réseau sémantique
4) le groupe nominal sujet de la phrase
2) l’idée que l’on a d’un sujet
Q14. Les modèles situationnels comportent
1) des informations imagées seulement
2) des informations propositionnelles seulement
3) ni des informations imagées, ni des informations propositionnelles
4) des informations imagées et des informations propositionnelles
4) des informations imagées et des informations propositionnelles
Q15. L’organisation des concepts peut se représenter sous la forme
1) d’un réseau sémantique
2) d’un système cognitif à deux modalités : visuelle et auditive
3) d’un schéma circulaire
4) d’un système cognitif de raisonnement
1) d’un réseau sémantique
Q16. Dans le modèle de comparaison des traits (Rips, Shoben & Smith, 1973), les propriétés essentielles sont
1) des propriétés fréquentes mais non obligatoires pour les membres d’une catégorie
2) le propre d’un prototype
3) inévitables pour décider de l’appartenance d’une entité à une catégorie
4) les propriétés liées à l’essence d’un objet
3) inévitables pour décider de l’appartenance d’une entité à une catégorie
Q17. La récupération des images mentales se fait de manière
1) sérielle
2) globale
3) spécifique
4) automatique
2) globale
Q18. Les schémas expriment
1) des relations spatiales
2) des connaissances procédurales
3) des relations causales
4) des connaissances déclaratives
4) des connaissances déclaratives
Q19. Un concept général correspond à
1) une intension et une extension importantes
2) une intension et une extension réduites
3) une intension réduite et une extension importante
4) une intension importante et une extension réduite
3) une intension réduite et une extension importante
Q20. Les représentations stabilisées sont stockées
1) en mémoire à long terme
2) en mémoire sensorielle
3) en mémoire à court terme
4) en mémoire de travail
1) en mémoire à long terme
Q1. Dans l’approche cognitiviste, il existerait
1) 1 type de mémoire
2) 2 types de mémoire
3) 3 types de mémoire
4) 4 types de mémoire
3) 3 types de mémoire
Q2. La mémoire sensorielle a été mieux étudiée
1) avec l’invention de la roue
2) avec l’invention du tachistoscope
3) avec l’invention du téléphone
4) avec l’essor des nouvelles technologies
2) avec l’invention du tachistoscope
Q3. Dans le modèle Sperling de la mémoire sensorielle, les informations visuelles sont stockées sous forme
1) d’icônes
2) de représentations imagées
3) de représentations propositionnelles
4) de traces échoïques
1) d’icônes
Q4. Peut-on dire que le registre sensoriel
1) est labile
2) est fourni
3) est rétrograde
4) est en constante augmentation
1) est labile
Q5. Selon le modèle de Sperling (1967), la mémoire sensorielle est composée
1) de plus de deux registres
2) de deux registres : visuel et auditif
3) d’un seul registre : visuel
4) d’un seul registre : auditif
2) de deux registres : visuel et auditif
Q6. La position d’un item (mot) dans une liste de mots influence son rappel
1) les premiers mots sont seulement mieux rappelés
2) les premiers et derniers mots sont mieux rappelés
3) les premiers et les derniers mots sont moins bien rappelés
4) les derniers mots seulement sont mieux rappelés
2) les premiers et derniers mots sont mieux rappelés
Q7. Pour mesurer l’emplan de la mémoire de travail, des auteurs (Daneman et Carpenter en 1980) demandent aux sujets de mémoriser le dernier mot de chacune des phrases présentées : la mesure de l’empan de la mémoire de travail correspond
1) au nombre d’erreurs
2) au temps total pour mémoriser
3) à l’augmentation du temps entre la première et dernière phrase
4) au nombre maximal de phrases dont les derniers morts sont correctement rappelés
4) au nombre maximal de phrases dont les derniers morts sont correctement rappelés
Q8. Un exemple de situation de double tâche consiste (par exemple) à demander aux sujets
1) d’apprendre et de compter à rebours
2) d’apprendre en fermant les yeux
3) d’apprendre et de mémoriser
4) d’apprendre et de rappeler une liste de mots
1) d’apprendre et de compter à rebours
Q9. Qu’appelle-t-on un apprentissage distribué ?
