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Neuropsy - Partie 2 > Cours12 - Neuropsychologie de l'adulte âgé > Flashcards

Cours12 - Neuropsychologie de l'adulte âgé Flashcards

1
Q

par quoi est caractérisé le vieillissement cognitif ?

A

des changements ds les capacités cognitives liées aux modifications neurophysiologiques qui s’opèrent avec l’avancée en âge

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2
Q

pendant des décennies, les travaux portant sur la cognition chez les sujets âgés ont insisté sur quoi ?

A

le déclin des capacités cognitives, et surtout mnésiques, trouvant un écho ds les plaintes spontanées des sujets âgés et ds les craintes suscitées par la médiatisation de la maladie d’Alzheimer

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3
Q

les études récentes montrent que le vieillissement est caractérisé par quoi ?***

A

une double variabilité

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4
Q

quelle est la double variabilité qui caractérise le vieillissement ?

A
  1. variabilité entre les individus

2. variabilité selon les diverses fncts cog étudiées

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5
Q

quelles sont les différentes modifications cognitives avec l’âge (graphique) ? (4)

A 
ce qui diminue avec l'âge :
-la vitesse de traitement
-mémoire de travail
-mémoire à long terme
ce qui est préservé avec l'âge :
-connaissances sur le monde
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6
Q

la variabilité du vieillissement se manifeste ds quel domaine particulièerement ?

A

la mémoire

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7
Q

quelle mémoire est la plus sensible aux effets délétères du vieillissement ? laquelle l’est à un degré moindre ?

A
  • la mémoire épisodique

- la mémoire de travail

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8
Q

quelles mémoires sont relativement préservées ? (3)

A
  • la mémoire procédurale
  • la mémoire sémantique
  • la mémoire perceptive
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9
Q

mém épisodique : que propose la conception des niv de traitement ?

A

la persistance de la trace mnésique est fnct de la profondeur de traitement

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10
Q

à quoi sont associés les niv de traitement profond ?

A

des traces mnésiques + élaborées et + résistantes ds le tps

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11
Q

quels sont les niveaux de traitement, ds l’ordre, de la mémoire épisodique ?

A

encodage -> stockage -> récupération

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12
Q

encodage mém épisodique : difficultés des PÂ (2)

A
  • utiliser spontanément des stratégies de traitement sémantique au moment de l’encodage
  • encoder ces infos contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération
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13
Q

quelle est la tâche encodage mém épisodique : quels sont les résultats des sujets jeunes VS âgés

A

tâche = consigne est de mémoriser des séries de mots appartenant à différentes catégories sémantiques et dont les mots sont présentés ds le désordre
sujets jeunes = regroupent les mots par catégorie sémantique dès le premier rappel
sujets âgés = moins spontanément

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14
Q

qu’est-ce qui entraîne plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes ?

A

tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques

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15
Q

quelle est l’hypothèse que les sujets âgés utilisent moins spontanément des stratégies de traitement sém au moment de l’encodage ?

A

encodage insuffisamment précis et distinctif

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16
Q

plus spécifiquement, quelles sont les difficultés à encoder les infos cntxtuelles et leur récupération ?

A

restituer n-seulement les infos cibles, mais encore + le contexte ds lequel étaient présentées

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17
Q

quelle est l’hypothèse que les sujets âgés éprouvent des difficultés d’encodage d’infos cntxtuelles et leur récupération ?

A

déficit d’encodage du contexte

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18
Q

comment les sujets jeunes encodent les infos cntxtuelles et leur récup ? (2)

A

encodent les items cibles et les infos associées à ces items (voix, couleur encre, graphisme, etc) de façon automatique
s’appuient sur ces éléments qui forment le cntxt pour récupérer les items cibles

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19
Q

comment est possible le stockage (maintien des infos en mém) ?

A

grâce à la consolidation de l’information encodée

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20
Q

comment peuvent être évaluées les capacités de stockage ?

A

en calculant un tx d’oubli entre 2 sessions de récupération d’informations

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21
Q

que démontrent les études portant sur le stockage ?

