Cours #9 Flashcards

1
Q

% de F qui consultent et qui se font diag

A

Seules 60% des femmes qui rapportent une douleur sexuelle chronique consultent

…de celles-ci, seules 50% reçoivent un diagnostic

…beaucoup des femmes qui consultent rapportent s’être sentie stigmatisée par leur médecins

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Q

Mythes et faits : DGP

A

…est « dans la tête » des femmes
Ça se dit souvent…
Mais, non !

…est une excuse pour ne pas faire l’amour, comme les maux de tête
Ça se dit souvent…
Mais, non !

…est due à un abus sexuel à l’enfance
Ça se dit souvent…
Mais, non !

…disparaît par elle-même, si l’on n’y fait pas attention
Ça se dit souvent…
Mais, non !

…est naturelle, fait partie de la « condition féminine », il n’y a rien à faire
Ça se dit souvent…
Mais, non !

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3
Q

Définition de :

  • Vestibulite
  • Vaginisme
  • Dyspareunie
  • Vulvodynie
    -Clitordidynie
  • Syndrome de vestibulite vulvaire
  • Douleur genit-pel / trouble de la pénétration
A

VOIR ONE NOTE !

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4
Q

DSM : DGP inclusion / exclusion

A

VOIR NOTES !

Qcequon constate surtout : emphase bcp sur la pénétration

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5
Q

Prévalence DGP

A

Plus prévalent chez les plus jeunes (20%, 13-29 ans; 13%, 30-49 ans; 8%, 50-59 ans)

Aux E-U, la prévalence est plus grande chez les femmes hispaniques (1.4x à 1.8x)

Difficultés méthodologiques, et certaines études rapportent jusqu’à 16% de prévalence

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6
Q

Comorbidités communes DGP

A

Autres troubles de douleur chronique : Fibromyalgie, syndrome de colon irritable, cystite interstitielle

Autres troubles sexuels : Faible désir, anorgasmie, …
Troubles d’humeur (anxiété, dépression)

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7
Q

Pourquoi DGP pertinent pr un psy ?

A

Douleur chronique

Trauma

Trelationnel

Tpsycho-sexuel

Et donc plein de themes de travail ! voir liste

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8
Q

Chemin de la douleur : les nerfs nociceptifs

A

CEST UN T DE DOULEUR. Si on traite pas ça, on fait quoi au juste ?

Plus qu’un cable qui conduit douleur de la ou ca fait mal à là ou ça interprete le mal.

MOMENT 1 ; PERCEPTION. Qd D percue par le corps. Nociception. Jme tappe l’oretil, noci ds orteil qui a été frappé et ça part ds le cerveau.

MOMENT 2 : Se rend au cerveau et douleur

MOMENT 3 : affect et souffrance

Souffrance pr parler de tt ce qui est affect (moi qui sacre pcq jai mal)

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9
Q

Douleur aigue : def
(atteinte à quoi ?)

peut être de quelle origine

A

Résulte généralement d’une atteinte aux tissus du corps, et peut être d’origine externe (p.ex., une brulure ou une fracture) ou interne (p.ex., infection).

Est souvent perçue comme vive (pointue, tranchante, …)

Disparaît quand la blessure est guérie

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10
Q

Douleur chronique : def
(après cmb de temps va être dite chronique ?)

A

Est persistante, même après la guérison de toute cause (blessure ou maladie).

Une douleur chronique peut être intermittente, et varier en intensité et en qualité

En général, la douleur est dite chronique après 3-6 mois

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11
Q

Def douleur somatique

A

Terminaisons nerveuses dans les organes externes (p.ex., la peau) – brulure, irritation cutanée, …

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12
Q

Def douleur viscérale

A

Terminaisons nerveuses dans les organes internes – endométriose, cystite, …

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13
Q

Def douleur neuropathique

A

Dysfonction des nerfs nociceptifs – membres fantômes, ….

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14
Q

Douleur référée
(souvent associé à quelle douleur ?)

A

Souvent associée à une douleur viscerale

Hypothèse d’une « contamination » (cross-talk) nerveuse entre nerfs viscéraux et somatiques

**
Jai mal qqchosepart pr qqchose qui va mal autre part.

Fil tlm proches de cross-talk. Ex mal dos qd regles.

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15
Q

Expérience de la douleur chronique : c’est quoi nociception vs douleur vs souffrance

A

Nociception = sensation nerveuse

Douleur = perception consciente

Souffrance = expérience affective liée à la douleur

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16
Q

Modulation de la douleur : ex fin course cheville foulée + grands brulés

A

Notre corps sait moduler la douleur.
Cours ex y’a moment que douleur et apres euphorique. Gens qui finissent course cheville tordue.

