Cours 8 : le sommeil et les troubles du sommeil Flashcards
Sommeil : comment se caractérise-t-il
se caractérise par un niveau de vigilance suspendu (opposé à l’éveil, niveau de conscience réduit p/r à l’éveil)
État physiologique fondamental
Proportion de notre vie consacré au sommeil
1/3
Rôles du sommeil
1- Consolidation mnésique (mémorisation)
2- Régulation émotionnelle
3- Mécanismes neuronaux/synaptiques
4- Importance capitale pour la santé
L’existence d’un cycle éveil-sommeil repose sur deux processus, lesquels?
1- Processus circadien
2- Processus homéostatique
Processus circadien
- Rythme endogène d’environ 24 heures
- Synchronisé ave l’environnement pour suivre le jour et la nuit (noyaux suprachiasmatiques)
Processus homéostatique
- Le besoin de sommeil augmente en fonction de la durée de l’éveil qui a précédé (plus ça fait longtemps qu’on dort, moins on va avoir besoin de sommeil : analogie d’une pile)
Théories sur les fonctions du sommeil
- Fonction adaptative du sommeil
- Fonction de récupération du sommeil
Fonction adaptative du sommeil
Utile pour la survie
- Pour se mettre à l’abri des prédateurs, permet de conserver l’énergie, disponibilité de la nourriture
Fonction de récupération du sommel
Permet aux organismes de récupérer, de se reposer, de restaurer les divers systèmes
- Restauration de l’homéostasie du corps et du cerveau
- Fonctions anti-oxydative, anti-inflammatoire (système immunitaire)
- Manque de sommeil prolongé : problèmes physiques, cognitifs et comportementaux
Le sommeil est un mécanisme fondamental visant à réguler les fonctions physiologiques et cognitives : énumération
- aide notre cerveau à s’adapter à de nouvelles expériences
- Mémoire et apprentissage
- Créativité
- Nettoyage des cellules
- Effets anti-inflammatoires et anti-oxydatifs
- Raffinement des connexions entre les neurones
Études sur la privation du sommeil : symptomes
- irritabilité, somnolence
- perte de mémoire
- difficulté de concentration
- risque de maladies cardiovasculaires
- perturbation du système immunitaire (anticorps), des systèmes endocriniens (stress, cortisol)
- temps de réaction plus lents
- tremblements
- douleurs
- suppression de la croissance
- risque d’obésité
- risque de diabète de type 2
Conséquences de la privation de sommeil chez le rat
privation totale de sommeil chez le rat :
- mort après environ 2-3 semaines
- lésions cutanées
- consommation accrue de nourriture
- perte de poids de 20%
- chute température corporelle
Privation de sommeil paradoxal :
- mort après environ 35 jours
- mêmes symptômes que la privation totale de sommeil
Le sommeil à un rôle primordial dans ?
dans la santé physique et psychologique (il faut prendre soin de notre sommeil, le prioriser)
Les cycles et les stades de sommeil
- Plusieurs cycles de sommeil de 90 minutes
- Période de sommeil lent suivi par une période de sommeil paradoxal
Le sommeil lent
Se subdivise : stades 1-2 : sommeil lent léger
Stades 3-4 (maintenant 3-4 ensemble) : sommeil lent profond
Le sommeil paradoxal (REM)
Rêves vivides
Qu’y a-t-il entre chacun des cycles de sommeil?
Des micro-éveils
Comment mesure-t-on les cycles et les stades de sommeil?
Avec un hypnogramme
Les ondes cérébrales : à quoi correspondent-elles?
