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PSY4121 - Examen 2 > Cours 7 - La communication > Flashcards

Cours 7 - La communication Flashcards

1
Q

Définition de la communication

A

Ensemble des comportements et des processus psychologiques qui permettent de transmettre et de recevoir des informations dans un contexte donné

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Q

Défini la communication non verbale

A

Désigne toute forme de communication utilisant un instrument autre que la voix (posture, distance, expressions faciales, etc.).

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3
Q

Vrai ou faux : Nous utilisons davantage les indices non-verbaux que verbaux pour comprendre ?

A

Vrai

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4
Q

Quelles sont les fonctions de la communication non-verbale (x5):

A
  1. Communiquer sentiments et identité,
  2. Permet de régulariser les conversations,
  3. Permet d’exprimer l’intimité,
  4. Traduit la volonté de contrôle,
  5. Sert de support à la communication verbale (permet d’amplifier certains éléments).
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5
Q

Vrai ou faux : « Primauté de l’expression du visage sur le message verbal quant au sens du message »

A

Vrai !

Lorsque le message verbal et expression verbale sont en contradiction, l’expression du visage est acceptée comme un reflet plus exact.

Expressions faciales liées aux émotions sont automatiques et involontaires.
p.225

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6
Q

Complète l’énoncé :
Les expressions faciales donne des informations sur l’_____ _______ du locuteur.

A

État émotionnel
« Les expressions faciales donne des informations sur l’état émotionnel du locuteur. »

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7
Q

Quelle est la particularité des 6 émotions de base ?

A

Elles sont universelles (surprise, peur, dégout, colère, joie, tristesse).

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8
Q

Vrai ou faux : les expressions faciales dépendent aussi de règles de manifestation et de motivation sociale.

A

Vrai !

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9
Q

Est-ce que ce sont toujours les mêmes muscles qui se contractent pour chacune des émotions ?

A

Non, les muscles contractés diffèrent !

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10
Q

L’authenticité des sourires a des implications ______ :
a) concrètes,
b) Implicites.

A

Concrètes !

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11
Q

Quelles sont les caractéristiques liées à un sourire authentique ? (x2)

A
  1. Les yeux sont relaxer et on observe des pattes d’oie en dessous.
  2. La bouche a les coins relevés, on entrevoit les dents.
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12
Q

Quelles sont les 3 raisons pour lesquelles le regard est important dans la communication non-verbale ?

A
  1. Communiquer de l’information,
  2. Régler des interactions,
    (Ex : si on veut donner moins d’importance à la personne qui parle, on peut détourner le regard),
  3. Exercer le contrôle.
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13
Q

Vrai ou faux :
La posture a une implication dans la communication non verbale.

A

Vrai

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14
Q

Qu’est-ce que démontre l’étude de (Rosenberg & Langer (1965)) à propos des postures ?

A

Que celles-ci présentent une gamme de signaux valides et partagés.

Les participants associent des postures (sur dessin) à des émotions.

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15
Q

À quoi correspond la proxémie ?

A

À la distance à laquelle on se tient de l’autre.
Elle exprime notre degré de confort par rapport à la situation/relation.

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16
Q

Qelles sont les 4 zones mises de l’avant dans l’étude de (Hall, 1966, 2019) ?

A
  1. Zone publique (3.65-7.6m),
  2. Zone sociale (1.2-3.65m),
  3. Zone personelle (46cm-1.2m),
  4. Zone intime (0-46cm).
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17
Q

Explique l’étude des processus fondamentaux (Hare et al., 2002)

A

Question de recherche : « Quelle espèce animale est la meilleure pour lire la communication non-verbale des humains ? »

Tâche : expérimentateur cache un morceau de nourriture en dessous d’un contenant, l’animal doit le retrouver en se fiant à la communication non-verbale de celui-ci.

Étude #1 : Chiens vs Chimpanzés (capacité particulière des chiens).

Étude #2 : Chiens vs Loups (la probabilité que les chiens trouvent la nourriture suite aux signaux humains dépasse significativement la chance).

Conclusion :
À travers le processus de domestication, les chiens ont aquis cette capacité.

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18
Q

À quel concept de la communication verbale fait-on référence «ensemble des symboles verbaux qui représentent des choses, des idées, des événements, des objets. »?

A

La langue

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19
Q

Vrai ou faux : Le language n’influence pas notre façon de penser.

A

FAUX, le language influence aussi notre façon de penser.

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20
Q

Complète «la langue utilisée influence les _____ ________ . »

A

Processus cognitifs

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21
Q

Complète « La capacité à _ et à _ un phénomène dépend des _ utilisées dans une langue »

A
  • Détecter,
  • Distinguer,
  • Expressions.
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22
Q

Explique l’étude de (Ross, Xun et Wilson, 2002), elle s’intéresse à comment la langue influence les processus cognitifs et plus spécifiquement, les perceptions de soi.

