Cours.5- La promotion de la santé: Changer les comportements touchant la santé Flashcards

1
Q

Les sujets abordés:

A

PROMOTION DE LA SANTÉ
PRÉVENTION
CHANGER LES COMPORTEMENTS TOUCHANT LA SANTÉ:
SANTÉ PUBLIQUE VS PSYCHOLOGIE DE LA SANTÉ
MÉDIAS: APPEL À LA PEUR, THÉORIE DE LA MOTIVATION À LA PROTECTION, THÉORIE DU JUGEMENT SOCIAL ET MODÈLE DE LA VRAISEMBLANCE D’ÉLABORATION COGNITIVE
THÉORIES DE L’APPRENTISSAGE
MODÈLES SOCIO-COGNITIFS
APPROCHE MOTIVATIONNELLE
APPROCHE COGNITIVO-COMPORTEMENTALE
MEDIA PRIMING THEORY
UTILISATION D’INTERNET

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2
Q

La vraisemblance:

A

si réfléchi ou pas n’aura pas le même type de message reçu du tout.

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3
Q

Promotion de la santé:

A

Première conférence internationale pour la promotion de la santé, réunie à Ottawa, a adopté en 1986 la Charte d’OTTAWA. Suivie par Déclaration de Jakarta en 1997 et par Charte de Bankok en 2005.
Selon l’OMS, la promotion de la santé permet aux gens d’améliorer la maîtrise de leur propre santé. Elle couvre une vaste gamme d’interventions sociales et environnementales conçues pour favoriser et protéger la santé et la qualité de vie au niveau individuel en luttant contre les principales causes de la mauvaise santé, notamment par la prévention, et en ne s’intéressant pas seulement au traitement et à la guérison.
- Améliorer la maîtrise de leur propre santé= objectif

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4
Q

Prévention :
3 types et définition

A

1) Avant problème: Prévention universelle ou primaire vise à réduire l’incidence par promotion de la santé et prévention.;
- INCIDENCE–> vitesse de propagation, promotion de la santé et prévention. Acte de groupe, aller dans les classes secondaire prévention toxicomanie ( universelle en ce sens parce que pas individuel)
2) Pendant problème: Prévention ciblée (sélective) ou secondaire vise à réduire la prévalence par repérage et intervention précoce.;
- la consommation de psychotropes chez jeunes, cibler eux plus à risque d’être dépendant. intervention précoce, vie à réduire la PRÉVALENCE= si on les laisse continuer à consommer vont finir par être dépendant
3) Après problème: Prévention tertiaire vise à réduire les conséquences (incapacités ou récidives) par traitement de réadaptation.;
-Éviter les récidives. Mesure d’implantation: une fois que la personne retourne dans son environnement naturel, il est difficile d’évaluer s’il suit vraiment les indications, etc.

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5
Q

Changer les comportements touchant la santé:
santé publique, psychologie de la santé, principales théories pscyhologiques

A

Santé publique: changements habituellement SANS EFFORT et pas nécessairement conscients (ex. arrêter de fumer parce que c’est interdit dans lieux publics). Interventions ciblent habituellement les environnements.
- S’occupe aussi de la prévention
- Des lois, des règlements= intervention
- Ciblent les environnements: mettre ta ceinture de sécurité dans l’auto, l’alcool au volant c’est criminel

Psychologie de la santé: changements habituellement conscients et AVEC EFFORTS (ex. décider d’arrêter de fumer). Interventions ciblent habituellement les individus et doivent être basées sur théories psychologiques (meilleures pratiques).
- Décider demande un effort et conscient.

Principales théories psychologiques: Théorie de la motivation à la protection, théorie du jugement social, modèle de la vraisemblance d’élaboration cognitive, théories de l’apprentissage, modèles sociaux-cognitifs, approche motivationnelle, approche cognitivo-comportementale, media piming theory.

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6
Q

Médias***
Sensibilisation, moyen utilisé par la santé publique

A

Sensibilisation “et non pas prévention” aux comportements à risque ou PROMOTION de comportements de santé (marketing social= publicité pour le bien des gens) en fournissant des connaissances “nécessaires, mais insuffisantes”–> la prévention va plus loin que ça

Auraient avantage, si ce n’est pas le cas, comme toutes méthodes de changement de comportement, à se baser théories psychologiques, ici sur Théorie de la motivation à la protection, Théorie du jugement social et sur Modèle de la vraisemblance d’élaboration cognitive
-Prévention va plus loin que juste donner des connaissances= veut intervenir pour changer le comportement par le moyen des théories

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7
Q

Médias: Appel à la peur

A

Plusieurs campagnes de marketing social font appel à la peur. ex: Paquets de cigarettes avec visualisation (images qui font peur) et arguments (qui font peur).
- En prévention de la toxicomanie= très mal vue, car peu avoir les effets contraires. Pour le faire, faudrait être très méthodique

Peuvent se baser théorie de la motivation à la protection (Rogers, 1983): ajoute la peur, au modèle de la croyance à la santé, =qui fait augmenter gravité perçue, qui elle fait augmenter vulnérabilité perçue. Ces éléments, combinés à auto-efficacité et efficacité de la réponse, forment intention =qui prédit comportement.

