Cours 8 - Les relations interpersonnelles Flashcards

1
Q

Quelles sont les 4 forces des relations interpersonnelles ?

A
  1. Pour nos ancêtres, l’attachement mutuel permit la survie du groupe (capacité à coopérer = coordonner leurs efforts).
  2. L’amour et le support entre deux parents augmente la chance de survie des enfants.
  3. Pour les gens partout dans le monde, les relations interpersonnelles actuelles ou recherchées occupent les pensées.
  4. Afin de se sentir accepté et désirable, on dépense des millions dans les cosméthiques, vêtements, diètes, etc (désir se lier aux autres).
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2
Q

Complète : «Une étude longitudinale menée sur 75 ans démontre que les bonnes relations interpersonnelles sont cruciales à la santé humaine, plus que ____ , _____ , ______ . »

A
  • l’accomplissement,
  • l’argent,
  • le prestige.

*Une étude longitudinale menée sur 75 ans démontre que les bonnes relations interpersonnelles sont cruciales à la santé humaine, plus que l’accomplissement, l’argent et le prestige. *

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3
Q

Plusieurs études se sont intéressées à la question « Qu’est-ce qui donne un sens à votre vie ? Qu’est-ce qui vous procure du bonheur ? »
Donne des exemples de ce qu’elles ont démontré (x4) :

A
  1. 89 % = relations interpersonnelles ; famille, amis, conjoint (Klinger, 1977 : Campbell, 1981).
  2. Le fait d’être amoureux ou de se sentir aimé est lié au bonheur (Dubé, Blondin & Kairouz, 1991).
  3. Matérialisme vs valeurs communautaires (prédisent davantage le bien être !), (Kasser, 2002).
  4. Un prédicteur important du sens au travail : la satisfaction du besoin d’appartenance (Nikolova & Cnossen, 2020).
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4
Q

Nomme quelques unes des réalisations partagées par Ed Diener dans un vidéo présenté en classe :

A

La clé du bonheur …
- Bonnes relations interpersonnelles,
- Avoir des buts qui nous connectent aux autres,
- Faire des activités que nous apprécions & liées à nos forces,
- Être dans un bon environnement physique,
- La spiritualité ( connecté à (+) que le soi ),
- etc.

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5
Q

Quel concept est défini ici : « Le besoin de former et de maintenir une quantité minimale de relations interpersonnelles significatives, durables et positives »

A

Le besoin d’appartenance

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6
Q

En lien avec le besoin d’appartenance, complète : « Une motivation à se rallier aux autres dans des relations procurant des intéractions ____ et _____ . »

A
  • Continues,
  • Positives.
    Une motivation à se rallier aux autres dans des relations procurant des intéractions continues et positives.
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7
Q

Quel concept est « complètement à l’opposé » du concept du besoin d’appartenance ?

A

Le rejet social.

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8
Q

Explique l’étude de (Snatcher, 1959) sur le besoin d’appartenance :

A

Question : Quelles situations augmentent le besoin d’appartenance ? Le rôle de l’incertitude

Méthodologie expérimentale en laboratoire,
On fait croire aux participants que le but de l’étude est : « Quels sont les effets physiologiques des chocs électriques »

VI : Chocs sans douleur vs douloureux,
VD : Choix de la situation d’attente (seul vs avec quelqu’un d’autre).

Conclusion :
33% des gens dans condition de chocs sans douleur ont choisi d’attendre avec quelqu’un d’autre VS 63% des gens dans la condition de chocs douloureux.
(Dans un contexte incertain, douloureux : les gens désirent être entouré !).

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9
Q

Vrai ou faux :
L’apparence physique joue un rôle important dans la formation d’une relation ?

A

Vrai !

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10
Q

Quel est le stéréotype en lien avec l’apparence physique utilisé dans la formation de nouvelles relations ?

A

« Ce qui est beau est bon »
(Croire que si quelqu’un a une belle apparence physique = a (+) de caractéristiques positives).

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11
Q

Complète : « Les gens ____ sont traités plus positivement »

A

Beaux

À noter : Les gens attribuent (+) de traits moraux aux personnes (+) attirantes.