A

pas de différence de tx d’oubli en fnct de l’âge lorsque le délai est court

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22
Q

à partir de quel délai les infos encodées en mém sont oubliées + rapidement chez les sujets âgés que chez les jeunes ?

A

environ 24h

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23
Q

qu’est-ce que les études sur l’importance du sommeil ont démontré ?

A

l’imp du sommeil ds la consolidation des infos épisodiques et + particulièrement le sommeil lent profond

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24
Q

sur quoi intervient le sommeil paradoxal ?

A

également ds la consolidation (des infos épisodiques), mais plutôt sur les aspects spatiaux du souvenir et des détails contextuels

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25
Q

quelles modifications accompagnent le vieillissement ?

A

modifications importantes du sommeil : réduction du sommeil lent profond, ce qui pourrait contribuer à diminuer l’efficacité des processus de consolidation chez les sujets âgés

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26
Q

V/F + la nuit est occupée par du sommeil lent profond, + les performances de rappel le lendemain sont élevées

A

V

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27
Q

qu’arrive-t-il en situation de récupération chez les sujets âgés VS jeunes ?

A

les diminutions de performances chez les sujets âgés P/R aux jeunes varient selon les modes de rappel

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28
Q

V/F + le support E est faible, c-à-d qu’il y a peu d’aide externe, - bonne sera la performance chez les sujets âgés

A

V

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29
Q

qu’entraine le rappel libre ?

A

le plus de difficultés chez les sujets âgés

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30
Q

qu’entraine le rappel indicé ?

A

un peu moins de difficultés que le rappel libre

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31
Q

comment sont les performances de reconnaissance ?

A

souvent équivalentes à celles des jeunes

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32
Q

quelle est l’hypothèse des dim de perfos en récup ?

A

déclin des mécanismes de récupération

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33
Q

par quels processus la reconnaissance est-elle supportée ? (2)

A
  1. processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité
  2. processus contrôlés
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34
Q

qu’est qu’un processus auto assimilable au sentiment de familiarité ?

A

l’info est récupérée, mais pas son contexte spatio-temporel. le sujet « sait » que l’item faisait partie de la liste d’étude, mais ne se souvient pas des détails du cntxt d’encodage (sujets âgés aussi bons que jeunes)

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35
Q

qu’est qu’un processus contrôlé ?

A

l’info et son cntxt d’encodage sont récupérées. le sujet a le sentiment de « se souvenir » et pas seulement de « savoir » (un peu altéré avec l’âge)

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36
Q

comment peut se faire la distinction entre les 2 types de récupération ?

A

à l’aide du paradigme Remember/Know, initialement proposé par Tulving, qui permet d’étudier la cs associée à la récupération de l’info

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37
Q

les réponses « je me souviens » relèvent de quelle mémoire ?

A

mém épisodique, reconstruction consciente de l’évén

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38
Q

les réponses « je sais » relèvent de quelle mémoire ?

A

mém sémantique, sentiment de familiarité

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39
Q

qu’arrive-t-il avec les réponses ds le vieillissement normal ?

A
  • réponses « je me souviens » diminuent avec l’âge
  • réponses « je sais » sont soit stables, soit en augmentation avec l’âge
  • les réponses « je sais » permettent de compenser la diminution des premières
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40
Q

qu’est-ce que les effets de l’âge affectent (quel processus de récupération) ?

A

les processus de récupération contrôlée, mais pas les processus de récupération automatiques

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41
Q

quelles sont les différentes modifications cognitives avec l’âge (vues en classe) ? (7)

A
  1. la mémoire épisodique
  2. la mémoire de travail
  3. la mémoire sémantique
  4. la mémoire perceptive ou le système des représentations perceptives (SRP)
  5. la mémoire procédurale
  6. le langage
  7. fonctions exécutives et attention
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42
Q

qu’est-ce que la mesure de l’empan ?

A

l’une des tâches les + couramment utilisées pour évaluer la mémoire de travail (p. ex., l’empan de chiffre)

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43
Q

quelle mesure est essentielle dans la mémoire de travail ?

A

l’empan

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44
Q

quel empan des adultes âgés est comparable à celui des jeunes ?