A

Question : « Est-ce que les participants vont répondrent de la même façon à la question si elle est posée en chinois vs en anglais ? »

Participants :
- Chinois qui ont déménagés au Canada (parlent anglais et chinois).

Conclusions :
Il existe plusieurs différences, la langue a un impact sur notre perception de soi !

23
Q

Complète : « Il existe un lien ____ entre parler notre langue maternelle et l’expression de nos émotions »

  • Positif
  • Négatif
A

Positif ! Nous exprimons davantage nos émotions.

24
Q

Vrai ou faux :
Nous avons une meilleure mémoire autobiographique lorsque nous utilisons la même langue que celle utilisée lors d’un événement.

A

Vrai

25
Q

En lien avec l’étude de (Ross, Xun et Wilson, 2002)
Associe correctement :
La satisfaction vécue dans les relations interpersonnelles est davantage associée au bien-être lorsque le questionnaire est rempli en *_____(1) .

La satisfaction de l’image de soi projetée prédit davantage le bien-être lorsque le questionnaire est rempli en _____(2).

A) Chinois,
B) Anglais.

A
  1. A) Chinois,
  2. B) Anglais.
26
Q

À travers la communication, nous affirmons notre appartenance à certains ___ .

A

Groupes sociaux (accent, etc.).

27
Q

Complète : « La langue comme véhicule des ____ et des _____ . »

A
  • Préjugés,
  • Stéréotypes.
28
Q

Défini le concept de « relations intergroupes »

A

Tout aspect de l’interaction humaine qui implique des individus se percevant, ou étant perçus par les autres, comme membre d’une catégorie sociale.

29
Q

En lien avec les relations intergroupes, nomme les 5 concepts importants :

A
  1. Catégorisation (placer les gens dans une catégorie),
  2. Endogroupe « NOUS »,
  3. Exogroupe « EUX »,
  4. Stéréotypes (lorsque l’on attribue des caractéristiques à qqun que l’on classe dans une catégorie; perte variabilité individuelle & surgénéralisation de certaines caractéristiques),
  5. Biais proendogroupe (tendance à vouloir favoriser les membres de notre propre groupe d’appartenance).
30
Q

Quel biais est fréquemment utilisé pour décrire les comportements des différents groupes ?

A

Le biais linguistiques pro-endogroupe : l’usage de la langue contribue aux stéréotypes à propos de notre endogroupe et des exogroupes.

31
Q

Explique l’étude de (Maass, Salvi, Arcuri & Semin, 1989) portant sur le biais pro-endogroupe :

A

Hypothèses :
Les comportements positifs de l’endogroupe sont décrits en termes plus ABSTRAITS que lorsque ces mêmes comportements sont exécutés par des membres de l’exogroupe.

Les comportements négatifs de l’endogroupe sont décrits en termes plus CONCRETS que lorsque ces mêmes comportements sont exécutés par des membres de l’exogroupe.

Tâche : on présente aux participants deux bandes dessinées, dans une des deux, le protagoniste se comporte positivement, dans la deuxième il se comporte négativement. Le protagoniste porte un chandail qui suggère qu’il appartenait à une ville plutot qu’à l’autre (endo-exo).

Conclusions :
- On utilise un vocabulaire abstrait pour décrire les comportements NÉGATIFS de l’exogroupe, alors qu’on utilise ce type de vocabulaire pour décrire les comportements POSITIFS de l’endogroupe.

32
Q

S’agit-il d’un vocabulaire abstrait ou concret ? : il est gentil.

A

**Abstrait **! (Liens avec attributions dispositionnelles).

33
Q

S’agit-il d’un vocabulaire abstrait ou concret ? :
- il aide un collègue avec la photocopieuse.
- Il agit de manière aggressive sous le stress.

A

Concret ! (Lien avec des attributions situationnelles).

34
Q

Nomme deux exemples d’implication concrètes d’avancées méthodologiques récentes :

A
  1. Logiciel LIWC : analyse linguistique de textes et dicours.
  2. Dictionnaire permettant d’obtenir la fréquence de certains concepts.
35
Q

À quoi s’est intéressée l’étude de (Snefjella, Schmidtke & Kuperman, 2018) sur twitter ?

A

Question : Est-ce que le contenu est similaire ou différente entre le Canada et les États-Unis ?

Conclusion : généralement très similaire, mais il existe de petits différences !

36
Q

À quoi correspond la déshumanisation via les émotions ?

A

À nier les caractéristiques humaines des membres de certains groupes sociaux.

37
Q

Quelles sont les deux types d’émotions et défini-les :

A
  1. Émotions secondaires : plus « raffinées » et typiquement réservées aux humains, ex : contentement, émerveillement, mélancolie, etc.
  2. Émotions primaires : émotions que les animaux non-humains ressentiraient aussi (6 émotions identifées par Ekman).
38
Q

En te basant sur l’étude de (Corteset al., 2005), complète : Les membres de l’endogroupe sont perçus comme ressentant plus d’émotions ____ que les membres de l’exogroupe.