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12
Q

Explique en quoi le stéréotype « ce qui est beau est bon » repose sur un apprentissage social :

A

« Do Animated Disney Characters Portray and Promote the Beauty–Goodness Stereotype? »

Les films de Disney dépeignent les personnages gentils comme ayant une belle apparence physique (princesse, etc.) et les méchants comme ayant de moins beaux attributs physiques (sorcière, etc.).

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13
Q

Quels sont les indicateurs de la beauté ? (x3)

A
  1. La structure du visage (le visage moyen = perçu comme (+) beau, pcq (+) familier !),
  2. Ratio tour de taille/hanches,
  3. Ratio longueur des jambes/grandeur.
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14
Q

Explique l’enjeu avec « la beauté virtuelle »

A
  • Les gens désirent de plus en plus ressembler à leurs filtres,
  • Cette beauté est idéalisée, mais irréaliste,

Quoi faire ?
- Éviter d’utiliser les filtres.

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15
Q

Donne des exemples de stéréotypes à propos des femmes & hommes qu’on retrouve dans les petites annonces :

A

Femme :
« jolie, mince, 5’5’’, d’allure jeune, créative, cultivée, sportive, cherche beau professionnel dans la 40aine, de 5’10’’ et
plus, n-fum, dynamique. »

Homme :
« Beau grand garçon de 6’, professionnel, costaud, sympathique, curieux, cherche jolie perle asiatique, afin de découvrir
grands mystères d’Orient. »

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16
Q

Les critères de beauté sont-ils universels ?

A

Non (très subjectifs)

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17
Q

Nomme trois exemples liés à la beauté dans les différentes cultures :

A
  1. Les femmes giraffe,
  2. Les jeunes chinoises qui portent des petits souliers pour avoir de petits pieds,
  3. Le corset en occident (ratio taille/hanches).
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18
Q

Sommes-nous « vers un changement »des stéréotypes liés à l’apparence physique ?

A

Oui.

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19
Q

Pourquoi dit-on que nous sommes vers un changement des stéréotypes liés à l’apparence physique ?

A

Parce que c’est davantage la satisfaction corporelle qui prédit le bien-être psychologique, au delà de la beauté objective.

  • Valorisation de la santé, de la vitalité,
  • Initiatives de certaines marques : choix diversifié de mannequins (plus réalistes),
  • Etc.
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20
Q

Complète : «C’est davantage la ____ _______ qui prédit le bien-être psychologique, au delà de la beauté objective »

A

Satisfaction corporelle

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21
Q

Vrai ou faux :
La proximité joue un rôle dans la formation d’une relation.

A

Vrai !

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22
Q

Qu’est-ce que démontre l’étude de (Newcomb, 1961) avec les étudiants de résidences ?

A

Que la proximité joue un rôle important dans la formation de nouvelles relations.

(70% des participants ont dit que la chambre de leur meilleur ami était dans le même batiment, souvent juste à côté de la leur !).

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23
Q

Quels sont les deux concepts qui expliquent pourquoi les intéractions fréquentes augmentent l’attirance ?

A
  • Effet de simple exposition
    (La personne que l’on voit souvent = devient (+) familière),
  • Effet de dissonance cognitive
    (Si on n’apprécie pas une personne, mais qu’on l’a croise souvent, pour diminuer la dissonance = on va tenter de développer une attitude (+) positive).
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24
Q

Le phubbing (Diapo 20)

A

« Phone » + « Snubbing »
Def (internet) : Phubbing is the habit of snubbing a physically present person in favour of a mobile phone.

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25
Q

Explique comment s’applique l’expression « Qui se ressemble s’assemble » en lien avec l’amitié :

A

Les différences dans les habiletés peuvent être bénéfiques …
On aime lorsque les gens ont les mêmes valeurs que nous, mais un peu différents en termes d’habiletés précises (Tesser, 1988).

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26
Q

Donne quelques exemples d’éléments pour lesquels une similarité est à privilégier (« Qui se ressemble s’assemble ») :

A
  • Valeurs,
  • Beauté,
  • Personnalité,
  • Attitudes.
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27
Q

Vrai ou faux : Les différences mènent à moins d’attirance.