VRAI RAISON PR CA

Cablage a plusieurs portails qui modulent douleur. Cap de reduire notre D (pas souffr!) avc notre cerveau.

Ex grand brulés. Si on distrait /occupe esprit, cap de reduire sens de D.

Sens opposé de ça brule partout a bcp mal à peu mal et on voit sur EMRF. Stim endrophiene aussi…

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17
Q

Mesures de la douleur : 4 echelles

A

Échelle subjective de la douleur

McGIll pain questionnaire

Brief pain inventory

Pain catatrophyzing scale (PCS)

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18
Q

Mesures de la douleur : Échelle subjective de la douleur

A

PAS COMpo à douleur de qqun d’autre, mais fiable et comparable à la douleur de nous.

Mal à cmb de 0 à 10.
VEUT PAS dire que 10 de moi le mm que mon amie.

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19
Q

Mesures de la douleur : McGIll pain questionnaire

A

Qd T pelvo-gen, souvent ça fait mal partout et tt le temps. Alors que qd de pres, ni tt le temps ni partout. Parfois vrm localisé et aidant pr la personne.

Comprendre nature. Brulure, dechirure, bloqué séré 6

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20
Q

Mesures de la douleur : Brief pain inventory

A

Impact que ca a ds notre vie. Relation,stravais, etc.

Touche noton SOUFFRANCE (detresse) que ns cause la douleur.

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21
Q

Mesures de la douleur : Pain catatrophyzing scale (PCS)

A

Rumination

Magnification

Impuissance

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22
Q

Catastrophisme : composantes

A

Magnification
« Si je fais très attention, je ne sentirai pas de douleur… La dernière fois, c’est là que j’ai eu mal… ah ! Je suis sûr que je sens quelque chose.. C’est la douleur qui vient… »

Rumination
« Pourquoi est-ce que j’ai mal ? Est-ce que je vais avoir mal ? Quand est-ce que ça va cesser ? Est-ce que ça va s’empirer ? J’aimerais que ça arrête… Qu’est-ce que j’ai fait au monde ? …»

Impuissance
« Je ne peux rien, j’ai mal. J’en peut plus. Je suis brisée, ça va toujours s’empirer, je ne pourrai plus rien faire… »

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23
Q

Le cycle peur-évitement de la douleur

A

Ex pers vrm mal anus. Cisgenre hetero, mais penetration .
Pers qui avait UNE SEULE chaise les autres trop douloureuses.

Pas faire velo, s’asseoir et une seule chais.e. Et cette chaise

Mla qd je m’assoie, donc jevite le fair.e jai mal qd ds cette chaise, jai mal qd tt chaise, qd je m’assoie… effet boule de neige. Eviter tt les circonstances qui peuvent pot m,aider.

Facon de sortir = casser boucle. Douleur = vraie. On vx pas minimiser, mais pas TT qui fait mal. Tt le reste = fondre B de neige = travail psy. Fait diff ds les gens qui ont douleur chronique.

BOUCLE DE NEIGE D’IMPACTS PSYCHO-SEX (aller voir diapo)

**
Douleur physique
Évitement sexuel
Perte de désir et d’intérêt
Anxiété relationnelle
Détresse et augmentation de la douleur

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24
Q

Bassin chez les humains

A

Parmi seule à avoir bassin de mm.

Charge que porte bassin = particulier chez H. Tient en compte que on decide de se promener sur 2 pattes.

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25
Q

Douleur vulvaire : T specifique

A

Infection (p.ex., herpes)
Inflammation (p.ex., lichen scléreux)
Néoplasie (p.ex., cancer)
Tx Neurologique (p.ex., neuralgie)
Tx Hormonal (p.ex., ménopausal)
Trauma (p.ex., MGF)
Iatrogénique (p.ex., irradiation)

26
Q

Vulvodynie quand ?

A

Vulvodynie (> 3 mois, sans cause identifiable)

Localisée (p.ex., vestibulodynie, clitoridynie) vs généralisée

Provoquée (p.ex., au contact, à la pénétration) vs spontanée

Primaire vs secondaire

Intermittent, persistante, constante

27
Q

Vulvodynie : douleurs chroniques comorbides

A

Fibromyalgie
Syndrome de fatigue chronique
Douleur chronique au bas du dos
Syndrome de colon irritable
Cystite interstitielle
Endométriose
Trouble temporo-mandibulaire

28
Q

Vulvodynie : facteurs asso

A

Prédisposition génétique
Facteurs hormonaux
Inflammation
Musculosquelettiques
Neurologiques (p.ex., neuroprolifération)
Psychosociaux (p.ex., catastrophization)

29
Q

Facteurs risques biomed vulvodynie

A

Facteurs embryologiques
Facteurs hormonaux
Facteurs génétiques
Infections
Dysfonction des muscles du plancher pelvien
Douleurs périphériques et centrales (endométriose, fibromylagie, neuralgies. …)
Dermatoses
Douleurs post-partum