A

l’empan endroit

45
Q

quels empans sont sensibles aux effets de l’âge ?

A

empan envers ou empan alphabétique

46
Q

qu’est-ce que l’empan endroit chez les adultes âgés ?

A

préservation de la boucle phonologique et du calepin visuospatial avec l’âge

47
Q

qu’est-ce que l’empan envers (alphabétique) chez les adultes âgés ?

A

diminution des capacités de l’administrateur central avec l’âge (les diff se situeraient au niv de la manipulation d’infos et non pas du stockage)

48
Q

où sont les difficultés ds la mém de travail chez les adultes âgés ?

A

ds l’administrateur central, pas la boucle phonologique

49
Q

que sont les difficultés ds la mém de travail chez les adultes âgés ?

A

admin = empan envers ; nommer suite chiffres à l’envers

50
Q

quelle mém résiste particulièrement bien aux effets de l’âge ?

A

la mémoire sémantique

51
Q

comment l’intégrité des représentations sémantiques est représentée ?

A

très bonnes performances aux tests de

  • vocabulaire
  • connaissances générales
  • similitudes sémantiques
  • définitions de problèmes
52
Q

exemple de tâches d’amorçage sémantique

A

tâches de décision lexicale où certains items sont des mots précédés d’autres mots reliés sémantiquement

53
Q

quelle activation est plus courte (mém sémantique) ?

A

la représentation sémantique du mot suivant s’il est relié sémantiquement du mot précédent

54
Q

comment sont les effets d’amorçage des sujets âgés comparativement aux jeunes ?

A

équivalents

55
Q

V/F la fluence verbale augmente avec l’âge

A

F, diminue

56
Q

V/F la diminution de la fluence verbale est systématique

A

F, pas systématique

57
Q

par quoi est expliquée la réduction de la production ?

A

un fnctment exécutif moins efficace

58
Q

y a-t-il un effet de l’âge sur les effets d’amorçage perceptif (mémoire perceptive ou SRP) ?

A

non, les sujets âgés sont aussi rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins ds leur intégralité auparavant

59
Q

y a-t-il un effet de l’âge sur la mémoire procédurale ?

A

non

60
Q

qu’arrive-t-il avec la dynamique de l’apprentissage chez les sujets âgés ? (2)

A
  • ils présentent un ralentissement de la dynamique de l’app
  • ils parviennent plus tard que les jeunes à la « phase procédurale », qui signe l’automatisation de la procédure et constitue la dernière étape de l’app
61
Q

alors, où se manifestent les effets de l’âge ds la mém procédurale ?

A

lors de l’app des procédures, et ce d’autant plus qu’elles impliquent d’autres processus cognitifs (MdT, fncts exécutives, etc)

62
Q

que faut-il bien distinguer ds la mémoire procédurale ?

A
  • la mém procédurale résiste aux effets de l’âge

- l’app des procédures non, surtout si ces procédures impliquent d’autres process cog

63
Q

y a-t-il une altération majeure du langage liée au V ?

A
  • non
  • si un déclin modeste est observé, il affecte essentiellement les capacités de production alors que les capacités de compréhension restent préservées
64
Q

quelles XP s’accroît avec l’âge ds le domaine de la production ? (3)

A
  • le manque du mot
  • l’incapacité à produire le bon mot au bon moment
  • « l’avoir sur le bout de la langue »
65
Q

quel genre de mots sont surtout affectés avec l’âge ?

A

les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms propres (car unique exemplaire de sa catégorie)

66
Q

quel serait la conséquence du phénomène des XP de production qui s’accroient avec l’âge ?

A

la conséq d’un défaut d’activation de la représ phonologique d’un mot correctement sélectionné

67
Q

qu’est-ce qui est une caractéristique du vieillissement normal (déclin d’une fnct cog part) ?