A

Vrai

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28
Q

Quelles sont les implications pratiques de ces résultats ? (Diapo 23)

A

*À vérifier *
On recherche la présence des gens similaires à nous, on est alors pas porté à entrer en contact avec les gens différents (alors que ça pourrait être très bénéfique).

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29
Q

Selon les théories de l’équilibre …
« Nous sommes motivés à conserver une ___ ____ entre nos attitudes ou entre notre attitude & notre comportement. »

A

Cohérence cognitive

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30
Q

Selon les théories de l’équilibre …
« Afin de maintenir une certaine harmonie cognitive, on a tendance a préférer les gens ____ à soi et à aimer ceux qui nous ____ »

A
  • …semblables,
  • …aiment
31
Q

L’amour …
Pour les grecs :

A

Passion (irrationnel) vs amour platonique (ex : maitre & disciple).
*Valorisent la pensée logique

32
Q

L’amour …
Pour les romains :

A

Jeu, divorce insitutionnalisé (permis!).

33
Q

L’amour …
Aux 16e & 17e siècle :

A

Amour courtois : Amour idéalisé (romantique), élégant, adultère. (Rien à voir avec le mariage!).

34
Q

L’amour …
Anglais (18e siècle) :

A

Amour & mariage peuvent cohabiter (aspect pratique).

35
Q

L’amour…
à la fin du 20e siècle :

A

86% des étudiants universitaires croient que le mariage devrait être basé sur l’amour !

36
Q

L’amour …
dans les années 2010 :

A

La relation engagée « tout ou rien »
- Importance de l’engagement et de l’investissement.

Mariage « tout va bien » : Les deux sont très investit,
Mariage « tout va mal » : divorce.

Les gens sont exigeant envers le mariage, désire que celui-ci leur permette de s’auto-actualiser !

37
Q

Explique la théorie triangulaire de l’amour (Stenberg, 1986, 2013) :

A
38
Q

Quelles sont les 3 grandes dimensions de l’amour selon la théorie triangulaire ?

A
  1. Intimité (amitité),
  2. Passion (coup de foudre),
  3. Engagement (amour responsable).
39
Q

Selon la théorie de l’amour triangulaire …
A) Amitié + engagement :
B) Intimité + passion :
C) Passion + engagement :

A

A) Amour tendresse,
B) Amour passion,
C) Amour hollywoodien ?

40
Q

Défini l’amour passion :

A
  • État émotionnel très intense,
  • Émotions conflictuelles,
  • Désir de fusion avec l’autre,
  • Fascination envers l’autre.

« Je me sentirais désespérée si X me quittait »
« Parfois je sens que je ne peux pas controler mes pensées, elles se fixent sur X de manière obsessive »

41
Q

À quel type d’amour fait-on référence ? « Je me sentirais désespérée si X me quittait »

A

Amour passion

42
Q

Défini amour tendresse :

A
  • Affection profonde et respect,
  • Implique la tendresse, l’indépendance,
  • Engagement,
  • Confiance : fiabilité et sécurité émotionnelle.

« Nous avons une relation chaleureuse et confortable »,
« X viendrait à mon aide si j’en avait besoin »

43
Q

À quel type d’amour fait-on référence ? « Nous avons une relation chaleureuse et confortable »

A

Amour tendresse

44
Q

Peut-on changer d’un type d’amour à l’autre ?

A

Oui !
(C’est impossible de toujours maintenir la même intensité, l’amour ne s’atténue pas necessairement ; elle se transforme)

À noter : faire de nouvelles activités maintient la passion dans les couples de longue durée.

45
Q

Complète l’énoncé : « L’amour augmente la _____ »

A

créativité !

46
Q

Complète l’énoncé : « L’amour crée dans le cerveau un état semblable à la ____ et aux _____. »

A
  • Drogue,
  • Addictions.
47
Q

À quel concept fait-on référence :
« Processus qui fait que deux personnes essaient de se rapprocher l’une de l’autre et en viennent à se connaitre dans ce qu’elles sont au plus profond d’elles-mêmes, établissant ainsi une interdépendance. »

A

Intimité

48
Q

L’intimité est liée à 5 aspects, quels sont-ils ?