30
Q

Facteurs risques psychosociaux

A

Difficultés d’intimité, de communication sexuelle, et d’affection
Maltraitance à l’enfance
Troubles d’attachement
Troubles d’humeur : anxiété et dépression
Catastrophisation et faible auto-efficacité
Faible motivation sexuelle, tx sexuels
Réponses du partenaire

31
Q

Facteurs de protection vulvodynie

A

optimisme, espoir, auto-efficacité, …
résilience à la dépression
bonne hygiène du sommeil
exercice / activité physique
alimentation saine

32
Q

Vaginisme

A

Contraction chronique / spasme des muscles vaginaux

33
Q

T du bassin

A

Tx de la symphyse pubienne, de la hanche, des articulations sacro-iliaques, coccydynie, obliquité du bassin

Douleurs du mur abdominal/pelvien antérieur, du piriformis/de la fesse, douleurs lombaires

Neuralgie pudendale

34
Q

Dyspareunies d’origine hormonale

A

Dysmorphies du vagin (atrophies, sècheresse)

Tx d’excitation / de lubrification

35
Q

Autres douleurs chroniques

A

Fibromyalgie, endométrie, cystite interstitielle, neuralgie pudendale…

et plus généralement, toute douleur ou inconfort récurrent (pelvien, génital, anal)
…qui est source de détresse …et qui affecte la sexualité
(pour les douleurs genito-pelviennes)

36
Q

DGP post-partum

A

D’abord : La grossesse et l’accouchement ne sont pas des maladies !
- En général, le sexe n’est pas contre-indiqué durant la grossesse – même pénétratif !
- Après l’accouchement, il est généralement recommandé d’attendre 4-6 semaines avant de reprendre les activités sexuelles

Plusieurs femmes rapportent de la douleur sexuelle post-partum persistante :
- Déchirures, névralgies ou autres complications liées à l’accouchement
- Diminution d’estrogène dans le vagin (l’allaitement retarde l’ovulation)
- Spasmes musculaires

37
Q

Menopause et douleurs

A

D’abord : La ménopause n’est pas une maladie !
- N’affecte pas nécessairement le désir…
…et certainement pas la satisfaction sexuelle !

Quelques sources de douleur sexuelle
- Assèchement vaginale
- Atrophie vaginale
- Vulvodynie acquise, médiée par des changements hormonaux

…et de honte
- Modifications de l’aspect de la vulve
- Laxité vaginale

38
Q

Diapo, bcp intervants dans le domaine !

A

physio = au milieu

39
Q

Traitements bio-med : pharmaceutiques et chirurgicaux

A

1) Pharmaceutiques

Lidocaïne
- Plus connu, plus prescrit

Antidépresseurs (p.ex., amutriptyline, gabapentin)
- ≤ placebo, ou peu d’effet ; effets secondaires (sédation, palpitations & fatigue)

Capsaicin
- Application locale, douloureuse

« None are among the first-line therapies because of insufficient evidence of efficacy and le potential for local irritation »

2) Chirurgicales
- Vulvoplastie

40
Q

Traitement physio-therapie

A

Travail interne. ON va jouer avc musculature, soit ce qui ds les environs.

41
Q

Hypertonicité du plancher pelvien : symtpomes

A

Miction: Urgence, fréquence, hésitation, douleur

Constipation: Évacuation difficile ou douloureuse

Douleur quand assise

Douleur, démangeaisons, sensations de brûlure: Vulvaire, périnéale, anale

Anorgasmie, douleur à l’orgasme

Intolérance aux vêtements ou à l’exercice

42
Q

Traitements physiotherapeutiques (2)

A

Thérapies manuelles
Exercices à la maison

43
Q

Traitements physiotherapeutiques : therapie manuelles

A

Education
Mobilisations, manipulations, « trigger point release »
Etirement au dilatateur
Rééducation neuromusculaire
Biofeedback électromyographique
Stimulation éléctromyologiques
Relaxation, « mindfulness »

44
Q

Traitements physiotherapeutiques : exercices à la maison

A

Relaxation des muscles du plancher pelvien
Étirements ou renforcements musculaires
Etirement au dilatateur
Exposition progressive à l’exercice, aux activités sexuelles
Modifications des habitudes de vie (réduction de l’évitement)

45
Q

Accompagnement psychosex des DGP
(facons / ctx que ca peut se faire)

A

indiv
couple
grp

46
Q

DGP : therapie individuelle

A

(Re)découverte de son corps, de son désir et de sa sexualité

Reconstruire son estime de soi, image corporelle

Confronter les évitements, anxiétés et peurs liés au sexe

Privilégier sa propre recherche de plaisir

47
Q

DGP : therapie couple

A

La douleur sexuelle est une « affaire à deux »

Le partenaire comme partie-prenante dans le travail

Communication sexuelle entre les partenaires

48
Q

DGP : psychotherapie de groupe

A

Normaliser son expérience de douleur

Réduire la honte, culpabilité, croyance d’être « brisée »

49
Q

Therapie DGP : cmt on fait ?