Devraient fournir deux types de messages :
Déclenchement de la peur: l’existence d’une menace ex. L’infection par le VIH; la susceptibilité au risque ex. Pas de préservatifs = risque VIH; la gravité de la menace ex. Le VIH tue.
Conditions de sécurité: recommandation ex. Utilisez préservatifs; efficacité ex. Préservatifs protège du SIDA; facilité de l’action ex. Préservatifs faciles à acheter et utiliser.
Effet en U inversé: pas assez de peur = pas d’effet, trop de peur = déni, comportements défensifs et inaction.

  • Quand on dit: cigarette donne le cancer= en méthode on voit que ce n’EST PAS une cause à proprement dit. Ce n’est pas déontologique: peut pas faire fumer des paquets de cigarettes avec un groupe contrôle de non fumeur–> solution, études corrélationnelles–> observer des relations ( causes communes, hasard, etc.) sans le lien de causalité.
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8
Q

Médias: La théorie du jugement social Sherif 1967

A

Peut être utile dans campagnes de marketing social.
Face à un message persuasif, les gens comparent le contenu du message à leur propre attitude (croyance) et déterminent ainsi s’ils acceptent ou non ce message.
Afin de prédire la réaction d’un individu à un message persuasif, il est essentiel de connaître la position du point de vue de l’individu (la direction et l’intensité de son attitude face à l’objet d’attitude) et la perception qu’il a de la position du message persuasif relativement à sa propre position.
Il sera plus difficile de convaincre des gens ayant une attitude polarisée, car rejet des arguments qui iraient l’encontre leur attitude.;
- La position du point de vue de l’individu ( La direction et l’intensité de son attitude face à l’objet d’attitude): est-il bcp pour ou bcp contre ? C’est quoi l’attitude de la population et notre message se situe où par rapport à la population?
- Faut connaître la position des gens avant de faire une étude: Si 100% pour et chercheur 100% contre, ne fonctionnera pas, alors faut changer en tant que chercheur pour pouvoir passer le message.

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9
Q

Médias: **Modèle de la vraisemblance d’élaboration cognitive de Petty et Cacioppo 1986

A

Peut être utile dans campagnes de marketing social.
Changement de comportement peut s’effectuer de façon réfléchie après considérations des arguments (forte probabilité d’élaboration cognitive par un traitement central de l’information–> pour comprendre le message). Est le plus efficace et le plus résistant–> dure dans le temps. Les messages doivent comporter des arguments de qualité (objectifs, basés sur données probantes et sont personnellement pertinents «comblent les besoins des individus»).
D’autres fois, le changement peut être irréfléchi (faible probabilité d’élaboration cognitive par un traitement périphérique de l’information). Lorsque les gens ne sont pas motivés (faible implication personnelle) ou n’ont pas les habiletés (arguments trop complexes pour le public cible) pour considérer un message, ils effectuent un traitement périphérique, dans le cas contraire ils effectuent un traitement central.

  • Traitement central: arguments objectifs basés sur données probantes et sont PERSONNELLEMENT PERTINENT= comble les besoins des individus= traitement central: acheter une voiture ou une maison
  • Traitement périphérique: irréfléchie, les personnes ne sont pas motivées ni impliquées OU habiletés manquantes pour considérer le message : acheter une boisson gazeuse
  • adapter son discours à son public cible
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10
Q

Médias***: si campagnes de marketing social doit aller en traitement périphérique

A

Si campagnes de marketing social doit aller en traitement périphérique (manque de motivation ou d’habiletés du public cible) changement de comportement peut résulter de la 1) simple exposition ou 2) du conditionnement classique (répondant).