A
  1. Intensité du sentiment,
  2. Qualité & quantité d’informations révélée sur soi,
  3. Engagement élevé et vision à long-terme,
  4. Degré élevé d’interdépendance,
  5. Inclusion de l’autre dans notre identité.
49
Q

Qui a développé une façon de mesurer l’intimité et inclusion de l’autre dans le soi ?

A

Aron et al. (1991, 1992 : Aron & Aron, 2009)

« Encerclez l’illusion qui correspond le mieux à votre relation »
Mesure picturale !

50
Q

Vrai ou faux :
L’étude menée par Aron et al. (1991, 1992 : Aron & Aron, 2009) démontre que l’inclusion du partenaire dans notre conception de soi a des conséquences concrètes ?

A

Vrai !
Conséquences concrètes :
1. (+) Inclus = (+) satisfait de la qualité de la relation,
2. (+) inclus = temps de réactions (+) rapides dans la reconnaissance et l’identification de similarités.

51
Q

Comment se développent et se maintiennent nos relations intimes ?

A

La théorie de l’attachement (Bowlby, 1980) !

52
Q

Explique la théorie de l’attachement (Bowlby, 1980) :

A
  • L’attachement à une figure réconfortante empêche toute séparation qui pourrait être dangereuse pour la survie de l’enfant.
  • La présence sécurisante de cette figure réconfortante permet graduellement à l’enfant d’explorer son environnement et d’établir des contacts avec les membres de la communauté.
53
Q

Quels sont les trois styles de l’attachement ?

A
  • La relation sécurisante (56%)
    (Parent a prit soin de l’enfant = confiance en lui !).
  • La relation évitante (25%)
    (Parent n’a pas toujours satisfait les besoins de l’enfant = pas confiance en lui).
  • La relation anxieuse-ambivalente (19%)
    (Parent variait son style d’interactions …).
54
Q

Qu’est-ce démontre la méta-analyse récente (Konrath et al., 2014) en lien avec la théorie de l’attachement ?

A

En 2011 …
- 42% sécures
- 58% insécures (évitant + anxieux)
Cette augmentation est dûe au contexte social, économique, etc. instable.

55
Q

Quelles sont les conséquences du style d’attachement confiant (sécure) sur les relations interpersonnelles ?

A

Relation …
- (+) heureuse,
- (+) confiante,
- (+) amicale,
- de plus longue durée.

56
Q

Quelles sont les conséquences du style d’attachement évitant sur les relations interpersonnelles ?

A

Relation …
- Peur des relations intimes,
- Besoin d’indépendance,
- Relations brèves & superficielles.

57
Q

Quelles sont les conséquences du style d’attachement anxieux-ambivalent sur les relations interpersonnelles ?

A

Relation …
- Peu de confiance,
- Exige beaucoup de l’autre,
- Jalousie,
- Hauts & bas,
- Exagération des conflits
- Instabilité.

58
Q

Explique l’étude de (Baldwin et al., 1996) sur l’attachement adulte :

A

Question : Une fois qu’un style d’attachement global s’est développé, applique-t-on ce style à toutes nos relations interpersonnelles ? (Variabilité).

Mesures :
1. Style d’attachement global (à travers toutes leurs relations),
2. Liste de 10 relations (+) significatives,
3. Style d’attachement spécifique à chacune de ces relations.

Conclusion :
88% des participants ont vécu des relations couvrant au moins deux des trois styles, 47% ont rapporté vivre des relations des 3 types.

41% rapporte un style global différent du style avec leur mère (46% = différent du père, 32% = différent avec leur partenaire amoureux).

Il existe donc une variabilité inter-relations !

59
Q

Que met de l’avant l’étude de (Roisman, Padron, Stroufe & Egleland, 2002) en lien avec le changement dans l’attachement ?

A

l’existence de 2 profils …
1. Attachement confiant continu : déjà présent à l’enfance.
2. Attachement confiant acquis : lorsque l’attachement insécure à l’enfance se transforme en attachement confiant à l’âge adulte.