A

le déclin des fncts exécutives

68
Q

quelles sont les fncts exécutives en déclin dans le vieillissement normal ? (3)

A

-la flexibilité
-la mise à jour (oublier info pour focaliser sur dernière info)
-l’inhibition
sont sensibles aux effets de l’âge

69
Q

à quoi ont été attribuées les perturbations liées à l’âge ? (2) et mtn ? (1)

A
  • au ralentissement cognitif ou
  • aux déficits attentionnels mais, + récemment, c’est
  • un déclin du contrôle exécutif qui a été avancé
70
Q

quelles sont les 2 approches des modèles du vieillissement cognitif ?

A
  1. approche globale

2. approche neuropsychologique

71
Q

que cherchent les 2 approches des modèles du vieillissement cognitif ?

A

expliquer les modifications cognitives au cours du vieillissement normal

72
Q

que suggère l’approche globale ?

A

un petit nb de facteurs généraux expliquent l’ensemble des effets du vieillissement

73
Q

que suggère l’approche neuropsychologique ?

A

les effets du vieillissement sont dus à la détérioration de certains processus spécifiques au sein de la fnct concernée et/ou des structures anatomiques qui ss-tendent

74
Q

quels liens existent-ils entre les 2 approches ?

A

entre

  • l’hypothèse globale qui privilégie le déficit des capacités d’inhibition ou de la mém de travail
  • l’hypothèse neuropsychologique « frontale » (lobe frontal + sensible, donc 1er à se dégrader)
75
Q

V/F les deux approches sont complémentaires, aucune des deux ne permettant à elle seule, de se rendre compte de l’ensemble des phénomènes observés au cours du vieillissement

A

V

76
Q

selon l’approche globale, qu’est-ce qui explique l’ensemble des effets du V?

A

un facteur général, qu’il s’agisse de la mém ou des autres fncts cog

77
Q

sur quoi se basent les variantes de l’approche globale ?

A

sur l’idée que le V normal s’accompagne d’une dim de ressources disponibles pour le traitement de l’info, avec des diff quant aux mécanismes ss-jacent à cette diminution

78
Q

quelles sont les hypothèses de l’approche globale ? (3)

A
  1. l’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’info
  2. l’hypothèse d’une diminution des capacités de la mémoire de travail avec l’âge
  3. l’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations non pertinentes
79
Q

un exemple de la 3e hypothèse de l’approche globale

A

test Stroop : + difficile inhiber la lecture

pâ + sensibles aux stimuli n-pertinents, apprend info pas nécess

80
Q

quels mécanismes sont responsables de la relation entre la vitesse et la cognition ? (2)

A
  • les opérations cog sont exécutées trop lentement pour être achevées en un tps limité, et - de traitement cog équivaut généralement à un - bon niv de perfo
  • le ralentissement réduit la qte d’info dispo simultanément, nécess à un traitement cog de plus haut niv. les produits d’une première étape de traitement risquent alors d’être perdus au moment où les traitements ultérieurs sont accomplis
81
Q

qu’est-ce que l’hypothèse de la dim des capacités de la MdT ?

A

certaines études montrent ainsi que des mesures de MdT sont de bons prédicteurs des perfo ds des tâches de rappel de phrases ou de textes, mais ce résultat a été controversé

82
Q

qu’est-ce que l’hypothèse d’une dim des capacités d’inhibition des info n-pertinentes ?

A

la conséq serait une surcharge de la MdT à l’origine de difficultés cog chez les pers âgées : celles-ci auraient tendance à traiter ttes les info plutôt que sélectionner les + appropriées

83
Q

de quoi ne tiennent pas compte les hypothèses de l’approche globale ?

A

pas compte du substrat cérébral = cerveau est altéré par les effets de l’âge

car réfléchit le V cog seulement par process cog altérés

84
Q

que permet l’approche neuropsychologique ?

A

de comprendre comment le V normal peut s’accompagner de l’atteinte sélective de certains systèmes (ou de certains processus au sein des systèmes)

85
Q

quelle est l’idée centrale de l’approche cognitive ?

A

l’atteinte sélective de certaines structures cérébrales est responsable du déclin de performances

86
Q

qu’a orienté l’analyse du fnctment de la mém épisodique chez les sujets âgés ?

A

les recherches vers une comparaison avec les patients avec un syndrome frontal

87
Q

les pt avec un syndrome frontal ont-ils un véritable syndrome amnésique ?