L’effet de simple exposition( périphérique):
L’exposition répétée ( 7 fois)à un stimulus accroît notre attirance pour ce stimulus (le contenu du message n’a pas beaucoup d’importance) (Zajonc, 1968).; stimulus étant publicité/ le message
Fonctionne très bien pour la formation de nouvelles attitudes face à un objet d’attitude neutre.;
Fonctionne lorsque neutre. N’est pas pour ou contre. Si attitude négative, va dans le sens opposé ;
ex: lors des élections, candidats affichent leur visage sur les affiches partout–> plus tu vois leur face, plus tu votes pour eux lorsque attitude neutre ( savent pas pour qui voter)

Attention si attitude est déjà négative, il peut alors se produire un changement d’attitude indésirable dans le sens où l’attitude devient encore plus négative.;
ex: si candidat faire une mauvaise action, pour ne pas se faire détester davantage, ne va pas s’afficher pour éviter de perdre des votes

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11
Q

Médias:
Conditionnement classique ou répondant ou pavlovien :
THÉORIE DE L’APPRENTISSAGE

A

N’emploie pas de logique ni d’arguments. Il n’y a qu’à associer un comportement de santé à un stimulus plaisant pour instaurer ce comportement ou un comportement à risque de maladies à un stimulus déplaisant pour éliminer ce comportement.
ex: acheteurs de voitures sont majoritairement des gars= mettre une fille en bikini sur le dash de la voiture, stimulus plaisant

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12
Q

Théories de l’apprentissage:
Conditionnement opérant
Apprentissage Social

A

Conditionnement opérant ou skinnérien:
En plus du conditionnement classique, un changement de comportement peut être obtenupar conditionnement opérant pour diminuer fréquence apparition comportement à risque de maladies (punition) ou pour augmenter fréquence apparition comportement de santé (renforcement).–> Augmente la probabilité d’apparition comportement
- traitement périphérique

Apprentissage social Bandura (1977, 2001):
Changement de comportement peut aussi être obtenu par observation ou modelling (suivre l’exemple de quelqu’un d’autre).
- enfants prennent exemple sur leurs parents. Les publicitaires eux, mettent une vedette que les autres prennent en exemple
Apprentissage vicariant (le comportement de la personne observée est de plus renforcé) encore plus efficace qu’apprentissage par observation.
- Le comportement est renforcé–>plus efficace que par observation: si tu vois que sont comportement est renforcé, tu vas le faire en espérant le même type de conséquence

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13
Q

**Modèles socio-cignitifs:
TRAITEMENT CENTRAL:
5 étapes; étape 1 et 2

A

Dans le Modèle de l’action raisonnée (Fishbein et Ajzen,1975) et le Modèle du comportement planifié (Ajzen, 1987), il faut agir sur les croyances afin de changer le comportement.
Pour ce faire, il faut Selon Sutton (2002, 2010), suivre les cinq étapes suivantes:
Étape 1: Identifier le comportement visé grâce aux quatre marqueurs du principe de correspondance (action, cible–> consommation de drogue, situation, temps–> sur 1 mois) et identifier la population cible (ex. adolescents québécois).
Étape 2: Identifier les croyances les plus saillantes dans la population cible à l’aide de questions ouvertes (étude QUALITATIVE par focus groups).; petits groupes
Va demander aux jeunes: nouvelle-écosse, nouveau Brunswick, québécois: ce qui ressort dans les croyances: les anglophones vs bilingue vs francophone diffèrent tous. Croyances des adolescents québécois, focalisent là-dessus.

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14
Q

***Modèles socio-cognitifs:
étape 3-5

A

Étape 3: Conduire une étude avec des questions FERMÉES afin de savoir quelles croyances sont les plus associées au comportement cible (étude QUANTITATIVE avec enquête par QUESTIONNAIRE).;
met les faits saillants dans les questionnaires pour les adolescents québécois
Étape 4: Analyser les données de l’enquête afin d’identifier quelles croyances différencient LE PLUS ceux qui adoptent le comportement cible de ceux qui ne l’adoptent pas. Ces croyances deviennent les cibles de l’intervention.;
qu’est-ce qui différencie ceux qui consomment de ceux qui ne consomment pas dans leur CROYANCES. Croyances deviennent les cibles de l’intervention
Étape 5: Développer des interventions pour agir sur ces croyances cibles (ne nous renseigne pas comment). Ces interventions peuvent se baser sur approche motivationnelle, approche cognitivo-comportementale et Media Priming Theory.;
créer des intervention préventives–> se base sur les approches

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15
Q

Approche motivationnelle de Miller et Rollnick 2002

A

L’approche motivationnelle permet de faire évoluer la motivation des gens à travers les stades du modèle transthéorique. (cours.4) ( jusqu’à ce qu’ils passent à l’acte )
Les quatre stratégies générales d’intervention lors de l’approche motivationnelle sont:
>Faire preuve d’empathie
>Développer les divergences
>Éviter les débats stériles ; La majorité des jeunes de ton âge croient pas comme toi–> essaie de créer une dissonance, s’il commence à débattre “mes amis blablabla”. Afin de clore le débat, essayer d’aller vers ses amis pour effectuer le changement à la place de s’obstiner.
>Nourrir le sentiment d’efficacité personnelle; faut donner une stratégie: conseille d’imprimer
L’approche motivationnelle est basée sur l’idée que la dissonance cognitive (Festinger, 1957) (ou divergence) est inconfortable et que les gens sont motivés à sortir de cet état en changeant leurs cognitions (croyances).;
-Il faut créer de la dissonance chez les gens, afin de leur permettre de changer leurs croyances, semer le doute avec des arguments