Elles correspondent à des états comportementaux spécifiques
Chacun des stades de sommeil est associé à des ondes caractéristiques
Stade 1 - alpha
Stade 2 - Theta
Stade 3 et 4 - delta
Sommeil paradoxal - Beta
Beta
Activation globale du cortex
- Atonie musculaire
- Mouvements oculaires rapides
- Ondes comparables à l’éveil
Alpha
Éveil calme souvent les yeux fermés
- courte durée
- transition éveil sommeil
- Mouvements oculaires lents
Theta
certains états de sommeil
- Complexe K (s’il y a un bruit, nous “protège” et empêche qu’on se réveille)
- Fuseaux
Delta
Sommeil profond
- Synchronisation de l’EEG
Le sommeil NREM
Proportion du temps total dormi : environ 75% (NREM 1,2,3)
Stade lent profond (NREM 3 : 25% du temps total dormi
Le sommeil NREM : caractéristiques prinicpales
- Repos du corps
- réduction de la tension musculaire
- réduction de la température, de la consommation d’énergie, de la fréquence cardiaque + respiration
- Augmentation du SNA parasympathique - la digestion s’accentue alors que la fonction rénale diminue
Le sommeil NREM : fonctions principales
- régulation de divers systèmes : système immunitaire, hormone de croissance, nettoyage des cellules
- fonctions cognitives : encodage de l’information et consolidation mnésique en concert avec REM
Le sommeil paradoxal : proportion du temps dormi
environ 25%
Le sommeil paradoxal : caractéristiques principales
- consommation d’énergie élevée
Consommation d’oxygène dans le cerveau plus élevé que dans la veille active ou pendant l’effort intellectuel - paralysie du corps (atonie), mais mouvements oculaires rapides (+ oreille interne et diaphragme)
- augmentation du SNA sympathique (fréquence cardiaque et respiratoire irrégulières et augmentées)
Le sommeil paradoxal : fonctions principales
- fonctions cognitives : régulation émotionnelle et cognitive (consolidation mnésique en concert avec NREM)
- plasticité synaptique
- autres fonctions : prolifération des oligodendrocytes
Proportion de REM récupéré après une nuit de privation de sommeil ;
Après une nuit de privation totale de sommeil, 50% du sommeil paradoxal sera récupéré la nuit suivante
Proportion du stade lent profond et du sommeil paradoxal à chaque cycle au cours de la nuit
au début de la nuit, le stade lent profond occupe une plus grande proportion de chaque cycle. À la fin de la nuit, le sommeil paradoxal occupe une plus grande partie de chaque cycle
Variation dans les besoins de sommeil selon l’âge (stades de développement) et selon des variation interindividuelles
- le sommeil change tout au long de la vie : de la naissance à la mort
- les patrons de sommeil et le temps total dormi se modifient avec le temps
Durée et répartition du sommeil en fonction de l’âge
Besoin de sommeil :
Les nouveau-nés (de 0 à 3 mois) = 14 à 17h
Les nourrissons (de 4 à 11 mois) = 12 et 15h
Les tout-petits (de 1 à 2 ans0 = 11 et 14h
Enfants d’âge préscolaire (3-5 ans) = 10 et 13h
Enfants d’âge scolaire (6-13 ans) = 9 et 11h
Adolescents (14-17 ans) = 8 et 10h
Jeunes adultes (18-25 ans) = 7 et 9h
Adultes (26-64 ans) = 7 et 9h
Personnes âgées (65 ans et +) = 7 à 8h
Prévalence des troubles de sommeil dans la population
35-40%
Maintien actif de l’éveil : structures responsables
hypothalamus latéral et tronc cérébral
Mécanismes cérébraux distincts : éveil
- afférences sensorielles au cortex
- activation globale du tronc cérébral
0 niveaux élevés de sérotonine, noréphinéphrine, dopamine, acétylcholine, hypocrétine
Mécanismes cérébraux distincts : sommeil à ondes lentes
- inactivation globale du tronc cérébral
- faibles niveaux d’acétylcholine, noradrénaline, sérotonine
- bouffées d’oscillations : boucle thalamo-corticale bloquant les afférences sensorielles vers le cortex