A

Secondaires
(Il n’existe pas de différence significative quant aux émotions primaires).

39
Q

Étude de Martens, Ender-Slegers & Walker (reconnaissance émotions animaux)

A

Question : À quel point les propriétaires d’animaux vs les non-propriétaires sont capables de reconnaitre les émotions vécues par les animaux.

Conclusion : les intéractions permettent d’améliorer capacité à détecter le non-verbal.

40
Q

Quels sont les 3 concepts mis de l’avant par la théorie de l’accommodation de la communication.

A

1.Convergence languagère : Processus par lequel un des interlocuteurs modifie son comportement languagier pour le rendre semblable à celui de son interlocuteur.

2.Divergence languagière : On modifie son langage pour pour qu’il se distingue au maximum de celui de son interlocuteur.

3.Maintien langagier : stratégie qui consiste, pour un interlocuteur, à conserver le code langagier qui lui est propre pour toute la conversation.

41
Q

À quel concept fait-on référence : «Processus par lequel un des interlocuteurs modifie son comportement languagier pour le rendre semblable à celui de son interlocuteur. »

A

Convergence languagière

42
Q

À quel concept fait-on référence ? « On modifie son langage pour pour qu’ils se distingue au maximum de celui de son interlocuteur. »

A

Divergence languagière

43
Q

À quel concept fait-on référence ? «stratégie qui consiste, pour un interlocuteur, à conserver le code langagier qui lui est propre pour toute la conversation. »

A

Maintien langagier

44
Q

Explique l’étude de (Bourhis, Montaruli & Amiot, 2007) portant sur l’étude longitudinale auprès de piétons à Montréal :

A

Objectif : étudier les changements qui ont lieu dans les comportements d’accomondation vs de maintien langagier suite à l’implantation de lois linguistiques visant à augmenter la vitalité du français.

Où : centre d’âchat
Quoi : Expérimentatrice accoste des gens en français (Ouest) vs en anglais (Est), deux expérimentateurs : blanc & noir.

Conclusion :
Augmentation de la convergence linguistiques (accomodation entre les groupes linguistiques).

À noter : l’expérimentation à été répétée au campus de l’université Mcgill & Udem (la conclusion est la même !).

45
Q

Quels sont les avantages du bilinguisme : (x5)

A
  1. Ouverture au monde,
  2. Augmentation de la taille de notre endogroupe,
  3. Flexibilité cognitive & créativité,
  4. Mobilité sociale et d’emploi,
  5. Lien négatif entre le bilinguisme et la démence.
46
Q

Explique le processus de l’acquisition d’une langue seconde (Clément, 1980) : (3 étapes)

A
  1. Contacts intergroupes (pratique nos habiletés),
  2. Confiance langagière dans L2,
  3. Identité linguistique (L2).
47
Q

Quels sont les deux types de bilinguismes ?

A

Additif & soustractif

48
Q

À quoi correspond le bilinguisme soustractif ?

A

L’apprentissage de la langue seconde risque à long terme de provoquer la perte de l’identité première, menant à l’assimilation.

Lorsque ce processus se produit conjointement avec la perte de la langue et de la culture premières on parle de bilinguisme soustractif. p.244

49
Q

À quoi correspond le bilinguisme additif ?

A

Les individus bénifécient de l’ajout d’une deuxième identité, lorsque l’apprentissage d’une langue additionnelle mène à l’acquisition de compétences mentales et culturelles supplémentaires on parle de bilinguisme additif. p.244.

50
Q

Explique l’étude (Noels & clement, 1996) :

A

Diapo 35-36-37

51
Q

Lecture
Complète : «Le système verbal est généralement synonyme de langage, un ensemble de ____ parlés, signés manuellement ou écrits. » p.224

A

Symboles ! Un symbole est une représentation d’autre chose comme un mot.
Le mot « chat »et l’animal aux oreilles pointues.

52
Q

Lecture
Quelle est la propriété importante de la relation entre la communication sociale et le contexte interpersonnel ? p.236

A

Elle est bidirectionnelle

53
Q

Lecture
À quoi correspond cette définition :
«Décrire de manière systématique les caractéristiques linguistiques d’une société et d’expliquer comment ce contexte socioculturel influe sur la communication quotidienne des personnes qui y résident. » p.238

A

Vitalité ethnolinguistique

54
Q

Lecture
À quoi correspond la motivation intégrative ? p.243

A

Le désir de s’engager dans une communauté cible, voire de s’identifier comme un membre de cette communauté, prédit une meilleure acquisition de la langue.

PSY4121 - Examen 2 (5 decks)

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