1) un apprentissage en 1 seule fois
2) un apprentissage distribué sur plusieurs personnes
3) un apprentissage où l’intervalle entre les différentes répétitions est plutôt long
4) un apprentissage réparti dans le temps
4) un apprentissage réparti dans le temps
Q10. Tulving en 1974, puis 2004 étudié l’influence du type de traitement sur la mémorisation à long terme. Un exemple de traitement dit superficiel correspond à
1) compter les voyelles
2) donner un synonyme du mot
3) donner un jugement de valeur sur le mot (s’il est positif, négatif ou neutre)
4) replacer le mot dans une phrase
1) compter les voyelles
Q11. La distinction entre accessibilité et récupération de l’information est appuyée par l’argument de
1) la similarité entre rappel et reconnaissance
2) du primat du rappel sur la reconnaissance
3) du primat de la reconnaissance sur le rappel
4) la différence entre rappel et reconnaissance
4) la différence entre rappel et reconnaissance
Q12. Les informations contextuelles sont
1) des indices de stockages puissants
2) des indices de récupérations puissants
3) des indices inutiles
4) des indices d’encodages puissants
2) des indices de récupérations puissants
Q13. La notion de représentation désigne
1) la suite des évènements
2) les scènes imagées
3) les contenus en mémoire se rapportant à un objet, une situation, ou un évènement
4) la structure logique
3) les contenus en mémoire se rapportant à un objet, une situation, ou un évènement
Q14. Les représentations stockées en mémoire à long terme sont
1) fragiles
2) momentanées
3) labiles
4) stabilisées
4) stabilisées
Q15. Les représentations imagées conservent
1) les propriétés verbales
2) toutes les propositions sont justes
3) les propriétés temporelles
4) les propriétés spatiales
4) les propriétés spatiales
Q16. Selon le modèle de Kintsch et Van Dijk (1978), la macrostructure d’un texte
1) correspond à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte
2) correspond à la conservation des propositions importantes du texte
3) toutes les propositions sont vraies
4) dépend des connaissances du sujet
3) toutes les propositions sont vraies
* 1) correspond à l’élaboration par le sujet d’un résumé du texte
* 2) correspond à la conservation des propositions importantes du texte
* 4) dépend des connaissances du sujet
Q17. Lorsque la représentation propositionnelle ne suffit pas et qu’une représentation imagée doit aussi se faire, Van Dijk et Kintsch (1983) parle de
1) modèle de situation
2) modèle mixte
3) modèle double
4) modèle complexe
1) modèle de situation
Q18. Selon la notion de prototype de Rosch (1973), un exemplaire est typique s’il
1) partage beaucoup de propriétés avec sa catégorie
2) partage une seule propriété avec sa catégorie
3) partage aucune propriété avec sa catégorie
4) partage peu de propriété avec sa catégorie
1) partage beaucoup de propriétés avec sa catégorie
Q19. Dans le modèle de comparaison des traits, les auteurs (Rips, Shoben & Smith, 1973) ont proposé de distinguer des propriétés essentielles et des propriétés caractéristiques
1) des propriétés liées à l’essence d’un objet
2) des propriétés fréquentes mais non obligatoires pour les membres de la catégorie
3) des propriétés liées au prototype
4) des propriétés obligatoires pour les membres de la catégorie des propriétés obligatoires pour les membres de la catégorie
2) des propriétés fréquentes mais non obligatoires pour les membres de la catégorie
Q20. Les schémas expriment
1) des relations spatiales
2) des connaissances déclaratives
3) des connaissances procédurales
4) des relations causales
2) des connaissances déclaratives