Dépression Flashcards
V-F Est-ce qu’il y a une influence génétique?
Possible, pcq lien fort pas nécessairement génétique. peut être environnementale
Les enfants de parents dépressifs, ont-ils + de chances de dév. un trouble dépressif
Oui, 3 X plus
Et le début de la dépression est + précoce
Prédisposition génétique très fortement probable.
Est-ce que le taux de concordance le + élevés chez les monozygotes ou les dyzygotes?
Taux de concordance + élevé quand monozygotes
3à 5fois+ élevés.
Amène vulnérabilité affective si + événements = +chances dépression
On hérite d’une
vulnérabilité
Régions du cerveau moins actives chez les dépressifs. À l’origine de :
Léthargie et sentiments d’abatement que ressentent les personnes déprimées.
Activité cérébrale diminuer dans (1) et + dans (1)
- Cortex préfrontal
+ Structures limbiques
Déficits de neurotransmetteurs comme (3)
dopamine, sérotonine et noradréaline.
Relation difficile à comprendre mais levier important
Le système hormonal qui répond au stress. (1)
Axe hyperactif : hypothalamo-hypophyso-surrénalien
Et contribue à la dépression
Pharmacotérapie
N’agit sur 1/3 ou 1/2 (adultes) et pour les jeunes?
Résultats mitigés
Augmente comportement suicidaires au début (pcq reprend assez de l’énergie pour passer à l’acte)
Facteurs psycho.
Perspective psychanalytique.
Premier à s’intéresser à :
Relation parent-enfant
Perspective de l’attachement.
Relations d’attachement interagit avec circonstance de vie pour déterminer :
la qualité de son adaptation social future.
Styles d’attachements (4)
- Parents aux besoins
- Exploration
- Réunion
Sécurisant (60%) :
Parents sensible.
Good exploration. Content à la reunion
Évitant: fake-autonomie
Peu sensible, peu chaleureux.
Exploration même sans parent, trop,
Réunion : Ignore le parent
Ambivalent : Parent contrôlant
Parents: manque prévisibilité & cohérence
Exploration : Pas efficace
Désorganisé : Stratégies relationnelles évitantes et ambivantes (+ chances dépression)
Attachement insécurisant mène à : (2) vers la dépression
Patron relationnel n’amène pas des habiletés de régulation émotionnelle et d’image de soi
Attachement insécurisant mène à : (3) vers la dépression
Patron relationnel n’amène pas des habiletés de régulation émotionnelle, d’image de soi et des autres.
Enfant insécures :
Enfant apprend à ___ ____ ___ pour assure une réponse du parent. Déficit sur le plan des habiletés d’autorégulation
Manifestation de détresse
Attachement insécurisant permet de prédire : (4)
Troubles anxieux
Dépendance à l’adulte
Difficultés d’intégration sociale
Sentiments dépressifs et troubles de l’humeur
3 dimensions du comportement parental comme facteurs de risque
Niveau + d’affectivité négative et d’hostilité
Niveau élevé de désengagement/indifférence
Niveau faible d’affectivité positive
Perspective cognitive :
Ce qui causes les troubles de l’humeur :
Façon dont le sujet traite l’information affective, interpersonnelle et sociale.
Postulat d’AAron Beck
La dépression s’explique par l’existence de schèmes cognitifs dysfonctionnels
Schème cognitif
Ensemble organisé d’attitudes, de croyances et de présuppositions. (mode de pensées automatisées, langage intérieur répétitif, non volontaire et difficilement contrôlable)
Considérés comme structures de pensées relativement stable activés lors d’événements stressants.
Selon Beck, qu’est-ce qui déclenchent l’apparition de la dépression
- Distorsions cognitives (erreurs systématiques)
- Perspectives négative d’elles-mêmes (autodévalorisation), du monde (expérience de vie), futur (vision pessimiste)
tirent des conclusions non objectives
Beck
Perpective négatives d’eux-mêmes: se perçoit comme étant la ____ des expériences négatives,
Le monde : Exigences et obstables apparaissent ____
L’avenir : Inutile de faire des ____
- Cause
- Insurmontables
- Efforts
Erreurs de pensée (distorsions) du traitement de l’information
Une pensée absolue, dichotomique Généralisation à outrance Filtre sélectif Inférences arbitraires (tirer des conclusions hâtives) Catastrophiser ou minimiser le positif
Martin Sligman:
troubles de l’humeur ont leur origine dans :
Expériences répétées d’impuissance acquise (learned helplessness)
Réelles ou perçus. Que les actions soient pas incapables d’influencer le cours des événements