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PC-exam final > cours8 - catégorisation > Flashcards

cours8 - catégorisation Flashcards

1
Q

qu’est ce qui stock les faits et les connaissances?

A

moire sémantique

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2
Q

Quelle est la connaissance qui nous permet de reconnaître des objets et événements et faire des inférences sur leurs propriétés?

A

Connaissance conceptuelle

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3
Q

Représentation mentale utilisée pour une variété de fonctions cognitives.

A

Concept

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4
Q

Processus par lequel les choses sont placées dans des groupes appelés catégories.
Les catégories sont tous des exemples possibles d’un concept particulier.

A

Catgorisation

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5
Q

utilités des catégories:

A
  • faciliter l’encodage, la représentation, la récupération et le raisonnement.
  • Aide à comprendre les cas individuels non rencontrés précédemment.
    ■ “Pointeurs vers la connaissance”.
    – Les catégories fournissent une mine d’informations générales sur un objet.
    – Nous permettent d’identifier les caractéristiques particulières d’un item particulier.
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6
Q

quelles sont les approches de la catégorisation?

A

Approche définitionnelle de la catégorisation
L’approche des prototypes dans la catégorisation
l’approche des exemplaires
L’approche connexionniste

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7
Q

quelle approche? Déterminer l’appartenance à une catégorie selon que l’objet répond à la définition de la catégorie.
– Plusieurs critères (nombre fini) qu’un membre d’une catégorie doit posséder.

A

Approche définitionnelle de la catégorisation

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8
Q

pk l’approche définitionnelle de la catégorisation ne fonctionne pas bien?

A

tous les membres des catégories quotidiennes n’ont pas les mêmes caractéristiques qui les définissent.
Ressemblance de famille. (ds fonctionn epas bien) Les choses d’une catégorie se ressemblent de plusieurs façons.

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9
Q

L’approche des prototypes dans la catégorisation: ■ Plus le chiffre est bas, plus le membre est

A

similaire au prototype.

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10
Q

+ le chiffre est bas:

A

haute typicalité et grande ressemblance de famille

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11
Q

quel chiffre ressemble le + à la catégorie? 7 ou 1

A

un

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12
Q

le membre de la catégorie ressemble étroitement au prototype de la catégorie.
– Membre “typique”
– Pour la catégorie “oiseau” = moineau.

A

■ Haute prototypicalité

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13
Q

le membre de la catégorie ne ressemble pas étroitement au prototype de la catégorie.
– Pour la catégorie “oiseau” = pingouin

A

Faible prototypicalité

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14
Q

les objets prototypiques sont traités préférentiellement.

A

■ Effet de typicalité

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15
Q

quel effet?Les membres d’une catégorie se ressemblent de plusieurs manières

A

Ressemblance de famille

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16
Q

Quel effet:Les individus répondent plus rapidement pour des membres qui sont plus typiques dans la catégorie.

A

typicalité

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17
Q

quel effet? Les personnes sont plus promptes à lister certains objets plus que d’autres.

A

Effetd’appellation

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18
Q

quel effet? La présentation d’une stimulation modifie les réponses à des stimulation présentées par la suite.

A

amorcage

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19
Q

Plus la similarité intra-catégorielle est forte,

A

plus la catégorisation est rapide.

20
Q

 Plus la similarité inter-catégorielle est faible,

A

+ la catégorisation est rapide

21
Q

prototype ou exemplaire? explique les effets de typicalité, implique des représentations abstraites. fonctionnent mieux pour les grandes catégories

A

Prototypes

22
Q

prototype ou exemplaire? explique les effets de typicalités, implique des représentations concrètes, exemples peuvent mieux fonrtionner pour les petites catégories. élinime pas les informations pertinentes. mieux pour les catégories + variables. + imp avec l’apprentissage

A

exemplaire

23
Q

Pour bien comprendre comment les gens catégorisent les objets, il faut considérer:

A

■ Propriétés des objets.
■ Apprentissage et expérience des percepteurs.

24
Q
  • Faible similarité intra-catégorielle;
  • Très faible similarité inter-catégorielle
A

niveau supérieur

25
Q

niveau suoérieur: similarité intra-catégorielle:
similarité inter-catégorielle:

A
  • Faible similarité intra-catégorielle;
  • Très faible similarité inter-catégorielle
26
Q

quel niveau?
Forte similarité intra-catégorielle;
* Faible similarité inter-catégorielle

A

Niveau de base (ex. guitare):

27
Q

Quel niveau?
* Très forte similarité intra-catégorielle;
* Forte similarité inter-catégorielle.