Mécanismes cérébraux distincts : sommeil paradoxal
- activation de la formation réticulée à la hauteur du pont
- niveau élevé d’acétylcholine
- survenus des ondes POG-Ponto-geniculo-occipital activations pont-LGN-V1
- hyperpolarisation des motoneurones spinaux (atonie)
Dyssomnie définition
désordres qui produisent une difficulté à initier ou à maintenir le sommeil (insomnie) ou de la somnolence excessive (hypersomnie)
Insomnie définition
difficulté à dormir suffisamment
Hypersomnie définition
augmente la somnolence diurne
Dyssomnie : troubles en faisant partie
- apnée du sommeil (H)
- Narcolepsie (H)
- Insomnie chronique (I)
- Syndrome des jambes sans repos (I)
- Syndrome des mouvements périodiques des jambes pendant le sommeil (I)
Parasomnies définition
phénomènes passagers apparaissant exclusivement au cours du sommeil
Parasomnies : troubles en faisant partie
- Bruxisme
- Trouble comportemental en sommeil paradoxal
- Somnambulisme
- Terreurs nocturnes
Les apnées du sommeil : caractéristiques
- le trouble du sommeil le plus commun
- consiste en des arrêts respiratoires involontaires (plusieurs fois par heure)
- 2 types : apnées centrales VS apnées obstructives
Apnée du sommeil : causes
Les voies respiratoires s’affaissent partiellement ou complètement pendant l’épisode de sommeil
Apnée du sommeil : pourquoi
- Les muscles des voies respiratoires deviennent trop faibles
- il y a une pression sur les voies respiratoires supérieures
- certaines caractéristiques morphologiques
Apnée du sommeil : facteurs liés à l’apnée
- Augmente avec l’âge
- l’obésité et la taille du cou (large)
- plus commun chez les hommes
Apnée du sommeil : symptômes pendant le sommeil
- ronflements, sifflement, étouffement ou halètement
- réveils courts
- le partenaire de lit se plaint du bruit
Apnée du sommeil : symptômes à l’éveil
problèmes cardiovasculaires, hypertension, difficultés de concentration et problèmes de mémoire, somnolence excessive, fatigue (manque d’énergie), irritabilité et changements d’humeur
Problèmes cognitifs plus permanents qui seraient causés par l’anoxie (manque d’oxygène) cérébrale
Apnée du sommeil : interventions
- Plusieurs traitements possibles :
Le traitement de choix : CPAP (administration d’un flot aérien continue) - Modification des habitudes de vie :
Éviter de dormir sur le dos
Régime alimentaire (perte de poids) - Aussi intervention chirurgicale :
Uvulo-palato-pharyngoplastie ou avancement mandibulaire pour augmenter le diamètre des voies aériennes
narcolepsie cause
dégénérescence des neurones qui écrètent l’hypocrétine
4 symptômes associés narcolepsie
1- Hypersomnolence diurne
2- Cataplexie
3- Hallucinations hypnagogiques
4- Paralysie du sommeil
Hypersomnolence diurne
- accès incontrôlable de sommeil même quand la situation n’est pas appropriée
- sujets s’endorment directement en SP (soremp)
- siestes peuvent être courtes (5 à 10 minutes) ou plus longues (1heure si le sujet est confortable)
- suite à la sieste, l’hypersomnolence disparaît pour 1 ou 2 heures)
Cataplexie
- attaques d’atonie musculaire du visage ou des membres suite à une émotion vive sans perte de conscience
- de quelques secondes à 20-30 minutes
hallucinations hypnagogiques
- rêves éveillés
- hallucinations visuelles ou auditives très vivaces et très claires
- se produit à l’endormissement
- associé au soremp
Paralysie du sommeil
- se produit lors de l’endormissement ou lors du réveil
- peut être très anxiogène : patient peut ne pas être capable de bouger les extrémités, de parler, ou d’ouvrir les yeux
- souvent associées aux hallucinations hypnagogiques
- dure rarement plus de 10min.