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16
Q

Approche motivationnelle de Miller et Rollnick 2002:
les deux méthodes les plus utilisées pour créer des divergences ( dissonance)

A

1- Un feed-back normatif personnalisé qui consiste en une comparaison de son propre comportement (ou croyance) à celui des autres;
- 1) mesurait les croyances 2) la majorité des gens de ton âge et de ton sexe ne pense pas comme toi–> crée dissonance, en plus de montrer une preuve graphique

2- Une évaluation des objectifs de vie (personal strivings) qui consiste en une comparaison entre le soi actuel (son propre comportement actuel) et le soi idéal (le comportement désiré).;
ex: ici en prévention ciblée;
Je bois 12 bières tous les jours, il dit qu’il compte continuer d’en boire 12 par jour. Tu continues quand même, c’est ce que tu désires vraiment? Tu veux faire quoi fans la vie, te marier, travailler?, bin là tu penses vraiment y arriver en ne changeant pas tes habitudes de consommation? dissonance créé pour éventuel changement.

17
Q

Approche cognitivo-comportementale ;
Restructuration cognitive
Essayer progressivement d’autres comportements

A

Restructuration cognitive:
Est une notion centrale de l’approche cognitivo-comportementale qui veut que le comportement à risque est maintenu à travers une série de cognitions déformées (croyances erronées ou pro comportement à risque de maladies).
Quand un individu est motivé à changer son comportement et ses croyances, on peut alors effectuer de la restructuration cognitive portant sur les croyances.
Consiste à fournir des arguments objectifs qui sont fondés sur des données probantes afin de modifier les croyances pro comportement à risque.

Essayer progressivement d’autres comportements:
Après la restructuration cognitive, on fournit des stratégies ou conseils (qui doivent aussi être objectifs et fondés sur des données probantes) afin d’aider l’individu pour qu’il essaie progressivement d’autres comportements de santé au lieu de ses comportements à risque de maladies.
Après: recueil des informations à remettre à la personne visé pour l’aider

18
Q

Media priming theory de Domke et COLL. ( 1998) ***

A

Après avoir évalué les croyances des individus par questionnaire, il est possible, par l’effet de la simple exposition, de rendre ACCESSIBLES les croyances (comportementales, normatives et d’auto-efficacité) pro comportement de santé auxquelles les individus croient (croyances consonantes avec le comportement de santé visé). ;
- Avant cette étape, intervient juste sur comportement à risque

Selon la Media Priming Theory (Domke et coll., 1998), cette façon de faire AUGMENTE LA FORCE DE LA RELATION des croyances avec respectivement les attitudes, normes subjectives et auto-efficacité qui forment l’intention, qui est le meilleur prédicteur du comportement visé (Fishbein et Yzer, 2003). ;
solidifie: expose aux croyances pro-santé

19
Q

Media priming theory de Domke et COLL. ( 1998)

A

Une façon d’effectuer la simple exposition est d’imprimer un recueil de ces croyances pro comportement de santé auxquelles l’individu croit, de passer en revue ces croyances (on peut aussi aller plus loin et profiter de l’occasion pour le renforcer( le féliciter) dans ses croyances), puis de lui remettre ce recueil en l’incitant à le relire de temps à autre.

Il est à noter que Fishbein et Yzer (2003) recommandent de prendre garde à ne pas rendre accessibles les autres croyances consonantes que sont les croyances pro comportement à risque auxquelles les individus ne croient pas afin d’éviter des effets indésirables.;
ex: si n’y crois pas , n’est pas à risque: alors l’exposer à une croyance ( qu’il n’est pas à risque) pourrait avoir un effet nuisible

20
Q

Utilisation d’internet

A

Les interventions qui visent à changer le comportement et qui sont basées sur Internet permettent de TOUCHER UN PLUS GRAND NOMBRE de personnes qui pourraient ne pas vouloir ou ne pas pouvoir se déplacer.

Les programmes Apte Parents (Vaugeois, 2013) et Apte Enseignants (Vaugeois, 2017) sont des exemples d’interventions préventives basés sur le web. Il s’agit de programmes de PRÉVENTION UNIVERSELLE des toxicomanies auprès des adolescents, s’adressant aux deux catégories d’acteurs les plus importants dans la vie des adolescents que sont leurs parents et leurs enseignants dont les intentions comportementales ont été changées par ces programmes.;
- Travailler avec les parents des jeunes: clientèle difficile à faire déplacer. Même chose pour les enseignants
intention= dans le bon sens, fonctionne

21
Q
A