Cours du 11 avril PARTIE 1: Personnalité Flashcards
Définir qu’est-ce que la personnalité
Manière stable et distinctive d’être, de penser, de se sentir et d’agir
Expliquer la perspective des traits de la personnalité, de façon générale
La personnalité est la combinaison unique de traits.
Traits: un attribut stable qui prédispose à agir d’une certaine manière (va pas toujours et nécessairement agir de cette façon-là. Ex : impulsif dans certaines situations)
- Stables à travers le temps et les situations
- Différences individuelles qualitatives et quantitatives
- Différences qualitatives (présence ou absence d’un trait donné)
- Différences quantitatives (différence dans le degré ou l’intensité d’un trait donné) (ex : 2/10 ou 8/10)
- Les traits sont organisés hiérarchiquement.
Certains traits sont plus importants que d’autres pour expliquer la manière d’être d’une personne.
Identifier et expliquer des traits d’intérêt (uniques) pour la déviance et la délinquance
- Manque d’altruisme
- Manque d’empathie
- Recherche de sensations
- Impulsivité
Retenir ce que montrent les recherche sur les traits de personnalité unique et la criminalité
MANQUE D’ALTRUISME :
Résultats mixtes quant à l’association entre altruisme et comportements antisociaux
MANQUE D’EMPATHIE :
* Corrélation modérée entre l’empathie et le fait de commettre un ou des délits
* Corrélation plus forte pour crimes violents et sexuels et pour les plus jeunes
* Corrélation expliquée en partie par d’autres facteurs (p.ex., SSE, facteurs cognitifs)
RECHERCHE DE SENSATIONS :
* Association entre la recherche de sensation et la délinquance auto-rapportée, l’utilisation de drogues et d’alcool, la conduite dangereuse et le jeu, mais aussi des comportements « à risque » plus adaptés: sports, plein air
IMPULSIVITÉ :
* Parmi les traits uniques, associé à la criminalité de la façon la plus constante
Nommer les 3 dimensions de la théorie de la personnalité d’Eysenck et les expliquer
- Extraversion : Niveau d’activité, besoin de stimulation et capacité à avoir du plaisir
- Névrosisme : Ajustement et stabilité émotionnelle
- Psychotisme
Retenir ce que montrent les recherches sur les liens entre les dimensions de la théorie de la personnalité d’Eysenck et les comportements antisociaux et criminels
Résultats mitigés
Psychotisme élevé :
* Relation la plus forte (modérée) avec les comportements antisociaux ou criminels
Névrosisme élevé :
* Relation significative, mais plus faible (que modéré)
Extraversion élevée :
* Pas associé de façon constante (pas de consensus clair)
Nommer et expliquer les deux typologies proposées par Eysenck
Deux profils en fonction des niveaux :
TYPE ACTIF (TYPIQUE) : élevé dans tout
- Plus jeunes, tapageurs, intelligence plus faible, consommation d’alcool, propension à la violence, agissent avec les pairs
TYPE INADÉQUAT : juste extraversion plus faible, profil plus de type inadéquat. Névrosisme encore plus élevé que dans actif
- Plus vieux, névrotiques, introvertis, problèmes psychiatriques, problèmes sociaux, agissent «sur le coup»
Expliquer qu’est-ce qu’un trouble de la personnalité
Mode durable des conduites et de l’expérience vécue qui dévie notablement de ce qui est attendu dans la culture de l’individu, qui est envahissant et rigide, qui apparait à l’adolescence ou au début de l’âge adulte, qui est stable dans le temps et qui est source d’une souffrance (peut-être que pas elle qui souffre, mais les gens autour) ou d’une altération du fonctionnement.
Résumer la personnalité antisociale
Mode général de mépris et de transgression des droits d’autrui qui survient depuis l’âge de 15 ans.
- Expliquer les liens entre personnalité antisociale et criminalité
PRÉVALENCE :
Chez les personnes criminelles, 70% sont antisociales.
VS
Chez les personnes non-criminelles, 0,2 à 3,3% sont antisociales.
EXPLICATION :
- Criminalité des personnes avex une personnalité antisociale
o Début précoce (profil life-course persistent
o Plus de délits opur lesquels elles sont retrouvées coupable
o Plus de comportments violents
- Plus de problème de dansté physique et mentale en plus de problèmes sociaux