Insomnie transitoire (38-48%) : exemple
Édith aurait voulu avoir une bonne nuit de sommeil la veille de son examen, mais en raison de son stress elle n’a pas fermé l’oeil de la nuit
Opportunité inadéquate à dormir : exemple
Paul n’en peut plus de la vie d’étudiant : étudier, travailler et sortir tous les soirs, il n’a plus une minute pour dormir et il se sent épuisé! (pas insomnie : juste mauvaise hygiène de sommeil)
Insomnie chronique (9 à 12%)
Depuis le décès de son mari il y a un an, Jacqueline se plaint de ne plus dormir
Insomnie : en fonction de la durée : 3 types
1- Aigüe (quelques jours)
2- À court terme (quelques semaines)
3- Chronique (au moins 3 mois, 3 nuits/semaine)
Insomnie : en fonction du moment : 3 types
- 30 minute ou plus pour s’endormir (initiale)
- plus de 30 minutes éveillé après l’endormissement (de maintien)
- réveil au moins 30 minutes avant l’heure de réveil souhaitée (matinale)
Insomnie : les difficultés de sommeil doivent faire 4 choses
1- Perturber les activités sociales et/ou professionnelles (séquelles diurnes)
2- Entraîner une souffrance marquée (détresse émotionnelle)
3- Ne résulte pas d’une condition médicale, médicaments ou d’abus de substances
4- Ne se présente pas exclusivement durant le cours d’un autre trouble
Insomnie : conséquences et déclencheurs
- Problèmes d’attention
- Fatigue physique ou mentale
- Irritabilité et interactions moins agréables avec l’entourage (troubles anxieux, dépressifs)
- isolement social
- adoption de certains comportements de dépendance (alcool, anxiolytiques, hypnotiques)
- conséquences économiques (absentéisme, diminution performances, soins de santé)
Facteurs qui contribuent à l’insomnie
- psychologiques
- environnementaux
- médicaux
- pharmacologiques
Insomnie : les facteurs prédisposants (vulnérabilité)
symptômes anxieux, dépressifs, antécédents familiaux
Insomnie : les facteurs précipitants (stress)
séparation, décès d’un proche, maladie
Insomnie : les facteurs perpétuants (maintien des difficultés)
Trop de temps au lit, dramatisation des difficultés, siestes, caféine
Cesser certains comportements et dédramatiser pourraient améliorer le sommeil
Insomnie chronique : 2 types principaux
1- Psychophysiologique (comportemental)
2- Paradoxale (misperception)
Psychophysiologique (comportemental) (+ thérapie)
- focus sur le sommeil
- incapacité à initier le sommeil lorsque prévu
- conditionné par l’environnement
- pensées intrusives au coucher
- tension somatique
Thérapie cogntivo-comportementale fonctionne bien
Paradoxale (misperception) (technique pour deal with it)
- différences marquées entre percpetion et PSG
- PSG est plus grand que 6 heures et efficacité du sommeil est plus grande que 85%
- perception : nuits normales rares, beaucoup de nuit blanche
Conditionner le cerveau à dormir au moment opportun : le lit et la chambre à coucher = calme et un sommeil de qualité. Techniques de relaxation et sortir du lit au besoin
Le syndrome des jambes sans repos : qu’est-ce que c’est?
- Trouble commun avec l’âge
- Inconfort dans les jambes au repos (en soirée, pendant la nuit)
- Besoin irrésistible de bouger les jambes pour réduire l’inconfort (fourmillement)
- soulagement complet ou partiel avec le mouvement (volontaire) des jambes. Retour des symptômes à l’arrêt du mouvement
Le syndrome des jambes sans repos : conséquences
retarde l’endormissement, dérange le sommeil
Le syndrome des jambes sans repos : traitements
Changements dans les habitudes de vie (éviter une consommation élevée de caféine, d’alcool et de tabac, des heures de coucher et de réveil régulières), stratégies comportementales (marche, étirements, massages, baignade, relaxation, exercices pour distraire l’esprit)
Mouvements périodiques des jambes pendant le sommeil (MPJS)
- Mouvements répétitifs des membres inférieurs : flexion du pied et/ou flexion de la jambe
- Pas nécessairement de trouble de sommeil associé
- Généralement sans gravité (si pas d’impact sur la qualité du sommeil = pas d’inquiétude)
- Mouvements souvent accompagnés d’un micro-éveil
- Beaucoup plus commun stade 1 et 2 du sommeil, mais peut persister en stade 3-4 et REM