A

ben… comme d’habitude !
La majorité des thèmes rencontrés sont communs avec d’autres motifs de consultation

50
Q

Therapie DGP : on fait attention à quoi quand meme ?

A

A l’historique de consultation de la cliente

Au mythes, croyances et expectatives

A la possibilité de honte

Au risque accru d’expériences traumatiques

A la difficulté qu’ont beaucoup de clients (et de thérapeutes) à parler de sexe

51
Q

Therapie DGP : on reste informés de quoi ?

A

Du travail que font les autres acteurs du domaine (médecins, physiothérapeutes)

Des avancées rapides en recherche

52
Q

Qceque qui est important qd on fait therapie de DGP ?

A

D’entendre et de valider l’expérience de la cliente

D’être simple, direct et à l’aise sur ce sujet

D’être apporteur de ressources

Et…
Se rappeler que beaucoup des femmes qui consultent pour des douleurs sexuelles, n’ont jamais vécu d’abus ou d’agression sexuels

53
Q

Therapie individuelle en couple et therapie de couple

A

INDIV DE COUPLE
Le partenaire comme partenaire de travail

DE COUPLE
« Focus » sur le couple

**
Differencier acte affectif de acte sexuel. Être en contact. Qcequi pourrait être excitant / agreable qui pas de risque d’avoir mal ? Ex qd je me masturbe. Cmt construire ça. + on donne contrôle à pers qui a mal, plus on est en train d’aller ds le sens de re-introduire sex safe que pas risque de douleur.

À partir de moment qd contrôle couple, je px venir active. Qd active, je bouge. Qd je bouge, je m’excite, plancher pelvien

Quoi comme position sex où moi en contrôle ?
Moi qui me masturbe avec jouet. Deux pers couchées face à face. Pas cuillere pr pas contrôle du geste.

Y’a un grand repertoire non-pene qui se construit et petit de gestes penetratifs. Couple fini par retrouver ensemble de gestes possibles que pas douleur et si douleur, cap de back out tres vite. Route de reduire impact de sex de condition qui reste chronique.

54
Q

Impact relationnel de DGP pr : femme souffrant de douleur

A

Honte, sentiment d’insuffisance (« inadequacy »), faible estime de soi

Désir et intérêt sexuel –, excitation sexuelle –, orgasmes –

Attitude sexuelle –, détresse sexuelle +

55
Q

Impact relationnel de DGP pr : le partenaire

A

Communication sexuelle –
Fonction sexuelle – (fonction érectile, satisfaction sexuelle)
Gestes d’affection et d’intimité –

56
Q

Impact relationnel de DGP pr : le couple

A

Satisfaction relationnelle ne semble pas affectée !
Fréquence sexuelle –, …

57
Q

Reponses aggravantes partenaires font quoi ?

A

Négatives : Douleur +, fonction sexuelle –, satisfaction sexuelle –, symptômes dépressifs +

Sollicitantes : Douleur +, fonction sexuelle –

58
Q

Reponses aidantes partenaires font quoi ?

A

Soutenantes : Douleur –, fonction sexuelle +, satisfaction sexuelle +, satisfaction relationnelle +

59
Q

Therapie de grp permet quoi ?

A

Permet à collection de pers qui ont mal à se sentir soutenue en tant que F ds grp F qui agissent sur leur diff. Se sentent + en contrôle / efficacité.

Bcp faire avc connaissance. Sensate focus !

60
Q

Ex de reponses aggravantes et aidantes

A

Rep aggravante negative :
- Pffff pas encore force toi

Rep aggravante sollicitante.
- Ahhh ma pauvre. Jte comprends, on va faire netflix, popcorn. ON contribue au prob. Ok prob ensemble, on va vivre ensemble. Sympathie mal placée.

Rep soutenante positive
Wow je comprends . Je sais que t’as mal. Pas besoin avoir relation penetrative. Mais si qqchose d’autre, pt on peut se carasser. Oui douleur, on va pas faire le cave, mais soutenir

Dpnt bcp de temps on pensait que les 2 positives. Rep souli = + de douleur et - de fction sex pcq les 2 on contribue a pas en avoir

Besoin de work avc couple pr que 2 parties comprennent.
Stratgies de coping aussi cmt la pers va reagir !

Travailler cmt couple ET cmt partenaire reagit