A

non

88
Q

qu’éprouvent les pt avec un syndrome frontal ?

A

des difficultés de même nature que celles notées chez les sujets âgés normaux, même s’il existe des différences quantitatives

89
Q

quelles différences quantitatives existe-t-il entre les pt avec un syndrome frontal et les sujets âgés normaux ? (5)

A

les pt avec un syndrome frontal ont

  • difficultés ds l’organisation du matériel
  • stratégies spontanées d’encodage et de récupération insuffisamment efficaces
  • difficultés d’inhibition et sensibilité aux interférences
  • problèmes de jugement temporel
  • amnésie de la source et risque accru de faux souvenirs
90
Q

quel argument supp appuie l’hypothèse comparative des pâ et des pts syndrome frontal ?

A

les différences entre les perfo de groupes de sujets jeunes et des sujets âgés s’expliquent au moins en partie par les diff aux tests de fncts exécutives

91
Q

qu’a-t-il souvent été signalée ds la litt ?

A

l’existence d’une imp variabilité interindividuelle des perfos, et cette variabilité augmente avec l’âge

92
Q

plus précisément que suggèrent les études sur la variabilité interindividuelle ?

A

elle augmente ds certains domaines cognitifs, dont la mémoire, et davantage chez les sujets de bas niveau culturel

93
Q

V/F tous les sujets âgés bénéficieraient d’un V normal, voire réussi

A

F, d’autres seraient + sensibles au déclin cognitif

94
Q

quelle caractéristique semble déterminante ds l’apparition de ces diff interindividuelles ?

A

p. ex., le niveau d’éducation

95
Q

l’influence du niveau d’éducation sur les systèmes mnésiques est-il homogène ?

A

non

96
Q

quels systèmes mnésiques sont plus sensibles ? (3)

A
  • mém épisodique
  • MdT
  • mém sémantique
97
Q

quels systèmes mnésiques sont moins sensibles ? (2)

A
  • effets d’amorçage

- mém procédurale

98
Q

que peut moduler le niveau d’éducation des sujets ?

A

l’influence de l’âge sur la mémoire
-plus le niv d’éducation est bas, plus les effets délétères de l’âge sur l’app d’une liste de mots et sur la capacité d’inhiber les mauvaises réponses sera important

99
Q

les sujets en bonne santé, haut niv éduc, actifs sur le plan intell et bien intégrés soc ont plus de chances de quoi ?

A

d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire

100
Q

comment est employé la notion de V réussi ?

A

pour qualifier ce qui se passe chez les pâ dont le fnctment cog est remarquablement préservé

101
Q

à quoi s’oppose le V réussi ? (2)

A
  • V habituel ou normal

- V patho

102
Q

les études des facteurs prédictifs d’un V réussi ont souligné l’imp de quoi ? (5)

A
  • niv éducation
  • bonne santé
  • nutrition de bonne qualité
  • exercice physique et intellectuel
  • maintien des liens sociaux
103
Q

le V cog est-il un process homogène ?

A

nope

104
Q

pourquoi la réserve cog a-t-elle été proposée ?

A

pour expliquer l’écart observé chez certains individus entre le degré de leur atteinte cérébrale et son expr sur le plan cog

105
Q

qu’est-ce qu’une réserve cognitive ?

A

réserve cog élevée = fncment cog pendant plus lngtps qu’une pers avec + faible r cog

106
Q

qu’est-ce qu’un V réussi ?

A

pas de modifications liées à l’âge sur le cerveau

107
Q

qu’est-ce qui modifie la r cog ?

A

le style de vie et effets de l’âge

108
Q

par quoi est modulée la réserve cognitive ?

A

des facteurs E tels que le niv d’éducation, la pratique d’act cog stimulantes, la pratique rég d’act physiques au cours de la vie

109
Q

qu’ont montré les résultats de l’étude SHARE (survey on health, ageing and retirement in europe) ? (2)

A

-le fait de rester en act, ainsi que la
-pratique d’une act n-professionnelle ou d’act physiques
sont favorables à la constitution de la réserve cognitive

Neuropsy - Partie 2 (5 decks)

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