(pendant qu’on dort)
Mouvements périodiques des jambes pendant le sommeil (MPJS) : causes
Trouble du mouvement, déséquilibre de certaines substances (dopaminergique)
Mouvements périodiques des jambes pendant le sommeil (MPJS) : traitements
pharmacologiques, hygiène du sommeil
L-Dopa supprime les symptômes dans 50-75% des cas
Mouvements périodiques des jambes pendant le sommeil : prévalence
4-11% population & 45% chez les 65 ans et +
Sévérité augmente avec l’âge
Somnambulisme caractéristiques
- comportement moteur pendant le sommeil profond
- comportement répétitif, simple ou plus complexe
- peu de réponse aux stimuli extérieurs
- désorientation et jugement altéré
- amnésie variable
- plus fréquent chez les enfants (4-17%)
- Adultes (2-4%)
- Risque de blessures/sécuriser l’environnement
Somnambulisme : éléments déclencheurs
- Anxiété
- Stress
- Privation/fragmentation de sommeil
Somniloquie caractéristiques
- parler en dormant
- peut survenir seul ou avec somnambulisme
- très fréquente chez l’enfant
- survient chez 70-75% des adultes au moins 1x dans leur vie
- reflète souvent un contenu mental
Terreurs nocturnes définition
Éveil soudain en sommeil lent profond avec un cri aigu ou un pleur
Accompagné de manifestations du système autonome d’une réaction de peur extrême
Terreurs nocturnes prévalence
56%
Terreurs nocturnes symptomes
- augmentation des rythmes cardiaques et respiratoire
- augmentation du tonus musculaire
- rougeur de la peau, diminution de la résistance de la peau
- souvent amnésie rétrograde de l’événement
- différent des cauchemars : habituellement les cauchemars se produisent en sommeil paradoxal et l’individu est capable de se rappeler du contenu onirique
Le trouble comportemental en sommeil paradoxal
- perte de l’atonie musculaire en sommeil paradoxal
- comportements vigoureux associés à des rêves vivides (coups de pieds, coups de poing, sauter hors du lit)
- en lien avec le contenu du rêve (moins d’interactions avec l’environnement que le somnambule)
- entraîne risque de blessures
- plus commun chez hommes âgés
- lien important avec certaines maladies neurodégénératives
Le trouble comportemental en sommeil paradoxal prévalence
0.5% de la population
Bruxisme définition
Présence d’activité rythmique des muscles masticateurs chez le sujet normal au cours du sommeil
Bruxisme diagnostic
- grincement des dents
- une des manifestations suivantes : usure dentaire, hypertrophie des muscles masticateurs, douleurs temporo-mandibulaire
Bruxisme : traitement
plaque occlusale
Trouble du sommeil : comment les détecter : méthodes d’investigation objectives
Polysomnographie (PSG) : mesures physiologiques associées au sommeil
- Électroencéphalographie (EEG) stade de sommeil, micro-éveil, etc
- Électro-oculographie (EOG) saccades oculaires
- Électromyographie (EMG) grincement de dents
- Électrocardiagramme (ECG) battement cardiaque
- Thermistance nasale : flux aérien nasal, mesure respiration et effort respiratoire (apnées)
- Sangle thoracique : activité respiratoire
- Saturation en oxygène dans le sang (oxymètre)
Troubles du sommeil : comment les détecter : méthodes d’investigation subjectives
- journal de sommeil
- entrevue semi-structurée
- questionnaires
Un bon sommeil : 4 caractéristiques
- grande variation entre les individus
- sentiment d’être reposé au réveil
- durée généralement entre 7-8h
- un sommeil de qualité est associé à un éveil de qualité
Comportements qui favorisent un sommeil de qualité : pendant la journée
- se lever à la même heure tous les matins
- s’exposer à la lumière le jour
- bouger, faire de l’exerice
- éviter la caféine après le repas du midi
Comportements qui favorisent un sommeil de qualité : en soirée
- favoriser des activités relaxantes
- éviter des activités trop stimulantes ou stressantes
- 3h avant le coucher → réduire les liquides et la nourriture
Comportements qui favorisent un sommeil de qualité : pour bien dormir la nuit
- aller au lit lorsqu’on se sent fatigué, somnolent
- routine-sommeil
- chambre à coucher : confort, sombre, silencieuse, température, limiter les activités au sommeil
- remplacer les lumières au besoin