A

Niveau subordonné (ex. guitare électrique):

28
Q

similarité inter et intra niveau subordonné:

A
  • Très forte similarité intra-catégorielle;
  • Forte similarité inter-catégorielle.
29
Q

Aller au-dessus du niveau de base entraîne une

A

perte importante d’information.

30
Q

Aller au-dessous du niveau de base entraîne

A

peu de gain d’information.

31
Q

qu’est ce qui affecte la catégorisation autant que les caractéristiques d’un objet.

A
  • Les connaissances, apprentissages et expériences
32
Q

Le niveau spécifique peut être préférentiellement

A

traité

33
Q

– Les propriétés partagées sont uniquement stockées dans des nœuds de niveau supérieur.

A

■ Économie cognitive:

34
Q

– Les éléments de niveaux inférieurs partagent les propriétés des éléments de niveau supérieur.

A

transmission

35
Q

– L’activation est le niveau d’excitation d’un nœud.
– Lorsqu’un noeud est activé, l’activité s’étend sur tous les liens connectés.
Les concepts qui reçoivent l’activation sont amorcés et plus facilement accessibles depuis la mémoire.
Qd on présente une image de moineau, on active le concept d’oiseau et d’animal
Qd un nœud est activé, l’Activité va sur tous les liens (nœuds + hauts)

A

Diffusion de l’activation .

36
Q

dans la tache de décision lexicale, répondent + vite pour des mots?

A

+ associés fortement

37
Q

chaque unité à quoi à partir duquel elle va envoyer de l’information via sa sortie?

A

seuil

38
Q

Comment se passe l’apprentissage?

A

1) Le réseau répond au stimulus.
2) Réponse correcte fournie.
3) Modifie le pattern correspondre au pattern représentant la réponse correcte.

39
Q

quoi a permis de développer des systèmes ayant une certaine intelligence cognitive et reproduit le plus probablement le fonctionnement cérébral?

A

modèle connexionniste

40
Q

La perturbation de la performance se produit progressivement au fur et à mesure que certaines parties du système sont endommagées.

A
  • Dégradation gracieuse
41
Q

– Différentes zones du cerveau peuvent être spécialisées pour traiter des informations sur différentes catégories.
■ Évidences des démences sémantiques dues à des encéphalites.
■ Double dissociation pour les catégories “choses vivantes” et “choses non vivantes”.
Défaut de mémoire spécifique à une catégorie : mémoire sémantique qui distingue les attributs sensoriels et mémoire qui distingue les fonctions
Ont perdu l’habileté d’identifier un type d’objet mais capable d’idenntifier certains objets.

A

. Approche Sensori-fonctionnelle:

42
Q

– Regarde comment les concepts sont divisés au sein d’une catégorie (facteurs) plutôt que d’identifier des zones cérébrales spécifiques de réseaux pour différents concepts.
– Quels sont les facteurs utilisés pour déterminer les ressemblances et les différences entre différents concepts ou items?
■ Forme, fonction, emplacement…
– Similarité:
■ Lorsque différents concepts au sein d’une catégorie partagent de nombreuses propriétés plus difficiles à catégoriser pour les gens avec problèmes sémantiques.
– Par exemple, les «animaux» partagent tous des «yeux», des «jambes» et «la capacité de bouger»

A

Approche à facteurs multiples

43
Q

– Plus complexe que l’approche sensori-fonctionnelle et permet d’expliquer plus de variances retrouvées dans les études portant sur des patients ayant un trouble de la mémoire.
– Circuits neuronaux spécifiques dans le cerveau pour des catégories spécifiques (spécificité).
– L’activité cérébrale élicitée par les membres appartenant à une même catégorie est distribuée à travers le cortex.
■ Une étude qui montre une vidéo aux particioants irm
■ Une région pour chaque catégorie

A

Approche de catégorie sémantique:

44
Q

– Notre connaissance des concepts est basée sur la réactivation des processus sensoriels et moteurs qui se produisent lorsque nous interagissons avec l’objet.
– Neurones miroirs: Neurones qui se déclenchent lorsque nous faisons une tâche ou lorsque nous observons un autre faisant la même tâche.
– Somatotopie sémantique: Correspondance entre les mots liés à des parties spécifiques du corps et l’emplacement de l’activation cérébrale.

A

The embodied approach:

45
Q

Neurones qui se déclenchent lorsque nous faisons une tâche ou lorsque nous observons un autre faisant la même tâche

A

– Neurones miroirs

46
Q

Correspondance entre les mots liés à des parties spécifiques du corps et l’emplacement de l’activation cérébrale.

A

– Somatotopie sémantique

47
Q

: Perte de connaissances pour tous les concepts

A

Démence sémantique

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