60
Q

Que met de l’avant l’étude de (Park, Johnson, Macdonald, & Impett, 2019) en lien avec le changement dans l’attachement ?

A

La gratitude ressentie en couple diminue l’attachement anxieux dans le temps.

61
Q

Quels sont les 3 dimensions sur lesquelles reposent les théories de l’engagement ?

A
  1. Renforcement & réciprocité,
  2. Équité & justice sociale,
  3. Interdépendance.
62
Q

Explique l’aspect « renforcement & réciprocité » (on aime ceux qui nous aime !) :

A
  • L’humain est hédoniste : recherche du plaisir (maximiser les gains, minimiser les pertes),
  • L’humain est rationnel : analyse coût-bénéfice et prise de décision.
  • Implications : nous sommes attirés vers une personne qui nous apporte des choses positives.

À noter : nous sommes aussi attirés par les gens qu’on associe avec des stimuli positifs (ex : décoration, activités agréables, etc.).

63
Q

Explique l’aspect « équité et justice sociale » (sommes-nous toujours aussi calculateur ? (gains/pertes)) :

A

Un sentiment d’iniquité se produit quand …
Le ratio entre ce qui est investit par un individu (sa contribution : C) et ce qui est reçu (le résultat : R) est différent du ratio pour un autre individu.

C/R personne 1 = C/R personne 2
- Le sentiment d’iniquité provoque une tension que l’individu essaiera d’éliminer,
- Nos relations sont-elles toujours basées sur les principes de l’équité ?

64
Q

Explique l’aspect « interdépendance » :

A

Interdépendance : la force de la qualité des effets de l’un sur l’autre dans les préférences, les motivations et les comportements de chacun.

On compare les coûts et les bénéfices de notre relations à ceux que l’ont auraient avec une personne alternative (ou absence de relation).

65
Q

Défini l’engagement :

A

Le processus par lequel une personne se sent liée à une autre personne, ce lien influençant l’intention de continuer la relation.

La force qui assure la continuation d’une relation lorsque celle-ci se heurte à des obstacles difficiles ou lorsque les partenaires sont soumis à la tentation offerte par une option intéressante.

66
Q

Comment défini-t-on l’engagement selon le modèle de l’investissement (Rusbult, 1991, 2012) ?

A

Engagement =
Satisfaction + Investissements passés + Manque de choix ou solutions de rechange.

67
Q

Lecture
Défini « relation interpersonnelle »p.248

A

La relation interpersonnelle est un ensemble de liens continus entre deux personnes ou plus, qui s’influencent mutuellement, et ce, dans un cadre temporel, social, cognitif et émotionnel.

68
Q

Lecture
Sur quel postulat très simple repose les théories de l’engagement ? p.249

A

Dans ses relations avec les autres, l’être humain est attiré par ceux qui apportent une réponse positive à ses actions.

69
Q

Lecture
À quelle concept fait-on référence ici ? «Les deux partenaires s’influencent mutuellement et comptent fortement l’un sur l’autre pour satisfaire leurs besoins. » p.250

A

Interdépendance

70
Q

Lecture
Vrai ou faux : la répétition des rencontres fait en sorte que l’on évalue l’autre de façon plus positive. Ainsi la proximité géographique favorise la familiarité. p.252

A

Vrai

71
Q

Lecture
Selon la théorie triangulaire de l’amour, nomme quelques indicateurs de l’intimité : p.258

A

Désir du bien-être de l’autre,
- Bonheur éprouvé en sa présence,
- Compréhension,
- Capacité de fournir du soutien,
- Etc.

72
Q

Lecture/notes
Selon le modèle de l’investissement, l’engagement est la somme de trois éléments, quels sont-ils ? p.262

A
  1. Satisfaction envers la relation,
  2. Ampleur des ressources qui y ont été investies,
  3. Manque de choix ou de solutions de rechange.
73
Q

Lecture
Comment défini-t-on le concept d’investissement, selon la théorie du modèle de l’investissement : p.262

A

Les différentes ressources engagées (temps, argent, efforts) qui seraient irrémédiablement perdues si les partenaires en venaient à rompre.